nourelfi
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CF-Auto-Root, le célèbre outil servant à rooter les terminaux a été mis à jour par Chainfire. Cette nouvelle version apporte quelques nouveautés et supporte désormais plus de 300 terminaux différents.
En 2012, un certain Chainfire se faisait un nom au sein de la communauté Android grâce à son CF-Auto-Root (et CF-Root) qui permettait de rooter certains smartphones de Samsung. Trois ans plus tard, Chainfire est l’un des piliers du monde underground et son outil supporte désormais plus de 300 terminaux différents.
Dans un post Google+, Chainfire vient d’annoncer la mise à jour de CF-Auto-Root. Cette nouvelle mouture permet de contourner les derniers patchs de sécurité des versions 5.1 et 6.0 d’Android déployés aussi bien par Google que Samsung. À cette occasion de nouveaux terminaux ont été ajoutés à la liste de compatibilité et certains firmwares ont été mis à jour pour les anciens. Quoi qu’il en soit, tous les fichiers ont été mis à jour afin d’intégrer SuperSU 2.65, la dernière itération du gestionnaire de root.
Précisons que la version bêta d’Android 6.0 Marshmallow sur le Galaxy S6 n’est pas encore prise en compte par CF-Auto-Root.
Une installation pleine de conséquences
CF-Auto-Root peut être installé à l’aide d’ODIN pour les appareils Samsung ou de Fastboot pour les autres. Notez néanmoins que le bootloader du terminal ainsi rooté doit être déverrouillé au préalable au risque de le rendre inutilisable. En outre, rappelons que ce genre de manipulation incrémente le compte de flash, qui affiche un triangle jaune au démarrage du téléphone (qu’il est possible de remettre à zéro grâce à TriangleAway), et active de façon définitive le flag KNOX WARRANTY VOID.
Si malgré cela vous souhaitez tout de même tenter l’expérience, les fichiers nécessaires sont disponibles sur le site de Chainfire. Pour plus d’informations, un topic est disponible (en anglais) sur XDA.
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Nous vous concoctons régulièrement des sélections d’applications afin de vous aider à équiper au mieux votre smartphone ou votre tablette. Tour d’horizon à l’heure où certains d’entre vous – chanceux – ont reçu un nouvel appareil, afin de les aider à installer les meilleures applications possible sur leur précieux.
C’est Noël, votre nouveau téléphone vous attendait au pied du sapin, et vous ne savez pas vraiment par où commencer pour le doter des meilleurs outils ? Suivez le guide.
Faire le plein d’outils vraiment utiles
Vous venez d’acheter un nouveau smartphone ou une tablette ? Si vous souhaitez aller droit à l’essentiel, nous vous avons concocté une sélection d’indispensables à installer pour partir d’un bon pied.
Et comme envoyer des messages fait partie des premiers usages d’un smartphone, autant vous offrir une messagerie qui vous ressemble. Pour cela, vous pouvez installer l’une des meilleures applications SMS et, pour la compléter, l’une de ces applications de messagerie instantanée.
Vous êtes du genre organisé ? Vous devriez trouver votre bonheur dans cette sélection d’applications vous permettant de gagner en productivité, et, pour ne rien oublier, dans ces applications d’agenda (calendrier). Pour les travaux organisés en groupe, c’est par ici.
Et pêle-mêle, selon vos besoins :
- Les meilleures applications de retouche photo
- Les meilleures applications météo
- Les meilleures applications pour écouter des podcasts
- Les meilleures applications pour faire des rencontres sur Android
- 6 applications de GPS hors-ligne pour Android
Devenir un joueur mobile hors pair
Nous vous proposons régulièrement des sélections de jeux, essayés avec amour à la rédaction. Il y en a pour tous les goûts, avec du gratuit comme du payant. À chacun son style.
- Avant la sélection du mois de décembre, retrouvez notre sélection des meilleurs jeux sortis au mois de novembre. C’est déjà un bon début !
- Pour les amateurs de jeux en point and click, c’est par ici.
- Nous avons également testé les jeux de quiz, populaires sur le Play Store. Notre sélection se trouve à cette adresse.
- Vous préférez les jeux de plateforme ? Nous avons ce qu’il vous faut juste ici.
- Pour vous triturer les méninges, voici les meilleurs jeux de stratégie à installer sur votre appareil.
- Et si les jeux posés ne vous disent rien, des jeux de rythme devraient vous satisfaire.
- Les meilleures applications de retouche photo
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Les dernières études publiées par l’ARCEP et les différents organismes surveillant les usages mobiles en témoignent : les SMS, toujours très utilisés, sont concurrencés par les applications de messagerie instantanée. Ces dernières, à l’image de la plus célèbre d’entre elles, WhatsApp, s’appuient sur le réseau data (3G/4G) ou sur une connexion WiFi pour l’envoi de messages aux contenus divers. Pour des messages gratuits, riches en multimédia et envoyés à l’étranger, ces applications sont donc particulièrement adaptées. Tour d’horizon des meilleurs titres disponibles.
WhatsApp
L’incontournable des services de messagerie appartient, après la signature d’un chèque colossal, au non moins géant Facebook, et recense 900 millions d’utilisateurs actifs mensuels, dont probablement les trois quarts de vos proches. WhatsApp donc, dont l’usage est gratuit et lié au numéro de téléphone de son utilisateur, permet, moyennant finance, de personnaliser son interface. Et surtout, l’app permet de créer des groupes de discussion, indique à l’émetteur si son destinataire a lu son message, autorise l’envoi de liens, de fichiers multimédias, de stickers… C’est un outil d’autant plus complet qu’il est désormais assorti d’une interface web et permet de passer des appels vocaux. Un outil si pratique qu’il suscite des opérateurs télécoms dans certains pays, tel le Brésil.
Telegram
Pas très copain avec WhatsApp, qui a récemment bloqué les liens en provenance de son service, Telegram n’en reste pas moins un service de messagerie instantanée très populaire. Il compte beaucoup moins d’utilisateurs que son concurrent – elle compte au moins 60 millions d’utilisateurs actifs -, mais est disponible aussi bien sur smartphones que sur ordinateurs ou tablettes. Outre son aspect messagerie, plutôt classique, Telegram est plébiscité pour le chiffrement des données qui transitent par ses services, et pour la possibilité qu’il offre de créer d’immenses groupes de discussion. Des supergroups peuvent compter jusqu’à 1000 personnes, quand ses groupes classiques peuvent compter jusqu’à 200 participants. Bien évidemment, ces groupes sont assortis de fonctions avancées d’administration, un peu comme sur des forums.
Hangouts
Alors certes, l’application est désormais un peu plus perçue comme une app de messagerie classique (SMS/MMS), mais elle reste un outil de messagerie instantanée, d’autant qu’il se murmure qu’elle pourrait perdre sa fonctionnalité SMS. Bref, c’est un service de messagerie que vous retrouverez facilement dans votre boîte email Gmail sur bureau, permettant d’envoyer des contenus divers, supportant les GIF (indispensables de nos jours) et autorisant les appels vidéo jusqu’à 10 participants. Pas très glamour, mais très efficace.
L’outil racheté en 2011 par Microsoft a mis bien longtemps à évoluer. Et pourtant, il reste un outil de messagerie instantanée parmi les plus pratiques, puisqu’il est disponible sur toutes les plateformes (Android, iOS, Windows Phone 8/ Windows 10, Mac…) et fournit une synchronisation des données efficaces. Il permet d’envoyer toutes sortes de contenus multimédias, de créer des conversations de groupes, et autorise les appels vidéo, généralement bien pratiques. Son plus : il est également un service de VoIP, et permet donc à ce titre, moyennant finances, de passer des appels vocaux vers des fixes ou des mobiles, notamment à l’étranger. Un indispensable donc.
Facebook Messenger
L’un des premiers services de Facebook à avoir été dotés d’un fonctionnement « indépendant », Facebook Messenger fait partie des services de messagerie les plus populaires. Pourquoi ? D’abord parce qu’il est pratique à utiliser, indique à l’expéditeur si son message a été lu, permet d’envoyer des contenus à des contacts uniques ou à des groupes. Mais aussi parce qu’il est truffé de stickers, ces versions très améliorées des emojis, qui permettent de communiquer en images ce que l’on pourrait dire, moins rapidement peut-être, en mots. On apprécie les chat heads, ces notifications sous forme de bulles, mais aussi la toute récente possibilité de personnaliser les coloris des conversations. C’est certainement l’aspect le moins agréable de l’app, qui de fait manque clairement d’options permettant de la transformer à l’image de l’utilisateur.
WeChat
WeChat tire initialement sa popularité de la Chine, où l’application est née. Ce titre de Tencent est désormais utilisé un peu partout, et permet, comme Skype et consorts, de papoter par écrit, d’envoyer des contenus photos ou vidéos, et de passer des appels en visioconférence. Une application qui mise en outre sur des fonds d’écran et des notifications personnalisées et – bonus – sur la rencontre d’utilisateurs situés à proximité. Comme Line, WeChat regorge d’autocollants (les fameux stickers), et ajouter à cela une certification de sécurité TRUSTe. Le tout est gratuit, mais il faut bien noter que la personnalisation ou les stickers relèvent bien souvent des achats in-app.
Line
Des stickers à foison, des emojis en nombre : Line fait partie des messageries les plus « kawaii ». Elle permet d’envoyer divers messages, comprend naturellement pléthore d’achats in-app pour l’envoi de contenus personnalisés, et offre une fonction appels vocaux. Cette application souffre malheureusement depuis quelques jours de problèmes de notifications : espérons qu’une prochaine mise à jour permette de les régler.
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Si de nos jours, tous les ordinateurs portables disposent d’une webcam (à quelques exceptions près peut-être), c’est une tout autre histoire pour les fixes. En cas d’urgence, il est heureusement possible d’utiliser son smartphone comme une caméra sur IP afin de remplacer cet éventuel périphérique manquant, et ce sur n’importe quel PC sous Windows, Linux ou Mac OS X.
Vous avez un entretien d’embauche à distance dans une heure, mais votre webcam vient de vous lâcher ? Une situation critique dans laquelle la seule solution évidente qui vient à l’esprit est de courir au magasin le plus proche pour racheter une petite caméra USB afin de régler ce problème à temps. Heureusement, si vous avez un smartphone sous la main, il vous sera inutile de courir aux quatre coins du globe, la solution la plus simple est encore de transformer celui qui ne quitte jamais votre poche en webcam sur IP.
DroidCam Wireless : la meilleure solution pour Windows et Linux
Pour répondre à ce problème, il existe un grand nombre de couples application serveur / logiciel client, mais peu arrivent à répondre à toutes nos exigences. De tous ceux que nous avons essayés, le plus efficace est DroidCam Wireless Webcam, développé par Dev47Apps. Malheureusement, il n’est disponible que pour Windows et Linux.
Comme dit précédemment, la première étape consiste à télécharger l’application dédiée sur son smartphone Android et le logiciel ad hoc sur son ordinateur. La première se trouve directement sur le Google Play Store tandis que le second est disponible sur le site de l’éditeur. L’ensemble est gratuit, mais il existe néanmoins une variante « Pro » de l’application distribuée à 4 euros et proposant une meilleure qualité d’image (HD 720p) ainsi que davantage de contrôles (flash, zoom, autofocus, etc.).
Lors de l’installation du client sur PC, il vous sera demandé si vous autorisez DroidCam à s’installer en tant que nouveau périphérique. Il est important d’accepter afin que le logiciel soit reconnu comme une webcam dans vos différents logiciels. Il est par ailleurs conseillé de couper tout logiciel pouvant utiliser la webcam (Skype…) avant de lancer l’installation. En outre, pour utiliser votre téléphone comme webcam sans fil (via WiFi), il doit se trouver sur le même réseau que votre ordinateur.
Une fois l’application et le logiciel installés, lancez la première sur votre téléphone et notez l’adresse IP affichée. Rendez-vous alors sur votre PC, et rentrez-la dans le client DroidCam dans la case « Device IP ». Cliquez ensuite sur le bouton Start pour établir la liaison, en pensant à cocher la case Audio au préalable si vous souhaitez également utiliser le micro de votre smartphone pour communiquer. Notez qu’il est conseillé de brancher son téléphone sur secteur (ou à l’ordinateur en USB) afin de ne pas voir sa batterie fondre comme neige au soleil.
Connexion en USB
Pour ceux qui préfèrent créer une connexion en USB plutôt qu’en WiFi, c’est également possible. Pour cela, il suffit de cliquer sur le bouton en forme de logo USB, puis sur le bouton Start, l’adresse IP n’étant plus nécessaire ici.
Attention néanmoins, pour que cela fonctionne il vous faudra au préalable installer le SDK Android sur votre ordinateur et activer le mode débogage USB disponible dans les options de développement du téléphone (qui apparaît après avoir cliqué 7 fois sur le numéro de build dans l’onglet des paramètres « À propos du téléphone »).
Une webcam comme une autre
Une fois l’image ainsi obtenue sur DroidCam Client, le logiciel est reconnu comme un périphérique d’entrée pour la capture d’image et de son. Dans Skype par exemple, il vous suffit de vous rendre dans Outils, puis Options, et enfin dans l’onglet Paramètres vidéo pour choisir comme webcam « DroidCam Source ». De même, dans les paramètres audio, vous trouverez un choix « Microphone (DroidCam Virtual Audio) ».
Skype est pris comme exemple ici, mais une grande partie des autres logiciels de chat vidéo, si ce n’est la totalité, propose une option similaire.
PocketCam : la seule alternative sur Mac OS ?
Pour Mac OS, la recherche d’une bonne solution permettant de réaliser la même chose efficacement (et à un coût acceptable) est plus difficile. PocketCam semble toutefois pouvoir répondre dans une certaine mesure à ce besoin.
PocketCam fonctionne de la même manière que DroidCam sur Windows, c’est-à-dire qu’il nécessite d’un côté une application sur le téléphone et de l’autre un « client » sur l’ordinateur qui s’y connectera quasi automatiquement si les deux appareils se trouvent sur le même réseau. En toute logique, la première étape consiste donc à installer ces deux éléments en les récupérant sur le Google Play Store (moyennant 3,77 euros), et sur le site du développeur (pour Mac OS X 10.9 et plus). Notez que le fichier est au format ZIP et peut être décompressé à l’aide d’une application telle que Keka.
Une fois les deux parties installées, il suffit de lancer l’application PocketControl sur le Mac et de rentrer l’adresse IP indiquée dans l’application Android dans la fenêtre qui s’ouvre en appuyant sur le bouton Add IP.
Afin de vérifier que la liaison a bien été établie, rendez-vous sur l’onglet Video de PocketCam, où vous devriez voir apparaître ce qui se passe en face de la caméra de votre smartphone.
Comme pour la solution Windows, il est conseillé de brancher son téléphone sur secteur avant toute chose pour éviter de drainer sa batterie trop rapidement, et la caméra doit être sélectionnée dans les préférences de chaque logiciel. Sur FaceTime par exemple, la caméra utilisée peut être choisie depuis le menu « Vidéo ».
Malheureusement, malgré sa version payante, la qualité laisse à désirer et les bugs sont fréquents.
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Louer un GPS n’est pas la solution la plus économique, d’autant qu’il existe de nombreuses solutions de navigation GPS pour votre smartphone et votre tablette Android. Ces outils sont capables de stocker des cartes pour pouvoir y accéder sans connexion. Voici notre sélection.
Article mis à jour le 8 décembre 2015.
Google Maps
Forcément. Google Maps est l’outil star de la navigation GPS et, après des années de fonctionnement basique, où il était uniquement possible de télécharger des cartes et de s’y situer (pour savoir comment faire, c’est ici), l’heure est à l’amélioration. Google a en effet annoncé il y a quelques semaines la possibilité de naviguer dans ces cartes (préalablement téléchargées, donc), même sans connexion Internet, et d’y chercher des points d’intérêt.
OsmAnd Maps & Navigation
OsmAnd propose de nombreuses cartes détaillées, avec des points d’intérêts. On retrouve également des cartes d’excursion pour vos randonnées, mais aussi les transports en commun dans les grandes villes. La navigation GPS intègre le guidage vocal. Néanmoins, en mode hors-ligne, l’affichage des cartes peut s’avérer un peu long.
Here Maps
Grand classique, la solution développée Nokia est un must have. Vous pouvez accéder aux nombreuses cartes de tous les pays (à télécharger indépendamment par pays, régions ou grandes villes), le guidage vocal est disponible et le calcul des itinéraires est rapide. Si vous êtes connectés, Here propose le trafic en temps réel et informations sur les incidents routiers. Notez que malgré son rachat par un groupement de constructeurs automobiles allemands, Here Maps continuera d’exister en tant que solution indépendante pour mobiles. Une bonne nouvelle pour ses aficionados.
Scout
Scout se base sur les cartes OpenStreetMap, et propose donc de nombreuses cartes. Il existe également des inconvénients, comme l’impossibilité de localiser une adresse sans connexion. Mieux vaut avoir préparé toutes ses coordonnées avant de partir.
Telenav GmbH (formerly skobbler GmbH)
Navmii GPS World (Navfree)
Navmii utilise également OpenStreetMap, assez complet il est malheureusement limité par la qualité des images et des cartes, qui manquent de détails.
Copilot GPS et Sygic
Sûrement les solutions les plus complètes, néanmoins elles sont payantes. Elles comprennent de très nombreuses options, et vous pouvez bénéficier d’une période d’essai. Suffisant pour votre semaine de vacances.
Vous pouvez également mettre hors-ligne des cartes sur Google Maps, même si cette solution ne s’avère pas si pertinente sans connexion. À l’étranger, n’oubliez pas de décocher l’option roaming, sinon ces solutions hors-ligne vous seront inutiles… et je vous passe les frais qui vous attendront à votre retour.
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L’application YouTube pour Android propose, dans certains pays, de sauvegarder des vidéos afin de les regarder ultérieurement. Malheureusement, ce service n’est pas disponible en France et il est donc nécessaire de passer par des moyens détournés pour télécharger des vidéos depuis la plateforme de streaming afin de les visionner hors connexion. Si vous souhaitez regarder des vidéos dans le métro, suivez le tuto !
À défaut de pouvoir passer par des canaux officiels, il existe plusieurs moyens de télécharger des vidéos YouTube pour les jouer offline. En voici quelques-uns qui pourront certainement vous rendre service.
Les services en ligne
De nombreux sites proposent de télécharger des vidéos YouTube et de les convertir dans le format de votre choix. À ce petit jeu, l’un des plus efficaces est certainement ClipConverter, à la fois rapide, ne nécessitant pas Flash Player et avec une interface claire et pas trop noyée sous la pub.
La première étape consiste bien évidemment à trouver le lien de la vidéo que vous souhaitez sauvegarder pour plus tard. Pour cela, rendez-vous sur l’application YouTube, puis naviguez vers la vidéo en question. Cliquez sur le bouton de partage en haut à droite, puis dans la fenêtre qui s’ouvre choisissez « Copier l’URL ». Cela fonctionne également en copiant l’URL depuis n’importe quel navigateur.
Une fois le lien récupéré, rendez-vous sur ClipConverter depuis votre navigateur et collez le lien dans la case correspondante par le biais d’un appui long, puis appuyez sur Continuer. Sélectionnez la définition qui vous convient en fonction de votre terminal et de votre connexion, puis cliquez sur le bouton Débuter !. Notez que si vous ne souhaitez extraire que l’audio par exemple, vous pouvez convertir le fichier en MP3, M4A ou AAC.
Une nouvelle fenêtre va s’ouvrir (deux, en comptant la pop-up de publicité que vous pouvez immédiatement fermer). Cliquez alors sur le bouton Télécharger et patientez le temps que le fichier se charge jusqu’au bout. Une fois l’opération complétée (l’avancée du téléchargement est disponible dans les notifications), il vous suffit alors de lancer le fichier ainsi obtenu avec n’importe quel lecteur vidéo, qu’il soit intégré nativement à votre téléphone ou obtenu sur le Google Play Store.
TubeMate : l’application de téléchargement
En dehors des services en ligne, il existe également diverses applications qui permettent d’arriver au même résultat. Parmi elles, on peut citer par exemple TubeMate, disponible gratuitement sur le site de son éditeur.
Avant toute chose, il est important d’activer l’installation des sources inconnues. Pour cela, rendez-vous dans les paramètres de votre téléphone, puis dans la section liée à la sécurité et activez l’option Sources inconnues. Une fois l’option activée, rendez-vous sur le site de TubeMate et téléchargez l’application (le gros bouton vert peut difficilement être raté).
Lorsque TubeMate est installé, lancez l’application. Vous verrez une interface très proche de l’application YouTube officielle, avec un moteur de recherche intégré. Cherchez votre vidéo, commencez la lecture puis cliquez sur la flèche verte en haut de l’écran. Comme pour ClipConverter, choisissez le format et cliquez sur Télécharger.
Tout comme pour la première solution, le fichier peut ensuite être consulté en toute tranquillité hors connexion à l’aide de n’importe quel lecteur multimédia compatible. De quoi rendre vos trajets en transports en commun beaucoup plus agréables sans pour autant faire exploser votre facture.
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Bien que Samsung ne communique que très peu dessus, il propose à ses utilisateurs un outil très puissant : SideSync. Grâce à lui, il est possible de contrôler son téléphone ou sa tablette à distance depuis son ordinateur. Écrire et recevoir des SMS, répondre à des appels, discuter avec ses contacts Facebook, WhatsApp, et même jouer à des jeux Android depuis son PC devient très facile.
Ceux qui travaillent toute la journée sur un ordinateur doivent régulièrement faire des allers-retours entre leur écran de travail et celui de leur smartphone, que ce soit pour répondre à un SMS, faire défiler rapidement leur mur Facebook, ou tout simplement se détendre avec une partie de Candy Crush Saga. Afin de faciliter toutes ces actions, Samsung propose SideSync, un logiciel capable de prendre totalement le contrôle d’un appareil de la marque à distance, et inversement d’utiliser un clavier et une souris directement dessus.
Compatible Windows et Mac OS
Avec SideSync, le but de Samsung semble clairement de pouvoir répondre aux besoins d’un large public, et non pas seulement une courte frange de geeks bidouilleurs prêts à mettre les mains dans le cambouis. Pour installer SideSync et appairer les deux terminaux, il suffit de télécharger le client (ou le serveur) de part et d’autre, et de lancer l’application d’un côté, et le logiciel de l’autre.
Niveau restrictions, sachez que cela nécessite un smartphone Samsung sous Android 4.4 KitKat ou plus, ou une tablette sous Android 5.0 Lollipop ou plus. Notez également que certains modèles sont susceptibles de ne pas être compatibles. Nos tests, réalisés sur un Samsung Galaxy S6 Edge, se sont quant à eux tous montrés convaincants.
Du côté de l’ordinateur, SideSync est compatible aussi bien avec Windows (XP SP3 ou plus) que Mac OS (Mac OS X 10.6 ou plus).
Une installation très simple
Pour installer SideSync, il suffit d’installer le logiciel du même nom, disponible sur le site de Samsung, sur votre ordinateur, ainsi que l’application sur votre smartphone ou tablette. Les deux appareils concernés doivent néanmoins se trouver sur le même réseau WiFi pour être se reconnaitre.
Lancez les deux, cliquez sur le bouton « rechercher » sur l’un comme sur l’autre puis sélectionnez dans la liste qui s’ouvre alors l’appareil avec lequel vous souhaitez appairer votre téléphone, votre tablette ou votre ordinateur (la fenêtre s’ouvre des deux côtés). Une fois les deux terminaux reconnus, une fenêtre devrait s’ouvrir sur votre ordinateur, affichant différentes icônes ainsi que vos notifications actives.
De nombreuses possibilités
Une fois connecté, SideSync propose diverses fonctionnalités, à commencer par l’affichage de vos notifications sous forme d’une petite pop-up sur votre ordinateur lors de leur réception. Il est alors possible de les gérer directement d’un clic de souris, d’émuler l’ouverture d’une application ou encore de répondre à un message à l’aide de son clavier.
En haut, une barre de raccourcis permet d’afficher une liste de vos applications préférées, permettant d’accéder en quelques clics à vos messageries, par exemple, ou à votre application de SMS. De base, cette barre de raccourcis intègre également un bouton « Mes fichiers » qui permet de copier d’un simple glisser/déposer des fichiers sur le téléphone.
En outre, à partir du moment où le téléphone ou la tablette est synchronisé avec le PC, le son qui en sort est transféré sur votre PC. Pratique pour lire des fichiers locaux ou profiter d’un abonnement de streaming sur des enceintes de bureau sans connecter son compte sur l’ordinateur.
Du mirroring d’écran
En plus de pouvoir gérer ses notifications et ses messages depuis son PC, SideSync offre également la possibilité d’afficher son écran de smartphone directement sur son ordinateur, et donc de profiter de tout le catalogue d’applications et de jeux disponibles sur le Google Play Store. Le temps de latence et l’absence de multitouch à la souris empêchent de réellement apprécier les titres les plus rapides, mais ceux-ci ne sont pas légion, et il est tout à fait possible de jouer de la sorte à Lara Croft GO par exemple et même, dans une moindre mesure, à Ski Safari 2 (les ralentissements empêchant de battre des records).
Afin de rendre cette pratique plus agréable, Samsung a même pensé à ajouter un bouton « Phone screen » permettant de pivoter l’écran ou de faire des screenshots.
Et plus encore…
En cliquant sur le bouton « Plus » de la fenêtre principale de SideSync, le logiciel propose également des options supplémentaires, comme « Activer le partage du clavier et de la souris », permettant d’utiliser les périphériques en question sur son téléphone ou sa tablette, ou encore « Activer le point d’accès mobile » afin d’utiliser votre connexion 3G / 4G comme point d’accès réseau.
Quelques contraintes
Le fonctionnement de SideSync n’est toutefois pas sans défaut. Outre l’interface qui n’est pas toujours très fluide et les quelques pertes de synchronisation qui peuvent apparaître, certains problèmes plus techniques se font ressentir. Ceux qui ont verrouillé leur téléphone avec une empreinte digitale par exemple, sur les modèles les plus récents, devront se souvenir de leur mot de passe de sécurité afin d’accéder au contenu du téléphone à chaque utilisation en mirroring d’écran, ou penser à déverrouiller leur téléphone avant de s’en servir.
Par ailleurs, lors de notre première connexion, le clavier était configuré en QWERTY. Cela peut néanmoins se corriger en positionnant son curseur dans une zone de texte, puis en cliquant sur la notification « Sélectionner un clavier ». Choisissez alors « Configurer les modes de saisie », puis dans la partie « Clavier externe » sur « Sidesync Keyboard ». Enfin, cliquez sur « Définir le type de clavier » et choisissez la langue française. Revoilà le clavier AZERTY !
Pour finir, précisons qu’il est conseillé de brancher son téléphone lors de l’utilisation de SideSync en mode mirroring. La connexion étant gourmande en ressources, votre batterie risque de fondre comme neige au soleil.
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Google vient d’améliorer l’économiseur de données de la version Android de Chrome. Celui peut maintenant économiser jusqu’à 70 % de data en plus et se permet d’effacer les images d’une page web si besoin.
L’économiseur de données existe depuis longtemps dans les options de Chrome, que ce soit dans sa version bureautique classique ou dans sa version mobile, sur iOS ou sur Android. C’est une fonctionnalité très pratique dont le but est de réduire les données téléchargées par le téléphone lorsque l’on consulte des pages web sur une connexion très lente. La description au sein de l’application indique : « les pages consultées dans Chrome sont d’abord compressés via les serveurs de Google avant d’être téléchargées (sauf pages SSL et navigation privée) ». Une page d’aide est d’ailleurs présente en ligne pour l’activer.
Google vient toutefois de l’améliorer sur Android. Désormais, l’économiseur de données de Chrome peut économiser jusqu’à 70 % de data en plus tout simplement en retirant les images d’une page web visitée. Chrome va donc charger le texte de la page, puis afficher un pop-up pour demander à l’utilisateur s’il souhaite toutes les charger ou en afficher une sélection. Pratique.
Ce nouvel économiseur de données va d’abord être déployé en Inde et en Indonésie — deux marchés émergents où Google tente d’améliorer ses services sur des connexions Internet lentes — puis être ensuite étendue un peu partout dans le monde « dans les prochains mois ». Une fonctionnalité qui peut se montrer pratique lorsque l’on est à la campagne ou en 3G chez Free.
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Il existe des dizaines de modèles de smartphones haut de gamme, plus ou moins perfectionnés, plus ou moins jolis également. Mais pour qui dispose d’un budget suffisant pour choisir le modèle qui lui conviendra parfaitement, les options sont moins nombreuses. Qu’il s’agisse de smartphones ultra-performants, très design ou d’appareils aux fonctionnalités originales, les téléphones inclus dans cette sélection s’inscrivent résolument dans l’univers du premium, mais pas dans celui du luxe incarné par des marques telles que Vertu. Découvrez notre sélection pour vous aider à mieux choisir votre prochain smartphone.
Samsung Galaxy S6
C’était certainement le smartphone le plus attendu de l’année dans le monde d’Android, et on peut dire qu’il a fait mouche. Samsung qui rompt avec son design habituel, qui propose du verre et du métal, qui abandonne le support des cartes microSD et qui propose des tarifs dépassant les 700 euros : c’est un véritable changement dans les habitudes du Coréen. Néanmoins, son Galaxy S6 fait partie des meilleurs smartphones du moment, et peut désormais être acheté autour de 600 euros (comme ce modèle, en blanc et 32 Go), voire à un prix un peu moins élevé.
Samsung Galaxy S6
Les amateurs d’écrans courbés pourront se tourner vers le Galaxy S6 edge, que l’on peut trouver à des tarifs similaires. S’il est aussi performant – et c’est l’un des meilleurs du moment – et délivre d’aussi bonnes photographies, certains le trouvent toutefois un peu moins confortable à utiliser. Même fin 2015, et notamment parce que les tarifs sont en baisse, ces téléphones sont assurément de beaux cadeaux.
Samsung Galaxy S6 Edge
HTC One M9
Malgré les efforts de HTC, ce n’est probablement pas pour son excellence absolue que l’on achètera le M9, puisqu’il fait un peu moins bien que ses concurrents en termes d’écran (il n’est pas QHD), de performances et de photographies (lire notre test). En revanche, ce terminal qui reste très bien équipé mise sur un design propre, avec sur une coque unibody en métal de deux couleurs. C’est résolument un point de différenciation à noter pour ceux qui cherchent un design irréprochable.
HTC One M9
Nexus 6P
Les fans de Google et des appareils Nexus attendaient le remplaçant du Nexus 6, et il est bien arrivé avec un Nexus 6P fabriqué par Huawei et qui se veut encore plus premium que son prédécesseur. Exit le plastique, et place à une construction de qualité à base d’aluminium. Sur les caractéristiques techniques, la firme n’a pas non plus lésiné, optant pour ce qui se fait de mieux pour celui-ci : Snapdragon 810, écran QHD de 5,7 pouces, 3 Go de RAM, et appareil photo de 12,3 mégapixels.
À lire : Test du Google Nexus 6
Google Nexus 6
Un appareil photo qui se montre d’ailleurs comme le plus doué de sa génération. Testé il y a peu par notre rédaction, le Nexus 6P s’adresse autant aux amoureux de Google qu’aux amateurs de phablettes. Mais qui dit sortie récente, dit tarif très élevé, et c’est certainement le seul bémol de ce terminal.
LG G4
Le LG G4, que nous avons testé pendant l’année, ne s’adresse pas tout à fait à la même cible que le Galaxy S6. Plus épais, peut-être légèrement moins performant (quoi que…), il a surtout fait le choix de ne pas faire appel au SoC le plus haut de gamme de Qualcomm, le Snapdragon 810, mais au Snapdragon 808, moins susceptible de chauffer. Écran QHD de 5,5 pouces, 3 Go de RAM, capteur photo de 16 mégapixels avec stabilisation optique et autofocus laser : tout y est, la finition cuir en plus. On n’attendait probablement pas LG sur un segment de prix situé entre 650 et 700 euros, mais le Coréen parvient à rivaliser avec ses concurrents sans peine.
LG G4
Comme bien souvent, les smartphones de LG baissent rapidement de prix, d’autant que les chiffres de vente du mobile ne sont pas ceux espérés par le constructeur. Et pourtant, il est régulièrement présent dans nos guides et comparatifs, notamment pour son impressionnante partie photo.
Yotaphone 2
Lui aussi coûte plus de 600 euros, et pourtant, il a de solides arguments à faire valoir. Ce YotaPhone 2 (notre test), créé par les Russes de Yota Devices, propose en effet une double expérience : à l’avant, il embarque un écran Full HD assez classique, en AMOLED de 5 pouces, quant à l’arrière, il arbore un écran e-paper tactile, cette fois d’une diagonale de 4,7 pouces. La promesse d’un tel appareil, c’est donc l’autonomie, puisque son écran dorsal est particulièrement peu gourmand en énergie et permet de consulter confortablement articles, emails et bien sûr livres numériques.
Yotaphone YotaPhone 2
Sony Xperia Z5
Comme chaque année, voire même plus régulièrement que cela dans le cas du Nippon, Sony a renouvellé sa gamme premium en proposant de nouveaux jouets : Sony Xperia Z5, Sony Xperia Z5 Compact et Sony Xperia Z5 Premium. Mais c’est ici la version la plus classique qui nous intéresse. Au menu : Snapdragon 810, écran Full HD de 5,2 pouces, 3 Go de RAM, appareil photo de 23 mégapixels et batterie de 2900 mAh.
Sony Xperia Z5
Pour ce modèle, Sony a fait des efforts sur le design en optant pour du verre dépoli qui donne enfin la sensation d’un changement esthétique sur la gamme. Le constructeur a aussi maitrisé les problèmes de chauffe du Snapdragon 810, et offre un appareil photo enfin capable de se hisser à la hauteur de la concurrence, du moins dans certaines conditions favorables. Le Sony Xperia Z5 venant de sortir, et ayant été récemment testé par nos soins, il coûte encore relativement cher.
Sony Xperia Z5 Compact
Nexus 5X
Légèrement moins premium que le Nexus 6P, le Nexus 5X n’en reste pas moins un des excellents smartphones de l’année. On y trouve un écran Full HD de 5,2 pouces, un processeur Snapdragon 808, comme pour le LG G4, 2 Go de mémoire vive, un appareil photo semblable au Nexus 6P (12,3 mégapixels), et une batterie de 2700 mAh. Ses finitions sont par contre moins bonnes, le mobile s’habillant de plastique à la place de l’aluminium.
Google Nexus 5X
Et cette construction de moins bonne qualité, ainsi qu’une fiche technique un peu revue à la baisse, permet également au prix du produit de dégonfler. On peut trouver le mobile pour un prix oscillant entre 479 et 529 euros selon si on le choisi en 16 ou 32 Go de mémoire interne. Un peu cher pour du Nexus diront certains, mais pas tellement quand on compare aux autres haut de gamme de l’année.
Panasonic Lumix DMC-CM1
Là encore, ce n’est probablement pas le smartphone le plus efficace, il est particulièrement onéreux (760 euros environ au lieu de ses 900 euros de départ), mais ce CM1 de Panasonic est intéressant pour les photographes. Côté téléphonie, l’appareil embarque un Snapdragon 801 AB, un écran Full HD de 4,7 pouces et une petite batterie de 2600 mAh, le tout dans un boîtier de 206 grammes. Et pourtant, il est doté d’un capteur photo MOS de 1 pouce et de 20 millions de pixels, d’un processeur d’image Venus Engine, ouvre à f/2.8-f/11 et offre de nombreux réglages manuels. Bref, c’est presque un compact expert dans un smartphone dédié aux amateurs de photographie. Vous pouvez retrouver ici notre prise en main du Panasonic Lumix DMC-CM1, désormais mis à jour vers Lollipop.
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Microsoft vient de mettre à jour son service de cartographie Bing Maps. Il est désormais possible de consulter les caméras de surveillance des routes dans plusieurs pays, afin de connaître plus précisément l’état du trafic sur les portions de route.
Vous êtes du genre à préparer votre trajet en voiture avec de nombreux services afin d’obtenir le trajet optimal ? Microsoft pourrait bien vous faciliter la tâche avec un nouveau service disponible sous Bing Maps (Carte en français sous Windows 10 et Windows 10 Mobile). Le service, disponible depuis n’importe quel navigateur sur le site de Bing Maps permet d’avoir accès à certaines caméras de surveillance des routes et autoroutes aux États-Unis. De cette manière, il est possible de connaître précisément l’état du trafic et de voir si, par exemple, une voie est fermée à la circulation pour cause de travaux ou d’accident. De quoi retarder légèrement son départ et d’optimiser au mieux son trajet.
Pour le moment, cette fonctionnalité est disponible dans 11 pays, dont les États-Unis (notamment à Washington) mais ne semble pas être disponible en France. Microsoft annonce que plus de 35 000 caméras de surveillance des routes et autoroutes sont connectées à Bing Maps.
Cette nouvelle fonctionnalité permettra-t-elle de faire survivre Bing Maps (Carte) ? En effet, le service commence à se faire distancer par Google Maps ou Here Maps – récemment racheté par les constructeurs automobiles allemands – qui sont disponibles sur de nombreux terminaux, et notamment sous Android et iOS. À l’inverse, Bing Maps ne dispose pas d’application dédiée sous Android et iOS.
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L’application Skype pour Android se met à jour et passe en version 6.11. La messagerie de Microsoft gagne ainsi en fonctionnalités et en ergonomie.
Les utilisateurs de l’application Skype l’auront peut-être remarqué, celle-ci vient de se mettre à jour sur le Google Play Store. Dans un long message de blog, ses développeurs ont détaillé les multiples changements de cette mise à jour pourtant mineure. Plusieurs points sont abordés, avec un accent tout particulier sur la gestion des conversations, des vidéos et du moteur de recherche.
C’est sur ces trois axes que la mise à jour se concentre. Elle apporte ainsi une nouvelle barre d’outils lorsque l’utilisateur presse longuement une conversation où le nom d’un de ses contacts, lui permettant ainsi de réduire au silence les notifications pour ce cas bien précis, de supprimer une conversation ou encore de la marquer comme déjà lue. En ce qui concerne les vidéos, ces dernières peuvent désormais être sauvegardées dans la galerie du téléphone d’un simple clic. Enfin, le moteur de recherche s’occupe désormais de fouiller au sein même des conversations en plus du nom des contacts et des groupes.
D’autres améliorations moins importantes ont également été ajoutées, comme le transfert des « Mojis » en tapant dessus ou le partage d’une image à un groupe directement depuis sa galerie.
L’écoute du client
Microsoft montre là qu’il ne reste pas sourd aux réclamations de son public et en profite pour améliorer le fond de son application après avoir remanié la forme cet été. Le dernier grand changement était néanmoins l’ajout de la compatibilité avec Android Wear, une fonctionnalité qui touche néanmoins bien moins de monde que le partage de vidéos, d’emojis ou de photos…
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Si à moins de 100 et 200 euros, il est parfois difficile de faire un choix, ce n’est plus vraiment le cas pour moins de 300 euros où l’on retrouve un choix plus large et des mobiles de meilleure facture. Voici justement notre sélection, qui mêle encore une fois des smartphones récents, et d’autres qui ont déjà presque un an (et le temps passe vite en high-tech). De quoi trouver quelques-unes des meilleures affaires de l’année et combler vos proches pour Noël.
Mise à jour : ce dossier a été mis à jour le 17 novembre 2015.
Alcatel One Touch Idol 3
L’Alcatel One Touch Idol 3 est certainement l’une des plus belles surprises de l’année. Passé sous notre protocole de test, le mobile s’en est tiré à merveille, et colle parfaitement au segment de marché sur lequel il se place. Ce téléphone réversible (peut-être utilisé dans n’importe quel sens) est équipé d’un écran IPS LCD de 5,5 pouces en définition Full HD, d’un processeur Snapdragon 615 couplé à 2 Go de mémoire vive, d’un capteur photo dorsal IMX214 de 13 mégapixels ou encore d’une batterie de 2910 mAh.
En savoir plus : : Test de l'Alcatel One Touch Idol 3
Un smartphone qui ne possède finalement que peu de défauts, si ce n’est son appareil photo un peu décevant. Il mérite en tout cas que vous vous penchiez sur la question si vous êtes à la recherche d’un terminal très équilibré à moins de 300 euros.
Alcatel OneTouch Idol 3 (5,5)
Alcatel OneTouch Idol 3 (4,7)
Huawei Ascend G7
Pour ceux qui sont à la recherche d’une phablette au format 5,5 pouces, et pour moins de 300 euros, on ne peut que vous conseiller de jeter un œil au Huawei Ascend G7. Le smartphone se révèle très équilibré.
En savoir plus : Test du Huawei Ascend G7
Ce smartphone, sorti fin 2014, intègre un écran de 5,5 pouces avec une définition de HD, un processeur Snapdragon 410 épaulé par 2 Go de RAM, un capteur arrière de 13 mégapixels (F2.0), un capteur frontal de 8 mégapixels, et une batterie de 3000 mAh. Au final, seules les performances seront en deçà de ce que l’on obtient avec le Snapdragon 615, mais on peut dire qu’il compense par un design très soigné.
Huawei Ascend G7
Huawei Ascend P8 Lite
Le Huawei P8 Lite s’est révélé être la bonne surprise de ce milieu d’année. Il s’agit d’une version allégée, mais non castrée, du Huawei P8. Son design, mêlant acier et plastique, est très réussi, ses performances sont honorables et son écran est dans la moyenne de ce qui est sorti dans cette gamme de prix cette année. L’indubitable point fort du P8 Lite est sans conteste son appareil photo, qui nous avait bluffés lors de son test. Si vous cherchez un bon photophone à moins de 250 euros, c’est vers lui qu’il faut se tourner.
En savoir plus : Test du Huawei P8 Lite : version allégée
Vendu 250 euros lors de son lancement en mai dernier, le P8 Lite se trouve désormais aux alentours de 220 euros dans de nombreuses boutiques en ligne.
Huawei P8 Lite
Honor 7
Jusqu’à présent, le Honor 6 faisait partie des smartphones au très bon rapport qualité-prix que nous conseillions. Ce dernier n’est pas obsolète, mais nous lui préférons désormais le Honor 7, qui lui est supérieur en tout point. Que cela concerne son design, qui fait la part belle au métal, ses performances ou encore son très bel écran Full HD de 5,2 pouces, il fait indubitablement partie des meilleurs smartphones à moins de 300 euros de cette fin d’année. À tous ces arguments s’ajoutent un capteur d’empreintes digitales et un appareil photo très précis pour finir de convaincre les plus dubitatifs.
En savoir plus : Test du Honor 7
La subtilité, c’est que le Honor 7 est affiché officiellement à 349 euros dans sa version 16 Go sur le site officiel. Honor brade toutefois régulièrement son téléphone à 289 ou 299 euros. Le plus simple est encore de passer par un revendeur en ligne, qui propose le téléphone à 349 euros, mais qui offre systématiquement (que ce soit chez LDLC, Amazon.fr ou Materiel.net) une ODR de 50 euros.
Honor 7
OnePlus X
C’est l’autre star des smartphones à moins de 300 euros. Le OnePlus X est un smartphone qui mise avant tout sur son design pour séduire. Et il faut bien admettre qu’il a quelques arguments avec son dos en verre, ses tranches en métal chanfreinées et son écran 2,5D. Le X est un véritable plaisir à prendre en main, d’autant plus qu’avec son écran de 5 pouces, il rentre désormais dans les « petits » smartphones de 2015. Dommage, mille fois dommage que son écran AMOLED Full HD ait une bien trop vilaine tendance à lorgner vers le bleu.
En savoir plus : Test du OnePlus X : l’art du compromis
Concernant le prix, le OnePlus X est vendu 269 euros, ce qui en fait l’un des meilleurs rapports qualité-prix de l’année. La mauvaise nouvelle, c’est qu’il ne sera disponible qu’avec une invitation jusqu’à la fin du mois de novembre et en achat libre une fois par semaine le reste du temps. Mais connaissant OnePlus, un spécialiste des lancements ratés, il faudra attendre le début du mois de décembre pour en être certain.
OnePlus X
Meizu MX4
Le Meizu MX4, officialisé en septembre dernier, est bel et bien commercialisé sur notre territoire. Et Meizu a l’intention de faire mal, avec un smartphone à la fiche technique impressionnante pour un montant assez dérisoire. Pour 300 euros, on peut mettre la main sur un modèle 16 Go, doté d’un écran LCD IPS de 5,36 pouces en full HD, un processeur octocore de chez MediaTek (MTK6595), 2 Go de mémoire vive, une batterie de 3100 mAh, ou encore un capteur photo arrière Sony de 20,7 mégapixels. Des caractéristiques qui viennent rivaliser avec bon nombre de smartphones haut de gamme de 2013 et 2014, surtout qu’il est compatible 4G.
En savoir plus : Test du Meizu MX4 : le smartphone du compromis
Pour le reste, il faudra apprécier l’interface maison de Meizu, Flyme OS, qui fait régulièrement débat, et un design tout ce qu’il y a de plus sobre. Bien peu de contraintes pour un des meilleurs rapport qualité/prix de l’année, d’autant qu’un launcher se télécharge facilement.
Meizu MX4
Wileyfox Storm
Avec l’arrivée du OnePlus 2, le OnePlus One a disparu de la vente et aussi de notre dossier des meilleurs smartphones à moins de 300 euros. Son remplaçant n’a pas été bien difficile à trouver puisque le Wileyfox Storm en est presque une copie carbone. De l’écran Full HD de 5,5 pouces, au design en passant l’interface (Cyanogen OS), il est difficile de ne pas voir un OnePlus One dans cet appareil. Le Wileyfox Storm est vendu 279 euros uniquement en ligne. Comptez les frais de port en plus.
Wileyfox Storm
Xiaomi Mi 4C
Officiellement, le Mi 4C n’est disponible qu’en Chine. Officieusement, l’aura de Xiaomi est désormais telle que l’on trouve des importateurs sur les principaux sites marchands et qu’il est très facile de s’en procurer un. Soyons, franc, le Mi 4C est sûrement l’un des meilleurs rapports qualité-prix de cette sélection, mais aussi celui que l’on ne recommandera qu’à ceux qui n’ont pas peur de mettre les mains dans le cambouis. Téléphone purement chinois oblige, il faut savoir flasher une ROM (nous avons fait un excellent tutoriel à ce sujet) et faire une croix sur la bande de fréquence 4G des 800 MHz.
En savoir plus : Test du Xiaomi Mi 4c : un bon smartphone
Vendu 1299 yuans (182,5 euros) dans sa version 2 Go de RAM/16 Go de mémoire interne ou 1499 yuans (210 euros) en Chine, le téléphone peut-être trouvé en France sur Amazon (par exemple) ou sur GeekBuying entre 240 et 280 euros.
Xiaomi Mi 4c
Sony Xperia M4 Aqua
Vous ne faites pas confiance aux marques chinoises ? Alors c’est du côté de Sony qu’il faut se tourner. Le Xperia M4 Aqua reprend globalement le design des Xperia Z, les smartphones haut de gamme de Sony, et surtout leur étanchéité. Avec son IP 68 il est possible de consulter son fil Facebook dans son bain ou de regarder des vidéos YouTube sous la douche (chacun ses vices, après tout). Pour le reste, tout est plutôt moyen-bon : écran, appareil photo, performances, c’est un téléphone solide.
En savoir plus : Test Sony Xperia M4 Aqua : un milieu de gamme des plus classiques
Initialement vendu 300 euros, ce qui était un peu cher, le Xperia M4 Aqua peut maintenant être trouvé à moins de 250 euros. À ce tarif, cela en fait un très bon smartphone de milieu de gamme.
Sony Xperia M4 Aqua
Zuk Z1
Le OnePlus One avait ouvert la voie des smartphones puissants vendus à bas prix, et il a été suivi de près par de nombreuses marques. Parmi elles, Lenovo et sa marque dérivée Zuk, qui a lancé son Z1 en Europe à la rentrée dernière. Il embarque un processeur de la fin de l’année dernière, qui lui assure des performances encore remarquables, un excellent écran et surtout est installé sous Cyanogen OS. Bref, un bon téléphone dont le principal point faible est l’absence de bande de fréquence 4G des 800 MHz et un appareil photo un peu faiblard.
En savoir plus : Test du Zuk Z1 : c’est dans les vieux SoC qu’on fait les meilleurs smartphones
Aussi étrange que cela paraisse, le Zuk Z1 est disponible en France sur eBay, sans système d’enchère ou de limitation des stocks. Le téléphone est vendu 285,99 euros et les frais de livraison sont offerts.
Zuk Z1
Asus Zenfone 2
Asus a dévoilé il y a quelques jours une version 4 Go de mémoire vive de son Zenfone 2. Et pour fêter son lancement, le constructeur propose le smartphone en précommande pour 299 euros, au lieu de 349 euros par la suite. On y trouve un écran Full HD de 5,5 pouces, un processeur quadricœur Intel Atom Z3580, 4 Go de mémoire RAM donc, un capteur photo dorsal de 13 mégapixels, un autre frontal de 5 mégapixels, une batterie de 3 000 mAh, et une compatibilité 4G de catégorie 4.
En savoir plus : Prix et disponibilités de l'Asus Zenfone 2
Asus se classe donc également très bien en terme de rapport qualité/prix, proposant un smartphone à la fiche technique séduisante et au look premium, à un tarif franchement abordable. L’appareil en version 4 Go de RAM se situe à 299 euros pour son lancement au lieu de 349 euros. Sa mouture 2 Go, elle, coûtera de manière pérenne 249 euros.
Asus Zenfone 2 ZE551ML
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Google s’est enfin décidé à introduire la navigation et la recherche sur des cartes téléchargées sur Google Maps. Autrement dit, la navigation hors ligne est enfin disponible.
C’est une fonctionnalité attendue de longue date que Google vient enfin de lancer sur Google Maps. Promise et montrée lors de la dernière Google I/O, la navigation et la recherche sur des cartes téléchargées sur Google Maps. Concrètement, et comme c’était déjà le cas avant, il est possible de télécharger des zones spécifiques sur son téléphone sur Google Maps. Sauf que cette fois-ci, il est toujours possible de lancer des recherches ou de continuer à suivre un itinéraire même si le téléphone ne dispose pas de connexion Internet.
Google indique que lorsqu’une carte est téléchargée sur le téléphone, Google Maps est capable de l’exploiter automatiquement s’il s’aperçoit que le téléphone n’a plus de connexion à Internet. Pratique, par exemple, pour lancer une recherche alors que l’on se trouve dans un garage souterrain sans réseau. Il est également possible de télécharger une carte d’une ville et de faire des recherches en mode hors-ligne, pour trouver un musée ou une rue. Et pour un restaurant ou un magasin en particulier ? Il faudra attendre le déploiement de la mise à jour pour en être certain.
Pour l’instant, cette mise à jour de Google Maps est réservée aux smartphones Android. Elle arrivera d’ailleurs progressivement avec la prochaine mise à jour de Google Maps. L’application iOS y aura également droit, mais plus tard et à une date inconnue.
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Après avoir publié la liste des smartphones les plus puissants, il y a trois semaines, Antutu vient de mettre en ligne des tableaux listant les smartphones Android les plus populaires, pays par pays. Des tableaux plus révélateurs qu’il n’y paraît.
Antutu vient de mettre en ligne une série de graphiques permettant de voir quels sont les smartphones les plus populaires. Par populaire, on suppose qu’il s’agit des smartphones les plus testés sur l’application de benchmark. Par exemple, le pourcentage affiché à côté du Redmi Note 2 signifie que 5,35 % du total des appareils testés sur Antutu sont des Redmi Note 2.
Antutu publie plusieurs tableaux et commence par un tableau mondial. Un graphique qui démontre surtout la popularité de Antutu en Chine, puisque Xiaomi, qui est vendu exclusivement en Chine et dans quelques pays asiatiques, parvient à placer trois produits dans ce top 10, dont le Redmi Note 2 à la première position et le Xiaomi Mi4 à la troisième place. Asus prend la seconde place avec son Zenfone 2 et Samsung place trois appareils (Galaxy S6, Galaxy S5 et Galaxy Note 4) dans ce classement.
Le classement des 10 appareils les plus populaires en Chine sur Antutu confirme la grande popularité de Xiaomi avec quatre de ses appareils dans le top 5. Le seul téléphone non chinois de ce classement est le Galaxy S6, à la huitième place.
On constate la même tendance à la préférence nationale à Taïwan, où les smartphones HTC et Asus sont présents à quatre reprises dans le top 10. C’est d’ailleurs le seul territoire où le HTC One E9 fait son apparition, à la seconde place.
Même constat en Corée du Sud, où Samsung fait un carton plein avec ses Galaxy S6 et autre Note 4 et Note 5. LG est présent dans le bas du classement avec le G3, le G4 mais aussi le méconnu mais puissant G Pro 2.
Aux États-Unis, on constate que les constructeurs coréens ont la cote, mais que les Chinois ont bien du mal à percer. OnePlus est en effet le seul représentant de l’Empire du Milieu dans ce classement. On constate également que les Américains aiment les grands téléphones.
On termine par le seul représentant du vieux continent, l’Allemagne. Au pays de la bière, Samsung est tout simplement plébiscité avec 7 téléphones sur les 10 que compte ce classement. L’antique Galaxy S3 prend même la dixième position du classement.
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Noël approche, et les cadeaux avec. Si vous avez prévu d’offrir ou de vous faire offrir une tablette pour cette occasion, nous vous avons concocté une petite liste de 8 produits qui pourraient largement vous convenir. Une sélection largement axée sur les performances.
Sony Xperia Z3 Tablet Compact
Chez Sony, le marché des tablettes est loin d’être prioritaire, et à vrai dire, on ne connait pas les chiffres de vente du constructeur, ni même s’il va persévérer sur ce marché particulier. Mais il est certainement l’un des plus doué pour concevoir des ardoises au design soigné, à la qualité de construction irréprochable, et aux performances excellentes. C’est particulièrement le cas de sa Xperia Z3 Tablet Compact, qui avait obtenu nos louanges lors de son test.
En savoir plus : Test de la Sony Xperia Z3 Tablet Compact : la leçon d'harmonie
Il s’agit d’un produit extrêmement fin et léger, avec un superbe écran, des performances très bonnes, et une autonomie de premier choix. Un véritable coup de coeur de l’année 2014, qui reste aujourd’hui encore une tablette haut de gamme. Elle est commercialisée au prix de 399 euros sur le site officiel de Sony.
Sony Xperia Z3 Tablet Compact
Sony Xperia Z4 Tablet
Dans le même genre, mais en format plus imposant (10,1 pouces), on trouve la Xperia Z4 Tablet. Et le moins que l’on puisse, c’est qu’il s’agit également d’une excellente ardoise. On a donc une dalle à la définition 2K (2560 x 1600 pixels), un processeur octo-cœur Snapdragon 810 couplé à 3 Go de mémoire RAM, un stockage interne de 32 Go, un capteur photo dorsal de 8,1 mégapixels, une caméra frontale de 5,1 mégapixels, et une batterie de 6000 mAh.
En savoir plus : Test de la Sony Xperia Z4 Tablet : un Snapdragon 810 enfin à son aise ?
Elle aussi mise sur une construction tout en finesse (6,1 mm) et en légèreté (389 grammes) pour sa taille. C’est clairement une des toutes meilleures tablettes de l’année, et on la trouve au prix de 600 euros sur le site de Sony. Un tarif peut-être un peu élevé pour un tel objet.
Sony Xperia Z4 Tablet
Google Nexus 9
Dans la catégorie des grandes tablettes, la Nexus 9 est également un excellent choix. Si elle a moins fait l’unanimité que la Nexus 7, notamment à cause de problèmes d’écran durant les premiers temps de sa commercialisation, elle est aujourd’hui le fer de lance de Google. Et comme tout produit Nexus, il est possible d’y tester les nouvelles versions d’Android directement après la sortie.
En savoir plus : Test de la Nexus 9
Mine de rien, elle est également puissante avec son processeur Nvidia Tegra K1 et ses 2 Go de mémoire RAM. On regrette toutefois que la mémoire, par exemple, ne soit pas extensible. On trouve la Nexus 9 sur le Play Store au tarif de 399 euros.
Google Nexus 9
Asus Memo Pad 7
Quelle autre tablette nous a séduit cette année ? Il nous vient immédiatement à l’esprit l’Asus Memo Pad 7, qui a visiblement tapé dans l’oeil de Gaël en janvier dernier, n’hésitant pas à parler d’elle comme de l’héritière de la Nexus 7. Il faut dire qu’elle possède de jolis arguments, comme une construction presque irréprochable, une autonomie excellente, et un très bel affichage.
A lire : Test de la Asus Memo Pad 7 : la parfaire remplaçante de la Nexus 7 ?
Mais c’est peut-être son rapport qualité/prix qui est sa plus grande force puisqu’on peut trouver cette puissante tablette à 280 euros environ. Au final, il est bien difficile de trouver des arguments contre cette petite ardoise.
Asus Memo Pad 7 ME572C
Xiaomi Mi Pad
Et en parlant de rapport qualité/prix, comment ne pas évoquer Xiaomi ? La jeune entreprise chinoise propose d’excellents smartphones, mais également une tablette détonnante avec la Xiaomi Mi Pad. Cette dernière est clairement là pour faire concurrence à l’iPad Mini, avec un form factor très proche, et du matériel haut de gamme embarqué. On y trouve une dalle de 7,9 pouces au format 4/3, et avec une définition de 2048 x 1536 pixels, ce qui nous donne une résolution de 324 PPP digne d’un écran Retina vanté par Steve Jobs. Mais c’est surtout sur son SoC qu’elle a fait fort en étant la première a embarquer un Tegra K1 de Nvidia, mais dans sa version 32 bits.
En savoir plus : Test de la Xiaom Mi Pad : un iPad Mini killer
On a donc d’excellentes performances, et pratiquement aucun défaut à mettre en avant pour cette Mi Pad. À la limite, son autonomie n’est pas exceptionnelle, mais on s’en serait douté avec ce SoC et ce format. Le plus étonnant, c’est bien que l’on trouve cette tablette pour à peine plus de 200 euros. Malheureusement, il faudra passer par l’importation.
Xiaomi Mi Pad
Lenovo Yoga Tablet 2
Lenovo est plutôt bon lorsqu’il s’agit de tablettes, et il le prouve chaque année avec sa gamme Yoga. On a d’ailleurs pu apercevoir les nouvelles moutures lors du salon de l’IFA, mais nous n’avons pu tester que les versions 2 pour l’instant. Et on trouve justement deux produits très bon : les Yoga Tablet 2 et Yoga Tablet 2 Pro. Elles ont des formats différents, et la plus grande embarque un pico-projecteur. Mais la petite se montre sûrement plus équilibrée, avec un tarif bien plus abordable.
En savoir plus : Test de la Lenovo Yoga Tablet 2
Et surtout, elle s’impose comme une des plus pratiques du marché grâce à son pied rétractable. Elle possède également un écran IPS LCD de 8 pouces (1200 x 1920 pixels), un processeur Intel Atom Z3745 cadencé à 1,33 GHz, 2 Go de mémoire RAM, un stockage interne de 16 Go avec support microSD, un appareil photo dorsal de 8 mégapixels, et une batterie de 6400 mAh. Et on peut la trouver pour moins de 250 euros désormais.
Lenovo Yoga Tablet 2 (8")
Samsung Galaxy Tab S
Vous pensiez que Samsung allait être absent de cette sélection ? Eh bien non, mais peut-être pas avec le produit que vous attendiez. En effet, pas de Samsung Galaxy Tab S2 dans ce guide d’achat, mais bien la version précédente, la Samsung Galaxy Tab S. Alors certes, son design est moins léché que la nouvelle version, mais la tablette semble nettement plus équilibrée quelle que soit la dimension choisie.
En savoir plus : Test de la Samsung Galaxy Tab S
On y trouve un processeur Samsung Exynos 5420 pour la version Wi-Fi, et un Snapdragon 800 pour la version 3G. Elle est également dotée d’un bel écran AMOLED, et le reste des caractéristiques changent selon la taille de la tablette. En tout cas, il n’y a aucun élément handicapant sur celle-ci, si ce n’est peut-être sa coque arrière qui ressemble à un pansement.
Samsung Galaxy Tab S 8.4"
Nvidia Shield Tablet
Si vous recherchez la performance, il faut regarder du côté de la Xiaomi Mi Pad, de la Nexus 9, de la Z4 Tablet, mais aussi de la Nvidia Shield Tablet. Cette petite tablette de 7 pouces embarque un Tegra K1 aux performances exemplaires, et ce même si elle est aujourd’hui âgée d’un an et demi.
En savoir plus : Test de la Nvidia Shield Tablet : le Tegra K1 et les joueurs à l'honneur
Tout comme la Nvidia Shield Android TV, il est possible de jouer à des jeux streamés grâce au cloud de Nvidia. Petit bémol, l’autonomie n’est pas aussi bonne qu’annoncée, mais loin d’être mauvaise. On trouve désormais cette tablette pour environ 300 euros.
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Google commence à déployer une nouvelle version de YouTube. Celle-ci ne modifie que légèrement l’interface de l’application, mais cache l’arrivée de nouveaux boutons qui devraient faciliter la vie de bien des utilisateurs.
L’application YouTube vient de recevoir une nouvelle mise à jour, incrémentant son numéro de version à 10.43. Alors que les dernières updates étaient tournées essentiellement vers YouTube Red, le nouveau système d’abonnement au service, celle-ci vient essentiellement revoir certains éléments discrets de l’interface, avec notamment une refonte de certains boutons.
Ainsi, lors du visionnage d’une vidéo, les icônes prennent moins de place à l’écran. Elles ont en effet été modifiées pour être plus petites, mais aussi plus lumineuses et mieux définies afin d’être tout aussi visibles. En outre, les boutons « ajouter à une playlist » et « plein écran » ont été entièrement revus et le second correspond désormais à celui de la version navigateur de YouTube. D’autres endroits ont également eu droit à un coup de Polish, et ce depuis la version 10.42 déjà, comme les sections Playlist et « À regarder plus tard », qui ont adopté le rouge propre à YouTube, éliminant ainsi le gris terne qui servait à ces endroits.
Des nouveautés à venir
Ce ne sont toutefois pas là les seuls changements, même s’il s’agit des plus visibles. En fouillant dans le code source de l’application, Android Police a trouvé des mentions à des boutons « Rewind » et « Fast Forward » (rembobiner et avance rapide). Des icônes ont même été dénichées. Mieux encore, un membre de Reddit connu sous le pseudonyme Lolmaster a déjà reçu une version fonctionnelle de cette option, qu’il n’a pas hésité à partager sur la Toile, détaillant ainsi son utilisation. Chaque appui sur les touches déplace la lecture de la vidéo de 10 secondes en avant ou en arrière, ce qui devrait éviter bien des peines à ceux qui souhaitent revoir un passage d’une vidéo un peu longue et dont le curseur est très sensible.
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Les analystes du cabinet IDC viennent de mettre en ligne les données du marché du smartphone pour le 3ème trimestre 2015. Le marché est en croissance de 6,8% sur un an et le trio de tête est toujours le même : Samsung suivi d’Apple et de Huawei qui prend de plus en plus d’importance.
Comme à chaque trimestre, IDC publie les chiffres relatifs au marché du smartphone. L’occasion d’apprendre que celui-ci se porte très bien pour le troisième trimestre 2015 puisqu’il est en croissance de 6,8% par rapport à la même période l’année dernière. Il s’est ainsi écoulé plus de 355 millions de smartphones sur la période contre 332 millions lors du 3ème trimestre 2014. Samsung conserve la pole position, suivi par Apple puis Huawei.
Le trio de tête
En première position, Samsung accapare 23,8% de parts de marché contre 23,9% l’année dernière malgré une hausse de 6,1% de ses livraisons. Apple est toujours en deuxième position avec 13,5% de parts de marché contre 11,8% l’année dernière sur la même période grâce à des livraisons qui ont augmenté de 22,2%. Une très belle performance, mais un peu terne face à Huawei. En effet, le troisième constructeur mondial de smartphone dispose maintenant de 7,5% de parts de marché contre 5% l’année dernière grâce à une hausse spectaculaire de ses livraisons : +61%. Il reste tout de même encore loin d’Apple en terme de volume mais sa croissance est phénoménale.
Les autres constructeurs chinois
La fin du classement comprend Lenovo qui semble avoir du mal après l’acquisition de Motorola. En effet, le chinois dispose de 5,3% de parts de marché alors que l’ensemble Lenovo et Motorola représentait, l’an dernier, 7,7% de parts de marché, les volumes étant passé de 25,7 millions d’unités écoulées pour les deux entités à 18,8 millions sur le dernier trimestre. Est-ce la faute à une gamme Motorola qui fait de plus en plus face à une concurrence féroce dans l’entrée et milieu de gamme ?
Enfin, on retrouve Xiaomi qui a du mal à évoluer en conservant une part de marché de 5,2% avec une légère hausse des livraisons de l’ordre de 5,6%. Le constructeur chinois devra désormais sortir d’Asie afin de gagner davantage de parts de marché. Il pourrait d’ailleurs faire rapidement son apparition aux Etats-Unis.
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Article Produits Android
Google a déposé en avril dernier un brevet concernant un objet connecté permettant de savoir si un utilisateur se trouvant dans une voiture est en train de conduire ou non. Il permettrait alors de couper les appels sur un smartphone et d’améliorer la sécurité, ou de lancer des applications ou des fonctionnalités spécifiques.
Et si les montres connectées permettaient d’améliorer la sécurité des conducteurs ? Google réfléchit en tout cas à l’idée, si l’on en croit le brevet 9,037,125 déposé aux États-Unis en avril dernier. Ce dernier est relativement simple : il propose d’utiliser un objet connecté afin de savoir si une personne se trouvant dans une voiture conduit ou non. Pour ce faire, l’objet connecté — qui pourrait être une smartwatch ou un bracelet connecté à un smartphone — va chercher à savoir si l’utilisateur se trouve sur le siège du conducteur ou non, et utiliser divers détecteurs de mouvement pour estimer la probabilité que l’utilisateur conduise.
Concrètement, il va regarder si l’utilisateur tourne le volant ou utilise la boîte de vitesse et, en fonction de ses conclusions (l’utilisateur est-il en train de conduire ou non ?), va effectuer une action sur le smartphone. Rien n’est précisé dans le brevet, mais on peut aisément imaginer que le smartphone bloque les appels et les communications quand il repère que l’utilisateur conduit afin d’améliorer sa sécurité. Mais il pourrait tout aussi bien lancer Google Maps ou Spotify ou encore n’accepter que les commandes vocales. Les possibilités sont infinies.
Comme d’habitude avec les brevets, rien n’indique que Google sorte réellement un jour une fonctionnalité ou une application qui utiliserait les méthodes décrites ci-dessus. Google explore pour l’instant les possibilités offertes par les montres connectées, et il faut bien reconnaître que celle-ci est plutôt intéressante.
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Lors de notre dernier comparatif photo avec l’iPhone 6s d’Apple face aux Galaxy S6 edge+ et LG G4, nous n’avions pas pu intégrer le Sony Xperia Z5 puisqu’il était arrivé trop tard à la rédaction. C’est donc ici l’occasion de comparer les qualités en photo du dernier né de Sony face aux deux meilleurs photophones sous Android du moment : les LG G4 et Samsung Galaxy S6.
Le Sony Xperia Z5 innove un peu dans le domaine de la photo puisqu’il embarque un tout nouveau capteur qui fait grimper la définition à 23 mégapixels. Son optique est toutefois légèrement en retrait face à la concurrence avec une moins bonne ouverture à f/2.0 face au f/1.9 du Galaxy S6 et f/1.8 du G4. Le Galaxy S6 partage la même partie photo que le modèle Galayx S6 edge+ avec un capteur 16 mégapixels Samsung ISOCELL pour certaines versions ou un Sony IMX240 de 16 mégapixels aussi pour d’autres versions. Notre modèle est équipé du capteur d’origine Sony. Sur le G4, on trouve le capteur maison Innotek doté également de 16 mégapixels.
Sony Xperia Z5
LG G4
Samsung Galaxy S6 edge+
Capteur
23 mégapixels (Sony IMX300)
16 mégapixels (LG Innotek)
16 mégapixels (Sony IMX240)
Taille du capteur
1/2.3"
1/2,6"
1/2.6"
Taille des pixels
1,4µm
1,12µm
1,12µm
Ouverture
f/2.0
f/1.8
f/1.9
Focale
24 mm
29mm
28mm
Stabilisation optique
Oui
Oui
Oui
Selfies
5 mégapixels
8 mégapixels
5 mégapixels
Comme pour notre précédent comparatif, nous avons réalisé l’ensemble de nos photos en mode automatique, le mode préféré de la très grande majorité des utilisateurs. Nous avons toutefois pris en compte vos critiques et souhaitions prendre quelques clichés en mode manuel. Cependant, l’exercice s’est tout simplement révélé impossible sur le Xperia Z5. En effet, l’application de base permet uniquement de régler la balance des blancs et la correction de l’exposition. Il faut alors passer en 8 mégapixels pour pouvoir régler les ISO. Quant à la durée d’exposition ou la mise au point, il faut utiliser une application tierce. Enfin, le format DNG (RAW) n’est pas supporté.
Les applications tierces voient le capteur de Sony comme un 8 mégapixels et seule l’application Camera FV-360 fonctionnait, avec une ergonomie à jeter le smartphone par la fenêtre. Pour ces deux raisons (et pour éviter de jeter le smartphone par la fenêtre), nous avons décidé d’abandonner l’idée de réaliser des photos en mode manuel. On en profite pour préciser que le Xperia Z5 supporte bien l’API Camera2, mais pas le shoot au format DNG (RAW) contrairement à ses deux concurrents. Le téléphone de Sony part donc déjà avec un désavantage pour les amoureux de la photo. Pour rappel, le format DNG permet de retoucher (ou plutôt développer) la photo avec des applications dédiées (comme Lightroom) sans altérer la qualité du cliché.
A chaque galerie, vous trouverez les photos du Sony Xperia Z5 à gauche, celles du Samsung Galaxy S6 au milieu et enfin le LG G4 à droite.
Paysage de jour
Sur les paysages de jour, le Samsung Galaxy S6 prend une légère tête, devant le Sony Xperia Z5. La raison est un rendu des couleurs un peu plus naturel avec moins de contraste et un peu moins de saturation pour le terminal de Samsung. La balance des blancs est également légèrement meilleure sur ce dernier. En terme de netteté, c’est encore une fois le LG G4 qui prend la tête. Mais il est suivi de près par le Sony Xperia Z5. L’appareil de LG délivre un cliché bien trop terne, avec une balance des blancs trop capricieuse, comme d’habitude.
Concernant le niveau de détail, on aurait pu penser que les 23 mégapixels du capteur Sony feraient des miracles. Finalement, ce n’est pas le cas et c’est le capteur Innotek du LG G4 qui prend la tête, suivi toutefois de très près par le Sony Xperia Z5 comme on peut le voir sur les photos à 100%. C’est ensuite le Galaxy S6 qui referme la marche, avec un piqué moins bon, mais pas si mauvais.
Sony Xperia Z5 vs Samsung Galaxy S6
Sony Xperia Z5Samsung Galaxy S6Sony Xperia Z5 vs LG G4
Sony Xperia Z5LG G4Paysage de nuit
De nuit, les cartes sont totalement redistribuées. Le Sony Xperia Z5 arrive bon dernier, avec un cliché totalement inexploitable et représentant une bouillie de pixels. C’est finalement le LG G4 qui prend le dessus avec une balance des blancs correcte et une capacité à faire ressortir les zones d’ombres. Le Galaxy S6 est un peu moins bon avec une moins bonne balance des blancs (qui tire sur le jaune) et un cliché moins lumineux.
Portraits
Ici, la première série de portraits a été réalisée avec un éclairage artificiel alors que la seconde série a été utilisée dans une pièce faiblement illuminée par la lumière du jour. Dans les deux cas, le Sony Xperia Z5 délivre des clichés qui flattent la rétine avec une belle saturation (peut-être trop pour certains) et une balance des blancs au poil. Le Samsung Galaxy S6 n’est pas loin derrière et le LG G4 referme la marche avec encore une fois une balance des blancs à côté de la plaque.
En faible luminosité, le Sony Xperia Z5 est trop bruité et même avec l’éclairage artificiel, son niveau de détail n’est pas équivalent à celui du LG G4 ni du Galaxy S6, pourtant légèrement moins bon que le terminal de LG en terme de piqué.
Macro
En mode macro, étonnamment, c’est le Galaxy S6 qui a la moins bonne balance des blancs alors que les Xperia Z5 et le LG G4 ont bien réglé la température des couleurs. En terme de piqué, c’est toujours le LG G4 qui prend la tête, suivi du Galaxy S6 avec le Xperia Z5 qui referme la marche, avec un peu de mal à faire une mise au point si proche.
Selfies
En utilisant le capteur avant, c’est le LG G4 qui délivre le meilleur résultat, grâce à son capteur doté d’une plus grande définition que les deux autres terminaux. De plus, l’objectif grand angle du Galaxy S6 déforme un peu trop le visage.
Conclusion
Lors de notre test du Sony Xperia Z5, le terminal nous avait réellement séduit en photo. Mais après quelques jours supplémentaires en sa possession et un comparatif frontal avec les deux meilleurs photophones du moment sous Android, nous sommes obligés de revoir notre jugement. Si de jour, avec une bonne luminosité, le Xperia Z5 délivre des clichés tout à fait exploitables et de très bonne qualité, ce n’est pas la même chose en basse luminosité et c’est encore pire la nuit. Dans ces conditions, le terminal de Sony n’est pas digne d’un smartphone haut de gamme en termes de photo. Pire, si le terminal est bien compatible avec l’API Camera2 pour réaliser de nombreux réglages manuel, ce n’est pas le cas de l’application de base, et la plupart des applications tierces plantent et si ce n’est pas le cas, elles sont obligées de se limiter à une définition de 8 mégapixels. Il est donc urgent que Sony revoie sa copie au niveau logiciel.
En attendant, le Samsung Galaxy S6 reste la référence en photo sous Android. Certes, il n’est pas parfait avec un niveau de détail un peu faible face à la concurrence ou une balance des blancs capricieuse en basse luminosité, mais c’est le plus homogène des trois. Le LG G4 sera parfait pour les photographes à la recherche d’un bon piqué, mais il faudra passer par le mode manuel (et pourquoi pas le format DNG / RAW) pour corriger la balance des blancs et exploiter au mieux le terminal. Dans ces conditions, il se permettra de distancer le Galaxy S6 et donc le Xperia Z5 comme nous l’avions vu dans un précédent comparatif. En revanche, si le Sony Xperia Z5 supporte un jour totalement l’API Camera2, il pourra être un véritable photophone haut de gamme.
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D’après Kantar, qui s’appuie sur ses propres données, Android serait en perte de vitesse par rapport à l’an passé sur une période de trois mois finissant en août. À l’inverse, et logiquement, iOS et Windows Phone progressent.
Régulièrement, l’institut Kantar WorldPanel publie des études à propos du marché du mobile, et on peut aujourd’hui décortiquer sa dernière étude de comparaison entre les différents systèmes d’exploitation pour mobiles. Elle porte sur les mois de juin, juillet et août, et est comparée aux résultats obtenus sur la même période l’an dernier. Et ce que l’on constate, c’est que Windows Phone et iOS gagnent un peu de terrain, tandis qu’Android en perd.
Concernant la baisse des parts de marché d’Android, la tendance est à peu près généralisée. Sur les marchés où Kantar a réalisé cette étude, seuls l’Espagne, l’Italie et les États-Unis voient la part de marché d’Android augmenter, mais seulement de quelques points. Au contraire, il semblerait qu’elle ait tendance à chuter, notamment en Australie où l’OS a perdu plus de 11 points (64,3 en 2014 et 53,1 en 2015). En France, la part d’Android est passée de 76,2 à 71, et en Allemagne de 82,3 à 75,2.
La trajectoire d’iOS est plus plaisante puisque l’OS ne perd des points qu’en Allemagne et aux États-Unis. Dans le reste du monde, il est au contraire en progression nette, avec notamment 8,5 points de plus en Australie, 5,1 en Chine, 6,7 au Japon, ou 5,8 en Grande-Bretagne.
Mais celui qui nous surprend – un peu -, c’est Windows Phone, qui progresse plutôt bien dans plusieurs régions. En France, l’OS a gagné 3,2 points, passant de 9,9 à 13,1 % de part de marché, et en Allemagne c’est carrément 3,6 % de mieux. Il progresse également en Chine et en Australie, et se stabilise à peu près dans les autres pays sondés.
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C’est une fonctionnalité que l’on attend depuis le début de l’année et qui vient tout juste d’arriver : il est maintenant possible de sauvegarder les conversations entretenues sur WhatsApp et leur contenu média sur Google Drive.
Cette fonctionnalité n’est pas réellement une surprise puisqu’on en parle depuis mars dernier, date à laquelle WhatsApp avait laissé trainer des indices. Un billet de blog de Google confirme aujourd’hui que WhatsApp supporte (ou supportera bientôt) la sauvegarde automatique des données au sein de Google Drive. Certes, WhatsApp propose déjà depuis quelque temps de sauvegarder le contenu de ses conversations, mais uniquement de façon locale, sur la mémoire du téléphone. Il fallait donc soit passer par des applications tierces, soit transférer le contenu sur son PC pour être sûr de posséder une copie de ses conversations.
Google annonce aujourd’hui que l’application Android de WhatsApp (et elle seule pour l’instant), inclut désormais une option proposant à l’utilisateur de sauvegarder automatiquement l’historique des conversations, les messages vocaux, les photos, mais aussi les vidéos sur Google Drive. Une option permet également de restaurer le contenu depuis Google Drive en quelques clics. Ces deux nouvelles fonctionnalités sont d’ailleurs détaillées ici et là sur les pages d’aides (en français) de WhatsApp.
Une première version de l’application déjà disponible mais…
Google indique que le support de Google Drive par WhatsApp devrait être déployé « dans les prochains mois ». Le site Android Police, de son côté, affirme déjà avoir pu mettre la main sur le fichier apk de l’application proposant cette fonctionnalité. Il se télécharge à cette adresse, mais attention, il y a une petite subtilité.
La version proposée par Android Police est la version 2.12.303 de WhatsApp. Or, la version actuellement proposée sur le Play Store est la version 2.12.304, qui ne propose plus le support de Google Drive. Pour profiter des nouvelles fonctionnalités, il est donc nécessaire de désinstaller la dernière version, d’installer le fichier .apk puis de désactiver les mises à jour pour WhatsApp. On vous conseille plus simplement d’attendre que WhatsApp mette en ligne une nouvelle version de son application plutôt que de se lancer dans ce processus fastidieux.
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Chrome Dev, la version de Chrome intégrant chaque semaine des nouveautés que ses développeurs veulent tester, intègre désormais une option inédite : la possibilité de sauvegarder des pages web afin de les consulter plus tard hors ligne.
Si l’application Pocket est installée sur votre téléphone et qu’elle est remplie d’articles à lire plus tard, vous êtes le genre de personne à reprocher à Chrome, dans sa version mobile, de ne pas savoir enregistrer des pages web pour les lire même quand votre connexion à Internet est défaillante. Bonne nouvelle, l’équipe de développement de Chrome planche actuellement sur le sujet.
La nouvelle fonctionnalité, repérée par Android Police, se trouve pour l’instant uniquement dans les fonctionnalités expérimentales de l’application. Pour y accéder, il suffit d’entrer Chrome://flags dans la barre d’adresse, puis de lancer une recherche sur « offline » dans la page. Chrome propose alors d’« activer les pages hors connexion ». Une fois l’option activée, une option « Pages enregistrées » apparaît dans les paramètres classiques de l’application.
Pour l’instant, Pages enregistrées fonctionne bizarrement. Pour enregistrer une page, il suffit de la mettre en favoris. Celle-ci va alors automatiquement être téléchargée. L’interface est faite de telle façon qu’il n’est pas encore possible de différencier simplement une page mise en favoris d’une page que l’on désire enregistrer.
La fonction est de toute façon encore en phase de test. Chrome Dev oblige, il n’est même pas certain que cette fonctionnalité soit intégrée dans avenir proche ou éloigné à la version stable et grand public de Chrome. Mais cela prouve que les équipes de développement y songent sérieusement et c’est une excellente nouvelle.
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Les ingénieurs chez Google viennent de trouver une solution pour accélérer les transferts adb entre un ordinateur et un terminal Android. La différence de vitesse serait énorme pour les transferts : près de 7 fois plus rapide dans certains cas.
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Google révise aujourd’hui les conditions d’upload d’applications sur le Play Store par les développeurs. Ils peuvent désormais monter jusqu’à 100 Mo.
Google annonce aujourd’hui la révision d’une des règles d’utilisation du Play Store, à l’attention des développeurs. Quand ces derniers n’étaient autorisés à uploader des fichiers que d’une taille de 50 Mo, ils sont aujourd’hui autorisés à passer à des fichiers de 100 Mo, qui peuvent toujours être associés à des « Expansion Files », c’est-à-dire à des fichiers supplémentaires à télécharger dès l’installation première de l’application. Ces fichiers, eux, ne peuvent dépasser un quota maintenu à 4 Go, comme cela avait été défini dès 2012. Du côté des applications en elles-mêmes, notez bien que la limite de 50 Mo vaut toujours pour les applications destinées aux terminaux sous Android 3.2 ou une version antérieure, tandis que les applications approchant des 100 Mo viseront les appareils tournant au moins sous Ice Cream Sandwich (4.0).
Alors même que Google présentera ce soir très officiellement Android 6.0 Marshmallow, accompagné de nouveaux Nexus qui en seront les ambassadeurs, on sait que la nouvelle version de l’OS permettra à l’utilisateur d’installer au choix ses applications sur la mémoire interne du téléphone ou de la tablette, ou bien sur sa carte mémoire. Même si le stockage interne des téléphones tend à s’accroître, si l’installation d’applications sur une microSD peut poser des problèmes de rapidité et implique de ne l’ôter du terminal qu’avec prudence, cela reste une bonne nouvelle, notamment dans le cadre de jeux aux graphismes détaillés. Google insiste en outre, dans son annonce du jour, sur la puissance des smartphones d’aujourd’hui.
« Nous comprenons que les développeurs sont mis au défi de proposer une expérience utilisateur agréable qui exploite le hardware du terminal, mais nous nous assurons également que leurs utilisateurs peuvent télécharger, installer et ouvrir ces applications aussi rapidement que possible. C’est un équilibra délicat à maintenir, surtout lorsque vous visez un public divers, réparti aux quatre coins du monde », précise Kobi Glick, de l’équipe Google Play. Pour le reste, les conditions d’utilisation du Play Store restent inchangées.
Sony Xperia Z5
Samsung Galaxy S6
LG G4
10 smartphones très attendus pour le début de l’année 2016
dans Android
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Certains sont officiels, d’autres font simplement l’objet de rumeurs persistantes. Ces smartphones sont quoi qu’il en soit particulièrement attendus pour le début de cette année qui vient de commencer. Entre un incontournable Galaxy S7 chez Samsung et les derniers terminaux de Huawei, ces prochains mois devraient receler des smartphones nombreux et, pour certains, haut de gamme. Des appareils que l’on attend de pied ferme.
Le Samsung Galaxy S7 et ses dérivés
Ce sera immanquablement la star de ce début d’année. On l’attend pour le Mobile World Congress, et disponible rapidement en masse, afin qu’il puisse inonder le marché avant que d’autres ne le fassent. Ce smartphone, c’est bien sûr le Galaxy S7 de Samsung, qui a fait jusqu’ici l’objet de multiples rumeurs. On a donc entendu parler de son SoC – un Exynos plutôt qu’un Snapdragon 820 – du possible retour d’un port microSD et d’une nouvelle version de TouchWiz, l’interface de Samsung.
Et les fuites d’images se multipliant, on s’attend désormais à ce que l’écran du Galaxy S7 soit légèrement plus petit que celui du Galaxy S7 edge aux bordures d’écran courbes : l’un ferait 5,2 et l’autre 5,5 pouces de diagonale. Résultat : le S7 edge mesurerait 151 × 73 mm et serait un peu plus large que son prédécesseur. Le métal et le verre, cette fois bombé au dos, seraient également de la partie. Certains parlent même d’un capteur d’iris, un peu à la Windows Hello, et d’un écran Force Touch… Reste à savoir si les Galaxy S7 et S7 edge seront, comme la rumeur le veut, tous deux déclinés en versions « Plus ».
Le Xiaomi Mi 5
Le smartphone le plus haut de gamme de Xiaomi est attendu depuis près d’un an, les plus optimistes espérant déjà sa présentation au CES 2015. Il n’en a rien été, et de loin : la marque chinoise, empêtrée dans sa volonté de s’étendre à l’international, et préférant éviter le Snapdragon 810 aux résultats décevants, a choisi d’attendre le Snapdragon 820 de Qualcomm. À la tête de Xiaomi, on confirme que le téléphone arrivera « début 2016 », tandis que les rumeurs et autres fuites d’images viennent alimenter l’attente.
Si l’on en croit donc les différents bruits de couloir à notre disposition, le Xiaomi Mi 5 sera doté de ce fameux Snapdragon 820 associé à 3 ou 4 Go de RAM selon les versions, de 32 ou 64 Go de stockage, le tout situé sous un écran de 5,2 pouces… Full HD ou QHD, puisqu’entre les deux, il est encore difficile de trancher. En revanche, les derniers visuels en date permettent d’entrevoir la présence d’une vitre 2,5D, et d’un bouton physique Home qui abritera vraisemblablement un lecteur d’empreintes digitales. On s’attend en outre à retrouver un cadre en métal et un connecteur USB type-C.
Huawei Mate 8
Celui-ci a déjà été annoncé, mais Huawei est resté discret sur la question de sa commercialisation en Europe. Une chose est sûre : le Huawei Mate 8, officialisé il y a quelques semaines en Chine, visera les États-Unis et sera également vendu sur le vieux continent. À quelle date et à quel prix, voilà la question qui reste entière.
Du moins peut-on se consoler avec les premières prises en main du Mate 8, qui reflètent la belle qualité de conception de l’appareil. Rappelons que la phablette, au format 6 pouces déjà vu avec le Mate 7, arbore un écran IPS Full HD, sous laquelle on retrouve un SoC de nouvelle génération, le Kirin 950. Ce dernier est épaulé par 3 à 4 Go de RAM, tandis que la mémoire du téléphone va de 32 à 128 Go. Côté photo, Huawei a opté pour un capteur Sony IMX298 de 16 mégapixels à l’arrière, et un autre appareil de 8 mégapixels à l’avant. Et surtout, ce téléphone tout-métal et doté d’un capteur d’empreintes a le bon goût d’embarquer une batterie de 4000 mAh.
Huawei Mate S avec un écran Force Touch
Toujours chez Huawei, voici un autre smartphone déjà annoncé que l’on espère voir de plus près au début de l’année qui commence. Lors de la présentation du Mate S, semi-ratage de la marque chinoise (voir notre test), Huawei avait également fait mention d’une version du smartphone dotée d’un écran Force Touch. Et le voici qui vient tout juste de faire son entrée sur le portail de vente Vmall, soit la boutique officielle de la marque. L’appareil prend désormais le nom de Huawei Mate S Press Touch, est disponible en doré et compte 128 Go d’espace de stockage.
Comparé au Mate S classique, le Mate S Press Touch ne change en réalité que peu de choses. Il tourne lui aussi sous Android 5.1 Avec Emotion UI 3.1, embarque un Kirin 935 (un peu dépassé pour un smartphone premium) combiné à 3 Go de RAM, et affiche de la Full HD sur un écran AMOLED de 5,5 pouces. Ce qui change ici, c’est l’usage d’un écran Force Touch, rebaptisé Press Touch pour l’occasion, et qui permet d’appuyer plus ou moins fort pour zoomer dans l’image. Prix de l’appareil, qui commence tout juste à être livré : 799 euros tout de même, contre 649 euros pour le Mate S standard à sa sortie (et quelques dizaines d’euros de moins à ce jour).
Le LG G5
Un concept de LG G5
Comme le Galaxy S7 de Samsung, le G5 de LG est attendu pour prendre la suite d’une série à succès. On parle donc déjà d’un G5, amené à succéder à l’actuel G4, d’autant plus que le G Flex 3, autre smartphone premium du Coréen, semble avoir été relégué au placard. L’appareil, si l’on en croit les premiers éléments en fuite, serait doté d’un écran de 5,3 pouces QHD, soit de 0,2 pouce plus petit que celui du G4, mais épaulé par un second écran surmontant le premier, comme pour le récent LG V10. Il serait doté d’un Snapdragon 820 (et non un Nuclun 2), de 3 Go de RAM et pourrait même abriter un capteur de rythme cardiaque situé sur sa tranche métallique.
On parle en outre d’un double capteur photo situé à l’arrière, afin de permettre de prendre des photos de plus haute définition, avec un plus grand angle, et d’autoriser un déplacement de la zone de mise au point a posteriori. Enfin, les dernières rumeurs parlent d’un « port magique » sur lequel on pourrait attacher au G5 des accessoires supplémentaires comme des caméras ou des claviers. Le plus intrigant à venir l’année prochaine, sans aucun doute.
De nouveaux Sony Xperia Z
Le Xperia Z5 Compact
La gamme Z5 ne datant que de l’IFA 2015, on n’attend pas un renouvellement de la série Xperia Z dans les tout premiers mois de l’année. En revanche, on envisage déjà la sortie d’une véritable gamme Xperia Z6 d’ici la fin du premier semestre 2016. Car il ne s’agirait pas d’un seul, voire de trois Z6 (un classique, un Compact et un Premium) mais de cinq appareils inclus à une gamme Z6 incluant également une version Mini et une mouture Ultra. On ne sait pas grand-chose à leur sujet, si ce n’est que leur diagonale d’écran s’étalerait entre 4 et 6,4 pouces, et qu’au moins une partie de ces appareils serait dotée d’écrans Force Touch. Un opérateur européen évoque en tout cas la sortie d’au moins deux de ces appareils dans le courant du 2e trimestre 2016.
L'Asus Zenfone 3
Le Zenfone 2 Laser
Là encore, il ne faut pas l’attendre pour les tout premiers jours de l’année 2016. Mais il y aura bien un Zenfone 3 pour succéder à l’Asus Zenfone 2, le premier véritable succès de la marque taïwanaise en matière de téléphonie sur le marché international. Dans la mesure où il n’y aura pas de conférence de la marque au CES, qui souhaite visiblement ralentir la cadence et s’épargner les ratés tels que celui du Zenfone Zoom, présenté il y a un an et toujours pas disponible. Toutefois, la marque a bel et bien confirmé travailler sur le Zenfone 3, qui devrait d’ailleurs être doté d’un connecteur USB type-C. On n’en sait pas beaucoup plus pour l’heure, mais certains analystes tablent déjà sur une sortie pour la fin du deuxième trimestre 2016. Patience, donc.
Asus Zenfone Zoom
L’appareil date du CES 2015. Nous l’avions découvert sous cloche, ce Zenfone Zoom prometteur, avec son véritable objectif et son zoom optique 3×. Nous l’avons d’ailleurs revu lors des salons qui ont ponctué l’année, du MWC à l’IFA de septembre, où nous l’avons pris en main. Mais surtout, après son apparition à la TENAA chinoise, Asus l’a enfin confirmé : après Taïwan, le Zenfone Zoom sera disponible en France en février ou mars 2016. Son prix, lui, reste à définir, puisqu’il faut se contenter de son tarif taïwanais pour se faire une idée ; ce denier se situe entre 400 et 460 euros.
Rappelons que ce photophone doté d’un écran Full HD de 5,5 pouces est animé par un SoC Intel, l’Atom Z3580, et possède entre 64 et 128 Go de stockage. Son capteur photo SmartFSI de 13 mégapixels est signé Panasonic, tandis qu’il promet une autonomie correcte avec sa batterie de 3000 mAh.
Le Zuk Z2
Un concept de Zuk Z2
La marque dérivée de Lenovo, Zuk, s’est fait remarquer en 2015 en lançant son premier smartphone, disponible en outre très officiellement en Europe : un Zuk Z1 sous CyanogenOS qui nous avait plutôt convaincus. Il est désormais clair que son successeur sera présenté en début d’année prochaine, puisque le CEO de la marque l’a lui-même confirmé. Depuis quelques rumeurs ont été diffusées au sujet du smartphone, qui évoquent un écran QHD de 4 Go de RAM et un appareil photo nettement amélioré. Il pourrait d’ailleurs s’agir d’un appareil photo rotatif, un peu à l’image de ce que fait Oppo chez sa gamme N. Tout cela devrait se préciser en début d’année.
Le Honor 5X
Là aussi, c’est un smartphone que l’on connaît déjà, mais que l’on attend encore. Officialisé fin 2015 en Chine, le smartphone sera l’arme de Honor pour son entrée sur le marché américain. Et tel que nous l’avons déjà vu, c’est un appareil de milieu de gamme qui devrait séduire sans peine : il inclut, dans un boîtier en métal et sous un écran de 5,5 pouces Full HD, un SoC Snapdragon 615, 2 à 3 Go de RAM et 16 Go de stockage. Le Honor 5X est en outre équipé d’un lecteur d’empreintes digitales situé sous son appareil photo dorsal, et tourne sous Android 5.1 Lollipop. Et surtout, l’appareil sera commercialisé en France avant le Nouvel An chinois, début février, à un tarif inférieur à celui du Honor 7. La promesse d’un milieu de gamme très abordable, en somme.
Asus ZenFone 3
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