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Pour de nombreux utilisateurs expérimentés, le fonctionnement de Microsoft Windows 10, bien qu'efficace, n'est tout simplement pas suffisant. De nombreux outils Windows puissants sont accessibles via les paramètres du développeur. Pour la plupart, le système d'exploitation Windows 10 de Microsoft fonctionne comme la plupart des utilisateurs s'attendent à ce qu'il fonctionne et le souhaite. Les navigateurs Web ouvrent des sites Web, des applications de productivité comme Office 365 créent des documents, des e-mails sont reçus et envoyés, des messages sont échangés - tout fonctionne comme il est censé fonctionner. Mais pour de nombreux utilisateurs expérimentés, ce n'est tout simplement pas suffisant. La plupart des applications, outils et utilitaires les plus puissants disponibles dans Windows 10 sont verrouillés derrière des paramètres désactivés et un labyrinthe de menus de configuration. Dans les versions précédentes de Windows, les utilisateurs expérimentés devaient rechercher où trouver et appliquer ces modifications de configuration. Dans Windows 10, les utilisateurs peuvent accéder à bon nombre de ces outils électriques via les paramètres du développeur. Ce didacticiel vous montre comment trouver les paramètres de développement dans Windows 10 et décrit ce que vous pouvez en faire. Activer les paramètres de développement dans Microsoft Windows 10: Les paramètres du développeur sont situés dans la section Mise à jour et sécurité de l'écran Paramètres de Windows 10. Cliquez sur le bouton Menu Démarrer dans le coin inférieur gauche du bureau type, sélectionnez Paramètres (icône d'engrenage), puis sélectionnez Mise à jour et sécurité. Dans la barre de navigation de gauche, sélectionnez Pour les développeurs pour révéler l'écran représenté sur la figure A . Figure A Dans les conditions par défaut, la première section sera définie sur le mode des applications du Windows Store ou le mode des applications Sideload. Généralement, c'est pour votre protection. L'activation du mode développeur accordera l'autorisation d'installation à de nombreuses autres applications et ne devrait pas être activée sans considération. Le processus prendra quelques minutes à télécharger et à activer. La configuration suivante concerne un portail de périphériques et une découverte de périphériques, qui vous permettent de voir, de configurer et de gérer votre PC à distance via un réseau ou une connexion USB. Il fournit également des outils de diagnostic avancés pour vous aider à dépanner et à visualiser les performances en temps réel de votre PC Windows. Ceci est important pour de nombreux développeurs mais peut ne pas s'appliquer à votre situation: laissez-les tous les deux désactivés, sauf si vous en avez spécifiquement besoin. La section de configuration suivante ( figure B ) traite des paramètres de l'explorateur de fichiers. Beaucoup de ces paramètres sont familiers aux utilisateurs expérimentés qui les activent bien entendu chaque fois qu'ils obtiennent un nouveau PC Windows 10 . Les avantages des paramètres sont assez explicites. Figure B Pendant que vous continuez à faire défiler la page, le paramètre de configuration suivant ( figure C ) concerne les fonctions Bureau à distance. Figure C Dans un environnement de travail mobile moderne, l'accès à distance à un poste de travail connecté à un réseau d'entreprise local via un VPN est souvent requis. Pour activer une connexion à distance sécurisée, ces paramètres doivent être activés. La dernière section de configuration ( figure D ) fait référence à PowerShell . Les développeurs ont souvent besoin d'exécuter des scripts d'utilitaires spéciaux sans certificat associé. Ce paramètre permet à ces scripts de s'exécuter. Si vous n'exécutez pas régulièrement des scripts PowerShell, vous pouvez laisser ce paramètre désactivé. Figure D Bien que de nombreux paramètres de configuration situés dans la section Pour les développeurs puissent être localisés et modifiés à partir d'autres menus et écrans de configuration, les placer dans un emplacement central est pratique. Dans les versions précédentes de Microsoft Windows, les utilisateurs expérimentés devaient passer du temps à rechercher ces paramètres, mais Windows 10 a simplifié le processus en incluant l'accès à tant de paramètres à partir d'un seul écran.

Le nouveau navigateur Edge de Microsoft est basé sur Chromium, et la société a apporté une tonne de modifications au projet open source Chromium au cours des derniers mois pour son nouveau navigateur. Cependant, la plupart de ces changements ont jusqu'à présent été sous le capot. Et bien que ces changements soient assez importants, Microsoft n'a pas encore apporté de fonctionnalités réelles à Chromium. Eh bien, jusqu'à récemment. Les ingénieurs de Microsoft travaillent actuellement pour apporter l'une des fonctionnalités de gestion des onglets d'Edge à Chromium et Chrome (via MSPU ). Le nouveau navigateur Edge de Microsoft a une nouvelle fonctionnalité qui permet aux utilisateurs de déplacer plusieurs onglets vers une fenêtre différente, et c'est une fonctionnalité vraiment utile pour les utilisateurs expérimentés qui ont tendance à ouvrir une tonne d'onglets. La fonctionnalité n'est pas réellement disponible sur Chrome, mais un ingénieur Chromium a récemment demandé l'ajout de la fonctionnalité à Chromium depuis Edge. Suite à la demande initiale, un ingénieur Microsoft a proposé d'apporter la fonctionnalité à Chromium à partir d'Edge et les modifications ont récemment été soumises sur Chromium Gerrit: Déplacer l'onglet vers une nouvelle fenêtre prend en charge la sélection multiple Ajoute la prise en charge du déplacement de plusieurs onglets vers une nouvelle fenêtre à partir du menu contextuel de l'onglet. Gère également correctement les onglets épinglés, en conservant leur état épinglé dans la nouvelle fenêtre. Comme plusieurs onglets peuvent désormais être déplacés, la chaîne a été modifiée pour pluraliser «tab» en «tabs» si nécessaire. Cela peut ne pas être une caractéristique majeure pour beaucoup, mais cela pourrait marquer le début de contributions de Microsoft sur Chromium et Chrome plus accessibles aux utilisateurs. La fonctionnalité peut prendre un peu de temps pour apparaître sur Google Chrome, mais étant donné qu'elle est déjà très fonctionnelle sur Edge, cela peut ne pas prendre trop de temps pour tester la fonctionnalité et la présenter au public.

Le 14 janvier, Microsoft a débranché le système d’exploitation Windows 7 qui, aujourd’hui, n’est donc plus pris en charge. Mais pour la Free Software Foundation, la firme de Redmond pourrait donner une seconde vie à cet OS en en faisant un logiciel libre. Ce mois de janvier, Microsoft a enfin débranché Windows 7. Depuis le 14, la firme de Redmond ne prend plus en charge cette version du système d’exploitation, ce qui rend vulnérables aux attaques informatiques les personnes qui continuent à utiliser celui-ci. Aux personnes et aux entreprises qui utilisent encore Windows 7, Microsoft recommande de passer à Windows 10 ou même d’acheter de nouveaux ordinateurs sur lesquels Windows 10 est préinstallé (d’ailleurs, cette transition a déjà dopé le marché des ordinateurs, qui était en perte de vitesse depuis des années). Mais pour la Free Software Foundation, une ONG qui fait la promotion des logiciels libres, Windows 7 ne devrait pas mourir. Et si Microsoft ne veut plus prendre en charge cette version de son système d’exploitation, la firme pourrait rendre celle-ci libre pour que la communauté puisse l’étudier et la modifier. Une pétition demande à Microsoft de faire de Windows 7 un logiciel libre qui pourra être étudié et modifié par la communauté Le 23 janvier, la fondation a lancé une pétition adressée à Microsoft (que vous pouvez signer en cliquant sur la « Source » de cet article). « Nous les (ndlr, les responsables de Microsoft) appelons à le (ndlr, Windows 7) publier en tant que logiciel libre et à le donner à la communauté pour l’étudier et l’améliorer. Comme il existe déjà un précédent pour la libération de certains utilitaires Windows sous forme de logiciels libres, Microsoft n’a rien à perdre en libérant une version de son système d’exploitation qui, selon eux, a « atteint sa fin de vie » », lit-on dans le document. Si la FSF fait cette demande, c’est probablement parce que depuis quelques années, sous la direction de Satya Nadella, Microsoft a adopté une stratégie plus ouverte (mais aussi plus pragmatique), en particulier vis-à-vis des logiciels libres. Récemment, Microsoft a par exemple remplacé son moteur EdgeHTML par Chromium (le logiciel open source utilisé par Google Chrome), sur le navigateur Edge. Il y a trois ans, Microsoft a rejoint la fondation Linux. Et en 2018, la firme a libéré 60 000 brevets pour l’Open Innovation Network. Source et pétition.

iOS 14 tournera, a priori, sur la même liste d'iPhone qu'iOS 13 et deux iPad seront exclus de la compatibilité avec le prochain iPadOS, écrit iPhoneSoft. Sa source travaille dans l'équipe de Plans, va jusqu'à préciser le site, qui avait obtenu une même liste l'an dernier avec iOS 13. D'après cette liste préliminaire, iOS 14 prendrait en charge les : iPhone 11 iPhone 11 Pro iPhone 11 Pro Max iPhone XS Max iPhone XS iPhone XR iPhone X iPhone 8 Plus iPhone 8 iPhone 7 Plus iPhone 7 iPhone 6s iPhone 6s Plus iPhone SE D'après ce contact, les 6s et le SE seraient en « ballotage favorable ». En fait la question porte uniquement sur ces deux modèles, aucun des autres. iOS 13 ayant abandonné les iPhone 6, les prochains sur la liste pourraient être les 6S en plus du SE. Visiblement il y a de l'espoir. L'an dernier, la liste fournie à iPhoneSoft avait mis de côté les 5s, 6 et 6 Plus. Ce qui s'était avéré exact. Il y avait une incertitude autour des 6s et SE. Finalement ces deux-là avaient intégré la liste d'iOS 13, et ils marchent plutôt bien avec. Quant aux iPad, iPadOS 14 tournerait sur les : iPad Pro 12,9" iPad Pro 10,5" iPad Pro 9,7" iPad Pro 11" iPad Air 3 iPad 5 iPad 6 iPad 7 iPad mini 5 Seraient recalés les iPad mini 4 et Air 2. L'an dernier ce sont les iPad mini 2 et 3 ainsi que l'iPad Air qui avaient pris du champ. Enfin, côté iPod, la septième génération sortie l'an dernier sera de la partie, l'iPod 6G ayant été abandonné par iOS 13.

Si vous souhaitez diffuser du contenu sur votre téléviseur sans décodeur coûteux, le Chromecast de Google est une option géniale! Vous pouvez même contrôler la lecture avec votre iPhone. Nous vous guiderons à travers la configuration. Chromecast est un récepteur qui diffuse du contenu multimédia sur votre téléviseur. Il n'inclut pas d'applications intégrées comme Apple TV ou Roku. Au lieu de cela, vous appuyez simplement sur le bouton Diffuser dans n'importe quelle application prise en charge sur votre iPhone, et Google diffuse ce contenu sur votre appareil Chromecast. Le Chromecast: L'alimentation incluse se connecte au port micro-USB de l'appareil. Le modèle standard prend en charge le contenu 1080p à 60 Hz, tandis que le modèle Ultra est plus cher mais prend en charge le contenu 4K avec une plage dynamique élevée. Dans le cadre du processus d'installation, vous connectez l'appareil Chromecast à Google Assistant . De cette façon, vous pouvez utiliser des commandes verbales pour accéder et diffuser du contenu. Par exemple, vous pourriez dire: «Hé, Google. Jouez le dernier épisode de Stranger Things sur le téléviseur du salon. » Google Assistant diffusera ensuite cet épisode sur l'appareil Chromecast connecté à votre téléviseur. Cependant, assurez-vous d'identifier correctement l'appareil Chromecast («TV du salon» dans cet exemple), afin que Google Assistant comprenne et effectue une conversion vers la bonne destination. Voici certains des services compatibles avec Google Assistant: La musique: Musique Youtube Google Play Musique Pandora Spotify Deezer SiriusXM Applications, vidéos et photos en streaming: Netflix HBO Now CBS Viki YouTube Kids Starz Direct Sling TV Google Photos Préparez vos appareils Branchez le dongle Chromecast sur le port HDMI de votre téléviseur, puis branchez son alimentation sur une prise électrique. Vous verrez un message sur votre téléviseur avec des instructions pour obtenir l'application Google Home. Téléchargez et installez l' application Google Home depuis l'App Store. Ensuite, ouvrez le Control Center de l'iPhone. Si votre iPhone possède un bouton d'accueil, vous pouvez le faire en faisant glisser vers le haut depuis le bord inférieur; si vous avez un combiné plus récent, balayez vers le bas depuis le coin supérieur droit. Assurez-vous également que Bluetooth est activé (l'icône doit être bleue). Si vous ne souhaitez pas utiliser Bluetooth, appuyez sur «Non merci» lorsque le Chromecast vous invite à l'activer. Vous devrez ensuite vous connecter directement au Chromecast via Wi-Fi. Pour ce faire, ouvrez l'application Paramètres sur votre iPhone, appuyez sur l'option Wi-Fi, puis sélectionnez votre appareil Chromecast dans la liste. Configurer Chromecast Pour configurer votre Chromecast, ouvrez l'application Google Home sur votre iPhone. En haut, vous devriez voir une invite pour installer un périphérique détecté; appuyez dessus pour continuer. Si vous ne voyez pas d'invite, déplacez-vous à quelques mètres du Chromecast et voyez si elle apparaît. Si l'invite n'apparaît toujours pas, vérifiez que le Chromecast est sous tension et affiche un message sur votre téléviseur. Vous pouvez également redémarrer l'application ou votre iPhone et voir si cela résout le problème. Sélectionnez un domicile (ou créez-en un nouveau) sur l'écran suivant, puis appuyez sur «Suivant». Le domicile recherchera ensuite les appareils. Sélectionnez votre appareil Chromecast dans les résultats, puis appuyez sur "Suivant". Vérifiez que le code que vous voyez sur votre iPhone correspond au code affiché sur votre téléviseur; si c'est le cas, appuyez sur "Oui". Sur l'écran suivant, on vous demande si vous souhaitez aider Google à améliorer l'expérience Chromecast; appuyez sur «Oui, je suis dedans» ou «Non merci». Vous devez également appuyer sur «J'accepte» pour accepter l'accord d'arbitrage de Google sur les appareils. À partir de là, sélectionnez la pièce dans laquelle réside votre Chromecast, puis appuyez sur «Suivant». Cela permet de garder tous vos appareils organisés, surtout si vous utilisez des ampoules intelligentes, des verrous, des haut-parleurs, plusieurs appareils Chromecast, etc. dans votre maison. Après avoir sélectionné une pièce, choisissez le réseau Wi-Fi auquel vous souhaitez que le Chromecast se connecte, puis appuyez sur «Suivant». Au fur et à mesure que le Chromecast tente de se connecter, vous serez peut-être invité à saisir un mot de passe. Une fois l'appareil connecté, vous êtes invité à associer l'appareil à votre compte Google. Appuyez sur «Continuer» pour continuer. Les écrans suivants concernent Google Assistant. Vous verrez initialement des informations sur les partenaires, les services, la confidentialité, les invités et les recommandations YouTube de Google. Après cela, vous êtes invité à accorder à l'Assistant Google l'accès à tous les contacts sur vos appareils liés. L'étape suivante consiste à ajouter vos services radio, vidéo et TV à Google Assistant. Connectez-vous manuellement à chaque service pour les lier, puis appuyez sur "Suivant". Si vous préférez lier ces services plus tard, appuyez simplement sur "Pas maintenant". À la fin du processus, vous voyez un résumé, y compris où réside le Chromecast, le réseau Wi-Fi associé et vos services liés. Si tout semble correct, appuyez sur «Suivant». Google Home propose des exemples de clips de didacticiel, mais vous pouvez les ignorer si vous le souhaitez. Enfin, notez le nom attribué à votre appareil Chromecast dans Google Home. Dans notre exemple, l'application l'a appelée «Living Room TV» car elle est installée dans le groupe «Living Room». Pour créer un nouveau nom, appuyez sur l'appareil dans l'application Google Home. Sur l'écran suivant, appuyez sur l'icône d'engrenage dans le coin supérieur droit. Appuyez sur le nom actuel de l'appareil sur l'écran suivant pour le renommer. Ajouter manuellement Chromecast: Si vous n'avez pas vu d'invite dans l'application Google Home pour ajouter l'appareil Chromecast, appuyez sur le signe plus (+) dans le coin supérieur gauche. Sur l'écran suivant, appuyez sur «Configurer l'appareil» dans la section «Ajouter à l'accueil». Appuyez sur «Configurer de nouveaux appareils» sur l'écran suivant. Sur l'écran suivant, sélectionnez le domicile dans lequel se trouve l'appareil et appuyez sur «Suivant». À partir de là, suivez les instructions ci-dessus dans la section «Configurer le Chromecast». Tuto de : How-To Geek.

En dépit de leur réputation de machines immaculées, les ordinateurs d'Apple sont eux aussi exposés aux virus et autres malwares. Parmi eux Shlayer, qui touche désormais un utilisateur de macOS sur dix... et ce tout juste deux ans après son apparition en ligne. Apparu en début d’année 2018, Shlayer maintient sa première place au rang des logiciels malveillants les plus couramment installés sur macOS. Ce malware, qui permet à ses créateurs de diffuser des dizaines de publicités et de liens sur le navigateur des personnes ciblées, pourrit désormais la vie d’un utilisateur de mac sur 10, selon les derniers chiffres publiés par Kaspersky Lab. Une « popularité » due à un vecteur simple et efficace : la distribution au travers de fausses mises à jour Flash, maintenant proposées par des milliers de sites web, souvent illégaux, mais pas toujours, ayant préalablement été infiltrés, note ZDNet. LES SITES DE STREAMING ILLÉGAUX À LA BASE DE LA PROLIFÉRATION DE SHLAYER: Si Shlayer s’est imposé en deux ans seulement comme le malware le plus répandu sur Mac, ce n’est pas tout à fait par hasard. La technique poussant l’utilisateur à l’installation dudit logiciel est en effet rodée… et met à contribution les sites de streaming illégaux diffusant films, séries, ou encore rencontres sportives. L’opération est alors simple, pour lancer la lecture d’un contenu vidéo, le site demande à l’utilisateur d’installer sur son ordinateur ce qui est souvent présenté comme la dernière version de Flash. Cette mise à jour est en réalité tronquée et permet l’installation de Shlayer sur le Mac de la victime. La particularité de Shlayer est toutefois d’être installable depuis des sites parfaitement légaux, qui arborent à leur insu des liens vers des sites web peu recommandables sur lesquels se trouve le malware. Comme le souligne ZDNet, certains de ces liens ont par exemple été découverts par Kaspersky sur des sites comme Wikipédia (au travers des notes de bas de page notamment) ou dans certaines descriptions de vidéos YouTube. De nombreux sites légitimes comptent ainsi parmi les 700 domaines « compromis » par Shlayer et mis au jour par les chercheurs en sécurité du spécialiste russe. On apprend enfin que les utilisateurs les plus touchés par Shlayer sont les détenteurs de Macs américains, allemands, français et britanniques. Shlayer est néanmoins diffusé de manière mondiale, ce qui explique sa croissance rapide ces deux dernières années. Si les malwares restent moins répandus sur macOS que sous Windows, la prolifération de Shlayer est la preuve que les utilisateurs de Macs doivent eux aussi rester vigilants quant à ce qu’ils installent sur leur appareil. Pour les spécialistes de Kaspersky Lab, pas de secret, la seule méthode efficace pour éviter l’installation de malwares par mégarde reste le téléchargement de logiciels uniquement depuis des sources fiables… et idéalement officielles. Source : ZDNet

En dépit de la fin de support officiellement atteinte pour Windows 7, Microsoft garde un œil sur son OS, quitte à se voir contraint de publier une ultime mise à jour... pour celui qui ne devrait pourtant plus en recevoir. La chose n’est pas courante, mais elle n’est pas inédite : quelques jours seulement après la fin officielle de support atteinte par Windows 7 mi-janvier, Microsoft va publier une ultime mise à jour pour son vieil OS. Rien de dramatique ici, aucune faille de sécurité laissée béante, mais plutôt un bug idiot (et relativement discret) introduit avec l’update KB4534310, déployée ce 14 janvier par Microsoft. Quel est le problème ? Ce bug empêche le fond d’écran de s’afficher correctement lorsqu’il est réglé en mode « étirer ». Cette broutille aura tout de même placé Microsoft face à un dilemme : publier un correctif en dépit de la fin de support… ou ne corriger le problème qu’auprès des utilisateurs ayant payé pour continuer d’utiliser Windows 7 (essentiellement des entreprises et administrations). UNE ULTIME MISE À JOUR POUR WINDOWS 7. « Après l’installation de KB4534310, le fond d’écran de votre bureau peut s’afficher en noir lorsqu’il est réglé sur ‘étirer’ », admet Microsoft. Comme le souligne The Verge, ce bug n’est rencontré que lorsque le fond d’écran est réglé sur le mode « étirer ». Les autres fonctions d’ajustage du papier peint (« remplir », « ajuster », « étendre », « centrer »…) ne sont vraisemblablement pas concernées. La correction de ce bug auprès du plus grand nombre semble avoir fait débat au sein de Microsoft. La firme avait en effet indiqué dans un premier temps travailler sur un correctif qui ne serait accessible « qu’aux organisations ayant acheté Windows 7 Extended Security Updates ». On apprend aujourd’hui que ce patch sera au bout du compte déployé à grande échelle, pour bénéficier à tous les utilisateurs de Windows 7 et Windows Server 2008 R2 SP1. Rappelons que Microsoft a introduit Windows 7 Extended Security Updates (ESU), un programme payant qui permet aux entreprises et administrations utilisant toujours Windows 7 de continuer à profiter de mises à jour de sécurité. Rester à jour coûte alors 25 à 50 dollars par machine. Un investissement notable auquel l’Allemagne, par exemple, a consenti pour son parc informatique resté sous Windows 7. Montant total de la facture : 887 000 dollars. Ce n’est pas la première fois que Microsoft « transgresse » la fin de support d’un de ses anciens OS. La firme avait par exemple été forcée de le faire l’année dernière pour Windows XP, lors de l’affaire WannaCry.

La prochaine grande mise à jour '20H1' pour Windows 10 a été finalisée, comme nous le savons déjà, mais Microsoft prévoit de tester la mise à jour pendant quelques mois avant de la déployer auprès du grand public. En novembre 2019, Microsoft a déclaré que Windows 10 20H1 serait connu sous le nom de version 2004 lors de sa sortie auprès des consommateurs. Windows 10 version 2004 est beaucoup plus gros que la mise à jour de novembre 10 de Windows 10 et il est également livré avec plusieurs améliorations astucieuses. Nouveautés de Windows 10 20H1 (version 2004) Avec la mise à jour 20H1, Microsoft s'attaque aux zones difficiles du système d'exploitation. La mise à jour ajoute une fonctionnalité de réinitialisation du cloud et comprend également un nouvel algorithme pour réduire l'utilisation du disque du service de recherche Windows. Cela ressemble à une mise à jour très fluide avec une collection d'améliorations utiles. Nouvelle expérience Cortana Bien que Microsoft envisage de supprimer Cortana de Microsoft Launcher et de retirer également ses applications mobiles, la prochaine mise à jour majeure de Windows 10 double l'assistant numérique avec une expérience conversationnelle considérablement améliorée. La nouvelle expérience Cortana de Microsoft sera maintenue par une application Windows Store. En d'autres termes, Cortana n'est plus lié aux versions de Windows 10 et il peut enfin être mis à jour depuis l'App Store. Le nouveau design de Cortana vous permet d'interagir avec l'assistant numérique avec des textes et la voix. Il est livré avec de nouveaux modèles de parole et de langage, ce qui le rend plus rapide que jamais. Cortana permet également aux utilisateurs d'ouvrir des applications, de gérer vos rappels, de gérer Microsoft To-Do, les alarmes, et il fonctionne également avec la fonctionnalité traditionnelle «Hey Cortana». Enfin, Cortana vous permet de basculer entre les modes clair et sombre. Comme nous l'avons noté ci-dessus, Cortana sera géré par une application Windows Store, vous pouvez donc vous attendre à d'autres améliorations dans les mois à venir. La réinstallation de Windows est maintenant plus facile que jamais La mise à jour 20H1 introduit le téléchargement dans le cloud pour la réinstallation de Windows 10, une mise à niveau importante pour la fonction «Réinitialiser ce PC», qui existe depuis Windows 8. Avec cette fonctionnalité, vous pouvez réinitialiser votre PC comme si vous l'aviez démarré pour la première fois. Ou vous pouvez également l'utiliser pour nettoyer le système Windows, restaurer les paramètres, désinstaller des applications et résoudre un problème que vous rencontrez. Microsoft continue de perfectionner la fonction «Réinitialiser ce PC». Le téléchargement dans le cloud est le dernier ajout. Lorsque vous cliquez sur l'option `` Réinitialiser ce PC '' dans l'application Paramètres, Windows 10 crée une nouvelle copie de Windows en assemblant des fichiers, mais cela peut prendre plus de 45 minutes et il ne peut pas toujours réparer un système d'exploitation corrompu. Si vous disposez d'une connexion Internet rapide et d'au moins 3 Go de bande passante, vous pouvez utiliser la fonction de téléchargement dans le cloud pour réinstaller Windows 10 directement à partir du cloud de Microsoft plutôt que d'assembler les copies locales des fichiers. Microsoft dit que le téléchargement dans le cloud est un moyen plus fiable de réinstaller Windows et vous pouvez le faire en quelques clics. Dans Windows 10 20H1, la fonctionnalité est accessible depuis Paramètres> Mise à jour et sécurité> Récupération> Prise en main. Sous-système Windows pour Linux 2 Windows 10 v2004 comprend une nouvelle version du sous-système Windows pour Linux qui prend en charge les binaires ELF64 Linux sous Windows. WSL 2 introduit un véritable noyau Linux et offre la même expérience utilisateur que WSL 1 avec des contrôles avancés, y compris des performances de système de fichiers beaucoup plus rapides. Expérience de recherche Windows Windows Search utilise l'indexeur de recherche Windows pour afficher des résultats de recherche précis. L'indexeur de recherche Windows, qui s'exécute en arrière-plan et analyse vos fichiers pour créer un index de vos fichiers, sera fortement stimulé lors de la prochaine mise à jour majeure. La mise à jour de mai 2019 de Microsoft a corrigé l'expérience de recherche Windows peu fiable avec l'option d'indexeur `` amélioré '', mais les utilisateurs rencontraient toujours des problèmes de performances du système. Microsoft dit que la mise à jour 20H1 de Windows 10 comprend un nouvel algorithme capable de détecter le pic d'utilisation du disque et du processeur afin de pouvoir arrêter l'indexeur. Par exemple, l'indexeur est arrêté lorsque le mode d'économie d'énergie est activé, ou lorsque le processeur est supérieur à 80% et lorsque l'utilisation du disque atteint 70%. Lorsque l'indexeur est arrêté, la recherche Windows cesse d'utiliser votre disque et votre processeur, ce qui améliore considérablement la stabilité du système. Microsoft prévoit également d'accélérer la recherche Windows en excluant les dossiers ou fichiers de développement courants trouvés dans certains programmes. Gestionnaire des tâches Le Gestionnaire des tâches de Windows obtient deux nouvelles fonctionnalités dans cette version. Il peut désormais afficher le type de disque de votre PC - SSD ou HDD, afin que vous puissiez voir quel disque est dans votre ordinateur portable ou votre ordinateur. Une autre fonctionnalité est introduite pour vous permettre de surveiller la température de votre GPU. Si vous avez une carte graphique dédiée, vous pouvez voir la température du GPU dans l'onglet des performances du Gestionnaire des tâches. Nettoyage de disque À partir de 20H1, Nettoyage de disque et Storage Sense ne nettoieront finalement pas votre dossier Téléchargements. Microsoft supprime le dossier Téléchargements de l'outil de nettoyage de disque et de l'application des paramètres de stockage de Windows 10. L'option est supprimée après que certains utilisateurs ont déclaré avoir supprimé accidentellement tous les fichiers de votre dossier Téléchargements. Contrôle sur le redémarrage des applications Lorsque vous démarrez votre PC et que vous vous connectez, Windows 10 rouvre automatiquement de nombreuses applications. Dans cette version, il y a une nouvelle option dans l'application Paramètres pour désactiver plus facilement le comportement. Vous trouverez une nouvelle option pour désactiver la fonctionnalité dans Paramètres> Comptes> Options de connexion. Des applications telles que Google Chrome et Spotify ne s'ouvriront pas automatiquement lorsque vous démarrez Windows 10. La fonctionnalité comprend désormais les applications UWP (applications Microsoft Store) et les applications de bureau traditionnelles. Conclusion La mise à jour sera livrée avec d'autres améliorations, y compris un meilleur contrôle sur l'utilisation de Windows Update et de la bande passante du Microsoft Store . Selon le calendrier de sortie type de Microsoft, la mise à jour 20H1 (version 2004) de Windows 10 commencera à être déployée auprès des utilisateurs grand public en avril ou mai.

AirDrop est une fonctionnalité incroyablement populaire sur iPhone qui facilite le partage de fichiers. Nous avons déjà vu des entreprises comme Microsoft introduire une fonctionnalité similaire à AirDrop, Google et d'autres devraient faire de même. Et maintenant, Samsung est la dernière entreprise à travailler sur sa propre version d'AirDrop. La société travaillerait sur une alternative AirDrop pour les appareils Galaxy, rapporte XDADevelopers . La nouvelle fonctionnalité, intitulée Quick Share, ressemble à peu près à AirDrop. Une fois activé, vous pouvez partager des fichiers de votre téléphone avec d'autres appareils Galaxy à proximité tant que la fonction est activée. Vous pouvez également choisir qui peut partager des fichiers avec vous et limiter le partage de fichiers à vos contacts uniquement, ou laisser quiconque partager des fichiers avec vous. Contrairement à AirDrop, cependant, Quick Share télécharge en fait le fichier que vous souhaitez partager sur le cloud de Samsung temporairement, et l'appareil à l'extrémité de réception le télécharge à partir du cloud afin de terminer le transfert. La fonctionnalité permet aux utilisateurs d'envoyer jusqu'à 1 Go à la fois, mais vous n'êtes limité qu'à partager un total de 2 Go de fichiers chaque jour. Et c'est probablement parce que la fonctionnalité utilise le cloud de Samsung. La nouvelle fonctionnalité devrait être lancée sur la prochaine ligne Galaxy S20 de Samsung.

Le matériel Wi-Fi 6 arrive enfin sur le marché, et vous en verrez de plus en plus sortir tout au long de 2020. Mais les gens parlent déjà de quelque chose de nouveau: le Wi-Fi 6E, qui promet de réduire davantage la congestion Wi-Fi . Qu'est-ce que le Wi-Fi 6E? Wi-Fi 6 et les générations précédentes de Wi-Fi utilisent les bandes radio 2,4 GHz et 5 GHz . Un appareil «Wi-Fi 6E» est également capable de fonctionner sur la bande des 6 GHz. Le spectre 6 GHz devrait fonctionner de manière similaire au WiFi 6 sur 5 GHz mais offre des canaux supplémentaires sans chevauchement. Comme le dit la Wi-Fi Alliance, le Wi-Fi 6E permet «14 canaux 80 MHz supplémentaires et 7 canaux 160 MHz supplémentaires». Ces canaux ne se chevaucheraient pas, ce qui contribuera à réduire la congestion, en particulier dans les zones où les lots des réseaux fonctionnent. Tous les appareils communiquant sur le spectre 6 GHz seraient également des appareils Wi-Fi 6. Aucun appareil plus ancien n'utiliserait des normes telles que Wi-Fi 5 ( 802.11ac ). Tous les appareils sur les canaux 6 GHz parleront la même langue et pourront utiliser les nouvelles fonctionnalités de réduction de congestion du Wi-Fi 6. En d'autres termes, le Wi-Fi 6E est le Wi-Fi 6 (également connu sous le nom de 802.11ax) sur 6 GHz. Le Wi-Fi 6E attend le feu vert les agences de régulation. Si 6 GHz est si utile, pourquoi les normes Wi-Fi existantes ne l'utilisaient-elles pas déjà? Eh bien, ils ne pouvaient pas. Les organismes de réglementation n'ont pas autorisé le Wi-Fi à utiliser la bande des 6 GHz, au lieu de le réserver à d'autres fins. En octobre 2018 , la Federal Communications Commission des États-Unis a proposé d'offrir le spectre 6 GHz pour le Wi-Fi et d'autres utilisations «sans licence». Ce changement n'a pas réellement été effectué en janvier 2020, donc les appareils Wi-Fi 6E ne peuvent pas encore être lancés aux États-Unis. Cependant, le président de la FCC, Ajit Pai, a déclaré que la FCC avait l'intention d'offrir ce spectre pour le Wi-Fi et d'autres services sans licence. L' annonce de Wi-Fi 6E par la Wi-Fi Alliance avant le CES 2020 reconnaît cela, faisant référence à 6 GHz comme «une partie importante du spectre non autorisé qui pourrait bientôt être mis à disposition par les régulateurs du monde entier». Notez le mot «peut» plutôt que le mot «volonté» - c'est aux régulateurs du gouvernement, pas à l'industrie. Quand le matériel Wi-Fi 6E sera-t-il disponible? La Wi-Fi Alliance affirme également que «les appareils Wi-Fi 6E devraient être disponibles rapidement après les approbations réglementaires de 6 GHz». L'industrie semble impatiente que les régulateurs autorisent le Wi-Fi 6. Pendant le CES 2020, Broadcom a annoncé plusieurs produits de système sur puce que les fabricants de routeurs peuvent acheter pour créer des points d'accès compatibles Wi-Fi 6E. Cependant, malgré toute l'excitation et l'intérêt, il n'y a toujours pas de calendrier officiel pour le moment où les régulateurs rendront le spectre disponible pour une utilisation sans licence. Le matériel sera probablement disponible peu de temps après le changement de réglementation, mais on ne sait pas quand cela se produira. Le Wi-Fi 6E n'a pas de date de sortie. Le Wi-Fi supérieur à 6 GHz nécessite de nouveaux appareils. Les appareils Wi-Fi 6E seront rétrocompatibles avec Wi-Fi 6 et les normes Wi-Fi précédentes. Mais, pour profiter de ces nouveaux canaux 6 GHz dans le Wi-Fi 6E, vous devrez utiliser des appareils qui le prennent en charge. En d'autres termes, vous n'utiliserez le Wi-Fi 6E qu'après avoir couplé un appareil client compatible Wi-Fi 6E (comme un ordinateur portable ou un smartphone) et un point d'accès compatible WI-Fi 6E. Par exemple, même si vous disposez de plusieurs appareils Wi-Fi 6 et d'un routeur compatible Wi-Fi 6E, aucun de vos appareils ne communiquera via Wi-FI 6E. Ils utiliseront tous le Wi-Fi 6 sur les canaux typiques de 5 GHz ou 2,4 GHz. N'attendez pas le Wi-Fi 6E… mais ne vous précipitez pas pour acheter le Wi-Fi 6. En technologie, il y a toujours quelque chose de nouveau à l'horizon. Pour le Wi-FI en ce moment, c'est le Wi-Fi 6E. Certains appareils Wi-Fi 6, comme les routeurs, les ordinateurs portables, les smartphones, sont déjà en vente. Beaucoup d'autres seront publiés tout au long de 2020. Le Wi-Fi 6 n'est pas une mise à niveau extrême en termes de vitesse, mais il conduira à un Wi-Fi plus rapide avec moins d'encombrement sans fil et peut-être même une durée de vie de la batterie prolongée pour vos appareils. Pendant ce temps, le Wi-Fi 6E n'est pas encore là. Il n'y a pas de date limite précise pour le moment où la réglementation sera modifiée, permettant à ces appareils de faire leur apparition sur le marché. Même après avoir acheté des appareils compatibles Wi-Fi 6E, le principal avantage sera une congestion réduite via des canaux sans fil supplémentaires. C'est un excellent objectif à long terme, mais nous ne pensons pas que cela vaut la peine de tenir le coup si vous envisagez de passer à l'équipement Wi-Fi 6. Bien sûr, vous n'avez pas nécessairement besoin de vous épuiser et d'acheter un nouveau routeur compatible Wi-Fi 6 aujourd'hui. La plupart des appareils que vous possédez ne prennent probablement pas encore en charge le Wi-Fi 6. Par exemple, les modèles d'iPhone 11 d'Apple prennent en charge le Wi-Fi 6, mais les anciens modèles d'iPhone ne le font pas. Même les nouveaux modèles de MacBook Pro d'Apple commercialisés fin 2019 ne prennent pas en charge le Wi-Fi 6. Les nouveaux téléphones Samsung haut de gamme comme le Galaxy S10 ont du matériel Wi-Fi 6, mais la plupart des téléphones Android n'en ont pas. Seule une poignée d'ordinateurs portables PC prennent en charge le Wi-Fi 6. C'est très tôt pour le Wi-Fi 6. Il y a de fortes chances qu'au cours des prochaines années, les nouveaux appareils que vous achèterez auront de plus en plus le Wi-Fi 6. Mais vous n'obtiendrez probablement pas le Wi-Fi 6E sur ces appareils, juste le Wi-Fi 6. C'est parfait. Le Wi-Fi 6E sonne bien, mais il n'est pas encore là. Notez que la bande 6 GHz pour le Wi-Fi 6E est différente de la bande 60 GHz, dont WiGig profitera . Le 6 GHz du Wi-Fi 6E fonctionnera de manière similaire au 5 GHz du Wi-Fi, tandis que le WiGig est idéal pour des taux de transfert de données plus rapides sur des distances plus courtes.

Microsoft a procédé hier à l’envoi de la mise à jour de sécurité planifiée de mardi pour Windows. Cette mise à jour ne s’est pas faite comme d’habitude, elle incluait une correction d'un bogue potentiellement dangereux qui permettrait à un attaquant d'usurper un certificat, en le faisant croire qu'il provient d'une source fiable. En effet, la National Security Agency a signalé à Microsoft la vulnérabilité qui affecte Windows 10, Windows Server 2016, Windows Server 2019 et Windows Server version 1803, d’après un rapport de l’organisme gouvernemental. « La NSA a découvert une vulnérabilité critique (CVE-2020-0601) affectant les fonctionnalités cryptographiques de Microsoft Windows. La vulnérabilité de validation de certificat permet à un attaquant de miner la façon dont Windows vérifie la confiance cryptographique et peut permettre l'exécution de code à distance. La vulnérabilité affecte Windows 10 et Windows Server 2016/2019 ainsi que les applications qui dépendent de Windows pour les fonctionnalités de confiance », lit-on dans le rapport du ministère de la Défense. Comme écrit ci-dessus, la faille affectait le chiffrement des signatures numériques utilisées pour authentifier le contenu, y compris les logiciels ou les fichiers. Si elle était exploitée, cette faille pourrait permettre aux criminels d'envoyer du contenu malveillant avec de fausses signatures qui le font paraître sûr. Le journaliste spécialiste en cybersécurité Brian Krebs a rapporté que la vulnérabilité en question réside dans un composant Windows connu sous le nom de crypt32.dll, un module Windows qui, selon Microsoft, gère « les fonctions de certificat et de messagerie cryptographique dans le CryptoAPI ». Le CryptoAPI de Microsoft fournit des services qui permettent aux développeurs de sécuriser les applications Windows à l'aide de la cryptographie, et comprend des fonctionnalités de chiffrement et de déchiffrement des données à l'aide de certificats numériques. Selon le rapport du journaliste, une vulnérabilité critique de cette composante de Windows pourrait avoir des implications de sécurité très étendues pour un certain nombre de fonctions importantes de Windows, notamment l'authentification sur les ordinateurs de bureau et les serveurs Windows, la protection des données sensibles traitées par les navigateurs Internet Explorer/Edge de Microsoft, ainsi que par un certain nombre d'applications et d'outils tiers. Une telle faille pourrait également être utilisée de manière abusive pour usurper la signature numérique liée à un logiciel spécifique. Ce qui est encore plus préoccupant, c’est que ce composant a été introduit dans Windows il y a plus de 20 ans - dans Windows NT 4.0. Par conséquent, toutes les versions de Windows sont probablement touchées (y compris Windows XP, qui n'est plus supporté par les correctifs de Microsoft), même si la NSA a limité l’impact de la vulnérabilité à Windows 10 et Windows Server 2016/2019. Le géant du logiciel a qualifié la vulnérabilité d' "importante" plutôt que "critique" – le niveau le plus élevé qu'il utilise pour qualifier les failles de sécurité majeures –, parce la société dit qu'elle n'a pas vu d'exploitation active de la faille se propageant parmi les ordinateurs du monde réel, à l’exception des tests menés par la NSA dans un environnement de laboratoire. Cependant, la NSA a mis en garde dans son rapport, et a suggéré qu'il s'agit d'une vulnérabilité majeure bien que Microsoft ne l'ait pas marquée comme critique. « La vulnérabilité met les terminaux Windows en danger pour un large éventail de vecteurs d'exploitation », a déclaré la NSA. L’agence a cité les connexions HTTPS, les fichiers et courriels signés et le code exécutable signé lancé en tant que processus en mode utilisateur comme des exemples où la validation de la confiance peut être impactée. « La NSA évalue la vulnérabilité comme étant sévère et que des cyberacteurs sophistiqués comprendront très rapidement la faille sous-jacente et, si elle est exploitée, rendrait les plateformes mentionnées précédemment comme étant fondamentalement vulnérables », peut-on lire dans son rapport. L’agence a recommandé aux entreprises de la corriger immédiatement ou de donner la priorité aux systèmes qui hébergent des infrastructures critiques comme les contrôleurs de domaine, les serveurs VPN ou les serveurs DNS. D’autres chercheurs extérieurs à Microsoft, dont Tavis Ormandy de Google, ont également fait une évaluation beaucoup plus sévère de la vulnérabilité et ont invité les utilisateurs à appliquer rapidement des correctifs avant qu'une exploitation active n'apparaisse. La mise à jour régulière de mardi comprenait le correctif du problème à l’intention des organisations qui utilisent Windows Microsoft a mis en place mardi un important correctif de sécurité pour résoudre le problème découvert plus tôt par la NSA. Brian Krebs a rapporté, en citant des sources, que Microsoft avait discrètement expédié, avant mardi, un correctif pour le bogue aux branches de l'armée américaine et à d'autres clients/cibles de grande valeur qui gèrent l'infrastructure clé d'Internet. Les sources ont également dit que ces organisations ont été invitées à signer des accords les empêchant de divulguer les détails de la faille avant la date de mise à jour planifiée du mardi. Mais dans une mise à jour du rapport de Krebsonsecurity, Microsoft a dit qu'il ne discute pas des détails des vulnérabilités signalées avant qu'une mise à jour ne soit disponible. La société a également déclaré qu'elle « ne publie pas de mises à jour prêtes pour la production avant la date prévue pour la mise à jour régulière de mardi ». « Par le biais de notre programme de validation des mises à jour de sécurité (SUVP), nous publions des versions anticipées de nos mises à jour à des fins de validation et de tests d'interopérabilité dans des environnements de laboratoire », a déclaré le fabricant de logiciels dans une déclaration écrite. « Les participants à ce programme sont contractuellement interdits d'appliquer la correction à tout système en dehors de ce but et ne peuvent pas l'appliquer à l'infrastructure de production ». Jeff Jones, un directeur principal chez Microsoft, a toutefois déclaré mardi dans un communiqué rapporté par CNBC : « Les clients, qui ont déjà appliqué la mise à jour ou qui ont activé les mises à jour automatiques, sont déjà protégés. Comme toujours, nous encourageons les clients à installer toutes les mises à jour de sécurité dès que possible ». La NSA a refusé de dire quand elle a découvert la faille, et qu'elle attendrait que Microsoft publie un correctif pour celle-ci plus tard dans la journée du mardi avant de discuter plus en détail de la vulnérabilité. Selon Reuters, le correctif de Microsoft marque la première fois que la NSA a publiquement revendiqué le mérite d'avoir provoqué une mise à jour de la sécurité des logiciels, bien que l'agence ait déclaré avoir alerté les entreprises dans le passé sur les défauts de leurs produits. La responsable de la NSA, Anne Neuberger, a déclaré que l'agence s'efforçait d'être plus transparente avec la communauté des chercheurs en sécurité de l'information. Lors d'un appel quelques minutes avant la mise en service du correctif, elle a déclaré aux journalistes qu’ « Une partie de l'établissement de la confiance consiste à montrer les données ». Selon Reuters, la NSA est confrontée à un problème d'équilibre lorsqu'elle est confrontée à de telles vulnérabilités. L'agence a été critiquée après que ses cyberespions aient profité des vulnérabilités des produits Microsoft pour déployer des outils de piratage contre des adversaires et aient tenu la société dans l'ignorance pendant des années, a rapporté Reuters. Mais selon Krebs, ce signalement de la vulnérabilité fait partie d'une nouvelle initiative visant à rendre les recherches de l'agence disponibles aux fournisseurs de logiciels et au public. Source : National Security Agency, Microsoft via developpez.com

On se souvient qu’en 2012, Apple avait changé son câble de chargement à 30 broches de l’époque pour une alternative Lightning. Il se pourrait bien que d’ici peu de temps, Apple soit forcé de changer à nouveau les câbles de chargement pour iPhone. En effet, les législateurs européens ont fait une demande pour développer un port de charge commun pour tous les smartphones disponibles sur le marché et veulent obliger Apple à s’y conformer. Il sera donc question pour la société d’adopter les câbles USB-C et abandonner le connecteur Lightning extrêmement populaire en Europe. L'UE devrait voter sur la question lors d'une prochaine session, mais aucune date n'a encore été annoncée. Si cela arrivait, ce serait le troisième câble d'Apple en 13 ans. Pour soutenir cette décision, l’UE déclare que cela contribuera à réduire les déchets électroniques puisque d’après certaines estimations, les anciens chargeurs génèrent plus de 51000 tonnes de déchets électroniques par an. De plus, les députés veulent des mesures contraignantes pour que les chargeurs s'adaptent à tous les téléphones et autres appareils portables, ce qui facilitera la vie aux utilisateurs. Lancé en 2014, l’USB-C est devenu le câble incontournable pour de nombreux gadgets émergents. Il est le dernier chargeur pour de nombreux ordinateurs portables et téléphones Android et est actuellement utilisé par l'Oppo Reno3, le Huawei P30 et le OnePlus7Pro. Cette décision de passer à l’USB-C obligerait Apple à utiliser ce câble dans les pays de l’Union européenne. Mais ce câble est également susceptible d'être adopté à l'échelle mondiale afin d'éviter de créer un design différent pour les pays non membres de l'UE. Il faut noter qu’Apple a déjà adopté des ports USB-C sur plusieurs de ses produits, notamment les nouveaux MacBook et l'iPad Pro. La société avait déjà fait connaître son point de vue concernant les propositions visant à forcer les chargeurs communs dans l'industrie. Apple avait déclaré qu'un chargeur commun pour tous les smartphones était mauvais pour l'environnement et gèlerait l'innovation au lieu de l'encourager. Le passage à l’USB-C rendrait les câbles iPhone actuels inutiles et forcerait les fans à acheter un nouveau câble (près de 25 dollars) s'ils améliorent leur combiné. Source : Dailymail, developpez.com

En décembre 2018, Microsoft a annoncé son intention d’adopter le projet open source Chromium dans le développement de Microsoft Edge sur desktop afin de « créer une meilleure compatibilité Web pour nos clients et réduire la fragmentation du Web pour tous les développeurs Web ». Contrairement aux rumeurs qui circulaient, l’éditeur a fait valoir qu’il n’avait pas l'intention d'abandonner complètement le navigateur par défaut de Windows 10. Dans un billet de blog, Joe Belfiore, vice-président de Windows Corporate, a expliqué que Microsoft allait remplacer son moteur de rendu EdgeHTML et son moteur JavaScript Chackra par Blink et V8 de Chromium. Il est donc question d'un changement technologique sous le capot ; l'interface de Microsoft Edge sera conservée. Avec cette nouvelle stratégie, Microsoft entend devenir un contributeur important au projet Chromium, de manière à améliorer non seulement Microsoft Edge, mais également les autres navigateurs basés sur Chromium, sur PC comme sur d’autres appareils. Soulignons aussi que la contribution de Microsoft au projet Chromium inclut l'apport de technologies que la firme a développées pour son navigateur. Microsoft explique par exemple que les utilisateurs des autres navigateurs pourraient bénéficier de la meilleure autonomie de batterie possible et d'une intégration matérielle optimale sur tous types de périphériques Windows. On peut s'attendre aussi à ce que l’éditeur apporte certaines de ses innovations en matière de sécurité, dans le projet Chromium. En d'autres termes, une bonne partie du meilleur de Microsoft Edge pourrait être accessible aux autres navigateurs via Chromium. Il a fallu attendre juin 2019 pour que les premières builds officielles du navigateur Edge basé sur Chromium soient disponibles pour Windows 7 et Windows 8/8.1, deux mois après avoir lancé les premières builds de Chromium Edge sur Windows 10 et un mois après les premières builds sur macOS. Au sujet des fonctionnements des canaux, l’éditeur avait expliqué « Chaque nuit, nous produisons une version de Microsoft Edge. Si elle réussit les tests automatisés, nous la publierons sur le canal Canary. Nous utilisons ce même canal en interne pour valider les corrections de bogues et tester de nouvelles fonctionnalités. Le canal Canary est vraiment à la pointe, vous pouvez donc découvrir des bogues avant que nous ayons eu la chance de les découvrir et de les résoudre. Si vous êtes impatient de connaître les dernières nouvelles et ne craignez pas de faire face à un ou deux bogues, ce canal est fait pour vous. « Si vous préférez une version avec un peu plus de tests, le canal Dev vous intéressera peut-être. Le canal Dev est encore relativement récent - c’est la meilleure compilation de la semaine du canal Canary. Nous examinons plusieurs sources, telles que les commentaires des utilisateurs, les résultats de tests automatisés, les mesures de performance et la télémétrie, afin de choisir la version Canary appropriée à promouvoir vers le canal de développement. Si vous souhaitez utiliser la dernière version de développement de Microsoft Edge en tant que pilote quotidien, ce canal vous convient. Nous prévoyons que la plupart des utilisateurs seront sur le canal Dev ». Seuls les utilisateurs de la version entreprise auront le choix Après avoir fait évoluer son navigateur via une série de builds, l'éditeur semble prêt à déployer son produit. En effet, Microsoft a annoncé en novembre que le nouveau Edge basé sur Chromium commencerait à remplacer le Edge « traditionnel », qui utilise le propre EdgeHTML de Microsoft pour le rendu des pages. Yusuf Mehdi, vice-président d'entreprise en charge du groupe Modern Life & Devices de Microsoft, a déclaré que le processus commencerait le 15 janvier. Microsoft l'a confirmé dans un document mais avec une précision : si vous êtes un utilisateur entreprise, vous pouvez choisir de rester sur « l'ancien » Edge. « Pour aider nos clients à rester à jour et à assurer leur sécurité, Microsoft distribuera Microsoft Edge (basé sur Chromium) via les mises à jour automatiques pour Windows10, version1803 et versions ultérieures. Blocker Toolkit est destiné aux entreprises qui souhaitent bloquer la distribution automatique de MicrosoftEdge (basé sur Chromium) aux ordinateurs dans des environnements où les mises à jour automatiques sont activées. Blocker Toolkit n’expire pas. Pour les ordinateurs exécutant Windows 10, version 1803 et ultérieures, Blocker Toolkit empêche l’ordinateur de recevoir Microsoft Edge (basé sur Chromium) via les mises à jour automatiques. Blocker Toolkit n’empêche pas les utilisateurs d’installer manuellement MicrosoftEdge (basé sur Chromium) à partir d’un téléchargement Internet ou à partir d’un support externe. Les entreprises n’ont pas besoin de déployer Blocker Toolkit dans des environnements gérés avec une solution de gestion des mises à jour telle que WindowsServerUpdateServices ou SystemCenter ConfigurationManager. Elles peuvent utiliser ces produits pour gérer entièrement le déploiement des mises à jour publiées via Windows Update et Microsoft Update, notamment MicrosoftEdge (basé sur Chromium), au sein de leur environnement ». Selon Microsoft, les PC Windows 10 Home et Pro qui exécutent Windows 10 1803 (la mise à jour d'avril 2018) seront automatiquement mis à jour vers le nouveau Edge basé sur Chromium, communément appelé «Chredge» ou «Edgium». Si votre PC est connecté vers un domaine Active Directory ou Azure Active Directory, ou géré par un administrateur externe (utilisateurs professionnels, essentiellement), il sera alors exclu de la mise à niveau. Microsoft déploiera également ce qu'il appelle le Blocker Toolkit pour empêcher la livraison automatique du nouvel Edge. Par contre, les utilisateurs grand public n'auront pas le choix. Nombreux d'entre eux verront simplement l'ancien Edge remplacé par le nouveau Edge, avec un logo mis à jour. Naturellement, cela ne fera pas beaucoup de différence si vous naviguez déjà avec Chrome ou Firefox comme navigateur par défaut. Cependant, si vous utilisez Edge, vous commencerez à voir le nouvel Edge avec sa nouvelle interface utilisateur. Microsoft a fait un effort pour réduire la consommation de mémoire du nouvel Edge. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles l'éditeur a procédé à une suppression ou un remplacement de certains services Google. Microsoft a supprimé ou remplacé plus de 50 services de Google intégrés à Chromium, notamment des fonctionnalités telles que le blocage des publicités, Google Now, la messagerie Google Cloud et Google Chrome. Cette nouvelle version de Edge n'est cependant pas encore totalement prête. Bien qu'elle soit disponible en téléchargement depuis plusieurs mois, il s'agit toujours d'une version bêta. La dernière version en date (version 79.0.309.60) voit certaines fonctions (notamment relatives aux onglets et à l'historique) rester inactives. Microsoft devrait en dire plus à ce sujet cette semaine : « Le processus de mise à jour du navigateur Edge démarrera après le 15 janvier 2020 et nous fournirons plus d'informations à cette date », a déclaré Microsoft. Les avantages à se tourner vers Chrome Étant donné que le nouveau Chromium Edge sera basé sur le même navigateur que Google Chrome, Edge prendra désormais en charge toutes les mêmes extensions. Le mois dernier, les développeurs ont été invités à transférer leurs extensions Chrome vers le Microsoft Store, la société a expliqué que la plupart des extensions pouvaient être transférées sans aucun travail supplémentaire. Edge est le navigateur par défaut pour les 900 millions d'utilisateurs de Windows 10, il y a donc évidemment une incitation à porter des extensions sur ce logiciel. Être basé sur Chromium signifie également que tout site optimisé pour Chrome aura la même apparence dans Edge, car ils partagent le même moteur de rendu, et les développeurs Web n'auront pas à concevoir leurs sites en pensant à Edge. C'est important, car Chrome est de loin le navigateur Internet le plus populaire avec une part de marché de 70 %. Source : Microsoft, Blocker Toolkit

Depuis iOS 13, l'iPhone bénéficie d'une « recharge optimisée » qui limite l'usure de la batterie en évitant de la maintenir à 100 % inutilement. Typiquement, si vous branchez votre iPhone avant de vous endormir, la batterie sera maintenue à 80 % la majeure partie de la nuit, puis elle sera portée à 100 % juste avant votre réveil. Seulement, des utilisateurs ne voient pas la couleur de cette fonctionnalité bien qu'elle soit activée par défaut. Une mise à jour de sa fiche technique (en anglais, la version française n'a pas encore été actualisée) donne une explication. Apple précise dorénavant que pour que cette nouveauté fonctionne, il faut que les trois options suivantes soient activées (c'est normalement le cas par défaut) : Réglages > Confidentialité > Services de localisation > Oui Réglages > Confidentialité > Services de localisation > Services système > Personnalisation du système Réglages > Confidentialité > Services de localisation > Services système > Lieux importants > Lieux importants C'est logique, la recharge optimisée ne s'active que lorsque votre iPhone prévoit qu’il sera connecté à un chargeur pendant une longue durée. Or, pour prévoir cela, votre iPhone doit connaître votre géolocalisation, notamment si vous êtes à votre domicile ou sur votre lieu de travail. Si vous êtes en voyage, la recharge optimisée ne devrait pas s'activer, votre « routine de recharge » étant plus susceptible de varier et Apple ne veut pas que vous vous retrouviez avec seulement 80 % d'autonomie, quand vous comptez en avoir 100 %. Pour rappel, si vous vous réveillez en pleine nuit et que vous avez besoin que votre iPhone soit chargé à 100 %, vous pouvez désactiver temporairement la recharge optimisée en appuyant longuement sur sa notification. Si vous ne voyez pas cette notification au petit matin, quand vous vous réveillez, c'est normal, elle disparaît automatiquement quand la recharge optimisée prend fin. Remarquez sur la capture de gauche que le niveau de la batterie reste à 80 % pendant plusieurs heures en pleine nuit. La recharge reprend vers 4h du matin pour qu'on ait 100 % au réveil, vers 6h. Ce graphique est différent en fonction des habitudes de chacun. Vous pouvez néanmoins vérifier si la recharge optimisée s'active bien en observant les statistiques sur votre batterie dans Réglages > Batterie. Vous devriez voir son niveau stagner à 80 % pendant la nuit (ou bien durant la journée si vous avez l'habitude de laisser brancher votre iPhone pendant plusieurs heures quand il fait jour).

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