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Tout ce qui a été posté par chone

  1. salam, Les emmerdeurs au travail par Sandrine Weisz Des personnalités que vous pouvez rencontrer dans votre chemin et qui pourraient vous faire regretter cette rencontre... 1ère partie Le conservateur : « Réfractaire au changement, il fait dans l’immobilisme.» il n’a peur de rien sauf du changement. Homme ou femme de routine, parfois à un niveau de responsabilité élevé, le conservateur a peur du changement. C’est ce qui motive son attitude rigide. Plus précisément, il a peur de se retrouver en situation d’incompétence dans un environnement nouveau et mal maîtrisé. Sceptique sur les avantages de la « nouveauté » (technique, organisationnelle…), c’est seulement la pratique qui finira par le faire adhérer. Le blagueur : «l’amuseur de service, doué ou moins doué…» ( à consommer avec modération ) Ancien élève chahuteur, le blagueur aime faire le pitre en public, « amuser la galerie ». En l’absence de public qui le stimule, pas de pitre. Le personnage dans les coulisses est parfois différent de celui sur scène. Dans l’intimité, le blagueur peut être taciturne, triste, peu bavard. Le blagueur peut être un bon vivant et aimer travailler en s’amusant. Ou bien, il peut vouloir cacher sa timidité ou son mal-être derrière un comportement théâtral. Dernière possibilité : il peut vouloir installer un chahut nuisible à votre présentation en utilisant l’arme du rire, moins soupçonnable. L’insinuateur : « Persifleur et sinueux, il œuvre dans l’ombre» ( rappelez-vous Tullius Détritus(un semeur de zizanie romain de la bande dessinée Astérix le Gaulois), il émet des critiques sous la forme de sous-entendus car il n’a pas le courage d’assumer ses idées. Il n’a pas l’audace d’aller à la confrontation. Mais il souhaite jouer la « forte tête » en faisant preuve d’une certaine insolence. Son profil est celui d’un enfant rebelle aux comportements de pseudo-libération, de provocation maladroite. Le but de l’insinuateur est de gagner sur les deux tableaux suivants : – Montrer son manque d’adhésion pour se valoriser vis-à-vis du groupe ou pour impressionner son interlocuteur en entretien en lui montrant qu’il a une forte personnalité. – Ne pas aller à l’affrontement direct car il n’en a pas le courage ou car il manque d’arguments factuels. Les bavards : « Se déplacent en meute. Soyez leur berger ! » ( Les bavards : faites vous entendre ) A l’intérieur d’un groupe, les participants ne se placent pas par hasard dans la salle. Même s’ils n’en ont pas conscience, le choix de leur emplacement obéit à quelques règles. Un contre-leader se placera en face de l’animateur, un allié à côté de lui, des bavards habituels à une distance respectable pour être tranquilles. . . Ensuite, chacun conserve le plus souvent sa place pendant toute la durée de la réunion, même si celle-ci inclut des pauses, et donc des possibilités de changement de place. Enfin, on se regroupe quand on le peut par affinités. On se place à côté d’une connaissance, de quelqu’un avec qui on s’entend bien. Par définition, on rencontre les bavards uniquement en situation de groupe. Ils représentent des communautés d’intérêt, intérêt personnel ou professionnel. Par exemple, il s’agit de deux personnes exerçant une même fonction, de deux amis, de deux femmes (ou deux hommes) dans un groupe d’hommes (de femmes), de deux clients lors d’une démonstration produit. L’exigeant : « Pas de place pour l’à peu près. Soyez pointilleux. » ( Sois parfait et tais moi ) L’exigeant est un perfectionniste, un pinailleur. Son pilote interne en analyse transactionnelle est « sois parfait ». Il peut s’agir d’une déformation professionnelle. L’exigeant peut en effet exercer un métier où l’approximation est bannie : contrôle, technique de précision. L’exigeant est psycho-rigide : il pense détenir une vérité absolue et se focalise sur ce qui lui semble important. Il n’aime pas être critiqué. Pour lui, seule la qualité du résultat compte. Le temps investi pour atteindre l’objectif fixé n’est pas pris en compte. D’où l’idée que l’exigent n’est pas forcément un bon gestionnaire du temps. Le dormeur : « Hiberne l’hiver, se repose au printemps pour mieux dormir l’été, il brille par sa constance. Secouez-le ! » Dormeur occasionnel ou dormeur régulier ? Le premier est victime d’une grande fatigue (repas copieux et arrosé, manque de sommeil). Pour peu que vos propos soient soporifiques ou l’heure de votre rendez-vous mal placée (début d’après-midi), il sera pris d’une réelle somnolence. Le second est identifié comme tel dans l’entreprise. Il est parfois l’objet de gentilles railleries. Son attitude de dormeur involontaire peut s’expliquer par un trouble médical : hypersomnie, corpulence. Le harceleur : « Cas pathologique, hautement nocif, à éviter à tout prix. Tout sauf lui » Mise en garde : être confronté à un harceleur est une situation très délicate, douloureuse et pouvant porter atteinte à l’intégrité physique. Ce cas de figure est traité ici de manière très superficielle et mérite souvent la consultation de spécialistes. Le harceleur développe des troubles du comportement qui relèvent de la psychiatrie. On ne dira jamais assez à quel point il est nuisible. Généralement, il a d’autres victimes à son actif, ou en aura d’autres. Le harceleur a besoin d’une victime en permanence, le plus souvent une seule en même temps. Il convient toutefois de ne pas céder à une mode qui consiste à qualifier tout comportement négatif de son entourage professionnel de harcèlement. Le harceleur n’opère pas en une seule fois, mais de façon continue sur plusieurs mois lors de multiples réunions ou entretiens. Le retardataire : « Jamais ponctuel, il a toujours un train de retard. Soyez à l’heure. » Le retardataire : la méthode Luchini Contrairement à une idée répandue, le retardataire peut être un très bon gestionnaire de son temps. Il a compris que ceux qui arrivent en retard sont souvent attendus, et que ceux qui arrivent à l’heure doivent attendre l’arrivée des retardataires. Il peut être aussi un mauvais gestionnaire de son temps en ceci qu’il évalue mal le temps nécessaire pour accomplir une activité: un travail ou un trajet. Enfin, le rapport que chacun entretient avec la ponctualité peut être lié à l’importance qu’il se donne par rapport à l’intervenant, au reste du groupe et aussi à l’intérêt qu’il porte au sujet traité. D’un complexe de supériorité peut découler des retards réguliers. L’accroc du portable : « Il est facile à repérer. A vous de le déconnecter » L’accroc du portable est parfois un frimeur qui pense se valoriser par une utilisation abusive de son portable (« Je suis important car beaucoup de gens m’appellent et/ou je dois régler par téléphone beaucoup de problèmes »). Ca peut être aussi une personne mal élevée et donc nullement gêné par le fait de déranger son entourage par ses conversations intempestives et par la sonnerie de son téléphone. L’accroc du portable est peut-être un grand stressé, victime d’une addiction à son portable. Il a le sentiment qu’il doit répondre à toute sollicitation sans attendre et écouter incessamment ses messages, sans faire la part des choses ou déléguer. Il a constamment peur de perdre un contrat, un client, de passer à côté d’une opportunité de sortie. Le critique : « Empêcheur de tourner en rond ou ultra pointilleux. Ne lui prétez pas le flanc. » Le critique est facile, on en trouve 2 "espèces" : 1) Le critique conjoncturel : Il est occasionnellement critique, n’adhérant manifestement pas à tout ce que vous dites. Il peut être hostile à votre sujet ou à votre personne. C’est là une des injustices de la vie professionnelle: certains thèmes recueillent à priori plus facilement l’adhésion que d’autres. Il peut aussi, sur un mode de communication constructif, exprimer des désaccords, des inquiétudes, des réserves sur un sujet auquel il adhère dans son ensemble. Il manifeste alors « un esprit critique » au bon sens du terme puisqu’il se projette dans l’avenir afin de voir en quoi votre projet est susceptible d’amélioration. 2) Le critique structurel : C’est sa personnalité. Il développe un comportement général à tendance agressive. Lui-même n’en a pas forcément conscience. Ainsi, il est amusant lors de séminaires de formation comportementale, de noter la réaction du critique structurel à l’issue d’un jeu de rôle filmé. Lorsqu’il observe ses réactions enregistrées, il ne s’aime généralement pas et admet parfois: « Je ne me rendais pas compte que j’étais aussi négatif ». Etre critique est une seconde nature pour certains. Au lieu de poser une question ou d‘affirmer un besoin, certains individus vont ainsi exprimer une critique. Ne vous sentez pas personnellement incriminé mais estimez qu’il s’agit d’un mode de communication plus agressif qu’assertif. En adoptant cette forme de communication, le critique structurel se pénalise lui-même car il génère forcément des difficultés relationnelles avec son entourage. Si l’on raisonne en terme de « victime », c’est donc lui le perdant et pas vous. Il peut aussi être à la recherche de l’affrontement pour l’affrontement. Dans certains secteurs d’activité (grande distribution), ce mode de relation est développé.
  2. salam, on peut s’énerver et montrer sa colère pour prouver qu'on est sincère et réglo :angel:
  3. salam, Résumé de Bernard Sady d'un sujet tiré du numéro de juin de " LEntreprise.com." Dans la lignée de « Objectif Zéro-sale-con » de Robert Sutton, il donne quelques conseils pour savoir comment réagir face à des "emmerdeurs"... Corine Moriou, l'auteur du sujet nous dit tout d'abord « qu'environ 10% de la population adulte est constituée de personnalités difficiles. » Ce qui fait que chacun d'entre nous doit avoir à supporter au moins quelques-uns de ces "emmerdeurs"... Une autre information importante que nous délivre Corine Moriou, c'est « qu'il est impossible de modifier une personnalité, car celle-ci s'est formée au travers des chocs émotionnels de l'enfance. » Par contre, il est possible de faire prendre conscience de mauvais comportements et ainsi de les rectifier. La différence est importante et laisse un espoir : les comportements peuvent toujours évoluer et s'améliorer. Il est clair qu'après avoir lu cet article, vous ne serez pas devenu psychologue, ni expert en personnalités difficiles. C'est en lisant plusieurs articles ou livres (il en existe de très bons), ou encore en faisant des stages que vous arriverez petit à petit à mieux maîtriser ces personnalités. Mais c'est surtout en appliquant que vous apprendrez le mieux. Prenez un "cobaye" et entraînez-vous... Voici le résumé de ce dossier qui, je l'espère, vous donnera envie d'aller plus loin. Corine Moriou présente sept personnalités difficiles et donne quelques conseils. L'obsessionnel : « Pinailleur, éternel insatisfait, anxieux, il coupe les cheveux en quatre et se noie dans les détails. A tel point qu'il est débordé et désorganise tout un service. » Avec ce type de personnalité, on peut essayer de faire prendre de la hauteur pour passer des détails à une vue plus générale. Ou encore, on peut donner des consignes précises. La langue de vipère : « Colporteuse de rumeurs, la langue de vipère mise sur une réaction en chaîne : « Si mes collègues perdent de la valeur, j'en gagnerai », raisonne-t-elle inconsciemment. Souvent par besoin de reconnaissance, car elle n'est pas sûre d'elle. » Il est d'abord nécessaire d'être à l'écoute de « radio moquette ». Ne pas hésiter à faire remarquer les dégâts causés. Et aller plus loin si nécessaire. En tous cas, à ne pas laisser contaminer le service ou l'entreprise. Le manipulateur : « Dans le monde du travail, la manipulation est parfois devenue un mode de management. » Dans le même genre, mais au-delà des manipulateurs, il y a les menteurs et les mythomanes. Une solution : « Dites oui à ce qu'il vous demande, mais ne faites pas ce qu'il vous demande. Il finira par comprendre que la flatterie n'a pas eu de prise sur vous. » Le passif agressif : «Le passif agressif fait obstruction, obéit en soupirant, laisse traîner les choses, boude, saborde, voire fait la grève du zèle. » Ne permettez pas qu'il se relâche, demandez-lui son avis et incitez-le à die ce qui ne va pas. Le paranoïaque : « Excessivement méfiant, il ne fait confiance à personne et interprète les événements les plus anodins comme lui étant hostiles. » Solution : « La carte de la confiance est primordiale. Vous devez exprimer très clairement vos intentions et vos directives en respectant scrupuleusement les formes (courtoisie, ponctualité) et en faisant référence aux règlements et aux procédures. » Le lunatique : « Le lunatique vous fait tourner en bourrique. Il est charmant un jour, horripilant le lendemain. Très efficace une semaine, il est totalement inactif, voire apathique la semaine suivante ». Un lunatique a en général une puissance de travail sur laquelle on peut capitaliser... les bons jours. Mais il faut aussi « lui rappeler qu'il a une mission à remplir qui est incontournable, quelle que soit son humeur ». J'avoue que j'ai beaucoup de difficultés avec ce type de personnalité... Le pervers : « Le pervers est, sans doute, le cas le plus difficile. » Je trouve la définition très claire : « faire du mal lui fait du bien ». Mais les résultats sont dramatiques : « il met à feu et à sang tout un service et n'a ni remords ni culpabilité. Les salariés démissionnent ou tombent malades et la médecine du travail s'en mêle. Parfois, il est trop tard. » La seule solution est de se séparer de ce pervers. Car avec la législation sur le harcèlement moral, « au pénal, le salarié harcelé peut épingler à la fois le coupable et l'employeur qui n'a pas pris toutes les précautions pour assurer sa protection ». Ce n'est pas toujours simple de se séparer de ce type de personnalité, car si on veut le licencier, il faut démontrer la faute, ce qui n'est pas toujours évident. Il faut un dossier en béton. Cela se construit. Avant tout, il faut décider de se séparer du salarié pervers. Une autre solution est la séparation à l'amiable avec une transaction. Mais attention, car la législation est en évolution actuellement. Par contre, c'est souvent une bonne solution : il vaut mieux « un bon arrangement qu'un mauvais procès »... En guise de conclusion, notre auteur nous incite à être prudents lors des embauches : passer par un cabinet de recrutement peut être une garantie (pas à 100%, hélas) pour éviter les pervers et détecter les personnalités difficiles. Vous embaucherez alors en connaissance de cause, car même si certaines personnalités sont difficiles à vivre, vous pouvez avoir besoin des compétences (pas celles des pervers qu'il faut absolument éviter)
  4. salam; Sujet de Marie-Lou DULAC TIMIDE – Qu’on se le dise : la vie du timide en entreprise est un ENFER. Vos collègues vous prennent pour quelqu’un de docile, coincé voire de carrément snob. Fini le temps où la réserve était une marque de bonne éducation. Chacun est tenu de réseauter avec le monde entier, d’instagrammer son assiette de choucroute et de savoir se vendre à un entretien d’embauche ou pour draguer la boulangère. Etre timide équivaut grosso modo à être un looser. Voici donc quelques conseils qui aideront les timides à survivre dans cette jungle hostile qu’est l’entreprise. 1 – Survivre au cocktail de networking Vous êtes convié-e à une soirée dont vous savez pertinemment qu’elle sera longue et pénible. Vous allez essayer de vous cacher derrière le palmier pour picoler en douce et ne parler à personne, alors qu’il vous faudrait récupérer quelques cartes de visite histoire de ne pas perdre votre temps. Niveau de panique : 6/10 (0 étant la zenitude absolue d’un samedi passé à regarder des rediffs de Friends sous la couette, et 10 la descente d’organes). La solution : glissez-vous dans le vestiaire et fouillez directement dans les poches des manteaux pour choper les cartes de visite. Cela vous évitera l’ennui d’une conversation sur les nouveaux horaires d’ouverture de la cantine. Votre interlocuteur ne saura pas qui vous êtes quand vous le contacterez, mais il aura tellement honte de s’être pris une cuite qu’il ne vous en tiendra pas rigueur. 2 – Survivre à « l’elevator pitch » Vous entrez dans l’ascenseur et vous vous retrouvez nez-à-nez avec votre N+2, celui qui doit décider de votre mutation dans la filiale de San Francisco. Vous savez que vous devriez vous mettre en avant, paraître intéressant-e et démontrer votre leadership, mais la réalité est tout autre : vous avez les mains moites (angoisse ultime au moment de lui serrer la pince), des auréoles sous les aisselles (vous allez porter plainte contre Narta) et vous arrivez à peine à articuler trois mots. Niveau de panique : 8/10 La solution : embrassez-le, vous n’aurez pas besoin de parler 3 – Survivre à la présentation en public Votre boss, ce sadique, vous envoie faire des préz’ à tous les meetings dans l’optique de vous aider à vous « développer ». Mais tout ce que vous êtes en train de développer, c’est un ulcère à l’estomac dès vous devez ouvrir la bouche, et vous préféreriez nager dans une piscine de requins déguisé-e en steak plutôt que d’être là. Niveau de panique : 9/10 La solution : parmi les conseils sur la prise de parole en public, on lit souvent qu’il faut imaginer son auditoire sur le trône pour dédramatiser la situation. Encore mieux : distribuez des verres d’eau à chacun en ayant pris soin d’y ajouter des laxatifs. Vous vous débarrasserez de ces emmerdeurs une bonne fois pour toutes (au sens « propre » comme au figuré). 4 – Survivre à la discussion avec l’homme ou la femme de vos rêves Par le plus grand des hasards (après avoir stalké l’intéressé-e pendant 6 mois) vous vous retrouvez à la machine à café avec celui ou celle qui fait battre votre cœur. Or, timide que vous êtes, vous avez peur de passer pour un-e gros-se naze et de griller vos chances avec l’élu-e. Vous tremblez comme la cellulite de Nicki Minaj dans Anaconda et la caféine ne fait qu’aggraver votre nervosité. Niveau de panique : 10/10 La solution : jetez votre café sur la chemise de l’élu-e et barrez-vous en courant. Avec un peu de chance, vous réussirez à l’intriguer et il/elle tombera raide dingue de vous. On espère que tous ces bons conseils vous aideront à arborer fièrement la bannière de votre timidité. Et n’oubliez pas : un jour, les timides prendront le pouvoir. Mais pas demain, demain y’a Friends.
  5. chone

    Mémoires d'un pauvre con !!!!

    salam, suite et fin: Épisode n°3 et dernier Travail ! Famille ! Patrie ! C’était ma devise de con, mais l’armée m’avait rejeté, et du coup ma famille aussi. Je ne serais pas le général De Gaulle au grand désespoir de mon père, et je ne ramènerais pas de caisses de bières, se lamentait ma mère, la gorge sèche. Alors il me restait le Travail. Du travail quand tu es très con, tu en as pas, pourtant du travail con c'est pas ce qui manque, mais voilà, il faut des diplômes. Et pas de diplôme de con, parce que là j'aurais pu montrer mon bon gros CV (Con Véritable). J’ai fait n’importe quoi, j’ai vendu des andouilles virtuelles à Vire, je me suis fait virer, de l’eau bénite de contre-bande à Lourdes, je me suis fait lourder, de la porcelaine à tricoter à Limoges, je me suis fait limoger, et à Chartres, j’ai pas voulu y aller… Je suis rentré dans une grande boîte, « l’Agrume» ça s’appelle, et là j’ai commencé au bas de l'échelle. Quand tu es con, tu es toujours au bas de l'échelle, comme ça si un marteau tombe, y a moins de dégâts. Mais les cons aiment péter plus haut que leur cul, tu le sais bien, et c'est pour ça que j'ai voulu monter à l'échelle. Puis j'ai voulu prendre l'ascenseur social, ça allait plus vite. Alors j'ai dénoncé ces cons de syndicalistes, j’ai eu de la promo, puis j’ai dénoncé les femmes qui arrivaient en retard, encore promo, puis ceux qui toussaient, buvaient ou faisaient les marioles. J’ai tellement balancé, qu’ils m’ont nommé DRH. ils voulaient du 109, j’ai pas compris pourquoi mais j’ai licencié 109 personnes. Pour la 110eme lettre de licenciement, j’avais laissé le nom en blanc . C’est le mien qu’ils ont écrit ! Et à ce moment là, j’ai compris que je ne m'étais pas enrichi, mais que j'avais pris du poids, en quelque sorte, j’étais devenu un gros con! Que reste-t-il à faire à un gros con, comme moi, quand, même l'armée, ne veut pas de lui? J'aurais bien fait collabo ou du marché noir, mais il n'y a pas la guerre. Dénoncer aussi j'aurai pu faire mais en signant mes lettres anonymes je perdais de la crédibilité. Ah Barbara! La guerre! Quel enchantement! Tu dénonçais des juifs, des communistes, des résistants et tu touchais des primes, aujourd'hui même avec les sans-papiers, les roms et les babas ça rapporte que dalle. Alors j'ai étudié les stars de la télé, je veux faire comme elles: dire des conneries et gagner de la thune. Et à ce petit jeu, j'ai choisi la politique. Un gros con ça craint rien, c'est à ça qu'on les reconnaît disait Audiard, je le sais, ils l'ont dit à la télé. Alors je me suis lancé. Je voulais être le président de mon pouvoir d'achat. J'ai dit que les autres étaient des racailles, qu'avec moi il n'y aurait plus de SDF dans ma rue. J'ai dit qu'il fallait travailler plus pour que je gagne plus. Enfin toutes les conneries qu'on dit quand on est très con ou bien bourré. Et tu sais pas? J'ai été élu président des cons! C'est plus sympa que roi des cons, parce que l'hérédité n'y est pour rien.. A la force de la veuve poignet, je me suis fait! Aussi aujourd'hui au salon de l'agriculture, lorsqu'un cul terreux n'a pas voulu me serrer la main, tu sais ce que je lui ai dit? Ben oui, j'chuis con! ZY INDE ( en plus j'apprends l'Anglais avec la méthode à Mimile)
  6. salam, source: karak.over-blog Introduction (c'est le Karak qui raconte) Me voilà devenu le « pauvre con » le plus célèbre de la planète. Tout ça parce qu’un p’tit gars nerveux, qui serrait les mains de tous les bouseux du salon de l’agriculture voulait me serrer la pince. Attendez! C’est pas très propre toutes ces mains de paysans ! ça peut propager des maladies. La grippe aviaire, l'achun hainun.(ça se prononce comme ça s'éternue). J’voulais pas qui me touche, l’autre nabot. Pis voilà qui me traite de « pauvre con ». En effet, je suis très con, mais me faire traiter de pauvre, ça m’a pas fait plaisir! Faut pas se moquer des pauvres surtout quand on est riche.. C'est vrai que je suis con, j'aurais pu lui serrer la louche et lui piquer sa rolex, mais non je suis honnête moi, Monsieur. Remarque dans notre société les gens honnêtes passent souvent pour des cons, faut bien le reconnaître! Tu en sais quelque chose! Tiens! Regarde Berlusconi, il est malhonnête, mais personne le traite de con; de salaud, de tyran oui, mais con, non. C'est réservé aux petites gens comme toi et moi, enfin surtout comme toi, oui, rigoler en se faisant traiter de con, excuse moi mais c'est le gâteux sous la cerise. Tu n'as pas d'excuses comme moi. Moi, j’étais prédestiné pour être con, ma mère buvait comme un trou –normal elle était normande- et mon père bouffait comme un porc-normal il était Chiraquien.-. Vous pensez bien qu’avec l’hérédité, j’ai morflé. Même avant de naître, déjà, j’étais con. Ma mère attendait des triplets, moi, ch’uis sorti le dernier et pour déconner, j’ai passé le cordon autour de la tête de celui qu’était devant moi en le poussant dehors. Bon et on n’a plus été que des jumeaux… Très con, je sais, mais je t'avais prévenu. NB: Cette histoire que je remasterise et que j'avais publiée sous mon précédent blog avait suscité le courroux, l'ire, la colère d'une Sarkosyste qui croyait que j'étais le célèbre "pauv'e con" inconnu. Et je dois avouer que se faire traiter de con par plus con que soi est un plaisir raffiné dont je raffole.. Episode n° 1 A l’école publique, ils se sont vite rendus compte que j’étais très con, mais mon père a dit "Les instituteurs c'est tous des cons de gauchistes, ils ne pensent qu'à faire grève" (ben, oui l'hérédité ça compte!). Le fait que je ne sache ni lire ni écrire aurait du l'alerter, mais comme je savais qui était le général De Gaulle ça effaçait mes faiblesses. J'aurais pu copier sur mon voisin, tu vas me dire, mais ça m'est même pas venu à l'esprit, puis ça n'aurait pas plu ni à De Gaulle, ni à mon père. J'était con dans le public alors mes parents m’ont mis dans le privé. A la place de signer le carnet de correspondance, ils ont signé le carnet de chèques, rien que pour croire que j’étais moins con. L’école, si t’es con, tu t’emmerdes un peu, mais si t’es pas trop con et que tu bosses, que tu vas pas jouer pour faire tes devoirs, que tu étudies, que tu apprennes par cœur, que tu te lèves tôt pour arriver à l'heure, tu t’emmerdes beaucoup plus. Alors j’ai choisi d’être moi-même : rester con. J’étais doué en calculs manteaux, je savais toujours exactement où était situé le mien pour l'arracher en vitesse dés que la cloche sonnait. Par contre pour la grammaire, l'orthographe, la lecture et l’écriture, bernique ! Pour un con, la lecture et l’écriture c’est le sommet de la connerie ! y a la télé merde ! et la radio! faut vivre avec son époque ! et pour atteindre les sommets, y a les tire-fesses pour les tire au cul. A quoi ça sert de savoir ce que tu sais si ça te sert à rien, sinon à savoir que tu sais? Tu saisis? Episode n° 2 Au service militaire, grâce à mon adjudant, que tout le monde appelait Taras Boulba à cause de la coiffure sans doute, j’ai compris qu’être con n’était pas un handicap, mieux, on pouvait faire carrière. Alors je me suis engagé, et là j’ai tout appris, fumer, boire des bières, aller aux putes, boire des bières. L’armée a fait de moi un homme ! un vrai ! Un qui chiale pas comme une gonzesse! Un qui crache par terre, qui gagne les concours de pets et qui sait boire des bières. En plus j’ai appris à faire mon lit et à me lever tôt ! Pas comme ces feignants des banlieues ! -Neuilly c’est la banlieue, ha! merde !.- non, je parle de l’autre banlieue, où même ceux qui travaillent se lèvent tard sous prétexte qu’ils sont veilleurs de nuit. Mais, heu, je me suis fait virer de l’armée à cause de la position du tireur couché. Déjà au début, je croyais que c'était une position sexuelle, parce que les cons parlent toujours de cul. (là, faut être un peu malin pour piger le clin d'œil –excusez moi, ça m'a échappé-) Donc c'était pas la position du missionnaire ou alors pendant la croisade. Moi, j'avais adopté la position du tireur couché en chien de fusil, ce qui me paraissait normal puisque le fusil mitrailleur je l'avais dans les mains.. Par contre c'est ma cible qui pouvait dormir tranquille, jamais un impact, tout à la volée, un peu partout ailleurs. Alors mon adjudant est venu, s'est planté les jambes écartées à trois mètres du pas de tir et à dit:"Vise entre mes jambes et tu mettras tout dans la cible." Et il avait raison Taras Boulba. J'ai tous mis dans la cible. Mais à sa grosse grimace j'ai pensé qu'il avait perdu quelque chose. J'ai alors compris pourquoi on l'appelait Boulba. D'ailleurs on l'a plus appelé que "Putain de Taras" surtout quand on le croisait au Bois.. A SUIVRE...
  7. salam, proverbe Chinois Celui qui NE SAIT PAS et qui ne sait pas qu'il ne sait pas ..... FUIS-LE Celui qui NE SAIT PAS et qui sait qu'il ne sait pas..................... EDUQUE-LE Celui qui SAIT et qui ne sait pas qu'il sait ................................... EVEILLE-LE Celui qui SAIT et qui sait qu'il sait.................................................. SUIS-LE
  8. salam, C’est qui le chef !!! Qui devrait être chef ? Quand le corps humain fut créé, toutes les parties voulaient être chef. Le cerveau disait : " Puisque je commande tout et que je pense pour tout le monde, je devrais être le chef " . Les pieds disaient : " Puisque nous transportons le corps là où il le désire et que nous permettons ainsi de faire ce que pense le cerveau nous devrions être chef " . Les mains disaient : " Puisque nous faisons tout le travail et gagnons de l’argent pour entretenir tout le corps, nous devrions être chef ". Et ainsi de suite pour le cœur, les yeux, les oreilles et les poumons. Enfin, le trou du cul se fit entendre et demanda à être choisi comme chef. Les autres parties du corps éclatèrent de rire à l’idée qu’un trou du cul puisse être chef. Le trou du cul se mit en colère et refusa de fonctionner. Bientôt, le cerveau devint fiévreux, les yeux, se vitrèrent, les pieds étaient trop faibles pour marcher, les mains pendaient sans force, et le cœur et les poumons luttaient pour survivre. Alors tous supplièrent le cerveau de se laisser fléchir et de permettre au trou du cul d’être chef. Ainsi fut fait !!! Toutes les autres parties du corps faisaient le travail, tandis que le trou du cul dirigeait tout le monde et s’occupait principalement de la merde, comme tout chef digne de ce titre. Moralité : Il n’est nullement nécessaire d’être un cerveau pour devenir chef ; un trou du cul a nettement plus de chances. Regardez autour de vous et vous en serez convaincu.
  9. salam, Cinq leçons de Confucius pour gagner en efficacité Par Marie-Madeleine Sève, Pour Confucius, le prince doit trouver le "juste milieu" et "penser droit". Confucius, dit "Maître Kong", a approché les puissants dans une Chine troublée par les rivalités princières. Ses préceptes moraux et politiques vieux de 2500 ans peuvent aujourd'hui encore servir aux managers. Voici comment. Gouverneur de Zhongdu, intendant des travaux publics puis ministre de la justice pour le royaume de Lu (au Sud de Pékin), Confucius a ensuite passé sa vie à l'étude des textes et des rituels et à enseigner. Sa doctrine propose à chacun de s'essayer à la sagesse et de devenir un homme de bien (junzi) en cultivant les vertus cardinales: l'altruisme, l'humanité, la bonté (ren) et le respect d'autrui (yi). Il édicte les comportements à adopter pour y accéder. Voici cinq leçons reprises de l'ouvrage "Confucius, 18 leçons pour réconcilier éthique et performance" explicitées par l'auteur Gérard Lelarge, fondateur de GL Formation. Leçon n°1 : oser être sévère: "Associez à la fois bienveillance et sévérité." Il s'agit de parvenir à concilier les contraires afin d'éviter les excès : trop de bonté confine à l'inefficacité, trop de sévérité crée l'injustice. Pour Confucius, le prince doit trouver le "juste milieu" et "penser droit". Le manager, lui, doit agir et trancher avec équité. Il lui faut en particulier veiller à faire progresser chacun sans s'épuiser à la tâche et se préoccuper des "mauvais" élèves en les formant, en les soutenant. Et il sanctionnera clairement, en se rappelant que le mot sanction peut également être positif... ===>> Pratiquez le recadrage, la punition, la récompense juste, l'encouragement sincère, l'écoute empathique. Vous générerez ainsi de la cohésion et de la motivation. Leçon n°2 : donner l'exemple: "Un homme de bien est celui qui ne prêche pas ce qu'il faut faire tant qu'il n'a pas fait ce qu'il prône." Savoir se gouverner soi-même est un impératif pour bien gouverner les autres, dit Confucius. Le souverain, doit donc se montrer exemplaire sans jamais se lasser et travailler à "être digne d'être connu". Il sera vigilant au quotidien sur trois choses: 1/Son attitude, "exempte d'emportement et d'arrogance". 2/Son expression, "qui reflétera la bonne foi". 3/Son langage, "exempt de vulgarité". Il sera ainsi naturellement suivi et respecté. A appliquer mot pour mot par un manager ! ===>> Soyez un modèle au moins sur 2 ou 3 points : parlez vrai, mettez la main à la pâte, restreignez votre train de vie (abandon de privilèges...), visez la simplicité, cherchez à comprendre les autres... Leçon n°3 : accepter de se remettre en cause. "A l'image de celui qui taille et polit les pierres précieuses, perfectionnez-vous vous-même." Pour "Maître Kong", tout homme doit viser la perfection et l'excellence humaine. Pour s'adapter au monde mouvant sans se renier, le manager a avantage à questionner ses façons de faire. Il peut prendre l'habitude de dresser un bilan de ses actions en fin de journée : ai-je fait tout mon possible ? Ai-je appliqué ce que j'ai appris ? Ai-je été digne de la confiance d'autrui ? Sortir de sa zone de confort exige aussi de savoir accueillir la critique des autres, soit frontale, soit subliminale. Le langage non verbal est souvent évocateur : repérez les regards fuyants, les yeux aux ciel, les gestes nerveux, les signes d'impatience, etc. ===>> A vous de vous ajuster. Reconnaissez aussi vos erreurs : "j'ai mal apprécié la situation..." Leçon n°4 : exiger beaucoup de soi-même: "L'honnête homme monte la pente, l'homme vulgaire la descend." Selon Confucius, un homme de bien s'impose des règles sévères ainsi qu'une grande ambition, pour lui et pour les autres. Il est capable de s'engager au-delà de son intérêt personnel. Le manager va donc payer de sa personne, se dépasser pour atteindre des objectifs collectifs, sans faux-semblants. Il apprendra à partager son pouvoir, son savoir, ses collaborateurs. ===>> Pour donner votre pleine mesure, ne vous contentez pas de faire le job, voyez plus grand, prenez des initiatives. Vous gagnerez en satisfaction et en visibilité, mais aussi en crédibilité et donc en autorité sur votre équipe. Leçon n°5 : accepter d'apprendre des autres: "Prenez trois hommes au hasard dans la rue, ils auront nécessairement quelque chose à m'enseigner." Le "Maître" estimait lui-même ne pas avoir la science infuse. Il recommande "de ne parler que du certain", d'observer la réaction de son entourage, d'écouter -"même ses subordonnés"- de se nourrir de la qualité des uns et des défauts des autres. Chacun a des idées dignes d'intérêt car susceptibles de nourrir sa propre analyse et d'éviter les fausses routes. Le manager saura se taire, stimuler la réflexion et l'échange dans les équipes, provoquer les rencontres informelles, ce qui créera de la proximité et de la confiance. Songez aussi à sortir de votre bureau pour "vous ouvrir au monde". ===>> Allez au spectacle, suivez des conférences, fréquentez des clubs et lisez. Tout ceci sera source d'inspiration nouvelle. *Maxima Editeur, 2011.*
  10. chone

    l’art de la guerre

    salam, Les 24 principes de Sun Tzi pour résoudre les conflits L’art de la guerre de Sun Tzi a été étudié par les plus grands chefs d’armée dans le monde. Mais pas seulement… En effet, ses stratégies sont même enseignées dans les plus grandes entreprises, car ce n’est pas un manuel pour faire la guerre, mais pour éviter les conflits en forçant l’adversaire à abandonner pour réduire le plus possible les pertes matérielles et humaines. L’ouvrage chinois remonterait au Ve siècle avant JC, ne le lisez pas comme un simple manuel de guerre, mais transformer les phrases pour les intégrer à votre vie, aux rapports avec votre entourage ou vos supérieurs hiérarchiques. Je vous laisse avec lui : 1. Sun Tzu dit : L’art de la guerre est d’une importance vitale pour l’État. 2. C’est une question de vie et de mort, la route vers la sécurité ou a la ruine. Par conséquent c’est un sujet de réflexion qu’on ne peut se permettre de négliger. facteurs fondamentaux 3. L’art de la guerre est dirigé par 5 facteurs fondamentaux qui doivent être pris en considération dans toute réflexion visant à établir les conditions de la victoire sur le terrain. 4. Celles-ci sont : (1) la Loi morale ; (2) le Ciel (ou Temps) ; (3) la Terre (ou l’Espace) ; (4) le Commandement; (5) la Méthode et la Discipline. 5. La LOI MORALE permet l’accord complet entre les citoyens et leur souverain, de sorte qu’ils le suivront au péril de leur vie et sans se soucier du danger. 6. Le Ciel (le Temps) désigne la nuit et le jour, les climats froids et chauds, les périodes et les saisons. 7. La TERRE (l’Espace) comprend les distances, le grand et le petit ; le danger et la sécurité ; les terrains découverts et les passages étroits ; les chances de vie et de mort. 8. Le COMMANDANT incarne les vertus de sagesse, de sincérité, de bienveillance, de courage et de rigueur. 9. La METHODE et la DISCIPLINE signifient l’art de constituer une armée, de la subdiviser et d’établir la hiérarchie, d’entretenir les voies de ravitaillement de l’armée et de contrôler les dépenses militaires 10. Chaque général devrait bien connaître ces 5 facteurs : celui qui les connaît sera victorieux; celui qui ne les connaît pas échouera. Base de comparaison 11. Par conséquent, dans toute délibération visant à déterminer les conditions de la victoire, il est utile de prendre ces facteurs comme base de comparaison, à savoir : (a) Lequel des 2 princes est-il imprégné de la Loi morale ? (b) Lequel des 2 généraux a plus de capacités ? © À qui profite les avantages naturels du Ciel et de la Terre ? (d) De quel côté la discipline est-elle appliquée avec plus de rigueur ? (e) Laquelle des 2 armées est plus puissante ? (f) De quel côté les officiers sont-ils plus et les soldats sont-ils mieux formés ? (g) Dans quelle armée y a-t-il plus de cohérence dans la distribution des récompenses et châtiments ? 12. Ces 7 comparaisons me permettent de prévoir la victoire ou la défaite. 13. Le général qui écoute mes conseils et agit en conséquence triomphera : – que celui-là soit maintenu aux commandes ! Le général qui ni n’écoute pas mes conseils et n’agit pas en conséquence, essuiera l’échec : – que celui-là soit écarté ! Modifier ses plans 14. Tout en profitant de mes conseils, tirez avantage aussi de toutes les circonstances favorables indépendamment des règles en usage. 15. Il faut modifier ses plans en fonction des circonstances. 16. Toute guerre est basée sur la ruse et la tromperie; 17. Par conséquent, quand nous sommes capables d’attaquer, nous devons feindre d’en être incapables ; quand nous agissons, nous devons donner l’illusion d’être inactifs ; quand nous sommes près, nous devons faire croire à l’ennemi que nous sommes très loin ; quand nous sommes loin, nous devons lui faire croire que nous sommes près. 18. Tendez des appâts pour leurrer l’ennemi. Feignez le désordre, et écrasez-le. 19. S’il est assuré à tous les niveaux, soyez prêt pour lui. Si sa force est supérieure, évitez-le. 20. Si votre adversaire est de tempérament ombrageux, attisez sa colère. Simulez l’infériorité, pour encourager son arrogance. 21. S’il est à l’aise, harcelez-le sans cesse ne lui laissant aucun répit. 22. Attaquez-le là où il n’est pas préparé, surgissez là où il ne vous attend point. 23. Telles sont les clefs stratégiques qui mènent à la victoire, mais veillez à ne pas les divulguer par avance. 24. Le général qui gagne une bataille fait beaucoup d’évaluations dans le temple avant les hostilités. Le général qui perd la bataille est celui qui fait peu d’évaluations par avance. Ainsi de nombreuses évaluations mènent à la victoire, et peu d’évaluations à la défaite : et combien donc celui qui n’en fait pas du tout a peu de chances de gagner ! C’est par l’attention accordée à ce point que je peux prévoir qui est susceptible de gagner ou de perdre.
  11. salam, Côté communication, c'est toujours pareil pour toutes les Team dans ce domaine, au début, des communiqués tout les mois ou presque, quand ça commence à se corser, c'est des blabla... , Maintenant, le sort du king est entre les mains du C+ :139493200635993:
  12. chone

    LE DICO CON

    salam, Extrait du livre " Le petit livre noir des cons " par Laurent Gaulet AVANT-PROPOS En m’attaquant à la rédaction de ce livre, j’ai voulu créer sous Windows un « nouveau dossier » que j’ai souhaité intituler « Con ». Eh bien, figurez-vous - et vous pouvez faire l’expérience - qu’il n’est pas possible de créer un dossier « Con » sous Windows ! C’est con, non ? Alors je l’ai intitulé « Gros con », et ça a fonctionné… Vous découvrirez dans les pages suivantes le gros contenu de ce dossier. LE DICO CON Compère : ceux qui n’ont pas la chance d’avoir deux parents intelligents ont un compère et une commère. Concepteur, trice : procréateur du con. Condescendance : progéniture du concepteur et de la conceptrice. Concavité : espace libre situé dans la boîte crânienne des écervelés. Concubin : con « made in Cuba ». Confiture : personne qui a le cerveau en marmelade. Continent : immenses territoires où sont rassemblée et répartis en cinq groupes plus ou moins égaux tous les cons de la Terre. Compote : nous en avons tous un parmi nos amis… Concentration : synonyme de « bande de cons ! » Concerné : parce que nous sommes entourés de cons. Compotier : artisan qui façonne la terre glaise pour réaliser des cruches. Compressé : footballeur qui court vite. Conseiller : expert passé maître dans l’art de recommander aux autres de réaliser les conneries qu’il a lui-même imaginées. Comprimé : mâle élu « Mister camping ». Compter : dénombrer les cons. Comptabiliser : compter, recenser les Français. Confort : personne pratiquant la gonflette dans l’espoir de devenir un comprimé. Concombre : insulte signifiant « Espèce de cornichon ! » Contractuelle : sorte d’aubergine très proche du concombre. Contrôleur : la même chose qu’une aubergine, mais dans les trains. Comploteur : idiot et obsédé sexuel. Composant : idiot qui aime se faire prendre en photo. Concentré : composant au milieu de la photo. Concentrique : con et impuissant. Compiler : action de broyer un imbécile à l’aide d’une batte de base-ball pour le réduire en poudre de manioc. Complanter : action qui consiste à semer un con en l’enfouissant dans la terre jusqu’au cou. Conciliabule : à propos de la note qu’un professeur attribue à un mauvais élève. Est la contraction de : « S’il y a bulle, t’es con. » Connotation : la note du cancre collectionneur de bulles, de têtes à Toto et de zéros pointés. Concours : con atteint de nanisme, une espèce de petit con. Concurrence : con qui se lave mal les fesses. Condisciple : personne qui a trouvé son maître en matière de conneries. Confetti : papier toilette pour les cons. Congénital : se dit d’un individu dont la connerie est héréditaire. Contagieux : s’il y a de plus en plus de cons, c’est aussi parce que l’on peut être contaminé à leur contact. Convalescent : lorsque la connerie n’est pas congénitale, elle pourrait se soigner. Compost : administration où l’on fait la queue ou bien qui est fermée. Composteur : agent de la compost chargé de distribuer le courrier. Concierge : bougie que l’on brûle à l’église en faisant une prière pour que cesse la bêtise humaine. Convoyage : car de touristes français. Confédération : association de personnes qui pensent que « plus on est des cons, plus on rit ». Connexe : désigne une ancienne épouse. Conquérant : individu cherchant à imposer sa connerie. Constellation : ensemble d’individus qui ne brillent pas par leur intelligence. Condoléances : insulte signifiant : « Mort aux cons ! » Conscience : petite voix qui nous dit : « Mais qu’est-ce que t’es con ! » Conscience professionnelle : être con est parfois bien plus qu’un métier, c’est une véritable science. Congélateur : se dit de certains dont la connerie fait froid dans le dos. Conjoint : cigarette qui fait rire bêtement. Connerie : blonde qui rigole. Compétent : idiot que l’on ne peut pas sentir et qui se repère à l’odeur. Complice : vieux con tout ridé. Consommateur : représentant des forces de l’ordre effectuant un tir de sommation. Consonne : si consonne, surtout n’allez pas ouvrir ! ex. : Consonne ? Ah que je vais ouvrir ! (Johnny Halliday) Converger : arbres fruitiers plantés n’importe comment. Convertisseur : petite calculette qui nous a convertis en cons en nous faisant croire que 1 euro = 6,55957 francs. Comporte : du verbe comporter à la forme impérative ; employé comme insulte à l’intention d’une ouverture à abattant que l’on s’est malencontreusement prise dans la gueule. Concélébration : jour où les cons soufflent leurs bougies d’anniversaire. Conserve : oui, mais à quoi ? Concasseur : se dit d’une personne qui nous les hache menu. - Sorte de brise-noix sur patte. Conjonctivite : encore plus bête que celui qui a un poil dans la main : celui qui a une poutre dans l’œil. Connard : ou plutôt l’art d’être con. Condom : protection qui permettrait aux cons de ne pas se reproduire s’ils ne s’amusaient pas à faire des trous dedans. Confusion : accouplement de personnes simples d’esprit pour procréer. Constipé : à propos d’un type qui nous emmerde, contraction de l’expression : « L’est con s’type, hé ! » Convaincu : parce qu’il nous arrive parfois de gagner des batailles contre la bêtise… Conversation : discussion débile entre idiots, car ne pas parler aux cons pour ne pas les instruire ne les empêche pas de parler entre eux. Convive : très utile lors d’un dîner de cons.
  13. salam, avant on disait "le Crabe" pour désigné le démo-Dongle Morebox(les anciens s'en souviennent) qui a eu presque le même scénario, maintenant, on voit dans l'Atlas200 "une sardine" qui suit le même scénario, Conclusion: on est resté toujours dans le monde aquatique avec entre-temps des douches froides pour se dessaler :Thinking:
  14. salam, venant d'un site très proche du site King Boot HD 200 Action/MAJ Boot Bxxx Retour usine Boot D100 Boot F100 Retour usine - Migration vers le Boot F200 Gratuite. Boot F200 MainSoft F201 Boot F200 modifié MainSoft F201_2
  15. chone

    le bocal à con

    salam, Guide de survie aux abrutis:" le bocal à con " par Sylvaine Pascual (maitre coaching) Mes clients sont formidables. Je suis sans cesse ébahie par l’inventivité dont ils font preuve pour concocter des solutions et des stratégies uniques, complètement originales et surtout terriblement efficaces. Le bocal à con en est une particulièrement efficace pour neutraliser ceux qui nous pourrissent la vie… Le bocal à con, ludique, efficace, unique! La plupart du temps, les solutions élaborées par les clients sont trop personnelles pour pouvoir être utiles à d’autres. Cependant, parfois, leurs caractéristiques métaphoriques peuvent les rendre transformables en véritables outils exploitables par bon nombre de personnes. Ainsi l’autre jour, voilà ma cliente A., avec qui je travaille sur le relationnel professionnel, qui me lance une de ses œillades malicieuses dont elle a le secret et m’explique qu’elle et son mari sont les heureux inventeurs d’un concept qu’ils auraient du breveter il y a plus de 20 ans : le bocal à con. J’en reste sans voix. Je suis éblouie par le potentiel phénoménal, l’étendue du champ d’action possible d’une telle idée. Merci donc à A. qui non seulement m’a fourni un outil ludique et efficace, et qui en plus m’a autorisée à le partager avec vous. Le concept Le concept est ultra simple. Quand nos tentatives bienveillantes pour améliorer les relations avec un abruti donné ont échoué, il s’agit tout simplement d’imaginer qu’on place ledit abruti dans un bocal. Car le con, une fois coincé dans un bocal hermétiquement fermé, a beaucoup plus de mal à nuire : Il n’a plus de son, plus d’odeur. De plus, pour peu qu’on ait choisi un bocal en verre, les parois arrondies lui déforment la figure, nous donnant une sorte de caricature de notre abruti qui diminue grandement l’emprise que ses comportements ont sur nous. Regardons-le, enfermé dans son bocal: ni ses mots, ni son agressivité, ni ses petites et grandes manipulations, ou encore ses comportements de persécuteur, ses attitudes et manies qui nous insupportent ne parviennent à franchir la barrière de verre qui le sépare de nous. Le con est devenu inoffensif, impuissant. Le bocal peut ensuite être placé sur une étagère décorative, au fond d’un placard ou encore planqué à la cave. Selon la nature de notre relation au con en question et la solution qui nous convient le mieux, nous pouvons choisir de ranger notre con à la place qui lui revient. Le laboratoire à con Bien entendu, cette solution a une efficacité ponctuelle, qui permet de prendre un peu de distance émotionnelle, chaque fois que notre abruti manifeste sa connerie avec un zèle un poil au dessus de la ligne de partage des eaux. L’avantage de le garder dans un bocal, c’est que nous pouvons décider, à tout moment de le descendre de son étagère et de pratiquer des tests relationnels avec une rigueur toute scientifique. Et puis c’est mieux que d’espérer que, parce qu’on l’a mis à mariner dans du sirop de sucre, l’abruti va s’adoucir et devenir bonne pâte. L’observation. Si nous prenons le bocal et que nous observons son contenu avec un regard curieux, débarrassé de la charge émotive que le con-tact direct avec l’abruti suscite, nous pouvons alors mieux comprendre le message que cette émotion nous renvoie, ce que le comportement du con nous renvoie, ce qu’il nous dit sur nous-mêmes qui nous perturbe au point de le con-sidérer comme un abruti. Nous pouvons alors remercier ce con qu nage dans son bocal, qui nous indique le manque à combler, la direction à prendre, la piste à explorer pour ne plus être affectés par ce type d’attitude à la con. Ce remerciement aura à l’avenir l’avantage de nous aider à développer de l’indulgence vis-à-vis de ce pauvre con, et facilitera le retour à des relations acceptables. Les tests relationnels Nous pouvons donc transformer une simple collection plus ou moins achalandée de bocaux à cons en laboratoire relationnel, pour effectuer tout un tas de tests, à mesure que le temps passe, que nous développons des compétences relationnelles, que nous apprenons à sortir de triangle, que nous comprenons davantage nos émotions et les messages qu’elles nous transmettent, que notre estime de nous-mêmes se renforce etc. Nous avons alors un réel potentiel d’amélioration de la relation avec tel con, n’avoir plus peur du regard de tel autre etc. Il s’agit alors de sortir le con de son bocal et de tester dessus nos nouvelles compétences relationnelles, à l’aide de la triplette opérationnelle du coaching: évaluation de la situation / décision sur la marche à suivre et les solutions / mise en action et retour à la case départ: évaluation des résultats / ajustement des stratégies et solutions / mise en action. Ce type d’expérimentation a un double avantage : il permet d’agir pour améliorer la relation sans attendre que par miracle l’autre cesse d’être un con et en même temps d’évaluer où nous en sommes dans notre maîtrise d’une compétence relationnelle particulière. Le double effet Kiss Cool du bocal à con. Qui dit mieux? Une fois le test effectué et l’évaluation faite, nous avons deux choix possibles : selon le degré de satisfaction du résultat obtenu, nous pouvons remettre le con dans son bocal et le laisser mariner encore quelques temps, ou au contraire estimer qu’il est temps de le sortir de son bocal car la relation peut à présent évoluer dans un sens acceptable pour les deux parties (petit rappel : il ne s’agit pas de reprendre le dessus sur le con, mais bien de développer des relations saines, d’égal à égal et dénuées de jeu de pouvoir. Toute autre utilisation fait de vous un manipulateur et/ou un persécuteur qui risque de vous mener tout droit dans le bocal à con d’un de vos contemporains). Bref, le bocal à con est une solution métaphorique multifacette absolument géniale, qui permet de prendre un peu de recul émotionnel face aux comportements que nous considérons comme aberrants, insupportables, inadmissibles, pour ensuite aller plus facilement vers une relation saine. Il a le mérite d’être inoffensif et de nous éviter de réagir nous-mêmes en abruti face à nos abrutis personnels. Vous pouvez bien entendu adapter cette technique à l’envi pour qu’elle soit conforme à une imagerie qui vous parle et ait ainsi une efficacité optimale.
  16. salam, dans le même scénario, la team concurrente Moresat qui était sur place avant l'arrivée de l'Atlas, et qui dominait le marché avec son dongle Morebox, cette team vient de lancer un soft sur des démo "Echolink" qui décrypte les C+ et Beinsport avec un serveur "Micam"(avant c'était avec des démo Samsat →business oblige...) c'est peut être le moment de l’alternance qui débute...
  17. salam, ça veut dire que le F200 était plus qu'une correction du F100 contre le bug P100???
  18. salam, et ça c'est la version française provenant du même site une heure après et ça, c'est pour rassurer leur clients "Malheureusement, il n'y a aucune garantie dans le piratage"
  19. salam, une info datant d'aujourd'hui 17h49' contenu du message: " la team a décidé de passager du boot F100 au boot F200, Ceux qui ont le F100 rejoignent le dealer agrée le plus proche pour passer gratuitement au boot F200. La team est décidée de continuer à supporter son démo et d'affronter tout les obstacles. Nous nous excusons au-près de nos clients car tout se qui se passe et qui vient de se passer n'était pas prévu" fin de citation
  20. salam, d'autres posts similaires sont ouverts dans cette sections
  21. salam, en attendant une éventuelle manipulation pour passer du D en F et pour éviter de se répéter, le post est clos
  22. salam, si ça sert à rien, ça sert à rien non plus de continuer sur ce sujet à fermer et merci pour le post
  23. salam, pour le bricolage sur les boots, continuez ici /forum/603-atlas-hd200-discussions-boots-d-f/
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