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nourelfi

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Tout ce qui a été posté par nourelfi

  1. Disponible depuis quelques jours, Who Deleted Me on Facebook est une application qui permet de savoir quel « ami » vous a supprimé de sa liste de contacts sur le réseau social Facebook. Bonne nouvelle, elle est aussi disponible sur Android. La plupart des médias tech et généralistes ont relayé ces derniers jours la sortie de l’application Who Deleted Me, ce service qui permet de savoir qui vous a supprimé de sa liste d’amis sur le réseau social Facebook. En réalité, Who Deleted Me n’est pas à son premier coup d’essai. L’année dernière, le développeur avait déjà sorti son application. Mais Facebook avait rapidement fait retomber le soufflé en modifiant en avril l’API utilisée par Who Deleted Me. L’application ne pouvait donc plus fonctionner, le réseau social ayant mis en place de nouvelles restrictions empêchant l’application d’avoir les informations nécessaires. Le développeur a travaillé sur une nouvelle version de son application et a réussi à faire fonctionner son service avec la nouvelle politique de Facebook. Pour profiter de Who Deleted Me, il est maintenant nécessaire d’utiliser une extension sur votre navigateur, ou une application disponible sur iOS comme sur Android. L’extension est disponible sur les navigateurs web suivants : Chrome, Firefox et Opera. Pour télécharger l’extension ou l’application, rendez-vous sur le site Internet et installez l’extension. Sur le Play Store l’application se nomme » Who Deleted Me on Facebook ». Une fois l’application lancée, il sera nécessaire de vous connecter à votre compte Facebook. Une fois connecté, il est possible de voir vos nouveaux amis et les personnes vous ayant supprimé depuis que vous avez mis en place Who Deleted Me. Le service n’est malheureusement pas rétroactif, ce qui ne lui confère un intérêt que pour ceux qui l’utiliseront régulièrement à l’avenir. Sur la version desktop, il est nécessaire de se rendre sur le site Internet de Who Deleted Me pour avoir accès au Saint-Graal. Le service fonctionne plutôt bien, mais il souffre de sa popularité et le serveur est régulièrement indisponible. N’hésitez pas à réessayer plusieurs fois dans la journée si cela ne fonctionne la première fois. Du moins si vous avez confiance en l’application, que vous autorisez à scanner tous vos contacts librement.
  2. Devenus de véritables mini-ordinateurs portables, les téléphones mobiles que l’on transporte tous les jours possèdent deux caractéristiques : ils coûtent cher et ils transportent une bonne partie de notre vie privée ou professionnelle sous forme de données. Ces deux caractéristiques sont d’ailleurs les deux choses auxquelles une victime de vol pense lorsque son précieux appareil vient d’être volé. Et sur Android, il faut bien reconnaître le système de protection des données à distance est loin d’être parfait ou, à défaut, d’être réellement clair. Comme il vaut mieux prévenir que guérir et qu’une partie de la rédaction s’est récemment fait voler son smartphone, voici un petit guide des différentes choses à ne pas oublier de faire pour mieux protéger son téléphone et ses données en cas de vol. Le scénario est classique. Vous vous apprêtiez à monter dans ce bus/métro/tram avec votre casque sur les oreilles et un vil faquin (pour rester poli) vous a volé votre téléphone au moment où les portes se refermaient. Comme d’habitude dans ce cas-là, vous ne pouvez pas faire grand-chose si ce n’est constater que vous avez perdu un appareil qui vous coûté plusieurs centaines d’euros, que vos données sont en danger, que votre facture téléphonique risque de prendre du poids et surtout que le monde est désormais d’une injustice folle. Une fois que la colère est retombée, il est temps de se poser la question : ai-je bien protégé mon téléphone ? Dans une bonne partie des cas, la réponse est non, et c’est rarement la faute de l’utilisateur. Explications. La protection de base d’Android : le Gestionnaire d’appareils Android Propriétaires d’appareils Android, connaissez-vous le Gestionnaire d’appareils Android qui se trouve dans les paramètres Google du téléphone ? À moins de parfaitement connaître Android (ou de vous être déjà fait voler un téléphone), il y a peu de chances que la réponse soit affirmative. Le menu des paramètres Google est souvent bien caché. Dans le cas du Galaxy S6, par exemple, il se trouve tout au fond du dossier Google qui comprend la plupart des Google Apps, lui-même caché dans le tiroir applications. Dans le cas du OnePlus One et des autres smartphones Android, il se trouve simplement dans le tiroir d’applications sous l’appellation « Paramètres G… ». Ce qui le rend au passage peu distinguable des paramètres classiques. Ce menu discret permet de configurer son compte Google. Surtout, dans le cas qui nous intéresse, il permet d’activer les deux principales options de sécurité liées à Android, à savoir la localisation de l’appareil à distance et l’autorisation de verrouillage et de suppression de l’appareil à distance. Ce sont ces deux options qui permettent de savoir où se trouve son téléphone et de réaliser une réinitialisation du téléphone à distance. Surtout, il faut savoir que ces deux paramètres sont désactivés par défaut. Les deux options à cocher (image centrale) se trouvent dans le menu sécurité des Paramètres Google. Ils sont décochés par défaut. En fait, et c’est bien problème de la protection à distance des smartphones Android actuellement, Google ne donne pratiquement aucune indication à propos de ces deux paramètres. Pour comprendre comment ils fonctionnent réellement, nous les avons donc testés sur le Galaxy S6 de la rédaction. La première chose à savoir, c’est qu’une fois l’un de ces deux paramètres activés sur un téléphone, ils seront ensuite automatiquement activés sur tous les prochains autres appareils Android qui sont liés au compte Google qui les a validés, à condition, bien sûr, que ces appareils disposent à un moment ou un autre d’une connexion Internet. Ce qu’il faut retenir, c’est que si vous désirez pouvoir réinitialiser votre téléphone à distance, il faut au moins cocher la case d’autorisation de verrouillage et de suppression de l’appareil à distance. Revenons un instant à notre histoire de vol de smartphones. Le premier réflexe à avoir lorsque l’on se fait voler un smartphone est de se rendre sur la page de gestionnaire d’appareils Android. Ce gestionnaire est consultable en ligne sur un navigateur web, à cette adresse, ou sous forme d’application. C’est sur cette page que l’on peut interagir avec son téléphone Android à distance. Dans le cas où toutes les deux options de sécurité du compte Google ont été activées, l’interface permet de choisir un appareil, de le localiser et éventuellement de le faire sonner, de le bloquer ou de le réinitialiser à distance. Ces options ne sont toutefois possibles que lorsque le téléphone dispose d’une connexion à Internet, qu’elle soit en 3G ou en WiFi. L’interface de gestion des appareils Android à distance permet de faire sonner, de verrouiller ou d’efface à distance son appareil. Bloquer ou réinitialiser son appareil à distance Comment réagissent ces options lorsque l’utilisateur les active ? C’est très simple, après avoir cliqué sur l’une des trois options, le téléphone fait ce qu’on lui demande sans le moindre délai. Cliquer sur sonner fait sonner le téléphone « à plein volume et pendant 5 minutes ». Il est possible de l’arrêter en appuyant sur le bouton de mise en marche. En activant le verrouillage à distance du téléphone, une interface permet de mettre en place un écran de verrouillage sur le téléphone concerné. Cet écran de verrouillage demande alors un mot de passe et peut afficher un message et un numéro de téléphone à contacter. La dernière option est la plus radicale, puisqu’une fois validée avec le gros bouton rouge de confirmation, le téléphone effectue une réinitialisation complète. Rappelons-le encore une fois, ces options ne s’activent que si le téléphone dispose d’une connexion à Internet et que le compte Google de l’utilisateur n’a pas été supprimé du téléphone. Une simple réinitialisation du téléphone rend caduques toutes ces manipulations. L’interface permet de bloquer son smartphone à distance en entrant un mot de passe. Et voici ce qui apparaît alors sur le téléphone. Et dans le cas où les options de sécurité n’ont pas été cochées ? Dans ce cas-là, l’interface web du gestionnaire d’appareils Android propose à l’utilisateur d’activer le verrouillage et l’effacement des données à distance du téléphone. Si le téléphone est connecté à Internet, il cochera alors automatiquement l’option du compte Google sur le téléphone. Une option qui s’activera alors discrètement sur le téléphone, sans aucune notification ou message. Une fois fait, l’utilisateur pourra ensuite bloquer ou effacer son téléphone à distance. Dans le cas où les deux options de blocages et d’effacement du téléphone n’apparaissent pas, c’est que le téléphone est soit hors-ligne, soit que le compte Google a été effacé, soit que le téléphone a déjà été réinitialisé. Dans tous les cas, une partie de vos données, celles liées à vos comptes Google, sont en sécurité. Quand les options des paramètres Google n’ont pas été activées, le gestionnaire d’appareil propose de les activer à distance. Si tout se passe bien, vos données sont protégées. Doit-on se montrer satisfait pour autant ? Non. Contrairement aux iPhone, les smartphones Android peuvent être réinitialisés par n’importe qui sans aucune restriction puis être réutilisés en quelques minutes par un nouveau propriétaire. Aujourd’hui dans 99 % des cas, réinitialiser un smartphone Android permet de se l’approprier en installant n’importe quel autre compte Google, sans que le téléphone se soucie de ses anciens propriétaires. Google a énormément de progrès à réaliser sur ce point, surtout comparé à la concurrence. À titre de comparaison, un iPhone volé et bloqué est tout simplement inutilisable sans les identifiants Apple puisqu’il ne peut pas être réinitialisé. Ce qui a d’ailleurs énormément fait baisser le nombre de vols à la tire d’iPhone dans le monde. Android Lollipop : de timides améliorations pour mieux protéger son smartphone Android Lollipop en version 5.1 a modifié le comportement d’Android de façon discrète, mais importante. Comme indiqué sur cette page, aux explications malheureusement très floues, il n’est théoriquement plus possible de pouvoir réinitialiser un smartphone Android afin d’installer un autre compte Google et pouvoir l’utiliser comme un téléphone neuf. Google explique ainsi que si le smartphone volé a été réinitialisé depuis le Recovery Mode, il est impossible d’installer un compte Google différent du compte Google datant d’avant la réinitialisation. Google ajoute « Si vous n’êtes pas en mesure de fournir ces informations [du compte Google précédemment installé] au cours du processus de configuration, vous ne pourrez pas utiliser l’appareil après le rétablissement de sa configuration d’usine. » Pour cela, il faut toutefois répondre à deux contraintes de taille. D’abord, que son appareil soit préinstallé sur Android 5.0 (Lollipop) ou une version ultérieure. Ensuite qu’il soit actuellement installé sur Android 5.1 ou une version ultérieure. Concrètement cela concerne au moins les Nexus 6 et Nexus 9. Nous avons testé cette protection sur un Galaxy S6, qui répond aussi à ces critères, mais nous avons quand même réussi à installer un nouveau compte Google sur l’appareil après une réinitialisation sauvage. Difficile de faire totalement confiance à ce système en l’état. Les services et applications tiers : plus complet, mais limités par Android Pour bien sécuriser son smartphone, il n’y a finalement que deux solutions vraiment valables. La première consiste à se tourner vers les services de sécurité du constructeur intégrés au smartphone, quand il en propose. Ceux intégrés aux derniers appareils de Samsung, par exemple, sont suffisants. Ils permettent de bloquer le smartphone à distance, mais aussi et surtout de lier son smartphone à un compte Samsung pour protéger le smartphone de la réinitialisation logicielle sans entrer le mot de passe du compte. Une protection qui ne protège malheureusement pas d’une réinitialisation via le recovery mode. Mais on se demande tout de même pourquoi Google n’intègre pas une protection similaire à la version de base d’Android. Find my Mobile pour les appareils Samsung est uniquement en anglais. Mais les services proposés sont bien plus complets que sur les services de base d’Android. La deuxième solution consiste à installer une application tierce de protection et de traçage du smartphone. Nous avions réalisé un dossier sur le sujet il y a maintenant trois ans et s’il était à refaire, nous n’y toucherions pratiquement pas. Si l’on ne devait vous en conseiller qu’une, ce serait Cerberus antivol, qui est à la fois archi-complète (prises de photos diverses et variées, capture d’écran, envoi de l’historique des appels et des SMS à distance, formatage à distance, enregistrement audio, etc.) et qui a surtout le mérite de proposer une option pour les smartphones rootés pour que l’application ne se désinstalle jamais, même en cas de réinitialisation. Le téléchargement de l’application est gratuit et permet de la tester gratuitement pendant une semaine. Une fois le délai passé, il est nécessaire de payer 4,99 euros pour l’utiliser à vie (aucun abonnement mensuel ni annuel). Une application particulièrement utile, mais fatalement limitée par les modalités de réinitialisation d’Android. L’interface web de Cerberus. La liste des actions à distance est on ne peut plus complète. L’application Cerberus une fois installée sur un smartphone. Cerberus antivol LSDroid Gratuit Quelques derniers conseils pour finir N’oubliez pas qu’en cas de vol de téléphone, il est nécessaire d’aller déposer une plainte dans un commissariat. Cette plainte, qu’il faut ensuite envoyer à son opérateur, permettra de se faire rembourser les éventuels frais de hors forfait engendrés par le voleur et de se faire rembourser sa carte SIM. Notez que pour déposer cette plainte, il est nécessaire de se munir du numéro IMEI du téléphone, que l’on trouve sur la boîte de l’appareil (que vous n’avez naturellement jamais jetée parce que vous êtes du genre prudent) ou tapant dans le code suivant dans le dialer du téléphone : *#06#. Ce numéro IMEI, une fois transmis à l’opérateur, lui permettra de bloquer le smartphone en France : l’appareil sera incapable de lire une carte SIM française ou de passer des appels en France… Mais pas à l’étranger. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’une grande majorité des smartphones volés en France se retrouve à l’étranger. Dernier conseils, si vous avez le moindre doute quant à vos données, changez vos principaux mots de passe. Le plus long dans cette triste histoire est certainement de se remettre de la perte de son appareil.
  3. Alors qu’Android M commence à se profiler, certains se demandent encore si leur téléphone de prédilection aura droit à Lollipop. En ce qui concerne les Galaxy S3 et Galaxy Note 2, Samsung UK s’est montré très clair. Las d’attendre une mise à jour qui tarde à se montrer, un utilisateur a harangué Samsung Mobile UK sur Twitter ce week-end afin d’avoir enfin le cœur net concernant le futur de ses deux smartphones. La réponse aura été aussi rapide que douloureuse, puisque le community manager de la firme sud-coréenne s’est empressé de confirmer que le Galaxy S3 et le Galaxy Note 2 ne recevront jamais Lollipop (Android 5.0) chez nos voisins anglais. Une triste nouvelle pour bon nombre d’usagers qui resteront donc coincés sur KitKat (Android 4.4), dernière version déployée sur les deux appareils. Tout le monde n’est pourtant pas logé à la même enseigne. En effet, la filiale danoise de Samsung a précisé en mai dernier que le Galaxy Note 2 recevrait sa mise à jour vers Lollipop, sans pour autant préciser de date. Chaque pays applique donc sa propre politique sur le sujet, ce qui laisse un énorme point d’interrogation quant au déploiement des futures mises à jour de ces deux smartphones en France. Pour les amateurs de sucettes, deux solutions restent toujours accessibles quoi qu’il arrive : changer de smartphone pour un modèle plus récent, qui sera en toute logique tenu à jour plus longtemps, ou mettre les mains dans le cambouis pour s’essayer au flash d’une ROM alternative, avec les risques que cela peut présenter.
  4. Aujourd’hui, les câbles sont partout, encombrant bureaux et tables de chevet. Et pourtant, l’induction permet de charger des mobiles en les posant simplement sur un support adapté. Votre smartphone est compatible nativement, ou vous l’avez habillé d’une coque l’autorisant à profiter se la charge sans fil ? Voici une sélection des meilleurs chargeurs sans fil pour smartphone. La norme micro-USB obligatoire chez les smartphones permet d’éviter la prolifération de câbles différents – sauf chez les utilisateurs d’iPhone -, mais la charge par induction est de plus en plus répandue chez les terminaux haut de gamme. La plupart d’entre eux s’appuient sur la norme Qi, que l’on retrouve chez le Galaxy S6 de Samsung notamment, dont nous avons testé l’efficacité en termes de rechargement sans fil, ou encore sur le PMA, joint au Qi chez le LG G4 (sous réserve qu’il soit équipé d’une coque spécifique cependant). Au total, il n’existe désormais plus que deux des deux normes pré-citées, la troisième ayant fusionné avec PMA en début d’année. Vérifiez donc bien quelle norme est supportée par votre téléphone avant de vous lancer dans un quelconque achat ! Gardez également à l’esprit que malgré l’amélioration de ces technologies sans fil, la charge sera un peu moins rapide qu’avec un câble standard : ce type d’accessoires ne doit donc pas être utilisé en cas d’urgence. L'Ikea Nordmärke Commençons notre sélection par un chargeur de la marque Ikea. La firme suédoise propose depuis quelques mois du mobilier capable de recharger directement votre smartphone, et a aussi sorti son chargeur sans fil indépendant. Le Nordmärke est réalisé en bois de bouleau, avec un design minimaliste comme le géant du meuble en kit en a le secret. Le chargeur est compatible avec la norme Qi. Ses dimensions sont de l’ordre de 2cm de hauteur, pour 13 centimètres de largeur et un poids de 500 grammes. Il est vendu 35 euros sur le site de la marque et en magasin. Notez que Ikea propose aussi des chargeurs sans fil permettant de recharger 3 appareils en même temps. Côté mobilier, Ikea propose également des tables de chevet, lampes de bureau et lampes de chevet intégrant une station de charge. Comptez entre 65 et 109 euros pour vous en équiper. Aukey Luna Le Luna, de la marque chinoise Aukey, se présente comme un objet extrêmement design : sa forme parabolique ne passera pas inaperçue. Le téléphone se pose sur le chargeur grâce à un pied inclinable, et la marque annonce une charge un peu plus rapide que les autres chargeurs Qi, puisqu’elle a intégré 3 bobines de recharge à induction. Cette innovation promet une recharge de 10 à 15 % plus rapide qu’avec les chargeurs Qi traditionnels. L’objet est disponible en deux coloris noir et or, au prix de 40,99 euros sur Amazon. Petit plus, Aukey a développé une application qui permet d’afficher l’heure ou des photos durant la recharge de votre smartphone. Elle est disponible sur Android et iOS. Luna Aukey Mobile Gratuit RavPower Le chargeur sans fil réalisé par la marque RavPower ne va pas gagner le prix du design, mais son prix permet d’adoucir le manque d’esthétisme du produit. En effet, le chargeur ne propose pas un form-factor très recherché. Il s’agit juste d’un bloc noir avec des dimensions de 170 x 62 mm pour une épaisseur de 1 cm. Seule fioriture, sur la face avant, un patch bienvenu permet d’éviter au téléphone de glisser de la base. Le chargeur délivre une puissance de 5V/1A, comme tous les chargeurs avec la norme Qi. Proposé à petit prix, il est disponible pour 19,99 euros sur Amazon. RavPower propose également une batterie externe de 5000 mAh pour un poids de 163 grammes compatible avec la norme Qi en plus de son chargeur. Il faudra débourser 29,99 euros supplémentaires pour l’acquérir. Nokia Fatboy Ce quatrième chargeur est un peu ancien, mais son design n’a pas franchement vieilli. Le chargeur sans fil compatible Qi de Nokia, conçu en partenariat avec Fatboy, se glisse juste dans une housse réalisée par le fabricant de coussins géants. Au rayon de l’encombrement, le chargeur mesure 19 cm de long et 14 cm de large avec une épaisseur de 3 centimètres. La longueur du fil reliant le chargeur au secteur atteint 1,80 mètre. Un bon point, puisque les câbles longs se font plutôt rares sur les chargeurs. Le Fatboy est disponible en plusieurs coloris : noir, rouge, jaune, bleu ciel et blanc. Il est disponible à un prix oscillant en 56 et 63 euros en fonction de la couleur choisie sur Amazon, mais sa version noire est actuellement en promotion à 29,99 euros. Le chargeur par induction Samsung Notre cinquième et dernier choix s’est porté sur le chargeur lancé un peu plus tôt dans l’année par Samsung, dont nous avons testé l’efficacité dans un article dédié. Le chargeur est compatible avec la norme Qi, supportée par les Galaxy S6/S6 edge du Coréen. Son allure minimaliste et sa petite taille lui confèrent une certaine discrétion, de même que ses coloris neutres (noir ou blanc). Bon point pour lui, il dispose d’un indicateur de charge qui passe au bleu lorsque le téléphone est en cours de chargement, puis vire au vert lorsque la charge est complète. Il est disponible au prix de 49,99 euros chez Amazon ou sur le site de Samsung. Les plus fous pourront aller jusqu’à choisir sa déclinaison Avengers, reprenant les couleurs du bouclier de Captain America, moyennant un peu plus de 60 euros. Cette liste ne prétend pas être exhaustive, il existe beaucoup de modèles de marques plus ou moins reconnues. N’hésitez pas à nous faire part de vos choix en commentaires !
  5. Il y a quelques semaines, Sony a présenté le successeur du Sony Xperia Z3, nommé Xperia Z4 en Asie. Et puis la firme nippone a renommé le produit en Xperia Z3+ en Europe et s’est décidé à l’y commercialiser. Nous voici donc avec un nouveau flagship de la marque sur le marché, qui n’apporte que peu de nouveautés. La stratégie marketing de la firme est bien étrange, et on s’attend toujours à voir débarquer prochainement un Xperia Z4 (ou Z5) qui marquera une vraie évolution. Mais en attendant, voyons ce que vaut ce Sony Xperia Z3+. Mise à jour 25/06 à 14h00 : nous avons édité la partie vidéo et son du test, et proposerons un comparatif photo par la suite pour observer l’évolution logicielle du traitement des clichés. Sony Xperia Z3+ 7 Lire le test Acheter à 699€ fiche produit Fiche technique Les changements sont donc assez minimes entre le Sony Xperia Z3+ et son prédécesseur, le Sony Xperia Z3. On garde un écran tout à fait semblable alors qu’on s’attendait à voir arriver un affichage QHD, caractéristique présente chez les autres constructeurs, et même chez HTC avec son One M9+. Au lieu de cela, on conserve un écran de 5,2 pouces à l’affichage Full HD et toujours équipé de la technologie Triluminos chère à Sony. Le changement majeur intervient sur le processeur puisque Sony a ici opté pour un Snapdragon 810 quand le Sony Xperia Z3 s’équipait d’un Snapdragon 801. Ce SoC se compose de quatre cœurs Cortex-A53 et quatre autres Cortex-A57, et est couplé à un GPU Adreno 430. La mémoire vive reste semblable avec 3 Go au compteur (mais passe de la LPDDR3 à la LPDDR4), et la mémoire interne est par contre doublée, le mobile étant proposé dans des versions 32 et 64 Go. Le capteur photographique principal affiche ici aussi 20,7 mégapixels, tandis que le capteur frontal passe de 2,2 à 5,1 mégapixels. La capacité de la batterie a légèrement été revue à la baisse, passant de 3100 mAh à 2930 mAh. Les dimensions du produit ont également un peu évolué, et le Z3+ mesure 146 x 72 x 6,9 mm quand son aîné affiche juste 0,4 mm de plus en épaisseur. Le poids évolue aussi légèrement, avec un Z3+ qui pèse 144 grammes alors que le Z3 en fait 152. Modèle Sony Xperia Z3+ Version Android 5.0 Lollipop Taille d'écran 5,2 pouces Technologie d'écran Triluminos X-Reality Définition 1080 x 1920 pixels Résolution ~ 424 ppp SoC Snapdragon 810 Nombre de coeurs 4 x Cortex-A53 4 x Cortex-A57 GPU Adreno 430 Mémoire vive 3 Go Mémoire interne 32/64 Go Micro SD Oui, jusqu'à 128 Go Appareil photo (dorsal) 20,7 mégapixels Appareil photo (frontal) 5,1 mégapixels Wi-Fi 802.11 a/b/g/n/ac Bluetooth 4.1, A2DP, apt-X NFC Oui FM Oui, avec RDS Réseaux LTE cat.6 BF 800 / 1800 / 2600 SIM 1 x nano SIM Localisation A-GPS, GLONASS USB microUSB v2.0 (MHL 3 TV-out) Batterie 2930 mAh Dimensions 146 x 72 x 6,9 mm Poids 144 grammes Couleurs Blanc, Noir, Vert d'eau, Cuivre Prix 699 euros Ce qui ne change pas Avant d’entrer dans le vif du sujet, précisons que ce test est moins exhaustif qu’habituellement puisque Sony a repris de nombreux composants du Z3 et la partie logicielle est identique. Ainsi, notre avis sur la partie Ecran, Logiciel et Appareil photo (sauf pour la partie selfie) est le même que lors du test du Sony Xperia Z3 publié en fin d’année dernière. Vous pouvez donc consulter le test complet du Z3 pour avoir plus d’informations sur ces trois parties. Design Si vous avez déjà vu ou pris un smartphone de la gamme Xperia Z de Sony entre vos mains, vous ne risquez pas d’être surpris avec ce Xperia Z3. Comme toujours, Sony utilise le même form-factor avec des coins arrondis recouverts de matériaux de couleur légèrement différente de celle des tranches. Le format est d’ailleurs le même avec un écran de 5,2 pouces, une largeur et une hauteur similaire, mais on perd légèrement en épaisseur (0,4 mm) sur ce modèle. Mais, Sony fait un pas de plus vers le premium. Non pas qu’il ne l’était pas avant, avec des smartphones de très bonne facture, dotés de belles surfaces vitrées, mais il intègre cette fois des tranches métalliques grises du plus bel effet. Je trouve d’ailleurs ce modèle nettement plus séduisant que ne l’était le Z3, et c’est en partie grâce à ce contour qui fait réellement ressortir le métal, quand il fallait toucher la tranche du Z3 pour comprendre qu’il s’agissait d’aluminium. Les boutons d’allumage y sont toujours aussi bien intégrés, et le cache étanche pour la carte SIM ne souffre d’aucun défaut – et ça change après avoir testé le Kazam 455L. D’ailleurs, cette tranche est plus épurée puisqu’on n’y trouve pas le port magnétique qu’il y avait sur son prédécesseur. Sony a été malin et nous a livré le modèle couleur vert d’eau qui pèse énormément dans mon jugement du design de ce mobile. La couleur est franchement superbe, et finalement assez sobre. D’ailleurs, le modèle couleur Cuivre nous fait également saliver, tandis que les plus classiques (blanc et noir) sont moins emballantes. Bref, comme toujours, ce Xperia Z3+ s’équipe d’un capteur placé en son coin supérieur gauche (quand on regarde la face arrière), d’un logo Sony en son centre, et de la marque Xperia en bas. La face avant ne change pas d’un iota non plus, avec deux haut-parleurs stéréo discrètement intégrés à chaque extrémité. On trouve un logo Sony sur la bordure supérieure, ainsi qu’un capteur frontal, et différents capteurs de luminosité ou de proximité. Sur la bordure inférieure, c’est bien simple : il n’y a rien. Dans l’ensemble, ce smartphone est d’une qualité tout à fait digne de son rang, avec aucun défaut visible si ce n’est une capacité hors norme à prendre les traces de doigts, mais c’est fréquent avec le verre. Comme Sony n’apporte pas de nouveautés vis-à-vis de l’écran, sachez simplement que celui-ci a une luminosité maximale de 590 cd/m2 et qu’il est facilement lisible au soleil. Encore une fois, la qualité est au rendez-vous et le Z3+ laisse franchement une belle impression. Mais ça, c’était avant le drame. Voir toutes les galeries Performances Quand on a vu que Sony avait choisi un processeur Snapdragon 810 pour propulser son smartphone, on a tout de suite craint qu’il ne s’agisse d’une erreur. Rapidement, des retours de testeurs sur une chauffe trop importante du smartphone ont émergé, et Sony s’est même fendu d’un communiqué expliquant qu’en cas de chauffe, l’idéal était encore de laisser reposer son mobile en l’éteignant quelques minutes. Alors on a évidemment attaqué la partie performances de ce test pour vérifier le comportement du SoC. Sony Xperia Z3+ HTC One M9 Sony Xperia Z3 Samsung Galaxy S6 SoC Snapdragon 810 Snapdragon 810 Snapdragon 801 Exynos 7420 AnTuTu v5 50 534 55 000 43 500 61 150 PC Mark 4 605 4 224 ND 5 000 3DMark Ice Storm Unlimited General 22 729 22 148 17 841 22 265 3DMark Ice Storm Unlimited Graphics 35 968 33 892 13 364 23 630 3DMark Ice Storm Unlimited Physics 9 933 10 009 19 756 18 521 GFXBench (Manhattan offscreen / onscreen) 20 / 22 FPS 24 / 23 FPS 11,8 / 12,7 FPS 19,1 / 47,1 FPS GFXBench (T-Rex offscreen / onscreen) 46 / 43 FPS 46 / 49 FPS 27,4 / 29,4 FPS 7,6 / 23,3 FPS GFXBench Manhattan 3.1 (onscreen / offscreen) 18 / 16 FPS 17 / 17 FPS ND 6 / 12 FPS Real Racing 3 (GameBench) 24 FPS 28 FPS (normal) 33 FPS (HP) 38 FPS 41 FPS Lecture / écriture séquentielle 250 / 96 Mo/s 236 / 121 Mo/s ND 318 / 143 Mo/s Lecture / écriture aléatoire 4 939 / 3 623 IOPS 5 207 / 3466 IOPS ND 20 023 / 5 146 IOPS Et il y a beaucoup à dire. On constate avec le tableau comparatif ci-dessus que le Sony Xperia Z3+ fait moins bien que la concurrence, et surtout moins bien que le HTC One M9 dont on fustigeait la tenue dans ce genre d’exercice récemment. Tous les résultats, ou presque, sont en dessous de son concurrent, alors même qu’ils ont des caractéristiques tout à fait similaires. Mais les résultats de benchmarks ne sont rien sans une expérience de jeu plus intense, alors on a évidemment testé l’appareil sur Real Racing 3 pendant 15 minutes en mode XtraHigh, et mesuré les résultats avec GameBench. Et on obtient un pâle résultat de 24 FPS, alors que le HTC One M9 atteint 28 FPS en mode normal et 33 FPS en mode performance. Pendant le test, on n’observait ni lags particuliers ni freezes, mais on avait bien la sensation que le tout n’était pas très rapide et fluide. Et quand on observe les graphiques de résultats, on comprend mieux pourquoi. Au bout de 55 secondes de jeu déjà, la cadence de l’ensemble des Cortex-A53 se fixe à 1,3 GHz au lieu des 1,6 GHz de départ, tandis que les Cortex-A57 partent en vacances (1 coeur à 0,8 GHz et 3 à 0,4 GHz alors qu’ils peuvent monter à 2 GHz). Les Cortex-A57 ne remonteront jamais en cadence, et les Cortex-A53 stagneront à 1 GHz à partir de 5 minutes de jeu, et jusqu’à la fin du test. Tout cela en n’étant que très peu stables. Les Cortex-A53 dont la cadence baisse progressivement Les Cortex-A57 qui s’effondrent rapidement Quant au GPU, il tire sa révérence au bout au bout de 25 secondes, ne voulant visiblement pas participer à l’effort de guerre, et baissant sa fréquence de 600 à 305 MHz. Il plie d’ailleurs définitivement les gaules à partir d’à peine une minute, en même temps que ses compères les Cortex-A57. On n’aperçoit que de rares signes de vie le long du graphique, ressemblant d’ailleurs plus à des réflexes nerveux. GPU, où es-tu ? Pour ceux que les MHz et histoires de Cortex rebutent, comprenez simplement que le mobile n’utilise vraiment pas la pleine puissance du processeur, voire pas du tout. Et pour l’explication : Sony a tellement bridé le SoC pour pallier aux problèmes de chauffe que les performances en sont totalement altérées. À ce niveau-là, c’est même dramatique, et cela confirme la mauvaise réputation du Snapdragon 810. Si vous êtes sensibles aux performances, autant partir sur un Xperia Z3. Appareil photo Capteur frontal Un autre changement à noter entre le Z3 et le Z3+, c’est le capteur frontal qui passe de 2,2 à 5,1 mégapixels. On obtient donc des clichés, ou plutôt des selfies, bien plus détaillés que précédemment. Même la luminosité est mieux gérée, et tant mieux. Même les couleurs sont plus vives avec ce nouveau capteur. Avec Xperia Z3 Avec Xperia Z3+ Vidéo 4K Certains de nos confrères ont noté que l’application appareil photo se fermait immédiatement lors du tournage de vidéos en 4K, justement à cause des problèmes de chauffe. La chose ne nous était pas arrivée, mais nous avons voulu vérifier tout de même en laissant tourner la vidéo pendant un certain temps, histoire de voir si l’on subit le même désagrément. Après 6 minutes On confirme effectivement que l’application se coupe, mais plutôt au bout de plusieurs minutes. Notre essai nous a permis de tenir un peu plus de 9 minutes en 4K, bien loin de ce que relèvent certains de nos confrères. Pour information, nous filmions dans un environnement intérieur, avec une température ambiante d’environ 23 degrés Celsius, et en ayant pris le mobile à froid. Après 9 minutes Des messages d’alerte s’affichent à l’écran au fur et à mesure que les minutes s’écoulent, afin de nous avertir de la fermeture prochaine de l’application. Sony indique toutefois que la vidéo sera enregistrée automatiquement si l’application venait à se couper. C’est tout de même très inquiétant de devoir se fier à la température du mobile pour savoir si on peut encore faire quelques usages multimédias ou non. Audio Nous avons également comparé les haut-parleurs des Sony Xperia Z3 et Sony Xperia Z3+, et il n’y a pas photo entre les deux. Le Z3 possède une seule sortie audio, en haut du mobile, tandis que le Z3+ est muni de deux haut-parleurs stéréo. Le son est ainsi plus spatialisé, plus englobant. Le volume est également plus élevé, et on entend la différence de qualité très facilement. C’est du très bon. Mais en deçà de ce que propose un HTC One M9 avec ses haut-parleurs stéréo BoomSound. Autonomie En effectuant les tests de performance, on s’est un peu inquiété vis-à-vis de l’autonomie. Il faut dire qu’un processeur qui chauffe va avoir tendance à drainer la batterie du mobile. Le premier test d’endurance effectué, avec une luminosité fixée à 200 cd/m2, sur une vidéo HD d’une heure sur l’application YouTube nous fait perdre 20% de charge. Ce n’est pas terrible du tout puisque la batterie du Galaxy S6 (qui n’est pas particulièrement réputé pour son autonomie) perd seulement 14% de sa capacité. Le second test, sur une vidéo 1080p en local, et en désactivant donc le Wi-Fi, est meilleur avec une perte d’autonomie de 12%. Toutefois, le Galaxy S6 se place largement devant, avec une perte de capacité de seulement 8%. Gamebench donne quant à lui une estimation d’autonomie de 3h40 sur Real Racing 3. À titre de comparaison, c’est la même estimation sur le Galaxy S6 (qui est largement plus performant) alors que le HTC One M9 (lui aussi plus performant) affichait une estimation de 2h30. Avec les différents modes d’économie d’énergie proposés par Sony, on estime de toute façon que l’autonomie sera très correcte pour ce smartphone avec des usages moins lourds au quotidien. La marque nippone a toujours su optimiser l’autonomie de ses produits, et on ne se fait pas de soucis pour les futurs utilisateurs de cet appareil en particulier. Notre avis 07/10 Sony avait des bonnes idées avec son Xperia Z3+, malgré un timing un peu étrange dans sa feuille de route. Il a par exemple corrigé certains éléments qu'on critiquait dans notre test du Xperia Z3, comme la faiblesse du capteur photo frontal, ou l'aspect inchangé du smartphone. La construction est du plus bel effet, avec des tranches en métal qui se remarquent et des couleurs franchement attirantes. Le Z3+ reprend certains bons éléments du Z3 standard comme un très bon capteur photo, une partie logicielle agréable à utiliser et plutôt légère ainsi qu'un écran très lumineux et confortable. Malheureusement, Sony a fait un choix bien douteux en intégrant le processeur Snapdragon 810 de Qualcomm. Les performances affichées par le mobile sont très décevantes, et même les moins bonnes qu'on ait vu avec ce SoC. Le HTC One M9, pourtant largement décrié, fait d'ailleurs mieux que cet Xperia Z3+. Le plus drôle, c'est que même le Xperia Z3, pourtant équipé du Snapdragon 801, est largement plus performant en utilisation réelle, sur des jeux gourmands qui dépassent les 5 minutes. On émet du coup beaucoup de réserves sur ce smartphone qui pourra certainement séduire ceux qui recherchent un beau design et une expérience Android stable, mais qui aura bien du mal à gagner les coeurs de ceux pour qui l'expérience multimédia est primordiale. Vivement le véritable Z4... Enfin du métal ! Moins d'encombrement sur les tranches Capteur avant amélioré Logiciel fluide Pour Contre Un Snapdragon 810 aux abois... ... qui chauffe Trouver le meilleur prix Sony Xperia Z3+
  6. Les laboratoires Google X viennent de dévoiler un bracelet connecté destiné à suivre la santé de ses utilisateurs. Il est doté de nombreux capteurs capables d’analyser le rythme cardiaque, la pression artérielle, ou encore la température de la peau, l’exposition à la lumière et les bruits environnants. Un bracelet susceptible d’intéresser les médecins pour suivre la santé des patients. Google serait-il sur le point de révolutionner la santé connectée ? C’est en tout cas l’objectif que se donne le géant de Mountain View, à travers ses laboratoires secrets X Labs. C’est déjà à eux que l’on doit le projet de lentilles connectées capables de détecter le manque d’insuline chez un diabétique. Les ingénieurs viennent cette fois de dévoiler un projet de bracelet connecté destiné au monde de la santé. L’objectif est de pouvoir le proposer aux patients afin que leurs données vitales soient analysées par les médecins. Cela permettra donc aux chercheurs et médecins de pouvoir récupérer tout un tas de données, non pas seulement à l’hôpital, mais dans tous les moments de la vie. Il existe déjà des dispositifs capables de relever de nombreuses données de santé sur un patient qui serait chez lui, mais le matériel est souvent coûteux et contraignant à porter sur soi. L’idée du bracelet de Google est de pouvoir se faire oublier sur le poignet de son utilisateur pour un coût réduit. Et pourtant, le bracelet intègre tout un tas de capteurs. Il est en effet capable de relever le rythme cardiaque, la pression artérielle ou encore la température de la peau du porteur. Le bracelet est également capable de relever des données sur l’environnement ambiant comme la luminosité ou le bruit environnant. Pratique pour réaliser des corrélations entre l’état de santé du patient et l’environnement qui l’entoure. Un bracelet – médicament Le bracelet connecté de Google n’est pas destiné au consommateur final. La firme de Mountain View l’envisage plutôt comme un médicament que le médecin pourrait prescrire à ses patients. On imagine aussi les chercheurs l’attacher au poignet des cobayes dans des expériences scientifiques. Mais Andy Conrad, directeur de la division scientifique chez Google, pense que d’ici 20 à 30 ans, tout le monde portera ce genre de bracelet à titre de prévention, afin de prévenir d’éventuels problèmes de santé. La prochaine étape est le test grandeur nature avec des scientifiques et des sociétés de l’industrie pharmaceutique afin d’analyser la fiabilité du produit. Il faudra ensuite convaincre les régulateurs en Europe et aux États-Unis afin que le bracelet soit reconnu comme un équipement médical.
  7. Cacher des fichiers à ses proches peut toujours être pratique si vous n’avez pas envie de dévoiler certains fichiers ou autres photos pouvant être compromettants. Voici comment faire avec une petite astuce toute simple, si vous n’utilisez pas les sessions restreintes apportées par Lollipop. Pour cacher des fichiers sur Android, il existe de nombreuses applications sur le Play Store. Mais sachez qu’il existe une astuce rapide et simple qui ne nécessite pas l’installation d’application tierce pour cacher les fichiers d’un dossier. Pour ce faire, vous avez juste besoin d’un explorateur de fichiers. J’ai ici choisi d’utiliser l’explorateur de fichiers File Explorer. 1. Rendez-vous dans le dossier où se trouvent les fichiers que vous souhaitez cacher. 2. Dans ce dossier, créez un fichier (et non un dossier), appelez-le .nomedia 3. Une fois l’opération effectuée, redémarrez votre téléphone pour que le fichier soit pris en compte. 4. C’est tout ! Normalement vos fichiers ne sont désormais plus lisibles par les applications. Comme vous pouvez vous en rendre compte sur le GIF suivant, le dossier « Screenshots » a totalement disparu de la galerie. Bien évidemment le dossier est toujours accessible et lisible avec un explorateur de fichiers. Si vous souhaitez protéger encore plus vos photos, n’hésitez pas aller faire un tour sur cet article, qui regroupe différentes applications pour sécuriser vos clichés.
  8. Début juin, Windows a annoncé une version web de son service de messagerie instantanée. Lancée en version bêta, elle n’était accessible qu’aux États-Unis et au Royaume-Uni. La firme propose aujourd’hui la version HTML 5 de son service partout dans le monde. Microsoft améliore son service de messagerie instantanée en proposant une version en ligne, ne nécessitant l’installation que d’un plug-in pour fonctionner. Il est ainsi nécessaire de disposer d’un navigateur (compatible HTML 5) pour utiliser cette version, parmi Internet Explorer évidemment, mais aussi Chrome, Safari et Firefox. Skype for Web peut de surcroît être utilisé depuis un Chromebook. L’entreprise de Redmond a également prévu d’utiliser la technologie WebRTC permettant d’inclure Skype dans Internet Explorer de Windows 10, pour utiliser celui-ci sans installation préalable d’un plug-in. Le design de l’application web reprend l’interface de la version logicielle, quel que soit le navigateur utilisé. La version web de Skype est encore en phase de bêta. Ainsi, il n’est pas encore possible de passer un appel vers un téléphone mobile ou fixe depuis la version navigateur, mais on note l’accès à cette bêta en français. Skype for Web rentre parfaitement dans la nouvelle politique de Microsoft visant à moderniser ses services et à proposer des logiciels accessibles sur de multiples plateformes.
  9. Google Maps va maintenant pouvoir vous envoyer une alerte si votre lieu de destination risque d’être fermé à votre arrivée, en prenant en compte la circulation et le temps de trajet. Si vous êtes du genre à partir à l’improviste, sans prendre le temps de consulter les horaires d’ouverture, cette fonctionnalité pourrait vous éviter la gêne d’arriver devant une enseigne et de vous apercevoir qu’il n’y a pas âme qui vive. En effet, Google Maps va désormais intégrer les horaires d’ouverture et de fermeture des commerces, afin de vous informer si votre trajet est inutile. L’application sera aussi en mesure, en cas de long trajet, de vous prévenir si l’enseigne risque d’avoir portes closes à l’horaire d’arrivée estimé. La notification se présente sous la forme d’une fenêtre pop-up, affichant le message d’information ainsi que les détails, et il est possible d’appuyer sur annuler pour revenir à la vue classique, ou de directement lancer la navigation GPS. Google Maps devient régulièrement de plus en plus complet. En peu de temps, l’application s’est dotée d’horaires de transport en commun en temps réel, d’explications sur les conditions de circulation, d’une facilité d’ajout de photographies à un lieu, et la navigation par guidage vocal en mode hors ligne a été annoncée lors de la Google I/O. Malheureusement, les fonctionnalités disponibles varient largement selon les régions du monde.
  10. De nombreuses plateformes s’y étaient déjà mises : iOS avec l’application de la semaine, l’Amazon AppStore avec l’application gratuite du jour… et désormais le Google Play avec l’application gratuite de la semaine. Enfin… Pour promouvoir son nouvel espace dédié à la famille, dévoilé lors du Google I/O 2015, Google lance une offre promotionnelle. Chaque semaine, une application ou un jeu payant sera temporairement gratuit. Cette semaine, par exemple, il s’agit de Daniel Tiger Grr-ific Feelings, 2,45 euros habituellement, une histoire interactive malheureusement disponible seulement en anglais. L’opération est intéressante et pourrait nous réserver quelques surprises à l’avenir.
  11. La lecture des vidéos 8K en définition native sur YouTube est désormais possible. Avec une définition de 7680 × 4320 pixels et plus de 33 millions de pixels, il vaut mieux bénéficier d’une très bonne connexion Internet et d’un écran supportant une telle définition. du studio de production Neumannfilms a mis en ligne le 7 juin dernier une vidéo 8K, que certains médias annoncent comme la première vidéo 8K de la plateforme vidéo de Google. La vidéo, de 2 minutes et 8 secondes, a été filmée avec une caméra 6K en mode portrait (RED Epic Dragon 6K) mais la prise de vue a été réalisée en deux fois pour ensuite fusionner mes deux plans sous Adobe After Effects et obtenir une définition. Certaines scènes ont été filmées en mode paysage et les images ont ensuite été agrandies de 125%, de 6,1K pour atteindre 7,6K (8K avec les bandes noires). Au final, on dispose donc d’une image dotée d’une définition de 7680 x 4320 pixels. On voit alors apparaître l’option « 4320p 8K » dans le lecteur YouTube sur les ordinateurs. Il faut toutefois disposer d’une configuration musclée (et d’une très bonne connexion Internet) afin de profiter de la vidéo sans saccade ni coupure. Mais cette vidéo n’est en fait pas la première à bénéficier de la lecture en 4320p. Un rapide tour sur Google permet d’apercevoir des vidéos 8K visibles en 4320p depuis le mois de mars 2015, comme certains commentaires sous ces vidéos le laissent sous-entendre. D’ailleurs, le site 9to5Google a réussi à joindre Google qui a indiqué que l’upload et le stockage des vidéos 8K étaient possibles depuis 2010 mais que la possibilité de les lire dans leur définition native (et donc l’apparition de l’option 4320p 8K) a fait son arrivée « plus tôt cette année ». On peut donc penser que la lecture des vidéos 8K sur YouTube a été rendue possible durant le mois de mai, dans la discrétion la plus totale.
  12. Philips nous a conviés ce matin à une présentation de sa nouvelle gamme de télévision haut de gamme. Les séries 6400, 7100 et 7600 sont les premières télévisions du constructeur à tourner sous Android TV. Nous avons pu les voir et poser quelques questions aux représentants de la marque. Des télévisions haut de gamme mais pas dernier cri Cela fait maintenant quelques années que Philips ne produit plus lui-même ses télévisions. En fait, derrière Philips TV se cache la marque taïwanaise, TP Vision, qui exploite la marque uniquement en Europe. Philips, puisqu’il s’agit bien de produits de la marque, ne s’en cache pas, ses télévisions sont avant conçues pour le grand public. Pas question pour la marque de vendre sa nouvelle série de téléviseurs haut de gamme plus de 2000 euros. C’est ce qui explique pourquoi ces télévisions 4K ne sont ni incurvées et ne proposent pas (encore) de dalles OLED, que Philips juge trop chères pour l’instant. Les trois modèles présentés, les séries 6400, 7100 et 7600, sont donc toutes des télévisions 4K (3 840 × 2 160) sur des dalles LCD avec un rétroéclairage LED (on suppose qu’il s’agit du Edge LED), dont la diagonale varie de 40 à 55 pouces suivant les modèles, qui embarquent un dispositif Ambilight (à l’exception de la série 6400, qui en est dépourvue) et des processeurs Marvell à deux (série 6400) ou quatre cœurs (7100 et 7600). Surtout, et c’est ce qui nous intéresse, ces trois nouvelles télévisions intègrent toutes Android TV nativement. L’arrivée d’Android au sein des téléviseurs de Philips n’est pas une réelle nouveauté. Le constructeur avait déjà installé certains de ses anciens appareils sur Google TV, basé sur Jelly Bean. Sur ces trois nouvelles séries, c’est Android TV, basé sur Android Lollipop, qui est installé. Ces télévisions sont certifiées par Google. Cela signifie que l’interface ne comprend pratiquement aucune surcouche. On retrouve donc les menus traditionnels d’Android TV, séparés en grandes catégories d’applications diverses : du contenu recommandé par Google, les applications installées sur la télévision, les jeux vidéo du Play Store et un bandeau d’application propre à Philips. La navigation s’effectue alors avec la télécommande. Est-ce l’interface d’Android TV ou la télévision de démonstration ? En tout cas, j’ai eu l’impression que la navigation n’était pas toujours très fluide lors de la navigation au sein des menus. En savoir plus : Test de la Nexus Player et d’Android TV Android TV pour rendre la télévision vraiment intelligente La certification de Google est aussi l’assurance d’avoir une télévision mise à jour régulièrement. L’un des représentants de Philips expliquait qu’en raison de cette certification, il est certain que ces nouvelles télévisions soient mises à jour vers Android TV sous Android M dès que possible. C’est aussi cette certification qui permet à la télévision d’embarquer un Chromecast, ce qui évite d’investir dans une petite clé supplémentaire. Dernier point, Philips a intégré la reconnaissance vocale sur sa télécommande de la série 7600. Il sera donc possible de parler à sa télécommande pour piloter son poste (« lancer l’application Netflix »), ou faire des recherches via Google Now (« clip de Alizée »). On le sait maintenant depuis de nombreux mois, tous les constructeurs de télévisions qui intègrent Android TV à leurs appareils ne peuvent pas toucher à l’interface. Google leur permet simplement d’ajouter une rubrique d’applications qu’ils peuvent personnaliser et dans laquelle ils peuvent proposer tout le contenu qu’ils souhaitent, que cela soit des réglages de la télévision, des applications Android qui leur sont propres ou des options. Philips nous a d’ailleurs assuré que lors du déballage de la télévision, cette dernière, en fonction de l’IP de l’utilisateur, va installer automatiquement des applications de catch-up TV (type Pluzz, MyTF1) françaises. Les séries 6400, 7100 et 7600 ont également été certifiées par Netflix. Ce qui signifie concrètement que l’application est préinstallée sur la télévision et que la télécommande comprend un bouton Netflix qui lance directement l’application lorsqu’on appuie dessus. Contrairement aux anciennes TV de Philips, les séries 7100 et 7600 disposeront de pieds latéraux et non plus centraux. Ces nouvelles télévisions supporteront également le Bluetooth. On pourra donc connecter une enceinte sans fil ou une télécommande universelle à la télévision mais il sera surtout possible d’appairer des manettes de jeu à la télévision. Une fonctionnalité obligatoire pour profiter des jeux du Play Store sur Android TV. Il ne faudra toutefois pas s’attendre à de grandes performances dans les jeux en 3D de la part de ces télévisions. Processeur Marvell oblige, plus spécialisé dans le traitement de la vidéo que la puissance de calcul et la 3D, les jeux gourmands tournent avec un framerate très limité. Des jeux plus contemplatifs et plus calmes, du type Soldat Inconnu, se prêtent plus facilement au jeu sur ce genre d’écrans. De fait, Android TV est avant tout fait pour installer des applications liées à la télévision ou à la vidéo, les jeux vidéo sont surtout présents pour les boîtiers Android de type console, comme la Shield Android TV. Philips considère d’ailleurs l’intégration d’Android TV comme une fonctionnalité supplémentaire et pratique à ses appareils plus qu’un argument de vente. Au démarrage de la télévision, l’écran affichera la dernière chaîne de télévision utilisée et non le launcher d’Android TV. Les télévisions sont avant conçues pour répondre aux attentes du grand public, qui n’est pas forcément friand d’une interface conçue avant tout pour des personnes plutôt au courant des dernières technologies. Les bords d’écran de la série 7600. Sortie prévue pour la fin du mois Les Philips Série 6400, 7100 et 7600 seront disponibles avant la fin du mois dans différents magasins et boutiques en ligne. Pour la série 6400, disponible en 40, 50 et 55 pouces avec un processeur dual core, sans Ambilight, avec une fréquence de rafraîchissement de 50 Hz en natif il faudra compter respectivement 799, 999 et 1299 euros. Pour la série 7100, disponible en 43, 49 et 55 pouces, avec un processeur Marvell quad core, un Ambilight deux côtés et une fréquence de rafraîchissement de 50 Hz en natif il faudra compter respectivement 999, 1299 et 1599 euros. Enfin, la série 7600, disponible uniquement en 49 et 55 pouces mais dotée d’un Ambilight trois côtés et d’une fréquence de rafraîchissement de 100 Hz il faudra compter 1599 ou 1999 euros.
  13. Facebook s’apprête à déployer une mise à jour qui va changer le système de partage de localisation au sein de son application Messenger. Décidément, Messenger est vraiment le fer de lance de Facebook pour l’année 2015. Ses responsables viennent à nouveau de publier un billet expliquant que le système de localisation présent sur l’application va très prochainement s’améliorer. Actuellement, il est seulement possible d’activer ou de désactiver cette option, et les contacts n’ont qu’à cliquer sur un message reçu pour voir d’où il a été envoyé. Dans la prochaine mise à jour, il sera par contre possible d’envoyer une map, qui sera reçue comme un message par l’interlocuteur. Il suffira de cliquer sur le bouton « options supplémentaires » en bas de l’écran pour pouvoir sélectionner l’envoi de localisation. Pour plus de précision, Facebook proposera même des adresses à proximité : pratique pour partager directement l’adresse d’un restaurant ou quoi que ce soit d’autre. C’est grosso modo le même système qu’utilise iOS avec le partage des plans via iMessage avec « envoyer ma position actuelle ». Sauf qu’ici, tout se passe au sein de l’application Facebook Messenger. C’est d’ailleurs à cela qu’aspire Facebook. L’application Messenger a intégré récemment de nombreuses applications qui permettent d’enrichir le contenu partagé sur l’application. On peut désormais envoyer des memes ou encore des GIFs.
  14. Annoncé en janvier dernier, Facebook annonce un plus large déploiement de son application allégée à destination des pays émergents. Une application dont la particularité est de peser moins d’un Mo au téléchargement. Facebook Lite n’est pas une franchement une nouvelle application. Elle avait en fait déjà été dévoilée au début de l’année 2015 et a été régulièrement mise à jour sur le Play Store. Si Facebook l’annonce aujourd’hui officiellement dans un communiqué de presse laconique, c’est surtout pour indiquer que son application est aujourd’hui disponible dans certains pays d’Asie et qu’elle devrait arriver dans les semaines à venir en Amérique latine, en Afrique et en Europe. Facebook Lite est une application Android (et exclusive à l’OS de Google) dont la particularité est de ne peser que 435 Ko. Évidemment, avec ce poids, elle se contente de l’essentiel, à savoir la possibilité de poster des messages sur les murs de ses amis, d’afficher les notifications de likes et de commentaires sur ses billets, de voir l’activité de ses amis et elle permet de partager des photos. Facebook indique également que l’application consomme peu de data et qu’elle a été conçue spécifiquement pour fonctionner sur les réseaux 2G ou instables. L’application est évidemment gratuite, mais n’est pas disponible sur le territoire français. Pour les plus curieux il est toutefois possible de la télécharger sur un site de téléchargement de fichiers .apk, à cette adresse par exemple.
  15. Cela fait maintenant quatre mois qu’Android Lollipop a officiellement été lancé par Google. Comme toutes les mises à jour d’Android, ce sont les constructeurs des appareils qui décident et intègrent la mise à jour pour leurs smartphones et tablettes. Des mises à jour qui ont timidement débuté à la fin de l’année dernière et qui s’accellèrent depuis le début du mois de janvier 2015. Nous avons dressé une liste des principaux smartphones et tablettes de 2014 qui ont eu droit à cette mise à jour ou qui s’apprêtent à la recevoir. NB : Article mis à jour le 04/06/2015 Le tableau ci-dessous est mis à jour régulièrement. Ce tableau dresse le portrait des principaux appareils, par marque, qui ont eu droit à une mise à jour vers Lollipop ou, si ce n’est pas le cas, qui indique une date de sortie évoquée par le constructeur. Notez bien que le statut des appareils ci-dessous est valable pour smartphones achetés nus. Dans le cas d’appareils achetés dans le cadre d’un abonnement avec un opérateur, il est possible que les mises à jour vers Lollipop subissent un peu de retard. Concernant Lollipop en lui-même, nous avons réalisé un dossier récapitulatif sur les principales nouveautés introduites par Lollipop et avons également dressé une liste des 17 fonctionnalités phares de l’OS à la sucette. Le tableau ci-dessous a été mis à jour le 04/06/2015. Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Sony Xperia Z3 Reçue Xperia Z3 Compact, Z3 Tablet Reçue Xperia Z2, Tablet Z2 Reçue pour le Xperia Z2 mais pas encore pour la Z2 Tablet Xperia Z1, Z1 Compact, Z Ultra et Z3 Dual Reçue Xperia Z, Tablet Z Reçue Xperia C, Xperia E, Xperia M, Xperia T T2 Ultra et le C3 : prévue à partir du 20 avril Samsung Galaxy S5 Reçue (versions Exynos et Snapdragon en janvier 2015) Galaxy S5 4G+ Prévue mais sans date de sortie précise Galaxy S5 mini Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 Galaxy Note 4 Reçue Galaxy Note 4 Edge Reçue Galaxy A3, A5 et A7 Prévue pour le mois de juin 2015 Galaxy Alpha Reçue Galaxy S4 Reçue Galaxy S4 Mini Confirmée mais sans date précise Galaxy Note 3 Non reçue mais prévue Galaxy Note 2 Prévue mais sans date précise Galaxy S3 Jamais, tout du moins sur les versions 3G Galaxy Tab S 10. 5 Reçue Galaxy Core Prime Déploiement imminent Galaxy Tab Pro/Note 10.1 et 12.2 (2014) Probable mais jamais annoncée HTC One M8 Reçue One M8 Mini Jamais One M7 Reçue Desire EYE Prévue pour mars ou avril 2015 Desire 816 Prévue pour mars ou avril 2015 LG LG G3 Reçue LG G Pro 2 Reçue LG G2 Reçue LG G Flex En attente LG G Pad 8.3 En attente LG G3S En cours de déploiement Google Nexus Nexus 4 Reçue Nexus 5 Reçue Nexus 6 Reçue Nexus 7 2012 Reçue Nexus 7 2013 Reçue, y compris pour la version 4G Nexus 9 Reçue Nexus 10 Reçue Motorola Moto X 2014 Reçue Moto X 2013 Déploiement imminent (juin ou juillet 2015) Moto G 2014 Reçue Moto G 4G Prévue mais sans date de sortie précise Moto G 2013 Reçue Moto E Prévue mais sans date de sortie précise Moto E 4G (2015) Reçue Acer Liquid Jade S Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 Asus Zenfone 5 4G En cours de déploiement Fonepad 7 (version ME372CG) En cours de déploiement OnePlus One Déploiement en cours vers Android 5.0.2 Meizu MX4 et MX4 Pro Prévue pour mars ou avril 2015 Nvidia Shield Tablet Reçue Shield Prévue mais sans date de sortie précise Wiko Tous les appareils sortis en 2014 Aucune information disponible et déploiement très peu probable Xiaomi Mi3, Mi 2, Mi 2A, Mi 2S Prévue pour le premier semestre de 2015 Huawei Ascend Mate 7 Prévue et en cours de bêta-test (déploiement imminent) Ascend P7, Ascend Mate 2 Prévue pour juillet 2015 Ascend G7 Prévue pour septembre 2015 Honor Honor 6 Prévue pour juin 2015 Honor 6 Plus Prévue pour juillet 2015 Honor 4X Prévue entre le mois de juin et septembre 2015 Oppo Find 7, Find 7a Prévue, en cours de bêta-test mais sans date précise Find 5, N1, R819 Jamais Sony Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Sony Xperia Z3 Reçue Xperia Z3 Compact, Z3 Tablet Reçue Xperia Z2, Tablet Z2 Reçue pour le Xperia Z2 mais pas encore pour la Z2 Tablet Xperia Z1, Z1 Compact, Z Ultra et Z3 Dual Reçue Xperia Z, Tablet Z Reçue Xperia C, Xperia E, Xperia M, Xperia T Le T2 Ultra et le C3 devraient recevoir la mise à jour bientôt Sony fait figure de mauvais élève parmi les constructeurs importants de smartphone. Actuellement aucun de ses appareils n’a encore reçu la mise à jour. Le japonais communique toutefois régulièrement sur l’avancement de la mise à jour de ses produits vers Lollipop. Les sources ont ainsi été mises à disposition des développeurs et on s’attend à une mise à jour de sa gamme complète d’appareils pour mars 2015, voire avril 2015 au plus tard. La bonne nouvelle dans tout cela, c’est que cette mise à jour tardive profitera à des téléphones relativement anciens. Le Xperia Z premier du nom ainsi que le Xperia Z2 devrait avoir droit à Lollipop à quelques semaines d’intervalle. Un mal pour un bien en quelque sorte. Mise à jour du 13/04/2015 : Sony démarre aujourd’hui le déploiement de Lollipop sur les Xperia Z3 dual, Z1, Z1 Compact et Z Ultra. Les Xperia C3 et Xperia T2 Ultra seront concernés à partir de la semaine du 20 avril. Mise à jour du 17/03/2015 : Sony vient de débuter le déploiement de la mise à jour pour les Xperia Z3 et Z3 Compact. Les pays baltes et nordiques sont les premiers concernés. D’ici deux semaines, les autres pays bénéficieront de la mise à jour, tout comme le reste de la gamme en commençant par la Z3 Tablet Compact puis la gamme Z2 et enfin les Z. Les mises à jours des autres Xperia Z devrait suivre « peu de temps après ». Mise à jour du 23/03/2015 : Alors que Sony avait promis la mise à jour vers Lollipop pour le Xperia Z3 pour la semaine du 16 mars, cette dernière n’est toujours pas disponible « mais c’est en bonne voie ». On ne sait toujours pas quand cette mise à jour sortira exactement. Mise à jour du 30/03/2015 : Sony vient d’annoncer la mise à jour imminente des Z3 à travers le monde. Le Xperia Z2 et la Z2 Tablet y auront droit la semaine prochaine. Mise à jour du 08/04/2015 : Lollipop est enfin arrivé sur les Xperia Z2 et Z2 Tablet. Les Z3 Dual, Z1, Z1 Compact et Z Ultra devraient suivre la semaine prochaine. Ce serait ensuite au tour des T2 Ultra et C3 puis de la série Xperia Z. Mise à jour du 04/06/2015 : A priori tous les smartphones et tablettes Xperia Z ont été mis à jour vers Lollipop. A priori, puisqu’il semble, en France tout du moins, que certains appareils, dont la Xperia Z2 Tablet n’ont pas encore reçue la mise à jour. En attendant, Sony peaufine ses mises à jour sur les appareils qui ont déjà reçus Lollipop. Sony a ainsi introduit un bouton pour fermer d’un coup les applications en cours d’utilisation et prépare l’arrivée d’Android 5.1 pour le mois prochain. En savoir plus : Les touches de navigation Lollipop seront un peu particulières chez Sony Samsung Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Samsung Galaxy S5 Reçue (versions Exynos et Snapdragon en janvier 2015) Galaxy S5 4G+ Prévue mais sans date de sortie précise Galaxy S5 mini Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 Galaxy Note 4 Reçue Galaxy Note 4 Edge Reçue Galaxy A3, A5 et A7 Prévue pour le mois de juin 2015 Galaxy Alpha Reçue Galaxy S4 Reçue Galaxy S4 Mini Confirmée mais sans date précise Galaxy Note 3 Non reçue mais prévue Galaxy Note 3 Neo Prévue mais sans date Galaxy Note 2 Prévue mais sans date précise Galaxy S3 Jamais, tout du moins sur les versions 3G Galaxy Tab S 10. 5 Reçue Galaxy Tab Pro/Note 10.1 et 12.2 (2014) Probable mais sans date de sortie précise Galaxy A3, A5, A7 Prévue pour juin Galaxy Core Prime Déploiement imminent Le déploiement de Lollipop sur les appareils de Samsung a été pour le moins chaotique. Le premier appareil du coréen a disposer de Lollipop a été le Galaxy S5, dont la mise à jour a été déployée en janvier dernier. Samsung assure d’ailleurs un suivi exemplaire, puisqu’une seconde a été mise en ligne quelques jours après, et met le téléphone à jour vers la version 5.0.2 de Lollipop avec, en plus, un véritable mode silencieux. En savoir plus : Samsung Galaxy S5 : Lollipop est arrivé et voici les changements qu’il apporte Le cas des autres appareils de Samsung est un peu plus flou. On sait que le déploiement de Lollipop sur le Galaxy Note 4, Galaxy Note 4 Edge, Galaxy Note 3 et le Galaxy S4 est imminent. La ROM est actuellement déployée en Corée du Sud et dans quelques pays de l’Europe de l’Est, certainement pour la tester et devrait arriver sur les smartphones occidentaux d’ici quelques jours ou semaines. Il reste enfin quelques inconnues dans les appareils de Samsung. Le cas du Galaxy Alpha, pourtant sorti peu de temps avant le Galaxy Note 4, est à ce jour inconnu. Il serait improbable que Samsung ne le mettre pas à jour vers Lollipop mais il n’a jamais communiqué sur le statut de cet appareil depuis le début de l’année. Même remarque pour la version Mini du Galaxy S5, dont on ne sait pas quand la mise à jour arrivera si ce n’est à un vague « deuxième trimestre de l’année« . Enfin, Samsung a confirmé que le Galaxy Note 2 aura bel et bien droit à Lollipop. Mais là encore, le mystère plane quant à une quelconque date de sortie. Enfin, le Galaxy S3 n’aura jamais droit à une mise à jour vers Lollipop. Le smartphone de 2012 de Samsung n’a jamais eu droit à une mise à jour vers KitKat l’année dernière, ce qui signifie que Lollipop lui est également interdit. Le cas des versions 4G du Galaxy S3 est cependant inconnu. Mise à jour du 23/03/2015 : Alors que l’on attend toujours la mise à jour vers Lollipop des Galaxy Note 3 (elle vient d’arriver sur certains modèles !), Samsung a déployé une mise à jour vers Android 5.0 pour sa tablette de 2014, la Galaxy Tab S 10.5. Cette dernière est donc maintenant sous Android 5.0.2. Deuxième information, Samsung vient à peine de commencer le développement de Lolipop pour les tous nouveaux Galaxy A (A3, A5 et A7), sortis sous KitKat. Il ne faudra donc pas attendre la mise à jour avant de nombreuses semaines. Mise à jour du 25/03/2015 : Samsung France a confirmé l’arrivée dans le courant de l’année de Lollipop sur le Galaxy Note 3 Neo, version « lite » du Galaxy Note 3. Mise à jour du 31/03/2015 : le déploiement d’Android 5.0 Lollipop vient de commencer en France sur le Galaxy S4 de Samsung. Mise à jour du 24/04/2015 : Le Galaxy Note 4 a enfin eu droit à une mise à jour vers Lollipop en France. On ne sait pas encore si elle concerne également le Galaxy Note Edge. Mise à jour du 27/04/2015 : Après un imbroglio sur les réseaux sociaux, Samsung a confirmé l’arrivée de Lollipop sur les Galaxy S4 Mini, mais préciser sa date de déploiement exacte. Mise à jour du 28/04/2015 : Après le Galaxy Note 4, c’est au tour du Galaxy Note Edge de recevoir la mise à jour vers Android Lollipop en version 5.0.1. Mise à jour du 11/05/2015 : Samsung, après avoir longtemps laissé planer le doute a confirmé que le Galaxy Note 2 sera bien mis à jour vers Lollipop. On ne connaît pas encore sa date de sortie précise. Le coréen a également commencé le déploiement de Lollipop sur le Galaxy Core Prime, un smartphone d’entrée de gamme sorti au début de 2015. Mise à jour du 20/05/2015 : La mise à jour vers Lollipop est en route pour les Galaxy A3, A5 et A7, qui devraient pouvoir en bénéficier courant juin. Mise à jour du 04/06/2015 : Alors que l’on est toujours sans nouvelle de la mise à jour pour le Galaxy Note 3, Samsung continue les mises à jour sur ses appareils récents. Le Galaxy Note 4 devrait ainsi recevoir la version 5.1.1 de Lollipop en juillet prochain, tout comme les Galaxy S6 et S6 edge qui la recevront en juillet. HTC Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop HTC One M8 Reçue One M8 Mini Jamais One M7 Reçue Desire EYE Prévue pour mars ou avril 2015 Desire 816 Prévue pour mars ou avril 2015 Dès l’annonce de Lollipop, HTC avait promis de porter le nouvel OS de Google sur le HTC One (M8) en moins de 90 jours. Le pari a été plus ou moins tenu puisque la mise à jour est arrivée à la mi-janvier aux Etats-Unis et à la fin janvier en France. Mieux, Lollipop a été déployé sur le HTC One (M7) quelques jours plus tard. Pour les autres appareils, c’est beaucoup plus flou. HTC communique assez peu sur ses smartphones de milieu et d’entrée de gamme. On se doute ainsi que le HTC One Mini 2 devrait bien recevoir Lollipop, mais on ne sait pas exactement quand. Même constat pour les différents Desire, dont les modalités de déploiement de Lollipop sont encore très vagues. Le second trimestre reste toutefois une bonne estimation. Mise à jour du 23/03/2015 : Si Lollipop a bien été déployé vers Android Lollipop, ce sera très certainement sa dernière mise à jour. HTC a en effet confirmé que le HTC One M7 resterait pour la fin de sa vie sous Lollipop en version 5.0.2. Mise à jour du 04/05/2015 : HTC a annoncé que le HTC One Mini (M7 comme M8) n’aura pas droit à Lollipop. Raison officielle : « l’expérience utilisateur fournie par le HTC One mini 2 avec Android 5.0 Lollipop était insuffisante ». LG Electronics Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop LG LG G3 Reçue LG G Pro 2 Reçue LG G2 Reçue LG G3S Prévue mais sans date de sortie précise A l’inverse de Sony, LG a été l’un des premiers constructeurs à déployer Lollipop sur son flagship, le LG G3, dès la mi-décembre en France. Un record de vitesse, que seul Motorola a égalé. Pour autant, une fois la mise à jour du G3 passée, c’est le désert de sucette sur les autres appareils du coréen. On sait déjà que Lollipop a été partiellement déployé sur les LG G2 sud-coréens, mais LG ne communique pas sur une sortie en occident. Quant aux autres appareils d’entrée et de milieu de gamme, c’est le blackout total. LG n’a rien dit à propos du G3S ni du G Flex, pourtant sorti en 2014 et de ses innombrables appareils sortis l’année dernière, pourtant installés sous KitKat. On attendra le deuxième et le troisième trimestre de cette année pour savoir ce qu’il en est. Mise à jour du 23/03/2015 : Après un très long silence radio, LG a enfin communiqué sur la mise à jour du LG G2 vers Lollipop. Il faudra attendre le deuxième trimestre de cette année, sans plus de précisions. Mise à jour du 04/06/2015 : Après de longs mois d’attente, LG a officiellement déployé Lollipop sur le LG G2 à la fin du mois d’avril 2015. Il était temps. Google Nexus Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Google Nexus Nexus 4 Reçue Nexus 5 Reçue Nexus 6 Reçue Nexus 7 2012 Reçue Nexus 7 2013 Reçue, y compris pour la version 4G Nexus 9 Reçue Nexus 10 Reçue La gamme des Google Nexus est la plus simple : tous les téléphones et tablettes, à partir du Nexus 4 ont eu droit à une mise à jour vers Lollipop dès octobre dernier. Les appareils de Google sont toujours les premiers à bénéficier des mises à jour d’Android. Le Nexus 5 et le Nexus 6 ont ainsi été les premiers à avoir eu droit à une sucette, très vite suivi du Nexus 4 et des diverses tablettes de la gamme. Seule ombre au tableau, la Nexus 7 2013, dans sa version 4G a dû attendre la mi-janvier pour avoir droit à la précieuse mise à jour. On a vu pire. Mise à jour du 13/03/2015 : Google a déployé durant la première partie du mois de mars 2015 une mise à jour vers Android 5.1 pour les Nexus 5, Nexus 7 2012 (WiFi), Nexus 10 et Nexus 6. Pour l’instant seules les factory image sont disponibles mais les mises à jours en OTA ne devraient pas tarder. Mise à jour du 23/03/2015 : Quelques jours après les factory images, ce sont les fichiers OTA vers Android 5.1 qui sont disponible au téléchargement pour les Nexus 5, Nexus 6, Nexus 7 2012 (WiFi) et Nexus 10. Mise à jour du 04/06/2015 : Google continue tranquillement de mettre à jour ses différents Nexus à jour vers les dernières versions de Lollipop (la dernière version en date étant la version 5.1.1). Et le géant américain en a profité pour annoncer la prochaine version d’Android dont le nom de code est Android M. Motorola Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Motorola Moto X 2014 Reçue Moto X 2013 Déploiement imminent (juin ou juillet 2015) Moto G 2014 Reçue Moto G 4G Prévue mais sans date de sortie précise Moto G 2013 Reçue, y compris pour la version 4G Moto E Prévue mais sans date de sortie précise Moto E 4G (2015) Reçue Motorola faisait partie de ces constructeurs à promettre un déploiement rapide de Lollipop sur ses appareils. Et le pari est dans l’ensemble réussi. A la mi-février, seul le Moto G 2013, le Moto E, le Moto G 4G (2013) et le Moto X 2013 n’ont pas encore été mis à jour. Les autres appareils, Moto X 2014 en tête, suivi du Moto G 2014 sont déjà sous Lollipop. Si Lollipop ne devrait pas tarder sur le Moto E et sur le Moto G 2013 (une question de jours ou de semaines), le cas du Moto X 2013 est plus problématique. Motorola a ainsi confirmé avoir rencontré des problèmes avec la partie hardware de l’appareil et ne sait pas quand la mise à jour pourra être mise en ligne. Il faudra certainement attendre quelques mois. Mise à jour du 23/03/2015 : La mise à jour vers Lollipop du Moto X 2013 avance bien. Motorola teste actuellement une ROM avec des utilisateurs triés sur le volet. La mise à jour devrait arriver d’ici quelques semaines maintenant. Mise à jour du 24/04/2015 : La mise à jour pour le Moto X 2013 se précise. Elle est actuellement testée au Brésil avec Android en version 5.1. Mise à jour du 04/06/2015 : La mise à jour pour le Moto X 2013 est toujours aux abonnés absents. Ce ne serait plus qu’une question de semaine selon Motorola. On est revanche toujours sans nouvelle de Lollipop sur les Moto G 4G. Acer Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Acer Liquid Jade S Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 Longtemps positionnés sur l’entrée de gamme, la très grande majorité des produits Acer ne passeront pas sous Lollipop. Acer fait toutefois des efforts depuis quelques mois, notamment avec sa nouvelle gamme de smartphones de milieu de gamme, les Liquid Jade. Si l’on ne sait pas si le Liquid Jade, sorti l’année dernière, aura droit à Lollipop, Acer a en tout cas confirmé que Lollipop arrivera bien durant le second trimestre sur le nouveau Liquid Jade S. Asus Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Asus Zenfone 5 4G En cours de déploiement Fonepad 7 (version ME372CG) En cours de déploiement Les rares informations concernant la mise à jour des téléphones d’Asus proviennent de leaks. Il se murmure juste que les Zenfone de l’année dernière auront droit à une mise à jour. Concernant la France, cela signifie qu’une mise à jour sur le Zenfone 5 LTE devrait être disponible d’ici quelques mois. Mise à jour du 23/03/2015 : Asus a mis à jour son Fonepad 7 (version ME372CG) vers Lollipop en Italie. La mise à jour pour la France devrait également être en cours de déploiement ou ne pas tarder. Mise à jour du 04/06/2015 : Après de vilaines rumeurs de report de la mise à jour vers Lollipop de 3 ou 4 mois, il semble que le déploiement de Lollipop a commencé sur les ZenFone 4,5 et 6. OnePlus Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop OnePlus One En cours de déploiement OnePlus, comme beaucoup de constructeurs, a affirmé un temps pouvoir déployer Lollipop sur le One en moins de 90 jours. Las, la jeune marque n’avait pas anticipé les tensions avec les développeurs de sa ROM Cyanogen Inc. Résultat, il faudra maintenant attendre le milieu ou la fin du mois de mars prochain pour pouvoir goûter à Lollipop. Pour les plus pressés, une ROM stock est toutefois disponible sur les forums de la marque. Mise à jour du 13/03/2015 : la mise à jour vers Lollipop sur le OnePlus One sera plus en retard que prévu. Désormais, OnePlus indique que la mise à jour est prévue pour la fin du mois de mars, voire, plus probablement, au début du mois d’avril 2015. Mise à jour du 23/03/2015 : OnePlus l’a promis, le OnePlus One sera mis à jour vers Lollipop avant le 30 mars prochain. Le OnePlus One passera donc sous Cyanogen Mod 12S (Lollipop) avant cette date et OnePlus mettra également à disposition du grand public Oxygen OS, sa propre ROM sous Android Lollipop dès le 27 mars. Mise à jour du 14/04/2015 : Après deux bonnes semaines de retard et des promesses non tenues, la mise à jour vers Lollipop pour le OnePlus One est enfin en cours de déploiement. Une mise à jour vers Cyanogen OS 12 est désormais disponible. Le OnePlus One est enfin sous Lollipop. Mise à jour du 24/04/2015 : OnePlus n’est pas vraiment le champion de la communication quand il s’agit des mises à jour. Ainsi, la première mise à jour vers Lollipop a été suspendu temporairement quelques jours après sa sortie et remplacée rapidement, après une pause de trois jours, par une nouvelle mise à jour corrigeant des bugs et ajoutant une fonction « Ok OnePlus ». A priori, c’est la bonne. Meizu Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Meizu MX4 et MX4 Pro Prévue pour mars ou avril 2015 Les constructeurs chinois n’ont pas été particulièrement bavards sur la mise à jour vers Lollipop. Meizu fait partie de ceux-ci et s’est simplement contenté pour l’instant d’affirmer qu’une mise à jour pour le MX4 et le MX4 Pro était dans les tuyaux. Sortie prévue pour mars ou avril 2015. Mise à jour du 24/03/2015 : Une roadmap tout juste leakée en Chine indique que les MX4 et MX4 Pro recevront Lollipop d’ici la fin avril. Lex MX2 et MX3 devront attendre la fin mai quand le M1 patientera jusqu’en juin. Nvidia Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Nvidia Shield Tablet Reçue Shield Prévue mais sans date de sortie précise Nvidia est également un bon élève. Il faut dire que le fondeur américain n’a pas beaucoup d’appareil à mettre à jour. Ceci dit, il a été le premier constructeur, après Google, à avoir déployé la mise à jour et ce, dès la fin du mois de novembre 2014 sur la Shield Tablet. Le suivi a été exemplaire puisqu’un mois plus tard, une nouvelle mise à jour était disponible et faisait passer la tablette sous Android 5.0.1. Concernant la Shield (Portable), le premier produit de NVIDIA, est encore sous Android 4.4.2 (KitKat). Pour le moment, aucune mise à jour n’a été programmée. Wiko Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Wiko Ridge 4G, Ridge Fab 4G, Highway Star 4G, Highway Pure 4G Prévue durant les 12 mois qui suivent leur sortie Tous les appareils sortis en 2014 Aucune information disponible et déploiement très peu probable Le cas de Wiko est simple : Wiko n’a jamais communiqué sur Lollipop. Malgré son poids important dans les ventes de smartphone en France, le constructeur franco-chinois n’a donné aucune indication. On se contentera donc dire que pour l’instant, il est peu probable que ses appareils sortis l’année dernière aient un jour droit à Lollipop. L’espoir est d’autant plus mince, que les smartphones de Wiko de ce début d’année sont encore coincés sous KitKat. Mais qui sait ? Wiko a tendance à prévenir des mises à jour quelques jours seulement avant leur déploiement. Mise à jour du 13/03/2015 : Wiko a prodité du Mobile World Congress 2015, qui se tenait au début du mois de mars 2015 pour communiquer sur sa politique de mise à jour. Si la mise à jour des appareils de Wiko sortis en 2014 est toujours aussi peu probable, Wiko s’est toutefois engagé lors du MWC 2015 à mettre à jour tous ses nouveaux appareils, sortis en 2015 et après, donc, vers la nouvelle version d’Android 12 mois après leur sortie. Cela signifie concrètement que les Ridge 4G, Ridge Fab 4G, Highway Star 4G et Highway Pure 4G seront installés lors de leur sortie sous KitKat mais qu’une mise à jour sous Lollipop est prévue durant leur première année d’existence. Xiaomi Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Xiaomi Mi3, Mi 2, Mi 2A, Mi 2S Prévue pour le premier semestre de 2015 Le cas de Xiaomi est compliqué. Le constructeur chinois a timidement communiqué sur le sujet en novembre dernier puis n’a plus rien annoncé depuis. Aux dernières nouvelles, Xiaomi testerait sur un petit comité de bêta-testeurs une ROM sous Lollipop, réservée aux propriétaires de Mi 2. Mais on ne sait ni quand cette ROM sortira, ni sur quels appareils exactement. Huawei et Honor Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Huawei Ascend Mate 7 Prévue et en cours de bêta-test (déploiement imminent) Ascend P7, Ascend Mate 2 Prévue pour juillet 2015 Ascend G7 Prévue pour septembre 2015 Honor Honor 6 Prévue pour juin 2015 Honor 6 Plus Prévue pour juillet 2015 Honor 4X Prévue entre le mois de juin et septembre 2015 Le constructeur chinois Huawei a été long a la détente mais vient finalement de nous parler un peu mises à jour. Il a ainsi fournit son calendrier de mises à niveau pour l’année 2015, avec des déploiements prévus à partir du mois de mai, et jusqu’à septembre. Sont donc concernés les Mate 7, Mate 2, G7, ou encore P7. Le constructeur a touché aussi un mot des smartphones Honor, avec des déploiements prévus pour le Honor 6, Honor 6 Plus, et Honor 4X. Mise à jour du 04/06/2015 : Il se murmure dans les milieux autorisés que Huawei est en train de tester une version bêta de Lollipop sur le Ascend Mate 7. Le déploiement de la mise à jour approche. La mise à jour devrait également bientôt arriver pour le Honor 6. Oppo Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Oppo Find 7, Find 7a Prévue, en cours de bêta-test mais sans date précise Find 5, N1, R819 Jamais Après six long mois de silence, Oppo s’est enfin décidé à communiquer sur la mise à jour de ses Oppo Find 7 et Find 7a. Si l’on en croit un récent billet de forum, la mise à jour de ColorOS vers Lollipop interviendra au mois de mai 2015. Mise à jour du 07/05/2015 : Oppo a annoncé que les smartphones Oppo Find 5, N1 et R819 ne seront jamais mis à jour vers Lollipop. Mise à jour du 04/06/2015 : Oppo a dévoilé la version bêta de ColorOS 2.1 sous Lollipop. La ROM est actuellement en cours de test auprès des utilisateurs des forum du constructeur et ne devrait pas tarder à être déployer auprès du plus grand nombre.
  16. Annoncée et dévoilée jeudi soir dernier à l’occasion de la conférence d’ouverture de la Google I/O 2015, Google Photos s’annonçait comme une petite révolution du stockage de photos en ligne. Google avait également présenté à cette occasion un client pour Mac et PC, permettant d’uploader automatiquement les photos présentes sur son disque dur. Il est disponible depuis quelques jours au téléchargement et nous l’avons installé pour voir de quoi il en retourne. Avec Google Photos, Google a revu entièrement sa façon d’aborder la sauvegarde de photos des utilisateurs dans le cloud. Autrefois prisonnière d’une sauvegarde automatique liée à Google+, l’application Google Photos est désormais entièrement indépendante. Lors de sa présentation, Google avait ainsi indiqué qu’il offrait à tous les utilisateurs qui l’utiliseraient un espace de stockage illimité pour leurs photos, à condition d’accepter que leurs clichés soient compressés. Cette application est également disponible sur PC et Mac et, à la façon de Dropbox, permet d’uploader automatiquement les photos de certains dossiers dans le Cloud. L’application se télécharge sur cette page. En cliquant sur « Programme de transfert depuis un ordinateur », on télécharge un exécutable propre à Mac ou à Windows. Une fois installé, il suffit de se connecter au compte Google voulu puis de choisir les sources de sauvegarde et la taille des photos uploadées. Cette étape est assez importante. D’une part, elle permet de choisir quels dossiers Google Photos va automatiquement uploader sur le Cloud. À chaque ajout d’image dans un dossier, ces images seront automatiquement uploadées. Il n’est d’ailleurs pas (encore ?) possible de régler la fréquence et les périodes d’upload : une fois ajoutée, une photo est automatiquement envoyée en ligne. La taille des photos est un choix important. Google Photos laisse le choix entre « Haute Qualité » et « Taille d’origine ». Dans le premier cas, les photos et les vidéos importées seront redimensionnées et compressées à 16 MP et les vidéos limitées au 1080p. Mais l’espace de stockage est alors illimité. Dans le second cas Google Photos ne touche pas à la taille ou à la compression de l’image et upload le fichier en l’état. En revanche, le poids de ces photos et vidéos sera décompté de l’espace de stockage de Google Drive. Une fois uploadées, Google Photos pour PC permet d’afficher les images mises en ligne sur un navigateur Internet. L’interface est pour l’instant très simple et se contente d’un affichage sur fond blanc avec un moteur de recherche et quelques options. A priori, on est bien loin des possibilités de tri automatique que peut réaliser l’application Android. Il est toutefois possible de retoucher sommairement les photos, d’avoir quelques informations à leur propos ou de les partager sur les réseaux sociaux ou via des liens raccourcis goo.gl. Quelques options sont également disponibles via un menu latéral, qui permet d’accéder à l’assistant ou de créer des collections. Google Photos pour PC est simple et facile d’utilisation. Un peu trop peut-être et il est très possible que Google l’améliore avec le temps.
  17. Android M va suivre le même développement que Android L (Lollipop), avec plusieurs versions Developer Preview et une disponibilité de la version finale en fin d’année. Android M est officiel, nous n’avons néanmoins aucune trace de la sucrerie qui accompagnera cette version d’Android. Les rumeurs évoquent Macadamia Nut Cookie. Néanmoins, les choses peuvent encore évoluer, comme cela a été le cas avec KitKat. C’est toutefois loin d’être l’élément le plus important… Google a quoi qu’il en soit communiqué sur le planning de sortie d’Android M. Comme Android L Developer Preview, Android M va recevoir plusieurs versions « Preview », dont la version finale sera disponible au troisième trimestre, à l’automne. Bien entendu, cette version finale sera déployée dans un premier temps sur les produits Nexus, néanmoins les fabricants devraient réagir très vite. Comme chez LG ou encore Samsung, les derniers flagships ont été plutôt bien servis avec Lollipop. De plus, Android M est une évolution mineure qui touche peu de composants des couches basses d’Android, ce qui devrait simplifier le travail des intégrateurs.
  18. Le Samsung Galaxy S6 mini pourrait bien avoir fait une première apparition publique via GFXBench. Et s’il s’agit bien de ce modèle, sa fiche technique n’est pas à prendre à la légère, si ce n’est sa définition d’écran un peu faiblarde. Pourtant habitué à proposer une version mini de ses flagships, les intentions de Samsung ne sont cette fois pas bien claire concernant le lancement d’un Galaxy S6 mini. Avant même la présentation des Galaxy S6 et S6 edge, il se disait que le constructeur pourrait tout bonnement abandonner cette gamme de produits. Pourtant, ce week-end, un appareil dont les caractéristiques techniques pourraient correspondre à ce modèle, est apparu sur le site de benchmark GFXBench. Il répond au numéro de modèle SM-G9198, plutôt proche du numéro du Galaxy S6 justement (SM-G920F). D’après la fiche technique fournie par le benchmark, le terminal embarquerait un écran de 4,6 pouces à la définition HD (720 x 1280 pixels), un processeur hexacore Snapdragon 808 comme sur le LG G4, 2 Go de mémoire vive, une capacité de stockage interne de 16 Go dont 11 accessibles, un capteur photo dorsal de 16 mégapixels et un capteur frontal de 5 mégapixels. Ni la capacité de la batterie, ni les dimensions de l’objet ne sont précisées, mais il devrait logiquement être installé sous Android 5.1.1 Lollipop. S’il s’agit effectivement du Samsung Galaxy S6 mini, cela signifierait que la marque change de stratégie envers ses versions mini et se calque sur un modèle proche de Sony, qui a l’habitude de fournir des versions Compact très bien équipées. D’ordinaire, les appareils « mini » de Samsung ou des autres constructeurs n’embarquent des configurations que de milieu de gamme. C’est aussi pour cela que certains parlent de ce modèle SM-G9198 comme du successeur au Galaxy Alpha de l’an dernier. Et on ne pourra se prononcer qu’après en avoir vu de premières images.
  19. Lors d’un séminaire technique, Samsung a annoncé des avancées majeures dans les domaines des batteries et des capteurs photo. Dans les années à venir, on devrait être témoin d’une densité de batterie accrue et de capteurs photo RWB produisant des clichés de meilleure qualité en basse luminosité et un rendu des couleurs plus fidèle. L’autonomie d’un smartphone est l’un des principaux critères d’achat pour le consommateur. Samsung l’a bien compris et compte améliorer la densité (pour une meilleure autonomie) et la vitesse de charge. Ainsi, selon les slides récupérées par le site Cnbeta, la densité devrait atteindre 750 Wh/L dès l’année prochaine et même plus en 2017, sans plus de précision. Ce chiffre est à comparer avec les 660 Wh/L des batteries de 2015 chez Samsung. Cette avancée permettra de produire des batteries plus fines pour une même capacité ou d’une capacité supérieure à taille égale. La solution serait d’augmenter la tension des batteries : de 3,85V sur le Galaxy S6, elle pourrait passer à 4,35V en 2015, 4,4V en 2016 et 4,5V en 2017. Cela permettra d’augmenter la quantité d’énergie délivrée par la batterie au smartphone. Le géant coréen a également abordé le sujet de la charge rapide. Selon Samsung, la technologie évoluera en 2017 pour atteindre un taux de charge de 2C (Charge rate), contre 1,5C actuellement, ce qui permettrait de charger 85 % de la capacité totale d’une batterie en 30 minutes. Actuellement, 30 minutes de charge rapide (avec un adaptateur secteur Adaptive Fast Charge et un smartphone compatible) permettent d’atteindre environ 75 % de la capacité totale. Samsung promet aussi d’améliorer la longévité des batteries qui seraient capables d’atteindre 1000 cycles sans passer sous la barre des 80% de capacité. Actuellement, on tourne plutôt aux alentours de 500 cycles de décharge / recharge. Des capteurs photo RWB Le géant coréen s’est ensuite attaqué au sujet des capteurs photo comme on peut le voir sur les slides de MyDrivers. Samsung va commercialiser dans les mois à venir un capteur RWB pour Red White Blue, soit Rouge Blanc Bleu. Les capteurs traditionnels sont équipés de sous pixels Rouge Vert Bleu et Sony produit des capteurs Rouge Vert Bleu Blanc (RGBW), l’IMX278, notamment présent dans le Huawei P8. Samsung se passe donc de sous pixel vert, ce qui lui permet de diminuer la taille des pixels à 1 micron (contre environ 1,12 micron actuellement) et donc celle des capteurs également, pour proposer des designs toujours plus fins et compacts. Il serait ainsi capable de créer des capteurs de 16 mégapixels d’une hauteur de 5mm contre 6,5mm avec des pixels de 1,12um. On peut donc craindre une baisse de qualité des photos, mais Samsung rassure puisque l’utilisation d’un sous pixel blanc permettrait de conserver une bonne fidélité des couleurs et des performances intéressantes en basse luminosité. On l’a vu avec l’IMX278 du Huawei P8 qui a montré de bons résultats en basse luminosité et une bonne balance des blancs grâce à ses sous pixels blancs. En résumé, Samsung compte proposer des batteries et des capteurs photo plus compacts, plus fins, mais aussi plus performants.
  20. Un représentant d’Android au sein de Google a confirmé, et ce n’est plus vraiment une surprise, l’arrivée d’Android Macadamia Nut Cookie pour cette année. Sa présentation lors de la Google I/O parait donc inévitable. Il n’y avait plus beaucoup de doutes sur la présentation imminente d’Android M, et ils viennent de s’évanouir dans une interview du vice-président de l’ingénierie d’Android, Hiroshi Lockheimer. S’entretenant avec le site Fastcompany, l’homme est revenu sur la stratégie actuelle de Google vis-à-vis d’Android. « Nous avons une cadence annuelle pour les grosses annonces, avec les officialisations successives d’Android J, l’année d’après de K, celle encore après de L, et cette année nous lancerons M, et vous pouvez prévoir ce qu’il se passera l’année prochaine », explique-t-il. Cette année pourtant, avec le déploiement relativement lent et compliqué d’Android 5.0 Lollipop, on émettait des réserves sur l’officialisation d’une nouvelle version d’Android. Elle est pourtant bien au programme, et on en attend finalement pas mal de choses : l’amélioration de la gestion de l’autonomie et de la mémoire vive, une politique plus claire concernant les garanties des appareils Nexus, le support natif des lecteurs d’empreintes, ou encore le blocage des permissions de certaines applications. Comme pour KitKat, Android M ne devrait pas être une « nouvelle » version de l’OS à proprement parler puisque la ligne esthétique devrait rester la même. C’est généralement lors de grands changements de design que les versions d’Android prennent la peine de changer de numéro. Pour Android 6.0, il faudra donc sûrement attendre l’année prochaine.
  21. Un brevet publié par l’US Patent & Trademark Office aux États-Unis et repéré par le site Patentlymobile nous dévoile les détails d’un projet très intéressant dans les cartons chez Samsung. Le géant coréen prévoit un smartphone capable de se transformer en ordinateur une fois inséré dans un dock doté d’un clavier et d’un écran. La convergence des appareils mobiles et des ordinateurs de bureau est en marche depuis quelques années. D’ailleurs, j’imagine très bien un futur dans lequel on rentre chez soi le soir, on insère son smartphone dans un dock relié à un écran pour le transformer en ordinateur portable. Les ingénieurs du géant coréen semblent vouloir aller dans ce sens si l’on en croit le brevet publié récemment par l’organisme américain en charge des brevets. Samsung prépare un dock doté d’un écran ressemblant énormément à un ordinateur portable. Toutefois, il disposerait seulement d’un clavier, d’un trackpad et d’un écran. La partie processeur, mémoire vive et espace de stockage serait pris en charge par un smartphone qui viendrait se brancher dans une zone spéciale, au-dessus du clavier. Le smartphone passerait en mode dock et l’image serait alors retransmise sur l’écran avec le combo clavier / trackpad en périphérique de saisie. Samsung irait encore plus loin puisque le smartphone (ou plutôt phablette comme l’appelle le géant coréen dans son brevet) serait bel et bien installé sous Android mais passerait sous Windows une fois relié au dock. On imagine alors très bien un Galaxy Note 5 sous Android 5.1 Lollipop se transformer en phablette sous Windows 10 une fois insérée dans le dock prévu à cet effet. On serait donc face à un véritable ordinateur portable avec un écran, un clavier et un trackpad permettant de travailler bien plus confortablement que sur une phablette. Ce brevet pose toutefois quelques questions. Même si la puissance des puces mobiles a augmenté de manière exponentielle ses dernières années et rattrape petit à petit la puissance des processeurs destinés aux ordinateurs portables, le fossé de performances entre les deux est tout de même encore présent. Ce système pourrait donc éprouver des difficultés pour faire correctement tourner des logiciels un peu lourds comme Photoshop. Mais pour du traitement de texte et de la navigation sur Internet, ce projet pourrait être très intéressant. On croit également savoir que Google et Microsoft ont du mal à accepter ce genre de produit, permettant au consommateur de choisir au démarrage entre les deux systèmes d’exploitation. Mais l’impossibilité de démarrer Windows en mode phablette et Android en mode dock pourrait rassurer les deux géants.
  22. Tous les chargeurs ne sont pas égaux ! Nous avons testé pour vous les effets de plusieurs modèles sur la charge et la température de vos batteries. Différents chargeurs testés Tout comme le meilleur appareil photo est celui qui est dans votre poche au moment opportun, le meilleur smartphone est sans doute celui auquel il reste encore de la batterie… Malheureusement les réserves d’énergie de nos joujoux sont bien souvent sacrifiées sur l’autel du marketing et de sa course au smartphone le plus fin du monde. En pratique, nous finissons bien souvent par graviter dans un rayon restreint autour de la prise électrique la plus proche. Et par peur de manquer, nous en arrivons à développer des stratégies d’écureuil en disséminant des chargeurs un peu partout, dans toutes les pièces, à la maison, au travail… Ces chargeurs, justement, sont un sujet à part entière. Si l’Union européenne a réussi à imposer le format unique du micro-USB à (presque) tous les fabricants, tous les chargeurs n’en sont pas pour autant identiques. Plutôt que d’améliorer nettement la capacité des batteries, la tendance actuelle est en effet à développer de nouvelles techniques de charge, plus rapides, plus pratiques ou plus vendeuses. Et suivant les modèles et les technologies, le temps de charge peut bien passer du simple au triple ! Voici un petit tour d’horizon des chargeurs et de leurs effets sur vos batteries… À propos de ce comparatif Les tests qui suivent ont été réalisés à l’aide de l’application Ampere, que nous avons présentée précédemment sur FrAndroid et qui permet de mesurer l’efficacité d’un chargeur. Cette application a été utilisée sur un Galaxy Note 4 tournant sous CyanogenMod 12.1 (Android 5.1.1). C’est un appareil récent, capable de recevoir une intensité de courant importante, ce qui permet donc de bien comparer différentes sources d’énergie. L’application Ampere affiche “en direct” une valeur indicative de la charge gagnée par la batterie de l’appareil au cours des dernières secondes. Cette valeur n’est donc pas une lecture directe et brute du courant fourni par les chargeurs, mais l’intègre avec le fonctionnement des circuits de charge internes du téléphone, ainsi que sa consommation d’énergie au moment de la charge. C’est pourquoi nous n’avons utilisé qu’un seul et même appareil pour tous les tests, bloqué toutes les applications tournant en arrière-plan et risquant de consommer de l’énergie, et effectué des tests comparatifs écran éteint vs écran allumé. La plupart des tests présentés (à l’exception du dernier) ont été réalisés de la manière suivante : les min et max en mA fournis par Ampere sont lus toutes les minutes pendant 7 minutes, ainsi que la température de la batterie et le niveau de charge. Chaque comparaison est faite à charge initiale constante, ceci pour éviter des différences qui seraient dûes aux modulations dont sont capables les circuits de charges intelligents (type “quick charge”). Je précise enfin que je ne suis ni un ingénieur spécialisé en électronique, ni électricien, et que ça va sans doute se voir. Les spécialistes sont aimablement invités à compléter ou corriger ce qui doit l’être via les commentaires ou le bouton “signaler une erreur”. J’ai malgré tout tenté de réaliser ces comparaisons de manière rigoureuse, en gardant constants autant de paramètres que possible. Les résultats de ces comparatifs devraient donc être assez fiables et, je l’espère, assez informatifs pour les utilisateurs lambdas comme moi. Bonne lecture ! Effet de la consommation par l’écran Commençons par les vérifications de base : pour réaliser ces tests de manière efficace, il est plus simple de laisser l’écran allumé pour pouvoir faire de fréquentes lectures d’intensité. Mais un smartphone consomme davantage lorsque l’écran est allumé que lorsqu’il est éteint. Quelle est l’ampleur de cette différence et son impact sur les tests qui suivent? Le graphe ci-dessous montre la charge reçue par l’appareil posé sur un chargeur Qi, avec l’écran éteint ou allumé. On constate que la différence de charge est faible et que la variance des mesures est assez proche entre les deux modalités : nous pouvons donc continuer la suite des tests avec l’écran allumé. Il suffira de se souvenir que les valeurs obtenues doivent être additionnées de quelques dizaines de milliampères. Une petite remarque cependant, avant de continuer : ne prenez pas ce graphe comme un argument pour utiliser votre smartphone pendant la charge : ici, le smartphone n’effectue aucune tâche faisant tourner le processeur ou la carte graphique de manière importante, ce qui ne sera probablement pas votre cas si vous l’utilisez. Par ailleurs, un smartphone utilisé pendant la charge chauffe plus vite, ce qui n’est pas bon pour la batterie… SI l’écran est allumé ou éteint Comparaison générale des différents types de charge : de l’importance d’être constant Pour commencer ces tests, j’ai comparé les grandes techniques de charge en fonction de l’intensité (ci-dessous, en mA) reçue par le téléphone. Peu d’entre vous seront surpris, on observe les différences habituelles entre chargeur secteur et chargeur sans fil (Qi) : le chargeur secteur est celui qui fournit le plus d’énergie, le chargeur sans fil (Qi) étant moins efficace. Quant à la charge via USB, elle m’a réservé quelques surprises : je ne suis pas parvenu à dépasser les 300 mA, quel que soit l’ordinateur source, le câble utilisé ou le format du port USB source (2.0 ou 3.0). La charge USB est pourtant assurément capable de délivrer davantage (en théorie, jusqu’à 1500mA pour le standard 3.0) et comme vous le verrez un peu plus loin, j’ai pu émettre 700mA via un chargeur Qi alimenté par ces mêmes ports USB. Mystère, donc… Le Galaxy Note 4 est-il, pour une raison ou une autre, incapable de gérer des chargeurs moins puissants qu’un certain seuil? Il semblerait que ce soit le cas, car j’ai également testé des chargeurs secteur de 0.8A, et le résultat était le même. Il est connu que les smartphones récents refusent de charger si le courant est inférieur à 500mA (en particulier si la source est un port USB) et cette règle est incluse dans le kernel de CM12.1 pour le Note 4. Mais ça n’aurait pas dû poser problème puisque, comme je le disais, les ports USB testés envoient au moins 700mA. Si vous avez la solution, n’hésitez pas à la partager dans les commentaires ! Ci-dessus : amplitude moyenne de la charge (en mA) sur la durée des mesures, pour différentes catégories de chargeurs. J’ai également découvert une autre caractéristique des chargeurs à laquelle je n’avais pas pensé, et que l’on évoque assez rarement. En effet, l’amplitude maximale de la charge n’est pas le seul paramètre à prendre en compte, car j’ai constaté que la variation de l’énergie reçue dans le temps peut être très importante, et très différente d’un type de charge à l’autre. Le graphe ci-dessous vous montre la différence (en pourcentage) entre les charges maximale et minimale fournies par le chargeur durant notre test. Plus cette valeur est grande, plus la charge fournie est instable : concrètement, un chargeur donné peut fournir par exemple jusqu’à 1.4A, mais en pratique, il peut-être en dessous de 500mA pendant la moitié du temps de charge. Cette instabilité est donc une information très utile à connaitre, aux côtés de l’intensité maximale du chargeur. Au cours de mes essais, j’ai donc pu observer que les chargeurs secteurs étaient les plus fiables, avec une variation de seulement 13% entre le minimum et le maximum fournis. La charge sans fil (Qi) s’est révélée plus instable avec 35% de variation. Attention, cet effet peut-être encore amplifié si vous positionnez mal votre téléphone sur le chargeur : les bobines risques de se découpler-recoupler en permanence, générant beaucoup de chaleur mais pas de charge… La plus mauvaise surprise, encore une fois, est venue de la charge USB avec 92% de variation en moyenne entre les minimums et les maximums… En pratique, la charge USB descendait en fait très souvent à 0mA ! Ci-dessus : instabilité de la charge (% de différence entre les valeurs minimales et maximales constatées). Charge sans fil : pensez à remonter jusqu’à la source ! Les “chargeurs sans fil” ne sont sans fil qu’à un bout du schmilblick, mais à l’autre extrémité il leur faut bien être reliés à une prise murale par un bloc d’alimentation. Si certains chargeurs Qi sont fournis avec une alimentation maison (auquel cas on peut supposer que le chargeur fourni est adapté) d’autres sont fournies sans, et d’autres encore sont pourvues d’une entrée micro-USB compatible avec d’autres chargeurs qu’on est tenté d’y brancher sans se poser trop de questions. J’ai voulu tester l’effet de différents blocs d’alimentation sur un chargeur sans fil d’origine Samsung, accessoire officiel de mon Galaxy Note 4 de test, et qui est fourni sans alimentation secteur. J’ai mesuré l’intensité fournie lorsqu’il était alimenté par USB, par un chargeur Samsung “classique” fournissant 1A, et par le chargeur “Quick Charge” officiel du Note 4. Les résultats sont, à nouveau, un peu inattendus. La charge moyenne fournie par le chargeur Qi (ci-dessous, en rouge) est en fait inversement proportionnelle à la puissance de l’alimentation qui y est branchée. C’est l’alimentation USB qui permet au Qi de fournir le plus de courant au Note 4, alors que le chargeur Quick Charge (théoriquement le plus puissant) se révèle le moins efficace. De la même manière, l’alimentation qui rendait le Qi le plus instable était le Quick Charge, alors que l’USB permettait une charge beaucoup plus fiable (ci-dessous, en bleu). Sans être spécialiste des rouages de ces gadgets, il est difficile d’interpréter ces résultats sans faire de conjectures (et si vous en savez plus – suivez mon regard vers “Dodutils” -, n’hésitez pas à compléter dans les commentaires). On peut malgré tout supposer que le chargeur Qi est conçu pour recevoir une intensité proche – et un peu supérieure – de celle qu’il est lui-même sensé délivrer (ce qui correspond à l’ampérage de l’USB) et qu’une intensité supérieure n’est pas adéquate. Pourquoi? On peut imaginer que les circuits internes du chargeur Qi sont “saturés” par une intensité trop importante, ou bien que ce surplus de puissance augmente la température dégagée par le chargeur Qi et que le smartphone, surchauffé, stoppe régulièrement la charge. Dans les deux cas, l’instabilité de la charge est augmentée, ce qui diminue l’intensité moyenne du courant reçu par l’appareil. En tout cas, si cet exemple est généralisable, nous ne pouvons que vous déconseiller d’utiliser une alimentation trop puissante sur un chargeur Qi. La bonne nouvelle, c’est qu’un port USB devrait suffire ! Ci-dessus : Amplitude (en rouge) et instabilité (en bleu) de la charge en fonction de l’alimentation branchée sur un même chargeur Qi. Quick Charge vs chargeurs Qi : certains l’aiment chaud Les deux techniques de charge les plus en vogue actuellement sont la charge sans fil (aussi appelée charge par induction, et connue sous la norme-marque “Qi”) et la “charge rapide” apparue tout récemment sous l’impulsion commerciale de Qualcomm, et qui permet comme son nom l’indique de charger les batteries plus rapidement en valorisant davantage l’énergie émise par le chargeur. Chacune de ces technologies a ses avantages : les chargeurs Qi sont extrêmement pratiques à utiliser pour des charges fréquentes tout au long de la journée, et la charge rapide permet de ne se préoccuper de la charge qu’une fois par jour en y passant le moins de temps possible. Ces deux techniques ont cependant été critiquées pour un inconvénient important : elles génèrent beaucoup de chaleur. Or, comme vous le savez, la chaleur diminue la longévité des batteries. J’ai donc comparé charge sans fil et charge rapide en mesurant la vitesse de charge et la chaleur émise dans les deux cas. Les tests sont réalisés en partant d’une batterie chargée à 30%, pour une température initiale de 28°C. Le niveau de charge et la température de la batterie sont ensuite relevés toutes les 5 minutes pendant 140 minutes. Le premier graphe ci-dessous fait figure de rappel et montre les efficacités des deux techniques en ce qui concerne la charge : vous vous en doutiez, la charge rapide explose le Qi et permet d’atteindre les 100% en 90 minutes, alors que le Qi n’a toujours pas terminé au bout de 140 minutes. On observe également une caractéristique intéressante, souvent évoquée, du chargeur rapide : après environ 75% (soit entre 30 et 40 minutes), il repasse en mode de charge classique et la vitesse de charge diminue progressivement. Ci-dessus : Évolution temporelle du niveau de charge d’un Galaxy Note 4 (en % de la charge maximale) en fonction du type de chargeur utilisé. Passons maintenant à la température (ci-dessous). Les résultats ici sont plus inattendus et intéressants. Durant les premières 30 à 40 minutes, la charge rapide chauffe davantage que la charge sans fil. On pourrait donc supposer qu’elle endommage davantage la batterie. Cependant, après cette phase la température baisse très rapidement pour retourner à la normale à 80 minutes (alors que le chargeur continue de fonctionner pendant cette période). La charge Qi continue, elle, de chauffer jusqu’à la fin, et la température de la batterie augmente jusqu’à environ 105 minutes, où elle se stabilise. Au final, on atteint un maximum d’environ 40°C pour la charge Qi et 36°C pour la charge rapide. On pourrait donc présenter les choses comme un compromis : certes, la charge rapide dégage davantage de chaleur en début de charge, mais elle chauffera votre batterie moins longtemps. Ci-dessus : Évolution temporelle de la température de la batterie d’un Galaxy Note 4 en fonction du type de chargeur utilisé. Pour s’en convaincre définitivement, on peut regarder le graphe ci-dessous : il est un peu moins évident à lire, mais ça vaut le coup. Ce graphe représente une synthèse des deux précédents, c’est-à-dire que la valeur présentée est le ratio entre la chaleur dégagée et la charge gagnée : plus cette valeur est faible, plus la technique permet de gagner en pourcentage de batterie pour un degré de chaleur (une valeur plus faible est donc meilleure). Le constat est sans appel : la charge rapide (en bleu) reste en permanence sous la charge par induction (en rouge), par conséquent elle permet de charger plus vite en chauffant moins. Ci-dessus : Evolution temporelle du rapport entre l’augmentation de température et le gain de charge d’un Galaxy Note 4 en fonction du type de chargeur utilisé (les valeurs les plus faibles sont les meilleures).
  23. Samsung devrait officialiser dans les semaines qui viennent un Samsung Galaxy S6 Active. Le mobile a en tout cas été aperçu sur deux photographies. On en a l’habitude : Samsung dévoile presque toujours des versions Active de ses smartphones et tablettes haut de gamme. Ainsi, on a eu la chance de voir un Samsung Galaxy S5 Active l’an passé, et l’histoire devrait se reproduire avec le Samsung Galaxy Active, qui se montre pour la première fois dans des photos volées aujourd’hui. Elles ont été transmises à Gsmarena par une source anonyme, et on y retrouve les traits caractéristiques de ces versions durcies. Les boutons sensitifs disparaissent donc au profit de boutons physiques (sans lecteur d’empreinte), et une épaisse couche de caoutchouc vient recouvrir le mobile. On reconnait le Galaxy S6 Active à son capteur photo dorsal, semblable à celui de son aîné, mais aussi grâce à l’inscription au bas de la coque du terminal. Il est d’ailleurs surmonté d’un logo de l’opérateur américain Sprint. Côté caractéristiques techniques, on s’attend à ce que le mobile soit semblable au S6. Il devrait donc être équipé d’un écran Super AMOLED de 5,1 pouces à la définition WQHD (1440 × 2560 pixels), d’un capteur photo dorsal de 16 mégapixels ou encore d’un processeur Exynos 7420. Mais ses dimensions devraient être revues à la hausse puisqu’on s’attend à y trouver une batterie de 3500 mAh, tandis que la version classique embarque un accumulateur de « seulement » 2600 mAh. Enfin, il devrait porter le numéro de modèle SM-G890A. Ce qu’on ne sait pas, c’est si le constructeur a également prévu une version Edge Active, mais il y a fort à parier que ce ne soit pas le cas.
  24. La mise à jour aura pris beaucoup plus de temps que prévu mais Android 5.1.1 est enfin disponible pour la Nexus 9. Une mise à jour OTA a été lancée dans la nuit par Google et il est possible de la télécharger sur le site d’Android. Pour les flasheurs, une factory image est également disponible. Une semaine tout juste après la mise en ligne de la mise à jour OTA vers Android 5.0.2 de la Nexus 9, la dernière tablette de Google dispose enfin de la dernière version en date d’Android. Google a en effet commencé à déployer dans la nuit la mise à jour OTA vers Android 5.1.1. Elle devrait arriver automatiquement sur les tablettes des utilisateurs mais il est également possible de la télécharger sur le site officiel d’Android, à cette adresse (lien direct, 400,7 Mo). Rappelons que pour installer correctement cette mise à jour OTA la Nexus 9 ne doit ni être rootée ni être installée sur une ROM custom. Si c’est toutefois le cas, Google a pensé à vous et a mis en ligne une factory image que l’on peut télécharger sur le site officiel d’Android. Pour une raison inexpliquée, la Nexus 9 a subi de gros retards concernant ses mises à jour de sa version d’Android. Comme nous l’expliquions la semaine dernière, la Nexus 9 est restée coincée sous Android 5.0.1 durant près de 5 mois alors que tous les autres appareils Nexus avaient eu droit à des mises à jour régulières. Google ne s’est jamais réellement expliqué sur le sujet. Espérons que les mises à jour de la tablette seront désormais plus fréquentes.
  25. Cela fait maintenant quatre mois qu’Android Lollipop a officiellement été lancé par Google. Comme toutes les mises à jour d’Android, ce sont les constructeurs des appareils qui décident et intègrent la mise à jour pour leurs smartphones et tablettes. Des mises à jour qui ont timidement débuté à la fin de l’année dernière et qui s’accellèrent depuis le début du mois de janvier 2015. Nous avons dressé une liste des principaux smartphones et tablettes de 2014 qui ont eu droit à cette mise à jour ou qui s’apprêtent à la recevoir. NB : Article mis à jour le 24/04/2015 Android 5.0 Lollipop Le tableau ci-dessous est mis à jour régulièrement. Ce tableau dresse le portrait des principaux appareils, par marque, qui ont eu droit à une mise à jour vers Lollipop ou, si ce n’est pas le cas, qui indique une date de sortie évoquée par le constructeur. Notez bien que le statut des appareils ci-dessous est valable pour smartphones achetés nus. Dans le cas d’appareils achetés dans le cadre d’un abonnement avec un opérateur, il est possible que les mises à jour vers Lollipop subissent un peu de retard. Concernant Lollipop en lui-même, nous avons réalisé un dossier récapitulatif sur les principales nouveautés introduites par Lollipop et avons également dressé une liste des 17 fonctionnalités phares de l’OS à la sucette. Le tableau ci-dessous a été mis à jour le 24/04/2015. Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Sony Xperia Z3 Reçue Xperia Z3 Compact, Z3 Tablet Reçue Xperia Z2, Tablet Z2 Reçue Xperia Z1, Z1 Compact, Z Ultra et Z3 Dual Prévue pour la semaine du 13 avril Xperia Z, Tablet Z Prévue pour avril / mai Xperia C, Xperia E, Xperia M, Xperia T T2 Ultra et le C3 : prévue à partir du 20 avril Samsung Galaxy S5 Reçue (versions Exynos et Snapdragon en janvier 2015) Galaxy S5 4G+ Prévue mais sans date de sortie précise Galaxy S5 mini Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 Galaxy Note 4 En cours de déploiement Galaxy Note 4 Edge En cours de déploiement Galaxy Alpha Prévue mais sans date de sortie précise Galaxy S4 Reçue Galaxy S4 Mini Confirmée mais sans date précise Galaxy Note 3 Non reçue mais prévue pour mars ou avril 2015 Galaxy Note 2 Non reçue (prévue à une date indéterminée) Galaxy S3 Jamais, tout du moins sur les versions 3G Galaxy Tab S 10. 5 Reçue Galaxy Tab Pro/Note 10.1 et 12.2 (2014) Probable mais jamais annoncée HTC One M8 Reçue One M8 Mini Jamais One M7 Reçue Desire EYE Prévue pour mars ou avril 2015 Desire 816 Prévue pour mars ou avril 2015 LG LG G3 Reçue LG G Pro 2 Reçue LG G2 Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 LG G Flex En attente LG G Pad 8.3 En attente LG G3S En cours de déploiement Google Nexus Nexus 4 Reçue Nexus 5 Reçue Nexus 6 Reçue Nexus 7 2012 Reçue Nexus 7 2013 Reçue, y compris pour la version 4G Nexus 9 Reçue Nexus 10 Reçue Motorola Moto X 2014 Reçue Moto X 2013 Prévue mais sans date de sortie précise Moto G 2014 Reçue Moto G 4G Prévue mais sans date de sortie précise Moto G 2013 Reçue Moto E Prévue mais sans date de sortie précise Moto E 4G (2015) Reçue Acer Liquid Jade S Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 Asus Zenfone 5 4G Prévue au deuxième trimestre de 2015 Fonepad 7 (version ME372CG) En cours de déploiement OnePlus One Déploiement en cours vers Android 5.0.2 Meizu MX4 et MX4 Pro Prévue pour mars ou avril 2015 Nvidia Shield Tablet Reçue Shield Prévue mais sans date de sortie précise Wiko Tous les appareils sortis en 2014 Aucune information disponible et déploiement très peu probable Xiaomi Mi3, Mi 2, Mi 2A, Mi 2S Prévue pour le premier semestre de 2015 Huawei Ascend Mate 7 Prévue pour mai 2015 Ascend P7, Ascend Mate 2 Prévue pour juillet 2015 Ascend G7 Prévue pour septembre 2015 Honor Honor 6 Prévue pour juin 2015 Honor 6 Plus Prévue pour juillet 2015 Honor 4X Prévue entre le mois de juin et septembre 2015 Oppo Find 7, Find 7a Prévue pour le mois de mai 2015 Find 5, N1, R819 Jamais Sony Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Sony Xperia Z3 Reçue Xperia Z3 Compact, Z3 Tablet Reçue Xperia Z2, Tablet Z2 Reçue Xperia Z1, Z1 Compact, Z Ultra et Z3 Dual Reçue Xperia Z, Tablet Z Prévue pour avril / mai Xperia C, Xperia E, Xperia M, Xperia T Le T2 Ultra et le C3 devraient recevoir la mise à jour bientôt Sony fait figure de mauvais élève parmi les constructeurs importants de smartphone. Actuellement aucun de ses appareils n’a encore reçu la mise à jour. Le japonais communique toutefois régulièrement sur l’avancement de la mise à jour de ses produits vers Lollipop. Les sources ont ainsi été mises à disposition des développeurs et on s’attend à une mise à jour de sa gamme complète d’appareils pour mars 2015, voire avril 2015 au plus tard. La bonne nouvelle dans tout cela, c’est que cette mise à jour tardive profitera à des téléphones relativement anciens. Le Xperia Z premier du nom ainsi que le Xperia Z2 devrait avoir droit à Lollipop à quelques semaines d’intervalle. Un mal pour un bien en quelque sorte. Mise à jour du 13/04/2015 : Sony démarre aujourd’hui le déploiement de Lollipop sur les Xperia Z3 dual, Z1, Z1 Compact et Z Ultra. Les Xperia C3 et Xperia T2 Ultra seront concernés à partir de la semaine du 20 avril. Mise à jour du 17/03/2015 : Sony vient de débuter le déploiement de la mise à jour pour les Xperia Z3 et Z3 Compact. Les pays baltes et nordiques sont les premiers concernés. D’ici deux semaines, les autres pays bénéficieront de la mise à jour, tout comme le reste de la gamme en commençant par la Z3 Tablet Compact puis la gamme Z2 et enfin les Z. Les mises à jours des autres Xperia Z devrait suivre « peu de temps après ». Mise à jour du 23/03/2015 : Alors que Sony avait promis la mise à jour vers Lollipop pour le Xperia Z3 pour la semaine du 16 mars, cette dernière n’est toujours pas disponible « mais c’est en bonne voie ». On ne sait toujours pas quand cette mise à jour sortira exactement. Mise à jour du 30/03/2015 : Sony vient d’annoncer la mise à jour imminente des Z3 à travers le monde. Le Xperia Z2 et la Z2 Tablet y auront droit la semaine prochaine. Mise à jour du 08/04/2015 : Lollipop est enfin arrivé sur les Xperia Z2 et Z2 Tablet. Les Z3 Dual, Z1, Z1 Compact et Z Ultra devraient suivre la semaine prochaine. Ce serait ensuite au tour des T2 Ultra et C3 puis de la série Xperia Z. En savoir plus : Les touches de navigation Lollipop seront un peu particulières chez Sony Samsung Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Samsung Galaxy S5 Reçue (versions Exynos et Snapdragon en janvier 2015) Galaxy S5 4G+ Prévue mais sans date de sortie précise Galaxy S5 mini Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 Galaxy Note 4 En cours de déploiement Galaxy Note 4 Edge En cours de déploiement Galaxy Alpha Prévue mais sans date de sortie précise Galaxy S4 Reçue Galaxy S4 Mini Confirmée mais sans date précise Galaxy Note 3 En cours de réception Galaxy Note 3 Neo Prévue mais sans date Galaxy Note 2 Non reçue (prévue à une date indéterminée) Galaxy S3 Jamais, tout du moins sur les versions 3G Galaxy Tab S 10. 5 Reçue Galaxy Tab Pro/Note 10.1 et 12.2 (2014) Probable mais sans date de sortie précise Le déploiement de Lollipop sur les appareils de Samsung a été pour le moins chaotique. Le premier appareil du coréen a disposer de Lollipop a été le Galaxy S5, dont la mise à jour a été déployée en janvier dernier. Samsung assure d’ailleurs un suivi exemplaire, puisqu’une seconde a été mise en ligne quelques jours après, et met le téléphone à jour vers la version 5.0.2 de Lollipop avec, en plus, un véritable mode silencieux. En savoir plus : Samsung Galaxy S5 : Lollipop est arrivé et voici les changements qu’il apporte Le cas des autres appareils de Samsung est un peu plus flou. On sait que le déploiement de Lollipop sur le Galaxy Note 4, Galaxy Note 4 Edge, Galaxy Note 3 et le Galaxy S4 est imminent. La ROM est actuellement déployée en Corée du Sud et dans quelques pays de l’Europe de l’Est, certainement pour la tester et devrait arriver sur les smartphones occidentaux d’ici quelques jours ou semaines. Il reste enfin quelques inconnues dans les appareils de Samsung. Le cas du Galaxy Alpha, pourtant sorti peu de temps avant le Galaxy Note 4, est à ce jour inconnu. Il serait improbable que Samsung ne le mettre pas à jour vers Lollipop mais il n’a jamais communiqué sur le statut de cet appareil depuis le début de l’année. Même remarque pour la version Mini du Galaxy S5, dont on ne sait pas quand la mise à jour arrivera si ce n’est à un vague « deuxième trimestre de l’année« . Enfin, Samsung a confirmé que le Galaxy Note 2 aura bel et bien droit à Lollipop. Mais là encore, le mystère plane quant à une quelconque date de sortie. Enfin, le Galaxy S3 n’aura jamais droit à une mise à jour vers Lollipop. Le smartphone de 2012 de Samsung n’a jamais eu droit à une mise à jour vers KitKat l’année dernière, ce qui signifie que Lollipop lui est également interdit. Le cas des versions 4G du Galaxy S3 est cependant inconnu. Mise à jour du 23/03/2015 : Alors que l’on attend toujours la mise à jour vers Lollipop des Galaxy Note 3 (elle vient d’arriver sur certains modèles !), Samsung a déployé une mise à jour vers Android 5.0 pour sa tablette de 2014, la Galaxy Tab S 10.5. Cette dernière est donc maintenant sous Android 5.0.2. Deuxième information, Samsung vient à peine de commencer le développement de Lolipop pour les tous nouveaux Galaxy A (A3, A5 et A7), sortis sous KitKat. Il ne faudra donc pas attendre la mise à jour avant de nombreuses semaines. Mise à jour du 25/03/2015 : Samsung France a confirmé l’arrivée dans le courant de l’année de Lollipop sur le Galaxy Note 3 Neo, version « lite » du Galaxy Note 3. Mise à jour du 31/03/2015 : le déploiement d’Android 5.0 Lollipop vient de commencer en France sur le Galaxy S4 de Samsung. Mise à jour du 24/04/2015 : Le Galaxy Note 4 a enfin eu droit à une mise à jour vers Lollipop en France. On ne sait pas encore si elle concerne également le Galaxy Note Edge. Mise à jour du 27/04/2015 : Après un imbroglio sur les réseaux sociaux, Samsung a confirmé l’arrivée de Lollipop sur les Galaxy S4 Mini, mais préciser sa date de déploiement exacte. Mise à jour du 28/04/2015 : Après le Galaxy Note 4, c’est au tour du Galaxy Note Edge de recevoir la mise à jour vers Android Lollipop en version 5.0.1. HTC Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop HTC One M8 Reçue One M8 Mini Jamais One M7 Reçue Desire EYE Prévue pour mars ou avril 2015 Desire 816 Prévue pour mars ou avril 2015 Dès l’annonce de Lollipop, HTC avait promis de porter le nouvel OS de Google sur le HTC One (M8) en moins de 90 jours. Le pari a été plus ou moins tenu puisque la mise à jour est arrivée à la mi-janvier aux Etats-Unis et à la fin janvier en France. Mieux, Lollipop a été déployé sur le HTC One (M7) quelques jours plus tard. Pour les autres appareils, c’est beaucoup plus flou. HTC communique assez peu sur ses smartphones de milieu et d’entrée de gamme. On se doute ainsi que le HTC One Mini 2 devrait bien recevoir Lollipop, mais on ne sait pas exactement quand. Même constat pour les différents Desire, dont les modalités de déploiement de Lollipop sont encore très vagues. Le second trimestre reste toutefois une bonne estimation. Mise à jour du 23/03/2015 : Si Lollipop a bien été déployé vers Android Lollipop, ce sera très certainement sa dernière mise à jour. HTC a en effet confirmé que le HTC One M7 resterait pour la fin de sa vie sous Lollipop en version 5.0.2. Mise à jour du 04/05/2015 : HTC a annoncé que le HTC One Mini (M7 comme M8) n’aura pas droit à Lollipop. Raison officielle : « l’expérience utilisateur fournie par le HTC One mini 2 avec Android 5.0 Lollipop était insuffisante ». LG Electronics Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop LG LG G3 Reçue LG G Pro 2 Reçue LG G2 Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 LG G3S Prévue mais sans date de sortie précise A l’inverse de Sony, LG a été l’un des premiers constructeurs à déployer Lollipop sur son flagship, le LG G3, dès la mi-décembre en France. Un record de vitesse, que seul Motorola a égalé. Pour autant, une fois la mise à jour du G3 passée, c’est le désert de sucette sur les autres appareils du coréen. On sait déjà que Lollipop a été partiellement déployé sur les LG G2 sud-coréens, mais LG ne communique pas sur une sortie en occident. Quant aux autres appareils d’entrée et de milieu de gamme, c’est le blackout total. LG n’a rien dit à propos du G3S ni du G Flex, pourtant sorti en 2014 et de ses innombrables appareils sortis l’année dernière, pourtant installés sous KitKat. On attendra le deuxième et le troisième trimestre de cette année pour savoir ce qu’il en est. Mise à jour du 23/03/2015 : Après un très long silence radio, LG a enfin communiqué sur la mise à jour du LG G2 vers Lollipop. Il faudra attendre le deuxième trimestre de cette année, sans plus de précisions. Google Nexus Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Google Nexus Nexus 4 Reçue Nexus 5 Reçue Nexus 6 Reçue Nexus 7 2012 Reçue Nexus 7 2013 Reçue, y compris pour la version 4G Nexus 9 Reçue Nexus 10 Reçue La gamme des Google Nexus est la plus simple : tous les téléphones et tablettes, à partir du Nexus 4 ont eu droit à une mise à jour vers Lollipop dès octobre dernier. Les appareils de Google sont toujours les premiers à bénéficier des mises à jour d’Android. Le Nexus 5 et le Nexus 6 ont ainsi été les premiers à avoir eu droit à une sucette, très vite suivi du Nexus 4 et des diverses tablettes de la gamme. Seule ombre au tableau, la Nexus 7 2013, dans sa version 4G a dû attendre la mi-janvier pour avoir droit à la précieuse mise à jour. On a vu pire. Mise à jour du 13/03/2015 : Google a déployé durant la première partie du mois de mars 2015 une mise à jour vers Android 5.1 pour les Nexus 5, Nexus 7 2012 (WiFi), Nexus 10 et Nexus 6. Pour l’instant seules les factory image sont disponibles mais les mises à jours en OTA ne devraient pas tarder. Mise à jour du 23/03/2015 : Quelques jours après les factory images, ce sont les fichiers OTA vers Android 5.1 qui sont disponible au téléchargement pour les Nexus 5, Nexus 6, Nexus 7 2012 (WiFi) et Nexus 10. Motorola Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Motorola Moto X 2014 Reçue Moto X 2013 Prévue mais sans date de sortie précise Moto G 2014 Reçue Moto G 4G Prévue mais sans date de sortie précise Moto G 2013 Reçue, y compris pour la version 4G Moto E Prévue mais sans date de sortie précise Moto E 4G (2015) Reçue Motorola faisait partie de ces constructeurs à promettre un déploiement rapide de Lollipop sur ses appareils. Et le pari est dans l’ensemble réussi. A la mi-février, seul le Moto G 2013, le Moto E, le Moto G 4G (2013) et le Moto X 2013 n’ont pas encore été mis à jour. Les autres appareils, Moto X 2014 en tête, suivi du Moto G 2014 sont déjà sous Lollipop. Si Lollipop ne devrait pas tarder sur le Moto E et sur le Moto G 2013 (une question de jours ou de semaines), le cas du Moto X 2013 est plus problématique. Motorola a ainsi confirmé avoir rencontré des problèmes avec la partie hardware de l’appareil et ne sait pas quand la mise à jour pourra être mise en ligne. Il faudra certainement attendre quelques mois. Mise à jour du 23/03/2015 : La mise à jour vers Lollipop du Moto X 2013 avance bien. Motorola teste actuellement une ROM avec des utilisateurs triés sur le volet. La mise à jour devrait arriver d’ici quelques semaines maintenant. Mise à jour du 24/04/2015 : La mise à jour pour le Moto X 2013 se précise. Elle est actuellement testée au Brésil avec Android en version 5.1. Acer Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Acer Liquid Jade S Prévue pour le deuxième trimestre de 2015 Longtemps positionnés sur l’entrée de gamme, la très grande majorité des produits Acer ne passeront pas sous Lollipop. Acer fait toutefois des efforts depuis quelques mois, notamment avec sa nouvelle gamme de smartphones de milieu de gamme, les Liquid Jade. Si l’on ne sait pas si le Liquid Jade, sorti l’année dernière, aura droit à Lollipop, Acer a en tout cas confirmé que Lollipop arrivera bien durant le second trimestre sur le nouveau Liquid Jade S. Asus Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Asus Zenfone 5 4G Prévue au deuxième trimestre de 2015 Fonepad 7 (version ME372CG) En cours de déploiement Les rares informations concernant la mise à jour des téléphones d’Asus proviennent de leaks. Il se murmure juste que les Zenfone de l’année dernière auront droit à une mise à jour. Concernant la France, cela signifie qu’une mise à jour sur le Zenfone 5 LTE devrait être disponible d’ici quelques mois. Mise à jour du 23/03/2015 : Asus a mis à jour son Fonepad 7 (version ME372CG) vers Lollipop en Italie. La mise à jour pour la France devrait également être en cours de déploiement ou ne pas tarder. OnePlus Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop OnePlus One En cours de déploiement OnePlus, comme beaucoup de constructeurs, a affirmé un temps pouvoir déployer Lollipop sur le One en moins de 90 jours. Las, la jeune marque n’avait pas anticipé les tensions avec les développeurs de sa ROM Cyanogen Inc. Résultat, il faudra maintenant attendre le milieu ou la fin du mois de mars prochain pour pouvoir goûter à Lollipop. Pour les plus pressés, une ROM stock est toutefois disponible sur les forums de la marque. Mise à jour du 13/03/2015 : la mise à jour vers Lollipop sur le OnePlus One sera plus en retard que prévu. Désormais, OnePlus indique que la mise à jour est prévue pour la fin du mois de mars, voire, plus probablement, au début du mois d’avril 2015. Mise à jour du 23/03/2015 : OnePlus l’a promis, le OnePlus One sera mis à jour vers Lollipop avant le 30 mars prochain. Le OnePlus One passera donc sous Cyanogen Mod 12S (Lollipop) avant cette date et OnePlus mettra également à disposition du grand public Oxygen OS, sa propre ROM sous Android Lollipop dès le 27 mars. Mise à jour du 14/04/2015 : Après deux bonnes semaines de retard et des promesses non tenues, la mise à jour vers Lollipop pour le OnePlus One est enfin en cours de déploiement. Une mise à jour vers Cyanogen OS 12 est désormais disponible. Le OnePlus One est enfin sous Lollipop. Mise à jour du 24/04/2015 : OnePlus n’est pas vraiment le champion de la communication quand il s’agit des mises à jour. Ainsi, la première mise à jour vers Lollipop a été suspendu temporairement quelques jours après sa sortie et remplacée rapidement, après une pause de trois jours, par une nouvelle mise à jour corrigeant des bugs et ajoutant une fonction « Ok OnePlus ». A priori, c’est la bonne. Meizu Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Meizu MX4 et MX4 Pro Prévue pour mars ou avril 2015 Les constructeurs chinois n’ont pas été particulièrement bavards sur la mise à jour vers Lollipop. Meizu fait partie de ceux-ci et s’est simplement contenté pour l’instant d’affirmer qu’une mise à jour pour le MX4 et le MX4 Pro était dans les tuyaux. Sortie prévue pour mars ou avril 2015. Mise à jour du 24/03/2015 : Une roadmap tout juste leakée en Chine indique que les MX4 et MX4 Pro recevront Lollipop d’ici la fin avril. Lex MX2 et MX3 devront attendre la fin mai quand le M1 patientera jusqu’en juin. Nvidia Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Nvidia Shield Tablet Reçue Shield Prévue mais sans date de sortie précise Nvidia est également un bon élève. Il faut dire que le fondeur américain n’a pas beaucoup d’appareil à mettre à jour. Ceci dit, il a été le premier constructeur, après Google, à avoir déployé la mise à jour et ce, dès la fin du mois de novembre 2014 sur la Shield Tablet. Le suivi a été exemplaire puisqu’un mois plus tard, une nouvelle mise à jour était disponible et faisait passer la tablette sous Android 5.0.1. Concernant la Shield (Portable), le premier produit de NVIDIA, est encore sous Android 4.4.2 (KitKat). Pour le moment, aucune mise à jour n’a été programmée. Wiko Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Wiko Ridge 4G, Ridge Fab 4G, Highway Star 4G, Highway Pure 4G Prévue durant les 12 mois qui suivent leur sortie Tous les appareils sortis en 2014 Aucune information disponible et déploiement très peu probable Le cas de Wiko est simple : Wiko n’a jamais communiqué sur Lollipop. Malgré son poids important dans les ventes de smartphone en France, le constructeur franco-chinois n’a donné aucune indication. On se contentera donc dire que pour l’instant, il est peu probable que ses appareils sortis l’année dernière aient un jour droit à Lollipop. L’espoir est d’autant plus mince, que les smartphones de Wiko de ce début d’année sont encore coincés sous KitKat. Mais qui sait ? Wiko a tendance à prévenir des mises à jour quelques jours seulement avant leur déploiement. Mise à jour du 13/03/2015 : Wiko a prodité du Mobile World Congress 2015, qui se tenait au début du mois de mars 2015 pour communiquer sur sa politique de mise à jour. Si la mise à jour des appareils de Wiko sortis en 2014 est toujours aussi peu probable, Wiko s’est toutefois engagé lors du MWC 2015 à mettre à jour tous ses nouveaux appareils, sortis en 2015 et après, donc, vers la nouvelle version d’Android 12 mois après leur sortie. Cela signifie concrètement que les Ridge 4G, Ridge Fab 4G, Highway Star 4G et Highway Pure 4G seront installés lors de leur sortie sous KitKat mais qu’une mise à jour sous Lollipop est prévue durant leur première année d’existence. Xiaomi Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Xiaomi Mi3, Mi 2, Mi 2A, Mi 2S Prévue pour le premier semestre de 2015 Le cas de Xiaomi est compliqué. Le constructeur chinois a timidement communiqué sur le sujet en novembre dernier puis n’a plus rien annoncé depuis. Aux dernières nouvelles, Xiaomi testerait sur un petit comité de bêta-testeurs une ROM sous Lollipop, réservée aux propriétaires de Mi 2. Mais on ne sait ni quand cette ROM sortira, ni sur quels appareils exactement./ Huawei et Honor Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Huawei Ascend Mate 7 Prévue pour mai 2015 Ascend P7, Ascend Mate 2 Prévue pour juillet 2015 Ascend G7 Prévue pour septembre 2015 Honor Honor 6 Prévue pour juin 2015 Honor 6 Plus Prévue pour juillet 2015 Honor 4X Prévue entre le mois de juin et septembre 2015 Le constructeur chinois Huawei a été long a la détente mais vient finalement de nous parler un peu mises à jour. Il a ainsi fournit son calendrier de mises à niveau pour l’année 2015, avec des déploiements prévus à partir du mois de mai, et jusqu’à septembre. Sont donc concernés les Mate 7, Mate 2, G7, ou encore P7. Le constructeur a touché aussi un mot des smartphones Honor, avec des déploiements prévus pour le Honor 6, Honor 6 Plus, et Honor 4X. Oppo Marque Modèle Mise à jour vers Lollipop Oppo Find 7, Find 7a Prévue pour le mois de mai 2015 Find 5, N1, R819 Jamais Après six long mois de silence, Oppo s’est enfin décidé à communiquer sur la mise à jour de ses Oppo Find 7 et Find 7a. Si l’on en croit un récent billet de forum, la mise à jour de ColorOS vers Lollipop interviendra au mois de mai 2015. Mise à jour du 07/05/2015 : Oppo a annoncé que les smartphones Oppo Find 5, N1 et R819 ne seront jamais mis à jour vers Lollipop.
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