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CM Éliminatoires barrages retour : Italie -Suède


serdam

Quelle équipe va se qualifier ?  

14 membres ont voté

  1. 1. Quelle équipe va se qualifier ?



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bonjour

 

Il me semble que l'Italie n'a jamais été aussi faible...

 

0/0 pour moi.

 

re,

 

vrai mais l italie a souvent étonné quand on les attendait plus. rappelez vous la CM 1982 passé les poules au goal average, tuttonero les paris truqués etc ... et au bout victoire.

 

donc faudra attendre la fin et juger.

 

moi j aimerai bien qu ils passent, et j ai pronostiqué nul...allez savoir pourquoi  :football_anim:

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Coupe du monde 2018 : l’Italie à mi-chemin entre la Russie et le néant

 

 

 

Ce soir  à Milan, la Squadra Azzurra, mal embarquée après sa défaite 1-0 en barrage aller, tentera de renverser la Suède pour sauver sa place l’été prochain en Russie.

 

 

 

 

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Gianluigi Buffon et Leonardo Bonucci lors du match face à la Suède. KAI PFAFFENBACH / REUTERS

 

 

 

Une Coupe du monde sans l’Italie ? Ce serait du jamais vu depuis 1958. Un Mondial sans Buffon ? La dernière fois, c’était en 1994. Lundi soir à Milan, la Squadra Azzurra, mal embarquée après sa défaite 1-0 en barrage aller, tentera de renverser la Suède pour sauver sa place l’été prochain en Russie.

 

Comment la Nazionale, quatre fois championne du monde et encore enthousiasmante quart-de-finaliste l’an dernier lors de l’Euro en France, a-t-elle pu en arriver là, à ce match aller joué sans idée ni fil directeur vendredi à Solna ? En poules, les Italiens ont été très logiquement devancés par l’Espagne, beaucoup plus forte. Mais ils ne se sont toujours pas remis du 3-0 concédé début septembre à Madrid, qui a marqué le début d’une spectaculaire perte de confiance.

 

 

Voyage au bord du vide

 

 

Depuis, l’Italie joue mal, son sélectionneur Gian Piero Ventura s’entête dans un rigorisme tactique qui laisse systématiquement de côté le plus grand talent offensif du pays, l’ailier napolitain Lorenzo Insigne. Conséquence : une équipe aussi limitée que la Suède se retrouve en position de force. « Toute la pression est sur l’Italie, qui est une grande nation du foot et qui ne manque pratiquement jamais la Coupe du monde. Nous n’avons rien à perdre. On sait que ne pas prendre de but nous amènera au Mondial et c’est ce que l’on compte faire », a ainsi déclaré le capitaine suédois, Andreas Granqvist, dimanche.

 

A quoi peut donc se raccrocher l’Italie avant ce voyage au bord du vide ? « Les trois mots à retenir, c’est le cœur, la détermination et la tactique », a proposé Ventura dimanche. Mais le sentiment dominant est que l’heure n’est plus vraiment aux controverses tactiques ou aux débats de tableau noir. Plutôt à renverser la table.

 

 

L’Italie se prépare à l’« Apocalypse »

 

 

les Italiens s’en remettent à San Siro, leur stade fétiche, où ils n’ont jamais perdu et où quelque 70 000 tifosi pousseront pour ne pas avoir à se demander à quoi ressemble une Coupe du monde sans leur équipe favorite. « San Siro va se faire entendre, mais je n’ai jamais vu de but marqué depuis les gradins. Les joueurs doivent donner plus », a tout de même prévenu samedi Andrea Pirlo, champion du monde en 2006 avec Buffon, De Rossi ou Barzagli.

 

Alors dans le doute, l’Italie se prépare à l’« Apocalypse », le terme choisi par le président de la fédération (FIGC) Carlo Tavecchio pour évoquer la perspective d’une non-qualification pour la Russie. Paradoxale au moment où le championnat d’Italie retrouve des couleurs et attire des investisseurs – chinois à l’AC Milan et à l’Inter ou américains à l’AS Rome –, la crise traversée par la sélection pourrait en effet coûter cher. Un parcours « moyen » en Russie est en effet évalué à environ 15 millions d’euros pour la FIGC, alors qu’une élimination dévaluerait sa vitrine aux yeux des sponsors et des télévisions, qui lui versent chaque année autour de 80 millions d’euros.

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Italie - Suède : Les compos (20h45 sur Canal+ Sport)

 

 

 

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Photo Icon Sport

Compo de l'Italie

 

Buffon, Barzagli, Bonucci, Chiellini, Darmian, Parolo, Florenzi, Jorginho, Candreva, Gabbiadini, Immobile

 

Compo de la Suède

 

Olsen, Lustig, Lindelof, Granqvist, Augustinsson, Claesson, Johansson, Larsson, Forsberg; Berg, Toivonen

 

 

 

 

 

 

 

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Pour la première fois depuis 1958, l'Italie ne participera pas à la Coupe du monde de foot 2018, après son élimination par la Suède

 

 

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Ce n'était pas arrivé depuis plus d'un demi-siècle. L'Italie, qui avait disputé toutes les Coupes du monde depuis 1958, ne participera pas au Mondial 2018 en Russie. La Nazionale a été éliminée par la Suède, après une défaite (1-0) au match aller en Suède et un nul (0-0) au match retour en Italie, lundi 13 novembre. La Squadra Azzura, quatre fois championne du monde, devait s'imposer avec deux buts d'écart pour valider son ticket pour le Mondial russe.

 

 

Malgré une énorme domination, l'Italie n'a pas réussi à remonter son but de retard face à la Suède et n'ira pas au Mondial pour la première fois depuis 1958. Elle doit se contenter d'un nul 0-0 à San Siro. C'est un terrible échec.

 

 

 

Au bord du précipice après sa défaite 0-1 à Solna vendredi dernier, l’Italie se retrouvait dos au mur. Il fallait à tout prix retourner la situation en sa faveur face à la Suède à San Siro ce lundi soir. La tâche s’annonçait ardue car la Squadra Azzurra est passée à côté en Scandinavie, à l’image d’un Verratti, une nouvelle fois décevant et suspendu après avoir écopé d’un jaune lors de la première manche. Sans son milieu de terrain, Ventura présentait un 3-5-2 avec une défense très expérimentée Barzagli-Bonucci-Chieliini. L’attaque était elle constituée d’Immobile et de Gabbiadini. La Suède espérait elle se qualifier avec Forsberg, Berg ou encore Toivonen.

 

Dans un stade bouillant et entièrement acquis à la cause nationale, la rencontre démarrait sur un gros rythme avec déjà quelques tournants. Chiellini (8e) et Barzagli (22e) jouaient déjà sous pression après avoir pris un avertissement. L’arbitre était un véritable acteur de ce début de match car il ne sifflait pas un penalty aux Italiens après une faute de Augustinsson sur Parolo (8e). Quelques minutes plus tard, c’est une main évidente de Darmian qui était oubliée dans la surface (12e). Même chose pour Barzagli qui laissait traîner sa main. Le défenseur échappait miraculeusement au penalty et à l’expulsion (28e).

 

 

La Suède a tenu bon

 

 

Les déboires de l’arbitre n’effaçaient pas les quelques occasions. Immobile ne parvenait pas à redresser son tir (14e) alors que Granqvist sauvait sur sa ligne un tir de l’attaquant (40e). Candreva frappait trop en force au-dessus de la cage (26e) et Florenzi oubliait ses partenaires (44e). La Suède faisait le dos rond mais tremblait sur chaque opportunité adverse. Car à part une initiative timide de Claesson (24e), elle n’inquiétait pas Buffon. La deuxième période offrait peu ou prou le même scénario avec des opportunités plus tranchantes de chaque côté. L’Italie partait à l’abordage et la Suède profitait de rares contres.

 

Après une faute suédoise non sifflée dans la surface sur Darmian (47e), la reprise croisée de Florenzi flirtait avec le poteau (52e), le plat du pied droit de Chiellini terminait dans les bras d’Olsen (56e), la tentative d’Immobile n’accrochait pas le cadre (64e) et Lustig déviait le centre de Florenzi sur sa propre barre transversale (67e). Les Suédois tenaient bon mais manquaient de jus. Les lourds gabarits que sont Toivonen, Berg (67e), puis Kiese Thelin (80e) ne profitaient pas des bons ballons de contre de Forsberg et de Claesson. La fin de match était irrespirable. Olsen s’employait devant Parolo (82e) puis sur l’énorme volée d’El Sharaawy (86e). Il annihilait là les dernières cartouches italiennes et envoyait son pays en Russie. C’est un véritable coup de tonnerre en Italie qui ne jouera pas la Coupe du Monde pour la première fois depuis 1958.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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