nourelfi
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D’après les premières recherches, le Samsung Galaxy S7 coûterait environ 230 euros à la production, du moins dans sa version Snapdragon 820.
On parle souvent des prix de vente des smartphones haut de gamme, mais on oublie bien souvent de mentionner les coûts de fabrication. Si certains constructeurs sont prêts à réduire leurs marges, les géants de l’industrie tentent plus généralement d’augmenter les marges en conservant un prix de vente similaire pour un coût de production plus léger.
Et d’après l’institut de recherche IHS, le tout nouveau Samsung Galaxy S7 (dans sa version en Snapdragon 820) coûterait environ 255 dollars à produire, soit l’équivalent de 230 euros. L’institut remarque d’ailleurs qu’il s’agit du même coût de fabrication que pour le Samsung Galaxy S5, alors même que la qualité de fabrication est tout autre.
Justement, le tarif estimé du Snapdragon 820, qui est semble-t-il le composant le plus cher de ce smartphone, se situerait autour des 62 dollars, soit 55 euros. Pour le reste, on est visiblement plutôt dans le flou, et notamment en ce qui concerne l’appareil photo dont la provenance n’a pas été identifiée. Néanmoins, IHS a bâti son estimation en mesurant les composants du S7 à ce qui se fait de mieux sur le marché.
Comme le précise Re/Code, l’estimation des coûts faite par IHS comprend une estimation des composants matériels plus environ 5 dollars pour l’assemblage final du produit, mais ne prend pas en compte les coûts en développement logiciel, la commercialisation ou la distribution. Dans tous les cas, le coût réel ne doit pas grandement varier.
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La valse des mises à jour des terminaux Android vers Android 6.0 Marshmallow, qu’il s’agisse de smartphones ou de tablettes, ne saurait tarder. Google Nexus, Samsung, Sony et les autres : voici de quoi savoir si votre appareil bénéficiera bien de la toute dernière version de l’OS.
NB : Article mis à jour le 7 mars 2016.
On connaît désormais le nom de la nouvelle version d’Android. Longtemps surnommée Android M et marquée par le lancement de trois versions Developer Preview, elle se nomme donc Android 6.0 Marshmallow. Et comme du temps de Lollipop, les annonces relatives aux mises à jour des smartphones de marques tierces se font au compte-gouttes, plus ou moins discrètement. On peut du moins se consoler du côté des Nexus, où Google joue la transparence. Voici donc la liste des appareils dont on sait qu’ils seront mis à jour vers Android 6.0 Marshmallow ; elle sera régulièrement mise à jour au fur et à mesure que de nouvelles annonces seront formulées.
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
Asus
Zenfone 2 (ZE550ML et ZE551ML)
Deuxième trimestre 2016
Zenfone 2 Deluxe
Deuxième trimestre 2016
Zenfone 2 Laser
Deuxième trimestre 2016
Zenfone Selfie
Deuxième trimestre 2016
Padfone S
Deuxième trimestre 2016
Zenfone Max
Deuxième trimestre 2016
Zenfone Zoom
Deuxième trimestre 2016
BlackBerry
BlackBerry Priv
Au premier trimestre 2016
Google Nexus
Nexus 5
À partir du 5 octobre en OTA
Nexus 6
À partir du 5 octobre en OTA
Nexus 9
À partir du 5 octobre en OTA
Nexus 7
À partir du 5 octobre en OTA
Nexus Player
À partir du 5 octobre en OTA
Honor
Honor 7
Prévue sans date précise
Honor 4X
OTA en prévue en février 2016 (en Inde)
Honor 4C
OTA en prévue en février 2016 (en Inde)
Honor 6
OTA en prévue en février 2016 (en Inde)
Honor 6+
OTA en prévue en février 2016 (en Inde)
HTC
One M9
Déploiement à partir de Noël 2015
One M9+
Prévue sans date précise
One M8
En cours à l'international
One E9+
Prévue sans date précise
One E9
Prévue sans date précise
One ME
Prévue sans date précise
One E8
Prévue sans date précise
One M8 EYE
Prévue sans date précise
Butterfly 3
Prévue sans date précise
Desire 826
Prévue sans date précise
Desire 820
Prévue sans date précise
Desire 816
Prévue sans date précise
Huawei
Ascend Mate 7
Bêta-test en cours
P8
Déploiement en cours
LG
G4
En cours en Europe
G3
En Pologne, à partir de la mi-décembre
Motorola
Moto X Pure Edition (3e gen)
Prévue sans date précise
Moto X Style
Déploiement en cours en France
Moto X Play
Déploiement international progressif en cours
Moto G 3e gen
Prévue sans date précise
Moto X 2014 Pure Edition
Prévue sans date précise
Moto X 2e gen (2014)
Déploiement international progressif en cours
Moto G 2e gen (3G)
Prévue sans date précise
Moto G 2e gen (4G)
Prévue sans date précise
Droid Turbo
Prévue sans date précise
Droid Maxx 2014
Prévue sans date précise
Moto Turbo 2014
Prévue sans date précise
Moto X Force
Déploiement international progressif en cours
Nvidia
Shield Tablet
OTA en février 2016
Shield Tablet K1
OTA en février 2016
Shield Android TV
OTA en février 2016
OnePlus
OnePlus One
Prévue au premier trimestre 2016 (Cyanogen), sans date pour OxygenOS
OnePlus 2
Prévue au premier trimestre 2016
OnePlus X
Prévue au premier semestre 2016
Samsung
Galaxy S6
Déploiement en cours
Galaxy S6 edge
Déploiement en cours
Galaxy S6 edge+
Déploiement en cours
Galaxy Note 5
Premier trimestre 2015 ?
Galaxy Tab S2 (version 9,7 et 8 pouces)
Prévue sans date précise
Galaxy Note 4
Février 2016 ?
Galaxy Note Edge
Février 2016 ?
Galaxy Alpha
Prévue sans date précise
Galaxy S5
Avril 2016
Galaxy A3, A5, A7
Prévue sans date précise
Galaxy A8
Mars 2016
Galaxy J2, J5, J7
Prévue sans date précise
Galaxy E5, E7
Prévue sans date précise
Galaxy Tab A 9.7 et 8
Prévue sans date précise
Galaxy Note 3
En rumeur
Galaxy S4
En rumeur
Galaxy Tab S 10.5
Avril 2016
Sony
Xperia Z2
Prévue sans date précise
Xperia Z2 Tablet
Prévue sans date précise
Xperia Z3
Prévue sans date précise
Xperia Z3 Compact
Prévue sans date précise
Xperia Z3 Tablet Compact
Prévue sans date précise
Xperia Z3+
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia Z4 Tablet
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia Z5
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia Z5 Premium
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia Z5 Compact
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia C5 Ultra
Prévue sans date précise
Xperia C4
Prévue sans date précise
Xperia M5
Prévue sans date précise
Xperia M4 Aqua
Prévue sans date précise
ZTE
Axon Elite
Prévue sans date précise
Asus
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
Asus
Zenfone 2 (ZE550ML et ZE551ML)
Deuxième trimestre 2016
Zenfone 2 Deluxe
Deuxième trimestre 2016
Zenfone 2 Laser
Deuxième trimestre 2016
Zenfone Selfie
Deuxième trimestre 2016
Padfone S
Deuxième trimestre 2016
Zenfone Zoom (ZX551ML)
Deuxième trimestre 2016
Zenfone Max
Deuxième trimestre 2016
La marque taïwanaise a tardé à communiquer sur ses intentions, et ne l’a fait que partiellement. Elle prévoit toutefois le passage à Marshmallow de quelques-uns de ses terminaux, à commander par les Zenfone 2, Zenfone 2 Deluxe, Zenfone Selfie, Zenfone Laser ou encore Padfone S. Pour savoir à quelle date l’attendre, il faudra encore patienter.
Mise à jour du 29 février 2016 : alors même que l’on attend toujours la commercialisation du Zenfone Zoom en Europe, Asus en annonce la mise à jour vers Marshmallow d’ici le prochain trimestre. Toujours au deuxième trimestre, les autres terminaux de génération Zenfone 2 passeront eux aussi à Android 6.0, sans fenêtre de sortie plus précise.
Google Nexus
Nexus 6
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
Google
Nexus 5
À partir du 5 octobre en OTA
Nexus 6
À partir du 5 octobre en OTA
Nexus 9
À partir du 5 octobre en OTA
Nexus 7 (version non précisée)
À partir du 5 octobre en OTA
Nexus Player
À partir du 5 octobre en OTA
Tout naturellement, les Nexus de Google sont les premiers à être servis par Android M. Pour l’heure, trois modèles (hors Nexus Player) sont concernés par la mise à jour, puisqu’ils sont actuellement éligibles à la toute dernière mouture d’Android 6.0 Developer Preview 3, la preview finale de Marshmallow. Il s’agit des Nexus 5 et Nexus 6 côté smartphones, et de la tablette Nexus 9. Le Nexus 5 datant de l’automne 2013, il est d’ailleurs probable qu’il s’agisse de sa dernière mise à jour majeure, tandis qu’il y a fort à parier que le Nexus 4 n’en verra jamais la couleur. On peut toutefois espérer un accès de générosité chez Google, le géant américain ayant déjà montré son attachement au terminal conçu par LG, très populaire auprès de la communauté Android.
Mise à jour du 30 septembre 2015 : La Nexus 7 (version pas encore confirmée, mais on attend une mise à jour ne concernant que la version 2013 de la tablette) ainsi que le Nexus Player bénéficieront eux aussi de la mise à jour. Sur tous les appareils Nexus mentionnés, l’OTA sera déployée dans le courant de la semaine du 5 octobre.
Honor
Tandis que certains modèles de la marque dérivée de Huawei attendent toujours de passer à Lollipop, son tout récent Honor 7 est sorti sous Android 5.0.2 Lollipop. Le responsable de Honor France n’a pas tardé à confirmer un point essentiel le concernant : ce Honor 7 sera bien mis à jour vers Marshmallow. Fin octobre, la marque a indiqué l’arrivée d’une bêta de Marshmallow sur ce même modèle avant la fin novembre, pour un déploiement final au cours du premier semestre 2016. Et quelques jours plus tard, la branche indienne de Honor a précisé les références de produits prévus pour obtenir Android 6.0 : il s’agit donc des Honor 4C, Honor 6+, Honor 6 et Honor 4X, en plus du Honor 7. Il faut compter sur une mise à jour OTA d’ici février, pour l’instant uniquement en Inde. Le reste des marchés où Honor est présent devrait sans doute suivre rapidement.
Mise à jour du 29 février 2016 : La mise à jour devait être déployée d’ici la fin février, mais n’est pas encore disponible en version définitive. La mouture finale de la preview de Marshmallow pour le Honor 7 (avec Emotion UI 4.0) est quant à elle disponible au téléchargement.
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
Honor
Honor 7
Bêta en novembre 2015
Honor 4C
OTA en prévue en février 2016 (en Inde)
Honor 6+
OTA en prévue en février 2016 (en Inde)
Honor 6
OTA en prévue en février 2016 (en Inde)
Honor 4X
OTA en prévue en février 2016 (en Inde)
HTC
Le HTC One M9
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
HTC
One M9
Déploiement à partir de Noël 2015
One M9+
Prévue sans date précise
One M8
En cours à l'international
One E9+
Prévue sans date précise
One E9
Prévue sans date précise
One ME
Prévue sans date précise
One E8
Prévue sans date précise
One M8 EYE
Prévue sans date précise
Butterfly 3
Prévue sans date précise
Desire 826
Prévue sans date précise
Desire 820
Prévue sans date précise
Desire 816
Prévue sans date précise
HTC est l’une des rares marques à avoir officialisé l’arrivée d’Android M sur certains de ses appareils. Sans grande surprise, Marshmallow est donc attendu sur le One M9 annoncé au printemps dernier, mais aussi sur le One M9+, plus récent et doté d’un écran QHD. Le Taïwanais a également confirmé que le One M8 serait servi, et qu’il devrait d’ailleurs patienter jusqu’à Marshmallow pour goûter aux joies de Sense 7.
Mise à jour du 30 septembre 2015 : HTC a profité des annonces de Google pour annoncer le portage de Marshmallow sur une liste de 12 smartphones. Les One M9 et One M8 sont bien sûr mentionnés, pour une mise à jour avant la fin 2015. Le Taïwanais a confirmé l’arrivée de la guimauve sur le M9+, et y a ajouté les One E9+, One E9, One ME, One E8, One M8 EYE, Butterfly 3, Desire 826, Desire 820 et Desire 816. De quoi montrer que si les temps sont durs, ses équipes de développement sont sur le pont.
Mise à jour du 11 décembre 2015 : La mise à jour du HTC One M8 a commencé à être déployée à l’international. Patience pour ceux qui l’attendent encore.
Mise à jour du 23 décembre 2015 : L’incontournable Mo Versi a annoncé, depuis les États-Unis, le déploiement imminent (dans les 24h) de Marhsmallow sur le One M9, sorti au printemps 2015. Il était temps.
Mise à jour du 19 janvier 2016 : Toujours pas de mise à jour à l’horizon européen, même si le One M9 commence à recevoir Marshmallow à Taïwan. Gardons espoir.
Huawei
Les choses vont assez lentement chez Huawei, chez qui l’Ascend Mate 7 voit toujours Marshmallow en bêta être testé. En revanche, une version finale de Marshmallow adaptée au P8, avec Emotion UI 4.0, est actuellement disponible sur le site de Huawei, et l’OTA ne devrait plus tarder à suivre.
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
Huawei
Ascend Mate 7
Bêta-test en cours
P8
En cours de déploiement
LG
Discret sur le terrain des mises à jour, LG procède comme l’an dernier avec Lollipop, en annonçant une mise à jour de son haut de gamme particulièrement tôt, puisqu’elle démarrera pendant la semaine du 19 octobre sur son G4. Attention cependant, puisque cette mise à jour vers Marshmallow démarrera en Pologne, sans que l’on sache précisément quand les autres marchés suivront.
Mise à jour du 2 novembre 2015 : LG a confirmé le déploiement de Marshmallow en France sur son G4 avant la fin de l’année 2015.
Mise à jour du 17 novembre 2015 : LG a confirmé le début du déploiement de Marshmallow en Pologne sur son G3, et ce dans le courant du mois de décembre. Une période de test qui présage un déploiement les semaines suivantes dans le reste du monde.
Mise à jour du 11 décembre 2015 : La mise à jour du LG G4 est en cours en Europe, comme le rapportent de nombreux propriétaires de ce smartphone.
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
LG
G4
En cours en Europe
G3
En Pologne, à partir de la mi-décembre
Motorola
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
Motorola
Moto X Pure Edition (3e gen)
Prévue sans date précise
Moto X Style
Déploiement progressif en France
Moto X Play
Déploiement international progressif en cours
Moto G 3e gen
Prévue sans date précise
Moto X 2014 Pure Edition
Prévue sans date précise
Moto X 2e gen (2014)
Déploiement international progressif en cours
Moto G 2e gen (3G)
Prévue sans date précise
Moto G 2e gen (4G)
Prévue sans date précise
Droid Turbo
Prévue sans date précise
Droid Maxx 2014
Prévue sans date précise
Moto Turbo 2014
Prévue sans date précise
Moto X Force
Déploiement international progressif en cours
Motorola a lui aussi eu tôt fait d’indiquer quels appareils de sa gamme bénéficieraient de Marshmallow, indiquant d’ailleurs quelles modifications pourraient être attendues chez ses applications maison. Concernant les dates de mise à jour, rien n’a encore été précisé, mais la liste comprend du moins ses terminaux lancés en 2015 et 2014. On retrouve donc les derniers Moto X et Moto G, mais aussi des modèles réservés au marché nord-américain. Motorola va même jusqu’à mentionner le Nexus 6, dont il n’assure toutefois pas le déploiement de la mise à jour.
Mise à jour du 26 novembre 2015 : Le Moto X Force, tout juste annoncé, sortira sous Lollipop. Sans préciser de date, Motorola nous a confirmé que l’appareil basculerait vers Marshmallow l’année prochaine. Patience, donc.
Mise à jour du 11 décembre 2015 : Bonne nouvelle pour ses smartphones sortis l’été dernier, le Moto X Style commence à voir Marshmallow arriver en France. À l’international, il en va de même pour le tout récent Moto X Force et le plus ancien Moto X 2014.
Mise à jour du 19 janvier 2016 : Le Moto X Play commence à recevoir Marshmallow en Inde et au Brésil, signe que sa mise à jour internationale est imminente.
Nvidia
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
Nvidia
Shield Tablet
OTA en février 2016
Shield Tablet K1
OTA en février 2016
Shield Android TV
OTA en février 2016
Annonçant une version légèrement rafraîchie de sa Shield Tablet, Nvidia a au passage confirmé, mi-novembre, le passage de sa tablette à Marshmallow, qu’il s’agisse de l’ancien ou du nouveau modèle. L’update est prévu pour la période des vacances de Noël, soit avant la fin décembre 2015.
Mise à jour du 23 décembre 2015 : Cette fois, la mise à jour est officielle pour la tablette Nvidia Shield Tablet K1. Comme prévu donc, Marshmallow fait actuellement ses débuts sur l’appareil ainsi que sur la première version de la Shield Tablet.
Mise à jour du 19 janvier 2016 : Après les tablettes Nvidia, au tour de la Shield Android TV de recevoir Marshmallow, en cours de déploiement depuis le début du mois.
Mise à jour du 29 février 2016 : non seulement la mise à jour OTA de la Shield TV est en déployée, mais c’est également le cas sur la Shield Tablet et la Shield Tablet K1.
OnePlus
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
One
Premier trimestre 2016 (Cyanogen), sans date pour OxygenOS
OnePlus
2
Prévue au premier trimestre 2016
X
Prévue au premier semestre 2016
Une chose est sûre chez OnePlus, son OnePlus 2 a été taillé pour Android M. Port USB type-C, lecteur d’empreintes digitales, tout correspond aux caractéristiques propres à Marshmallow. La marque nous a par ailleurs confirmé que le smartphone serait mis à niveau vers Android 6.0, sans toutefois préciser de date exacte. Quant au OnePlus One, on ignore encore son destin.
Le OnePlus X, officialisé fin octobre, ne devrait pas pouvoir être mis à jour vers Marshmallow avant la fin 2015. En revanche, il sera mis à niveau d’ici le début 2016.
Mise à jour le 16 novembre 2015 : OnePlus a confirmé la mise à jour de son OnePlus One vers Marshmallow au premier trimestre 2016, dans sa version CyanogenOS, mais ne précise pas la date d’update pour sa version OxygenOS. Quant au OnePlus 2, il bénéficiera de la mise à jour au premier trimestre 2016. Les intentions de la marque quant au OnePlus X restent plus floues.
Samsung
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
Samsung
Galaxy S6
Déploiement en cours
Galaxy S6 edge
Déploiement en cours
Galaxy S6 edge+
Déploiement en cours
Galaxy Note 5
Décembre 2015
Galaxy Note 4
Février 2016
Galaxy Note Edge
Février 2016
Galaxy A3, A5, A7
Prévue sans date précise
Galaxy A8
Mars 2016
Galaxy Alpha
Prévue sans date précise
Galaxy S5
Avril 2016
Galaxy J2, J5, J7
Prévue sans date précise
Galaxy E5, E7
Prévue sans date précise
Galaxy Tab A 9.7 et 8
Prévue sans date précise
Galaxy Note 3
En rumeur
Galaxy S4
En rumeur
Le Coréen n’a fait aucune annonce précise, bien que l’on se doute que tous ses appareils haut de gamme, probablement jusqu’au Galaxy Note 3, auront le droit à la mise à jour. Un indice de taille se trouve pourtant sur l’infographie publiée par Samsung pour détailler les nouveautés d’Android M. Et pour illustrer tout cela, on retrouve un Samsung Galaxy S6 edge (ou edge+). Autant dire que leurs équivalents « plats », les Galaxy S6 et Galaxy Note 5, seront également servis parmi les premiers.
Mise à jour 28/08 : Samsung a finalement donné une première liste des terminaux qui recevront à coup sûr Android 6.0 Marshmallow. Outre les Galaxy Note 5, S6 edge +, S6 edge et S6, les Galaxy Note 4 et Galaxy Alpha pourront également en profiter.
Mise à jour 16/11 : Une feuille de route des mises à jour vers Android Marshmallow des appareils haut de gamme et milieu de gamme sortis en 2014 et 2015 a fuité. Elle permet notamment de voir que Samsung va s’occuper en priorité des appareils sortis en 2015. Pour les autres, une chose est certaine : il faudra attendre le début de l’année prochaine pour être fixé.
Mise à jour 19/11 : Une seconde feuille de route a fait son apparition sur la toile. Le Galaxy Note 5 devrait avoir droit à une mise à jour vers Marshmallow en décembre 2015 tandis que tous les autres appareils devront attendre l’année prochaine. Le sort des Galaxy Note 3 et Galaxy S4 sont également évoqués.
Mise à jour du 23 décembre 2015 : Eh oui, les feuilles de route se baladent à qui mieux mieux dans la nature. La dernière en date établit une liste – fournie – de terminaux Samsung destinés à recevoir Marshmallow au premier trimestre 2016. Parmi eux, on retrouve le Galaxy Note 5, le Galaxy Note Edge, l’ensemble de la gamme S6 et de la gamme S5. Pour le cas des S6 et S6 edge(+), le lancement d’une bêta en Corée du Sud, jusqu’à la mi-janvier. Si déploiement d’une version finale de Marshmallow il y a, ce sera donc naturellement après cette bêta.
Mise à jour du 19 janvier 2016 : Depuis le début de l’année, une bêta a été déployée par Samsung, afin de faire tester Android 6.0 Marshmallow aux propriétaires de Galaxy S6 et Galaxy S6 edge au Royaume-Uni. Cette dernière a été mise à niveau (mais reste en bêta) vers Marshmallow 6.0.1, mais aucune date de déploiement final et officiel n’a été indiquée par Samsung. Cela ne devrait plus tarder.
Mise à jour du 29 février 2016 : Cette fois-ci, la mise à jour est disponible sur les Galaxy S6, S6 edge et S6 edge Plus. L’OTA n’est pas encore disponible pour tous les mobinautes, mais son déploiement est en cours.
Sony
Sony Xperia Z3+Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
Sony
Xperia Z2
Mise à jour prévue mais sans date précise
Xperia Z2 Tablet
Mise à jour prévue mais sans date précise
Xperia Z3
Mise à jour prévue mais sans date précise
Xperia Z3 Compact
Mise à jour prévue mais sans date précise
Xperia Z3 Tablet Compact
Mise à jour prévue mais sans date précise
Xperia Z3+
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia Z4 Tablet
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia Z5
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia Z5 Compact
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia Z5 Premium
OTA en cours de déploiement en Europe
Xperia M5
Mise à jour prévue mais sans date précise
Xperia M4 Aqua
Mise à jour prévue mais sans date précise
Xperia C5 Ultra
Mise à jour prévue mais sans date précise
Xperia C4
Mise à jour prévue mais sans date précise
Chez le Nippon, tout se passe comme chez Google : si Sony n’a pas publié de liste des terminaux qu’il mettra à jour vers Marshmallow, il a affiché les appareils éligibles aux binaires AOSP d’Android M Developer Preview. Autant dire que ces terminaux auront, droit, dans un futur plus ou moins proche – on se rappelle les multiples retards essuyés par la gamme Xperia Z à la réception de Lollipop – à Android 6.0 Marshmallow. Sont pour le moment mentionné presque tous les Xperia Z, sauf les plus récents Xperia Z3+/Z4, bien que l’on se doute qu’ils fassent partie des premiers servis. De même, si le Xperia Z Ultra est concerné, le Xperia Z ne figure pas dans la liste, bien qu’il date peu ou prou de la même époque. Il pourrait bien être servi de justesse.
Mise à jour du 6 octobre 2015 : Sony a annoncé la mise à jour de 14 terminaux vers Android 6.0 Marshmallow, soit toute sa gamme Xperia Z depuis la série Z2 à la série Z5. Oublions donc les séries Z1 et Z, concernées de justesse par Lollipop, et qui devront passer par des voies détournées pour goûter leur part de guimauve.
Mise à jour du 7 mars 2016 : Retardataire parmi tant d’autres, Sony commence à déployer Marshmallow dans quelques pays d’Europe et du reste du monde. La France n’est pas encore concernée, mais devrait être atteinte d’ici quelques jours, voire semaine. À noter qu’il s’agit de la version 6.0 (et non 6.0.1) de Marshmallow, pour les Xperia Z5, Xperia Z5 Compact, Xperia Z5 Premium, mais aussi la Xperia Z4 Tablet et le Xperia Z3+.
BlackBerry
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
BlackBerry
BlackBerry Priv
Au premier trimestre 2016
BlackBerry ne dispose que d’un seul appareil sous Android (pour l’instant ?), mais il en prend soin. Outre des promesses de mises à jour de sécurité régulières, le responsable de la branche produit de la société canadienne a juré qu’une mise à jour de l’appareil vers Android Marshmallow était prévue pour l’année prochaine. Quand exactement ? Mystère.
Mise à jour du 19 janvier 2016 : Quand donc ? Pour le premier trimestre 2016, ce que confirme BlackBerry.
ZTE
Discrète jusqu’ici, la marque chinoise a annoncé la mise à jour de son plus grand modèle de la série Axon, à savoir l’Axon Elite… au moins en Chine. Aucune date n’a en revanche été fournie. Il faudra donc patienter au moins jusqu’au premier semestre 2016.
Marque
Modèle
Mise à jour vers Marshmallow
ZTE
Axon Elite
Prévue mais sans date précise
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La dernière mouture de WhatsApp lui apporte enfin une fonctionnalité toute simple, mais jusqu’ici manquante : la possibilité de partager un peu plus que des fichiers multimédias.
L’application WhatsApp, qui concentre désormais ses efforts sur ses versions Android et iOS, améliore ses services par petites touches. Groupes de discussion élargis, nouveaux emojis, le service de Facebook s’enrichit discrètement de semaine en semaine. Il ajoute aujourd’hui une option peu visible, mais pourtant pratique.
Jusqu’alors, WhatsApp n’autorisait que l’envoi de fichiers de type multimédia, c’est-à-dire des vidéos, des photos ou des sons, auxquels s’ajoutent le partage de contact et de la localisation de l’utilisateur. Pour le reste, il fallait passer par des partages de liens de type Drive ou Dropbox, ou tout simplement envoyer des emails. Les choses changent aujourd’hui puisque, comme on peut le constater en installant l’APK de la version 2.12.493, apparaît dans les options de partage celle de documents (elle était absente de notre version 1.12.453 installée auparavant). On la retrouve en outre dans la version 2.12.14 de son homologue iOS.
À lire : WhatsApp dépasse le milliard d'utilisateurs
Cette option, naturellement bienvenue, ne fait pas encore l’objet d’une communication particulière de la part de WhatsApp. Néanmoins, on constate qu’elle est encore limitée, puisque l’option ne détecte sur nos téléphones que des fichiers de type PDF, laissant de côté les autres documents (.ppt, .doc, etc.). Nul doute que le champ des documents compatibles sera prochainement élargi.
Si vous souhaitez bénéficier de l’option de partage de documents avec un peu d’avance, l‘APK de WhatsApp v2.12.493 est disponible à cette adresse. La mise à jour officielle ne devrait quant à elle plus tarder à s’inviter sur les terminaux Android.
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Grâce à CyanogenMod 13, basé sur Marshmallow, une poignée de smartphones Sony-Ericsson bénéficie aujourd’hui d’une cure de jouvence. L’occasion pour les bidouilleurs avertis de mettre les mains dans le cambouis.
Les derniers smartphones de Sony, issus de la gamme Xperia Z5, patientent toujours sous Android 5.1.1 Lollipop, attendant encore de recevoir Marshmallow. Si l’on doute de voir cette mise à jour arriver avant le lancement de la nouvelle gamme Xperia X, prévue au printemps, il est d’autres smartphones un peu plus chanceux.
Évidemment, il ne s’agit pas là d’un portage officiel, ces smartphones étant sortis il y a maintenant cinq ans, sous une marque qui n’existe plus : Sony-Ericsson – rappelez-vous, la scission date de 2012. Reste que les très nombreux smartphones de l’époque bénéficient d’un travail particulièrement acharné de la part de l’équipe de développeurs de LegacyXperia, décidés à ne pas laisser ces terminaux couler des jours heureux sous une antique version d’Android. Ils ont donc porté Cyanogen 13.0, basé sur Marshmallow, sur une belle brochette de smartphones, à savoir les Xperia Arc, Xperia Live with Walkman, Xperia Neo V, Xperia Neo, Xperia pro, Xperia Mini Pro, Xperia Neo L, Xperia Active, Xperia Mini, Xperia Ray et le Xperia Play, le fameux smartphone « PlayStation ».
Malgré les limitations techniques de ces appareils (un Sony-Ericsson Xperia Play, par exemple, embarquait un écran de 480 x 854 pixels sur 4 pouces, un Snapdragon S2 et 512 Mo de RAM), les quelques courageux qui se sont procuré les fichiers adéquats (à cette adresse, sur le forum XDA) ne rapportent la présence que de peu de bugs. On ne peut que saluer le dynamisme des communautés qui entourent d’anciens téléphones – c’est aussi le cas du Galaxy S3 et même du Galaxy S2 de Samsung, sans oublier l’indémodable HD2 de HTC. Elles prouvent surtout que les ROM, malgré leur perte de vitesse, restent le meilleur moyen de prolonger la durée de vie des terminaux mobiles, au-delà de l’espérance de vie déterminée par leur constructeur.
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Votre WiFi est en panne ? Vous êtes en voyage et vos amis n’ont pas de forfait comprenant de data à l’international ? Vous vous sentez l’âme charitable d’un fournisseur d’accès ? Alors apprenez à passer votre téléphone (ou votre tablette 4G) en modem afin de partager votre connexion data.
Il n’est pas toujours possible de trouver une connexion potable pour surfer depuis son ordinateur. Dans ces moments, profiter de son forfait 3G/4G peut parfois sauver la mise et permettre de confirmer un rendez-vous par mail, charger un itinéraire, ou juste travailler correctement dans des conditions acceptables. Pour cela, il existe deux méthodes, le partage en WiFi, et le partage en USB.
Partager sa connexion en WiFi
Le plus simple pour passer son téléphone en mode modem est de partager sa connexion via WiFi. Pour cela, il suffit de se rendre dans les paramètres de l’appareil, puis dans la catégorie « Plus » de cliquer sur « Partage de connexion« . Chez certains constructeurs, cette section peut porter un autre nom. Elle se trouve par exemple chez Samsung à la racine des paramètres sous le nom de « Point d’accès mobile et modem« .
Dans cette catégorie, activez le « Point d’accès WiFi mobile« , puis cliquez sur « Configurer le point d’accès WiFi » afin de régler les paramètres.
Dans cette section, vous pourrez notamment changer le nom du point d’accès afin de le trouver plus facilement, ainsi que le mot de passe qui permet de sécuriser l’accès et vous assurer que seuls vos amis viendront utiliser votre précieuse et onéreuse data.
Lorsque votre réseau est en place, n’importe quel appareil disposant d’une connectivité WiFi compatible peut alors s’y connecter comme à n’importe quel réseau.
Partager sa connexion en USB
Pour ceux qui préfèrent les méthodes à l’ancienne, vous pouvez aussi partager votre connexion 3G/4G à un ordinateur directement en USB, ce qui a en outre l’intérêt de recharger le téléphone en même temps, ce qui n’est pas un luxe au vu du coût énergétique du partage de connexion. La manipulation est à nouveau très simple puisqu’il faut pour cela se rendre à nouveau dans le menu « Partage de connexion » des paramètres du téléphone. Si ce dernier est branché en USB à un ordinateur, l’option « Via USB » sera alors active.
Sur Windows ou Linux, le téléphone devrait alors être directement reconnu comme point d’accès et donc apparaître dans les connexions disponibles dans le panneau de configuration comme s’il s’agissait d’un modem branché en Ethernet. Sous Mac OS X en revanche, la manipulation n’est pas automatique et il est donc conseillé de passer par un partage WiFi. Il semblerait que certaines solutions permettent la connexion, comme HoRNDIS, mais pour le moment, aucune version stable ne permet de compatibilité avec la dernière version du système (El Capitan).
Voilà qui devrait vous permettre de finir votre travail dans le train ou de passer pour le héros de la soirée en fournissant une connexion à vos amis au réseau mobile moins performant que le vôtre.
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Depuis le début du mois de janvier, le Maroc bloquait la VoIP sur les réseaux mobiles. Depuis quelques jours, la VoIP passant des applications et logiciels tels que WhatsApp, Skype, Viber est désormais bloquée sur les lignes fixes. Une campagne de boycott virtuel a été lancée en réponse.
Quoi de pire que des opérateurs téléphoniques jaloux d’une concurrence qui les dépasse ? Depuis le mois de janvier dernier, les Marocains doivent faire face à un bloquage complet de la VOIP passant à a fois par les réseaux mobiles et par les lignes fixes. Les Marocains ne peuvent ainsi plus passer et recevoir des appels en utilisant WhatsApp, Skype, Viber ou Facebook et sont forcés d’utiliser les services des opérateurs téléphoniques historiques que sont Maroc Telecom, Inwi et Méditel.
Des opérateurs protectionnistes et incapables de s’adapter à la concurrence
Ces trois opérateurs, justement, sont responsables de ce blocage. Ces derniers ont fait appel à l’ANRT (Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications), l’équivalent de l’ARCEP marocain pour bloquer la VOIP gratuite. Les arguments invoqués sont plus que douteux. L’ANRT, qui leur a donné raison, explique ainsi que « l’établissement et l’exploitation de réseaux publics de télécommunications ainsi que la fourniture des services de téléphonie au public sont soumis au régime des licences ». Et que WhatsApp, Skype, Viber ou Facebook ne disposent d’aucune licence. Les opérateurs ont ainsi le droit de couper ces services sur le territoire marocain.
Une campagne de protestation sur Facebook
Cette décision est évidemment de la mauvaise foi. Maroc Telecom, Inwi et Méditel voient évidemment d’un très mauvais œil des services de VOIP gratuits qui grignotent inexorablement leurs marges. Les arguments des opérateurs ont d’ailleurs été largement démontés depuis. Ils retardent de surcroît le développement technologique du Maroc et isole sa population. Une décision hautement stupide, donc.
En réaction, une campagne de boycott virtuelle a été lancée. Plus précisément, une campagne de « dislike » a été lancée sur Facebook. Elle appelle les internautes à ne plus aimer les pages Facebook des opérateurs téléphoniques nationaux marocains. Actuellement ces derniers ont perdu en moyenne 7 %. Un acte pour le moment symbolique, mais qui traduit l’impopularité d’une telle décision.
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Au beau milieu de l’effervescence du Mobile World Congress, Google annonce, justement à destination des mobiles, le déploiement d’une nouvelle fonctionnalité liée à Gmail. Il sera enfin possible de mettre en forme le contenu des messages, et de les enrichir.
La nouveauté que Google a incluse à sa messagerie email a été baptisée Rich Text Formatting, ou RTF, et qui consiste tout simplement à la possibilité d’accéder à une barre d’outils afin de modifier le texte des emails. Comme sur une version sur navigateur, l’application mobile permettra, une fois le texte du message sélectionné, de le mettre en gras ou en italique, de le souligner ou encore de le surligner et d’en changer la couleur. En cas de copie d’un texte déjà coloré ou souligné, une touche de suppression de la mise en forme sera disponible. En revanche, impossible pour l’heure de changer la taille de la police du texte.
Autre ajout à Gmail, les « Instant RSVP », c’est-à-dire la possibilité d’accepter ou non de se rendre à un événement, ce qui, comme sur la version web de Gmail, se traduira par l’ajout instantané du rendez-vous à l’agenda (Google Calendar ou Microsoft Exchange). Il devient ainsi inutile de sortir de l’app Gmail, puisque tout se fait depuis l’email d’invitation reçu.
Tout cela est disponible dans la version 6.0 de Gmail, dont le déploiement ne saurait plus tarder sur le Play Store. Si vous êtes pressé de l’essayer, vous pouvez l’installer en passant par l’APK disponible sur APKMirror. Notez que la possibilité d’associer des adresses emails de services tiers, elle, a été incluse à la version 5.11 de l’app.
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C’était la surprise de l’ouverture du MWC 2016. Sony, dont on attendait une présence discrète au salon catalan, a officialisé un trio de nouveaux smartphones X, emportés dans le sillage d’un Xperia X Performance. Un smartphone si haut de gamme qu’il semble parti pour prendre la relève du Xperia Z5 aujourd’hui situé au sommet du catalogue nippon. Tour d’horizon pour bien comprendre le positionnement de l’un par rapport à l’autre.
Le nouveau Xperia X Performance ressemble tant à un Xperia Z5 légèrement amélioré, en termes de design et de caractéristiques, que l’on tend à penser que Sony prévoit tout bonnement d’enterrer sa gamme Xperia Z au profit de ses Xperia X. Avant d’entrer dans le vif du sujet, voici les caractéristiques des deux smartphones, face à face.
Caractéristiques techniques : les mêmes, ou presque
Sony Xperia X Performance
Sony Xperia Z5
Version d'Android
Android 6.0 Marshmallow
Android 5.1.1 Lollipop
Taille d'écran
5 pouces
5,2 pouces
Définition de l'écran
1920 x 1080 pixel
1920 x 1080 pixels
Technologie de l'écran
IPS (Triluminos)
IPS (Triluminos)
Densité de pixels
440 PPP
424 PPP
SoC
Qualcomm Snapdragon 820
Snapdragon 810
Processeur
2 x Kryo @ 2,1 GHz
2 x Kryo @ 1,5 GHz
4 x Cortex-A53 @ 1,5 GHz
4 x Cortex-A57 @ 2 GHz
GPU
Adreno 530
Adreno 510
Mémoire RAM
3 Go LPDDR4
3 Go
Stockage
32 Go + microSD
32 Go + microSD
Capteur photo avant
13 mégapixels (F/2.0)
5,1 mégapixels (F/2.4)
Capteur photo arrière
23 mégapixels (f/2.0 ; 24 mm ; autofocus hybride et prédictif ; stabilisation)
23 mégapixels (f/2.0 ; 24 mm ; autofocus hybride et prédictif ; stabilisation)
4G LTE
LTE Cat. 9 (450 / 50 Mbps)
LTE Cat. 6
Connectique
micro-USB en USB 2.0
micro-USB en USB 2.0
Protection eau et sable
Non
Oui (IP68)
Capteur d'empreintes
Oui
Oui
Batterie
2 700 mAh
2900 mAh
Charge rapide
Quick Charge 3.0
Quick Charge 2.0
SIM
Mono et double SIM
Mono SIM
Dimensions
71,1 x 144,8 x 7,62 mm
146 x 72 x 7,3 mm
Poids
164 grammes
154 grammes
Prix
?
699 euros à sa sortie
Design et écran
Un peu à la manière des différentes générations d’iPhone ou de Samsung Galaxy (entre les S6 et S7), Sony conserve entre le Xperia Z5 et le X Performance la même définition Full HD, sur une dalle IPS Triluminos. Toutefois, le X Performance est un peu plus petit, avec son écran de 5 pouces contre 5,2 pouces, ce qui augmente mécaniquement sa résolution de quelques PPP. Il faut d’ailleurs noter que contrairement aux Z, la gamme X ne propose que des formats 5 pouces, bienvenus pour les petites mains, mais plus grands que les Zx Compact.
Outre cette question de format, la principale différence qui oppose le Xperia X Performance au Xperia Z5 tient à son design. Il conserve évidemment le style très sobre propre à la marque, avec un dos plat et des tranches arrondies sur lesquelles on retrouve tant un capteur d’empreintes que des boutons de réglage du volume et un déclencheur photo, mais change de matériau. Pour mieux coller à l’air du temps, Sony a donc délaissé le verre du Z5, dont l’effet dépoli a d’ailleurs été salué, pour du métal brossé. On conserve ainsi une conception unibody. Dommage toutefois que le X Performance, plus compact que son confrère (144,8 x 71,1 x 7,62 mm contre 146 x 72 x 7,3 mm) soit légèrement plus épais, et surtout plus lourd de 10 grammes.
Marshmallow et Snapdragon 820, le combo 2016
Quand le Xperia Z5 a dû se contenter d’un Snapdragon 810, que Sony est d’ailleurs parvenu à intégrer avec succès, misant sur des caloducs, le Xperia X Performance sera, on l’espère, un peu meilleur. Après tout, il disposera de la dernière puce de Qualcomm, toujours associée à 3 Go de RAM de dernière génération, à l’instar de la version asiatique du Galaxy S7 ou du LG G5. Avec un écran Full HD et non QHD, l’autonomie et les performances graphiques devraient d’ailleurs être très convaincants, même si l’on se prend à regretter que ce smartphone, si haut de gamme soit-il, soit inadapté à la réalité virtuelle… Mais il est vrai que Sony songe plus à son casque PlayStation VR qu’à une expérience mobile dédiée à la VR.
Toujours grâce au Snapdragon 820, équipé de la dernière génération de modems Qualcomm, le Xperia X Performance surpasse légèrement le Z5 en termes de connectivités. Il n’est pas question d’USB type-C, mais bien de 4G, désormais en catégorie 9 quand le Z5 se « contente » de la catégorie 6. Dans les faits, cela ne change en réalité pas grand-chose, du moins en Europe.
Au rayon du logiciel, le Xperia X Performance sortira directement sous Android 6.0 Marshmallow, une version que Sony tarde à déployer sur ses Xperia Z5. Un bon point évidemment, mais pas une surprise, puisqu’il sera commercialisé à partir du mois de mai prochain. D’ici là, le Z5 devrait y avoir goûté lui aussi.
Autonomie
Peu de choses distinguent les Xperia Z5 et Xperia X Performance en termes de batterie. Le plus ancien embarque une batterie de 2900 mAh qui, combinée à un mode Stamina efficace, permet de tenir environ 2 jours loin du secteur. Chez le X Performance, c’est une batterie de 2700 mAh que l’on retrouve, ce qui promet une autonomie moindre. On ne peut qu’espérer que sa combinaison avec Marshmallow et son mode Doze permettent de limiter les dégâts. Notons qu’avec l’intégration du Snapdragon 820, le Xperia X Performance gagne la charge rapide Quick Charge 3.0, quand le Z5 dispose du Quick Charge 2.0.
Appareil photo : on prend les mêmes, ou presque
Au dos des Xperia Z5 et Xperia X Performance, Sony a intégré les mêmes capteurs photo. On retrouve donc chez les deux appareils des capteurs Exmor RS de 1/2,3″ et de 23 mégapixels, avec un autofocus hybride, un déclenchement en 0,03 seconde, une ouverture de f/2.0 avec une stabilisation. Entre les deux générations, rien ne change donc, et s’il doit y avoir une différence, elle se situera au niveau du logiciel.
En façade en revanche, le Xperia X Performance arbore un capteur de 13 mégapixels, un Exmor RS de 1/3″, toujours avec un déclenchement rapide, et avec un objectif grand-angle 22mm. Le Xperia Z5, lui, dispose d’un capteur Exmor R de 5 mégapixels et d’un objectif 25 mm.
Conclusion
Un peu meilleur ou équivalent au Xperia Z5 sur la plupart des points (il perd simplement la certification IP68), le Xperia X Performance en prend clairement la relève de son prédécesseur plus qu’il ne le complète. Néanmoins, on ignore encore son prix de lancement, que l’on espère raisonnable. Car d’ici sa sortie, en mai 2016, le Zperia Z5, que l’on trouve déjà aux alentours de 500 euros, aura eu le temps de voir son tarif baisser, ce qui risque de diminuer d’autant l’intérêt d’investir dans un X Performance.
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La définition et la résolution sont deux éléments distincts, mais dépendants entre eux. Il arrive souvent qu’on utilise à tort ces deux termes. Un rapide dossier pour mieux comprendre la différence entre la définition et la résolution des écrans.
À l’annonce d’un nouveau smartphone ou d’une nouvelle tablette, les constructeurs communiquent souvent des données relatives à l’écran à l’image de la définition ou de la taille d’écran. Parfois, les constructeurs parlent aussi de résolution. Il arrive d’ailleurs souvent que les acteurs de l’industrie s’emmêlent les pinceaux et mélangent résolution avec définition. Il faut dire que l’anglais ne facilite pas les choses puisque resolution, dans la langue de Shakespeare, se traduit aussi bien en français par définition que par résolution. Les anglophones sont donc obligés de passer par des expressions comme display resolution pour la définition ou pixel density pour la résolution. Partons ensemble à la découverte de ces deux termes qui sont finalement faciles à comprendre et qui ont toute leur importance sur une fiche technique.
Définition : le nombre de pixels
La définition est le nombre de pixels présents sur la dalle. Elle se calcule en pixels, en multipliant une ligne horizontale de pixel avec une ligne verticale. À titre d’exemple, la définition QHD correspond à 2560 pixels en largeur par 1440 pixels en hauteur (ou l’inverse pour un smartphone tenu en mode portrait), soit au total 3 686 400 pixels. Une dalle 4K / UHD dispose d’un total de 8 294 400 pixels puisque sa définition est de 3840 x 2160 pixels. Comme on peut le voir dans le tableau ci-dessous, la définition QHD dispose d’environ 1,6 fois plus de pixels que la définition Full HD alors que la 4K / UHD intègre 4 fois plus de pixels.
Pour rappel, plus la définition de l’affichage est élevée, plus le GPU (la puce graphique du SoC) aura besoin de puissance pour maintenir un débit d’images similaire à une fréquence de rafraichissement de l’écran de 60 Hz. Pour maintenir un débit d’images de 60 images par seconde avec une définition QHD, il faut une puissance environ 1,5 fois supérieure pour disposer d’une fluidité équivalente à une définition Full HD, comme on avait pu le voir dans un dossier dédié (QHD vs Full HD).
Résolution : la densité de pixels
La résolution est le rapport entre la définition de la dalle (exprimée en pixels) et sa taille (exprimée en pouces). On parle donc de Pixel Par Point (PPP) pour la résolution, ou en anglais Pixel Per Inch (PPI). Plus ce nombre est élevé et plus la densité de pixels sera élevée. Prenons deux exemples concrets : une tablette de 10 pouces équipée d’une dalle supportant une définition Full HD (1920 x 1080 pixels) et un smartphone de 6 pouces supportant la même définition. La tablette aura une résolution de 220 PPP contre 367 PPP pour le smartphone. Le calcul étant un peu plus complexe que la définition (il faut diviser le nombre total de pixels par la surface de la dalle), vous pouvez utiliser l’outil PPI Calculator, disponible en ligne.
La résolution est un élément extrêmement important à prendre en compte pour le confort de lecture. En effet, entre le smartphone et la tablette de l’exemple ci-dessous, la qualité d’affichage ne sera pas identique. Sur la tablette, les pixels seront plus « gros » que sur le smartphone, et il sera donc plus facile de les discerner à l’oeil nu, en s’approchant de la tablette. 220 PPP est une résolution assez faible, et la lecture de site web ne sera pas très agréable puisque les caractères ne seront pas bien définis. Ils sembleront légèrement flous, et non pas nets, contrairement au smartphone dont la résolution de 367 PPP suffit.
PenTile : la résolution amputée
Au sujet de la résolution et de la définition, il faut prendre en compte une autre variable : le type de dalle. La plupart des écrans LCD utilisent trois sous pixels pour former un pixel : un sous pixel rouge, un sous pixel vert et un sous pixel bleu (RGB). Ce n’est pas le cas des dalles AMOLED de Samsung, qui utilisent la technologie PenTile RGBG. Elle permet de produire à moindre coût et plus facilement des dalles dotées d’une plus haute définition. Mais sur une dalle PenTile, un pixel est composé de deux sous-pixels : soit rouges et verts, soit bleus et verts.
Ainsi, la définition annoncée par Samsung est uniquement atteinte par les sous-pixels verts alors que les sous pixels bleus et verts sont deux fois moins nombreux. Avec des faibles résolutions, comme sur le Galaxy Nexus, la différence avec une dalle RGB classique sauter aux yeux comme on peut le voir sur la photo ci-dessous. Une situation qui ne se retrouve plus sur le Galaxy S6 grâce à sa résolution très élevée : près de 600 PPP pour les sous-pixels verts et 400 PPP pour les sous-pixels bleus et rouges.
Le pouvoir de résolution de l’œil humain
On pourrait donc croire qu’une résolution plus élevée est toujours bonne à prendre. C’était sans compter sur la gourmandise des hautes définitions, que ce soit en termes d’autonomie, mais également en puissance GPU comme nous l’avons vu plus haut, mais aussi sur le pouvoir de résolution de l’œil humain, un concept que nous avons longuement étudié dans notre dossier sur la courser à la 4K / UHD.
En quelques mots, l’œeil humain n’est pas capable de discerner les très hautes résolutions. Apple considère que la résolution de 300 PPP est la limite idéale, mais il faut prendre en compte les personnes bénéficiant d’une excellente vue, mais aussi la distance d’affichage. Plus l’œil sera proche de l’écran, plus la résolution devra être élevée et certains réussissent à discerner des détails jusqu’à 600 PPP – sans loupe -, mais il s’agit d’une frange minoritaire de la population, avec l’œil collé à l’écran.
Pour un usage normal, 300 – 400 PPP semblent donc constituer une résolution correcte. En dessous, les plus pointilleux commenceront à percevoir les pixels. Au-delà, la consommation d’énergie sera en hausse, pour un bénéfice pas forcément visible pour la majorité des utilisateurs. En fait, seule la réalité virtuelle nécessite de très hautes résolutions, du QHD, voire de la 4K / UHD pour ne pas discerner les pixels (la grille de pixels), l’image étant grossie par les lentilles.
La liste des différentes définitions
Définition (en pixels)
Ratio
Intitulé
Nom courant
Appareils
240 x 320
4:3
QVGA
LG Optimus L3 II
320 x 480
3:2
HVGA
iPhone 3G
480 x 800
5:3
WVGA
Samsung Galaxy SIII Mini
480 x 854
16:9
FWVGA
Sony Xperia L
540 x 960
16:9
qHD
Samsung Galaxy S4 Mini
640 x 960
3:2
DVGA
iPhone 4S
640 x 1136
16:9
WDVGA
iPhone 5S
720 x 1280
16:9
WXGA
HD / 720p
Motorola Moto G
768 x 1280
16:10
WXGA
Nokia Lumia 1020
1080 x 1800
15:9
Meizu MX3
1080 x 1920
16:9
FHD
Full HD / 1080p / 1080i
HTC One M8
1200 x 1920
16:10
WUXGA
Asus FonePad Note 6
1080 x 2048
17:9
Projecteurs Christie
1440 x 2560
16:9
(W)QHD
WQXGA
2K
LG G3 ?
1600 x 2560
16:10
WQXGA
Galaxy NotePro 12.2
2160 x 3840
16:9
UHD
4K
Toshiba Satellite P55t
2160 x 4096
17:9
DCI 4K
Canon DP-V3010
4320 x 7680
16:9
FUHD
8K
Prototype Sharp 85"
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Opera Software, le père du navigateur Opera et de l’application Opera Max, vient de publier une infographie particulièrement intéressante. Celle-ci permet de connaître les applications les plus gourmandes en données lorsqu’elles tournent en arrière-plan. À ce petit jeu, Facebook et Gmail sont les deux gagnants, devant Google Drive, WhatsApp et Hangouts.
L’application Opera Max est particulièrement pratique. Elle permet de compresser les données reçues et envoyées depuis le smartphone, afin d’économiser la bande passante et donc de diminuer l’usage de données cellulaires. Dans la pratique, elle permet d’économiser jusqu’à 50 % de son quota mensuel. Opera Software, l’éditeur du logiciel, fait la promotion d’Opera Max au travers d’une infographie intéressante. L’éditeur a mesuré pendant le mois de décembre les données consommées par les applications en arrière-plan.
1/3 de la consommation en arrière-plan
Facebook et Gmail sont les deux applications les plus gourmandes en consommant 73% des données mobiles en arrière-plan, contre 57 % pour Google Drive, 54 % pour WhatsApp et 39 % pour Hangouts. Dans la globalité, les données en arrière-plan sont responsables pour 30 % de la consommation de données mensuelles. La nouvelle version d’Opera Max mise en ligne le 17 février dernier sur le Play Store pourrait bien avoir la solution.
A lire sur le sujet : Tuto : Comment limiter sa consommation de data sur Android
Des alertes et un blocage
En version 1.6.16, Opera Max dispose désormais d’une fonctionnalité permettant d’afficher des alertes permettant d’identifier les applications consommant le plus de données en arrière-plan. L’utilisateur peut ensuite facilement et rapidement bloquer l’utilisation de données en arrière-plan pour une ou plusieurs applications. Si l’idée des notifications est plutôt intéressante, le blocage des applications n’est pas une nouveauté puisqu’Android permet déjà de le faire. On en profite pour rappeler qu’Opera Max permet également de compresser les vidéos comme sur YouTube ou Netflix.
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Bouygues Telecom vient d’annoncer le passage du débit réduit au hors forfait une fois le quota mensuel de données dépassé. D’autres forfaits fonctionnent de cette manière, comme le Pass Destinations de Free Mobile à l’étranger ou encore le forfait à 2 euros en France. Pour éviter les mauvaises surprises, Android embarque une fonctionnalité capable de bloquer la consommation des données mobiles après avoir défini un plafond. Découvrons comment mettre en place cette fonctionnalité.
Vous vous souvenez sûrement de ces dizaines d’histoires lues un peu partout sur la toile : un mobinaute se déplaçait dans un pays étranger en oubliant de couper les fonctions d’itinérance de son réseau mobile et se retrouvait alors avec une facture de hors forfait de plusieurs milliers d’euros. Ce type d’actualité se voit de plus en plus rarement puisque le roaming est désormais intégré dans de nombreux forfaits mobiles avec la plupart du temps, un blocage ou un débit réduit une fois que le quota est dépassé. Mais certains forfaits utilisent encore la méthode du hors forfait lorsque l’utilisateur dépasse la consommation permise par son enveloppe mensuelle. D’ailleurs, Bouygues Telecom a récemment remplacé par défaut le mécanisme du débit réduit par le hors forfait sur l’ensemble des forfaits B&You.
Les applications des opérateurs
Pour éviter les mauvaises surprises, les opérateurs proposent sur leur espace client un suivi de la consommation de données. Il est alors possible de consulter facilement et rapidement cette information avec l’application mobile de son opérateur. Bien souvent, les opérateurs envoient un SMS si le quota est bientôt dépassé, ou lorsque l’enveloppe est épuisée. Si ce n’est pas le cas, ou si vous désirez mettre en place une solution plus transparente, Android dispose d’une fonctionnalité dédiée.
Le seuil et le plafond d’Android
Depuis Android 4.0 Ice Cream Sandwich sorti en 2011, il est possible de définir un plafond de consommation des données mobile. Il suffit alors de se rendre dans les Paramètres du téléphone, dans la partie Consommation des données puis de Définir la limite des données mobiles. Si elle est réglée sur 5 Go, le terminal bloquera les connexions cellulaires pour ne pas dépasser ce seuil. Il est également possible de régler une limite qui déclenche une alerte sur le téléphone si elle est dépassée. Ces deux fonctions sont très pratiques puisqu’il est possible de fixer une limite minimale de 10 Mo. Pratique pour les tout petits forfaits comme celui à 2 euros de Free Mobile qui dispose d’uniquement 50 Mo de données. Le seuil et le plafond sont indépendants l’une de l’autre puisqu’il est possible de fixer une limite qui déclenche une alerte sans activer la limite du plafond.
Régler le cycle de consommation
Si vous utilisez les fonctionnalités de plafond et seuil, n’oubliez pas de régler correctement la date de réinitialisation du cycle de consommation. Celui-ci doit être identique au cycle de facturation de l’opérateur. Ainsi, si les factures débutent chaque 1er du mois, il faudra alors le spécifier sous Android. Dans le cas contraire, il existera un décalage entre la consommation calculée par l’opérateur et celle mesurée par Android.
Bloquer certaines applications
La page de Consommation des données permet également de jeter un œil sur les applications les plus gourmandes en données chaque mois. Un simple appui sur l’une d’entre elles permet alors de limiter les données en arrière-plan de l’application. Cela signifie que l’application aura accès aux données mobiles lorsqu’elle sera utilisée, mais dès qu’elle sera en arrière plan (en appuyant sur le bouton Home ou Retour, par exemple), l’accès au réseau cellulaire sera coupé pour cette application.
Un poids, deux mesures
Google met en garde l’utilisateur contre la mesure effectuée par le téléphone. En effet, il est possible qu’Android ne calcule pas exactement de la même manière que l’opérateur la consommation des données. Google recommande alors de définir un seuil plus bas que le quota autorisé par l’opérateur. D’après nos expériences, la mesure de l’opérateur semble assez proche de celle d’Android.
Les applications tierces
Le Play Store regorge d’applications permettant d’analyser en détail sa consommation de données cellulaires. C’est le cas de My Data Manager, en français ou encore Onavo Count en anglais et Data Wiz qui permet de visualiser les endroits où vous consommez le plus de données.
My Data Manager (Mon gestionnaire de données) est une application populaire qui vous aidera à contrôler votre utilisation des services de données mobiles et...
Réduire sa consommation de données
Si vous dépassez chaque mois votre quota de données, il est possible d’avoir recours à certaines applications capables de réduire la consommation de données. C’est le cas d’Opera Max ou encore de Chrome comme nous l’avions expliqué dans notre tutoriel dédié au sujet.
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Cela fait des années que des hackers ont un business fructueux : la vente de mots de passe Netflix.
Netflix est disponible désormais dans 190 régions dans le monde, le service est devenu une part importante de l’Internet, plus de doute n’est permis sur la popularité de ce service de VOD illimité. Dans les derniers rapports de Symantec, nous pouvons observer une nouvelle preuve de ce succès, à savoir la vente de mots de passe au marché noir, que l’on appelle également « Black Market ».
Plus de 300 000 comptes payants sont donc disponibles, à partir de 25 centimes de dollars pour un accès, soit près de 25 centimes d’euros ou 1/4 d’euro.
Quelques pratiques à connaître
Le vol de mot de passe peut arriver à tout le monde, il suffit d’avoir un appareil compromis, votre PC où vous utilisez des jeux illégaux ou des plugins Chrome infectés, ou encore votre smartphone Android rooté, où même non-rooté. Il est assez simple de s’apercevoir que son compte est utilisé par une tierce personne, dans la catégorie « Reprendre avec le profil d’Ulrich » qui liste les dernières vidéos regardées.
Enfin, un conseil que l’on continuera à répéter : modifiez régulièrement vos mots de passe. Vous pouvez vérifier sur le site – www.haveibeenpwned.com – si votre e-mail a été compromis. Un réel danger si vous utilisez le même mot de passe partout…
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L’application Google Horloge, disponible depuis l’été dernier sur le Play Store, bénéficie d’une nouvelle mise à jour. Et elle déploie un mode nuit pour tous les appareils.
Google s’apprête à déployer une nouvelle mise à jour de son application Clock, ou Horloge en français, d’ores et déjà disponible sur le site APK Mirror. Une mise à jour qui permet notamment d’obtenir un « Mode Nuit », éteignant totalement l’écran et affichant de manière discrète l’heure numérique (ou analogique si vous aimez déchiffrer un cadran en plein sommeil). Pour activer ce mode nuit, il faut se rendre dans le menu overflow, tandis que pour en sortir, il suffit ensuite de tapoter sur l’écran.
D’après certains, cette fonction ne serait pas nouvelle, mais ne toucherait actuellement pas tous les smartphones. Avec la version v4.3 de l’application, tous les utilisateurs devraient pouvoir en bénéficier. Effectivement, tous les mobiles de notre rédaction ne sont logés à la même enseigne puisque notre OnePlus X doit faire sans, tandis que notre Nexus 6P y a d’ores et déjà droit.
Google a également repensé une petite animation lorsqu’on active une alarme, affichant désormais le temps restant avant que celle-ci vous tire des bras de Morphée. Les widgets relatifs à l’Horloge ont également été corrigés et peuvent maintenant être redimensionné en plein écran sur la page de votre choix.
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Vous pouvez ressortir vos Galaxy SII de vos placards, le vénérable smartphone de Samsung peut désormais être mis à jour vers Android 6.0 Marshmallow. Une mise à jour que l’on doit, comme d’habitude avec ces vieux appareils, à CyanogenMod.
Vous vous souvenez du Galaxy SII ? Si vous en avez possédé un lors de sa sortie, il y a de bonnes chances que vous vous en souveniez. Avec son écran de 4,3 pouces de définition 480 × 800, son SoC Exynos à deux cœurs cadencés à 1,2 GHz et son gros Go de RAM, c’était l’un des meilleurs smartphones de l’année 2011. Sans le savoir, Samsung l’a également doté d’une caractéristique qui va changer son avenir : il disposait de 16 ou 32 Go de mémoire interne. Un tel espace est idéal pour installer des ROM et mettre à jour le téléphone sans avoir à passer par Samsung.
Et justement, alors que Samsung a abandonné depuis maintenant de nombreuses années les mises à jour de son Galaxy SII, CyanogenMod continue encore et toujours de le suivre. En 2015 il avait eu droit à Android Lollipop, en 2016 il aura bien droit à Android Marshmallow. Et ce, alors que le téléphone a été commercialisé sous Android Gingerbread (2.3.4) et abandonné sous Android Jelly Bean (4.1).
En savoir plus : CyanogenMod 13 : tout ce qu’il faut savoir sur la version Marshmallow de la ROM
Comme d’habitude, le téléchargement de la ROM se fait sur le site officiel de Cyanogen, à cette adresse. Il ne s’agit pas encore d’une version finale, mais d’une nightly, il reste donc des bugs et il est nécessaire de télécharger et d’installer soi-même les Google Apps (que l’on peut trouver sur cette page). Ça ne fera peut-être pas revenir le Galaxy SII dans votre poche, mais pendant un court instant, vous aurez eu la satisfaction d’avoir réveillé un mort. Ce qui n’est pas donné à tout le monde.
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Samsung vient de modifier son navigateur Internet afin de permettre d’installer des bloqueurs de publicités. L’entreprise coréenne a travaillé main dans la main avec l’éditeur Rocketship pour proposer un plugin disponible pour tous les utilisateurs sous Android, sous le nom Adblock Fast.
Adblock Fast est le nom du plugin destiné au navigateur Internet Samsung en version 4.0. Ce plugin va permettre de bloquer les publicités d’un site web, afin d’accélérer le chargement des pages web, au détriment des revenus de ce même site. Les développeurs parlent d’une vitesse de chargement 51 % plus rapide avec le plugin activé. Pour le moment, Adblock Fast est uniquement destiné au navigateur par défaut des appareils Samsung sous Android.
Le navigateur Samsung disponible pour tous
Il y a quelques jours, Samsung a mis à jour son navigateur Internet en version 4.0. Cette nouvelle version – uniquement disponible sous Android 5.0 Lollipop majeure apporte le support des bloqueurs de pubs (ad blockers) sous forme de plugins. Tous les terminaux Samsung sous Lollipop vont recevoir cette nouvelle version du navigateur web, et Samsung propose également au téléchargement son application pour tous les terminaux Android. Dans quelques jours, l’application Samsung Internet for Android en version 4.0 sera également compatible avec les appareils depuis Android 4.0, permettant à des millions de terminaux de bloquer les contenus publicitaires.
Un concurrent d’Adblock Plus
Adblock Fast n’est pas le premier bloqueur de publicité sous Android. En effet, on trouve aussi Adblock Browser qui prend la forme d’un navigateur web intégrant un bloqueur de pub. Asus a d’ailleurs été le premier (et pour le moment le seul) constructeur à annoncer intégrer et activer par défaut Adblock Browser au sein de ses terminaux. Adblock Fast reste donc le premier plugin à pouvoir être installé sur un navigateur préexistant : celui de Samsung. Les développeurs se targuent également d’une meilleure efficacité avec moins de règles de blocages, ce qui se traduit dans les faits par moins de mémoire vive et de temps CPU utilisé.
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Bien qu’aujourd’hui trônant au rang des médias vieillissants au même titre que la télévision, la radio a encore de beaux jours devant elle et bon nombre de personnes écoutent toujours régulièrement les ondes FM. Saviez-vous qu’il est également possible de retrouver vos stations préférées sur votre smartphone et même votre tablette ? Non ? Alors suivez le guide !
Il existe plusieurs moyens d’écouter la radio depuis son téléphone, qui s’adapteront à votre utilisation et à votre terminal. Voici donc quelques façons de ne jamais rater votre émission préférée.
Le Tuner FM intégré
Certains constructeurs intègrent nativement à leurs smartphones un tuner FM, bien qu’il se fasse de plus en plus rare, éclipsé par une palanquée d’autres capteurs et une recherche de la finesse qui réduit le nombre de composants pouvant être embarqués. Si cette fonctionnalité n’est plus en tête d’affiche, elle reste toutefois présente chez certaines marques ou sur certains appareils bien précis. On peut ainsi citer la majorité des terminaux de Huawei ou Honor (et bon nombre d’appareils chinois en général), mais aussi le One M9 de HTC ,par exemple.
Disposant du récepteur idoine, ces téléphones ont facilement accès à la radio grâce à l’application dédiée habituellement embarquée. Vous la trouverez généralement sous le nom « Radio FM » ou « Tuner FM », avec quelques variantes comme « OnePlus Radio » sur le OnePlus X. Pour que cela fonctionne, le récepteur FM ne suffit pas, et vous aurez également besoin d’une antenne. Dans le cas des smartphones, celle-ci passe presque exclusivement par le port Jack 3,5 mm, ce qui signifie que c’est votre casque / vos écouteurs qui jouent ce rôle. Oubliez immédiatement l’idée d’écouter la radio avec un casque Bluetooth, vous aurez besoin d’un fil pour jouer le rôle d’antenne. Il existe en revanche souvent une option pour basculer sur le haut-parleur du téléphone.
Grâce à cela, vous pourrez écouter de la musique sans épuiser votre forfait data, y compris si la réception n’est pas optimale (dans la limite de la réception FM).
Les applications globales
Pour tous les autres appareils, qui ne disposent pas du récepteur FM adéquat, il vous faudra passer par une application spécialisée qui vous donnera accès à la radio par internet. Cela nécessite bien sûr de disposer d’une couverture réseau et d’avoir un forfait adapté ou une connexion WiFi, mais vous pourrez cette fois-ci utiliser un casque sans fil.
De toutes les applications disponibles, la plus populaire est certainement TuneIn Radio, disponible en version gratuite ou payante, la seconde étant dépourvue de publicités et permettant d’enregistrer des programmes. Du contenu supplémentaire est également disponible (matchs de NFL, audiobooks…) à condition de souscrire à l’offre premium à 8,99 euros par mois. Le principal avantage de cette application sur le tuner FM standard est que vous n’avez pas besoin d’être dans une zone de réception FM pour profiter d’une station en particulier. TuneIn Radio vous donne ainsi accès à 100 000 stations du monde entier.
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Il existe d’autres alternatives telles que Radioline, Radio FM ou radio.fr. À vous de trouver celle qui vous correspond le mieux.
Les applications dédiées
Si une seule radio vous intéresse, vous pouvez chercher sur le Google Play Store afin de vérifier si elle ne dispose pas d’une application dédiée qui permet d’écouter en direct le programme diffusé. De nombreuses radios possèdent ainsi une application qui offre diverses options allant de la rediffusion de certains programmes au planning du jour en passant par des articles supplémentaires et le direct audio/vidéo.
Toutes ne proposent pas ce genre de service, mais les plus grosses stations sont présentes sur la boutique d’Android. Vous trouverez quelques exemples ci-dessous.
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Les sites web
Tout comme les applications dédiées, il existe souvent un lecteur audio permettant d’écouter une radio en direct depuis le site internet de la station. Le principal avantage de cette solution est qu’elle ne nécessite absolument aucune application si ce n’est un navigateur Internet, ce qui peut représenter une sérieuse économie d’espace disque pour les appareils les plus limités à ce niveau.
Ces webradios peuvent être écoutées même lorsque l’écran du téléphone est éteint. En revanche, vous êtes tributaires du site et de sa méthode de diffusion plus ou moins gourmande en flux data ainsi que de son ergonomie parfois plus que discutable. Autant dire qu’il s’agit davantage d’une méthode de dépannage en dernier recours.
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Il existe des dizaines de modèles de smartphones haut de gamme, plus ou moins perfectionnés, plus ou moins jolis également. Mais pour qui dispose d’un budget suffisant pour choisir le modèle qui lui conviendra parfaitement, les options sont moins nombreuses. Qu’il s’agisse de smartphones ultra-performants, très design ou d’appareils aux fonctionnalités originales, les téléphones inclus dans cette sélection s’inscrivent résolument dans l’univers du premium, mais pas dans celui du luxe incarné par des marques telles que Vertu. Découvrez notre sélection pour vous aider à mieux choisir votre prochain smartphone.
Huawei Mate 8
Le Huawei Ascend Mate 7 était une bonne surprise, avec sa très bonne qualité de conception. Néanmoins, il commençait à accuser son âge – c’est un produit de 2014. Le groupe Huawei a donc lancé son successeur, le Mate 8, encore meilleur sur tous les points. Il a obtenu la note de 9/10 à notre test, sûrement une des plus hautes notes de l’année. Il n’est pas le meilleur dans tous les domaines, mais il assure partout.
9 Lire le test Acheter à 650€ fiche produit
Huawei Mate 8
Samsung Galaxy S6
C’était certainement le smartphone le plus attendu de 2015 dans le monde d’Android, et on peut dire qu’il a fait mouche. Samsung qui rompt avec son design habituel, qui propose du verre et du métal, qui abandonne le support des cartes microSD et qui propose des tarifs dépassant les 700 euros : c’est un véritable changement dans les habitudes du Coréen. Néanmoins, son Galaxy S6 fait partie des meilleurs smartphones du moment, et peut désormais être acheté autour de 600 euros (comme ce modèle, en blanc et 32 Go), voire à un prix un peu moins élevé.
Samsung Galaxy S6
Les amateurs d’écrans courbés pourront se tourner vers le Galaxy S6 edge, que l’on peut trouver à des tarifs similaires. S’il est aussi performant – et c’est l’un des meilleurs du moment – et délivre d’aussi bonnes photographies, certains le trouvent toutefois un peu moins confortable à utiliser. Même début 2016, et notamment parce que les tarifs sont en baisse, ces téléphones sont assurément de belles options. En attendant le S7…
Samsung Galaxy S6 Edge
HTC One M9
Malgré les efforts de HTC, ce n’est probablement pas pour son excellence absolue que l’on achètera le M9, puisqu’il fait un peu moins bien que ses concurrents en termes d’écran (il n’est pas QHD), de performances et de photographies (lire notre test). En revanche, ce terminal qui reste très bien équipé mise sur un design propre, avec sur une coque unibody en métal de deux couleurs. C’est résolument un point de différenciation à noter pour ceux qui cherchent un design irréprochable.
HTC One M9
Google Nexus 6P
Les fans de Google et des appareils Nexus attendaient le remplaçant du Nexus 6, et il est bien arrivé avec un Nexus 6P fabriqué par Huawei et qui se veut encore plus premium que son prédécesseur. Exit le plastique, et place à une construction de qualité à base d’aluminium. Sur les caractéristiques techniques, la firme n’a pas non plus lésiné, optant pour ce qui se fait de mieux pour celui-ci : Snapdragon 810, écran QHD de 5,7 pouces, 3 Go de RAM, et appareil photo de 12,3 mégapixels.
À lire : Test du Google Nexus 6P
Un appareil photo qui se montre d’ailleurs comme le plus doué de sa génération. Testé il y a peu par notre rédaction, le Nexus 6P s’adresse autant aux amoureux de Google qu’aux amateurs de phablettes. Mais qui dit sortie récente, dit tarif très élevé, et c’est certainement le seul bémol de ce terminal.
LG G4
Le LG G4, que nous avons testé pendant l’année 2015, ne s’adresse pas tout à fait à la même cible que le Galaxy S6. Plus épais, peut-être légèrement moins performant (quoi que…), il a surtout fait le choix de ne pas faire appel au SoC le plus haut de gamme de Qualcomm, le Snapdragon 810, mais au Snapdragon 808, moins susceptible de chauffer. Écran QHD de 5,5 pouces, 3 Go de RAM, capteur photo de 16 mégapixels avec stabilisation optique et autofocus laser : tout y est, la finition cuir en plus. On n’attendait probablement pas LG sur un segment de prix situé entre 650 et 700 euros, mais le Coréen parvient à rivaliser avec ses concurrents sans peine.
LG G4
Comme bien souvent, les smartphones de LG baissent rapidement de prix, d’autant que les chiffres de vente du mobile ne sont pas ceux espérés par le constructeur. Et pourtant, il est régulièrement présent dans nos guides et comparatifs, notamment pour son impressionnante partie photo.
Sony Xperia Z5
Comme chaque année, voire même plus régulièrement que cela dans le cas du Nippon, Sony a renouvellé sa gamme premium en proposant de nouveaux jouets : Sony Xperia Z5, Sony Xperia Z5 Compact et Sony Xperia Z5 Premium. Mais c’est ici la version la plus classique qui nous intéresse. Au menu : Snapdragon 810, écran Full HD de 5,2 pouces, 3 Go de RAM, appareil photo de 23 mégapixels et batterie de 2900 mAh.
Sony Xperia Z5
Pour ce modèle, Sony a fait des efforts sur le design en optant pour du verre dépoli qui donne enfin la sensation d’un changement esthétique sur la gamme. Le constructeur a aussi maitrisé les problèmes de chauffe du Snapdragon 810, et offre un appareil photo enfin capable de se hisser à la hauteur de la concurrence, du moins dans certaines conditions favorables. Le Sony Xperia Z5 venant de sortir, et ayant été récemment testé par nos soins, il coûte encore relativement cher.
Sony Xperia Z5 Compact
Google Nexus 5X
Légèrement moins premium que le Nexus 6P, le Nexus 5X n’en reste pas moins un des meilleurs smartphones de l’année. On y trouve un écran Full HD de 5,2 pouces, un processeur Snapdragon 808, comme pour le LG G4, 2 Go de mémoire vive, un appareil photo semblable au Nexus 6P (12,3 mégapixels), et une batterie de 2700 mAh. Ses finitions sont par contre moins bonnes, le mobile s’habillant de plastique à la place de l’aluminium.
Google Nexus 5X
Et cette construction de moins bonne qualité, ainsi qu’une fiche technique un peu revue à la baisse, permet également au prix du produit de dégonfler. On peut trouver le mobile pour un prix oscillant entre 479 et 529 euros selon si on le choisi en 16 ou 32 Go de mémoire interne. Un peu cher pour du Nexus diront certains, mais pas tellement quand on compare aux autres haut de gamme de l’année.
Panasonic Lumix DMC-CM1
Là encore, ce n’est probablement pas le smartphone le plus efficace, il est particulièrement onéreux (760 euros environ au lieu de ses 900 euros de départ), mais ce CM1 de Panasonic est intéressant pour les photographes. Côté téléphonie, l’appareil embarque un Snapdragon 801 AB, un écran Full HD de 4,7 pouces et une petite batterie de 2600 mAh, le tout dans un boîtier de 206 grammes. Et pourtant, il est doté d’un capteur photo MOS de 1 pouce et de 20 millions de pixels, d’un processeur d’image Venus Engine, ouvre à f/2.8-f/11 et offre de nombreux réglages manuels. Bref, c’est presque un compact expert dans un smartphone dédié aux amateurs de photographie. Vous pouvez retrouver ici notre prise en main du Panasonic Lumix DMC-CM1, désormais mis à jour vers Lollipop.
Motorola Moto X Force
Motorola complète habilement sa gamme de smartphones avec un Moto X Force qui se présente comme le plus haut de gamme de la série « Moto X ». C’est aussi la première fois qu’un terminal « Droid », réservé d’ordinaire aux États-Unis, se décline dans une version pour l’Europe. Et il est en plus de cela très atypique puisque la technologie Shatter Shield rend l’écran de ce téléphone pratiquement incassable.
A lire : Test du Motorola Moto X Force
On y retrouve un écran de 5,4 pouces en QHD (1440 x 2560 pixels), un processeur Snapdragon 810, 3 Go de mémoire vive, au moins 32 Go de mémoire interne avec un port microSD, un appareil photo très séduisant de 21 mégapixels, ou encore une grosse batterie de 3760 mAh. Un ensemble très haut de gamme et très équilibré, qui lui permet de figurer parmi les meilleurs mobiles du moment. Il faudra par contre débourser une belle somme pour mettre la main dessus.
Motorola Moto X Force
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À moins de 100 euros, il est parfois bien compliqué de trouver un smartphone qui nous convienne. Mais aux alentours de 150 euros, c’est déjà plus simple et nous avons pu tester plusieurs smartphones entre 100 et 200 euros qui pourraient vous convenir. Voici justement notre sélection, qui mêle des smartphones récents, d’autres s’apprêtant à sortir, et même des classiques de cette catégorie. De quoi trouver le meilleur choix pour offrir (ou vous offrir) le smartphone qui fera mouche en ce début d’année 2016.
Mise à jour : ce dossier a été revu le 18 janvier 2016.
BQ Aquaris M4.5
Disponible depuis l’été dernier, le BQ Aquaris M4.5 ne prétend pas être le plus performant, mais présente des caractéristiques plutôt équilibrées. Même si sa définition d’écran reste maigre (qHD) sur une diagonale de 4,5 pouces, il s’en sort bien en termes de luminosité. Et surtout, il présente une interface légère basée sur Lollipop 5.1, des performances honorables et une bonne autonomie.
À lire : Test du BQ Aquaris M4.5
On trouve désormais cet Aquaris M4.5 sous la barre des 180 euros, dans sa version dotée de 8 Go de stockage. Comptez 206 euros pour sa mouture 16 Go, avec 2 Go de RAM, un peu plus punchy.
ZTE Blade S6
ZTE Blade S6
Très discret chez les revendeurs, et pourtant encore très intéressant, le ZTE Blade S6 a bénéficié d’une baisse de prix ces derniers mois, ce qui lui permet de passer sous la barre des 200 euros.
À lire : Test du ZTE Blade S6
Avec son écran HD de 5 pouces, son SoC Snapdragon 615 et ses 2 Go de RAM, le Blade S6 dispose de caractéristiques de milieu de gamme, pour un tarif où l’on trouve souvent des terminaux se contentant d’un Snapdragon 410. Comptez en outre sur 16 Go de stockage, sur un appareil photo dorsal de 13 mégapixels, mais aussi, et c’est un peu moins bien, sur une coque entièrement composée de plastique et sur un suivi logiciel douteux (l’appareil est pour l’instant coincé sous Android 5.0.2). Pour ce prix, c’est un moindre mal.
ZTE Blade S6
Acer Liquid Jade S
Alors que le Liquid Jade Z, toujours accessible, est désormais disponible à moins de 160 euros, c’est son grand frère, le Liquid Jade S, qui passe sous celle des 200 euros, au lieu de 250. Un bon prix pour ce smartphone qui aura connu quelques retards, mais est finalement passé à Lollipop.
À lire : Test de l'Acer Liquid Jade S
Rappelons que le Liquid Jade S d’Acer est doté d’un écran IPS de 5 pouces et de définition HD, sous lequel on retrouve un MediaTek MT67552M et 2 Go de RAM. L’appareil abrite 16 Go de RAM, deux ports SIM (dont un à transformer en microSD), un appareil photo de 13 mégapixels et une batterie de 2300 mAh. Le tout dans un boîtier au design agréable et aux formes arrondies.
Acer Liquid Jade S
Samsung Galaxy J5
Pas le plus performant du Coréen, le Samsung Galaxy J5 a souffert à sa sortie d’un prix un peu élevé, environ 230 euros. On peut désormais le trouver à 180 euros, notamment dans sa version dorée.
Pour ce prix, le J5 propose une fiche technique correcte pour sa gamme de prix : un écran HD de 5 pouces AMOLED, un SoC Snapdragon 410 d Qualcomm, 1,5 Go de RAM, 8 Go de stockage et une batterie de 2600 mAh. Le tout évidemment étant compatible 4G, et abrité dans une coque qui imite certes le métal, mais est bien en plastique. C’est en tout cas un choix à prendre en compte pour les amateurs de terminaux Samsung mais dont le budget ne leur permet pas d’espérer s’offrir un Galaxy Sx de dernière génération.
Samsung Galaxy J5
Meizu M2
Petit smartphone aux faux airs d’iPhone 5c, le Meizu M2 se décline en couleurs, et dans un format très pratique. Et surtout, il coûte environ 170 euros.
À lire : Test du Meizu M2
Imparfait, avec notamment son interface parfois mal traduite et brouillonne, le M2 n’en est pas moins intéressant. Il dispose d’un écran HD de 5 pouces, présente des performances correctes, est compatible avec (presque toutes) les fréquences 4G et produit des photos honorables. On le trouve tant chez les revendeurs que sur la boutique en ligne de Meizu.
Meizu M2
Motorola Moto G de 3e génération
Nous mentionnions précédemment le Moto G et le Moto G 4G dans ce guide, et force est d’avouer que s’il était un peu onéreux à sa sortie, le Moto G de 3e génération, uniquement 4G, est désormais abordable. On le trouve à moins de 180 euros.
À lire : Test du Motorola Moto G 3e gen
Motorola livre ici un smartphone à l’écran de 5 pouces HD, doté d’un Snapdragon 410, de 1 à 2 Go de RAM et de 8 ou 32 Go de stockage. Le téléphone embarque en outre un appareil photo de 13 mégapixels et une batterie de 2470 mAh. Sa force, c’ast bien sûr son logiciel presque Stock. Le téléphone passera en outre assurément à Marshmallow d’ici quelques mois, une bonne nouvelle.
Motorola Moto G (3e gen.)
Wiko Ridge 4G
Juste en dessous du cap des 200 euros, on trouve un Wiko qui mérite le détour. Le Ridge 4G, présenté au printemps, a le mérite de combiner design fin et écran convenable. Il propose en effet une dalle IPS de 5 pouces pour une résolution HD, et surtout est animé par un SoC Snapdragon 410 combiné à 2 Go de RAM, mais aussi 16 Go de stockage et un port microSD. Côté multimédia, comptez sur un appareil photo de 13 mégapixels au dos et de 5 mégapixels en façade, le tout étant animé par une batterie de 2400 mAh.
À lire : Test du Wiko Ridge 4G
Si son point fort n’est certes pas sa capacité à être mis à jour – sous KitKat 4.4.4, il vient de passer à Lollipop – ce Wiko Ridge 4G a pour lui un design fin et léger, et une fiche technique équilibrée. Le tout pour 170 euros en version 16 Go.
Wiko Ridge 4G
LG Spirit
« Petit » smartphone de 4,7 pouces, l’un des derniers-nés de LG se trouve dans le commerce autour de 149 euros. Et pour ce prix, le LG Spirit offre une fiche technique certes positionnée en entrée de gamme, avec l’éternel Snapdragon 410 de son rang, 1 Go de RAM et 8 petits Go de stockage. Il dispose d’un capteur photo dorsal de 8 mégapixels et, Snapdragon 410 oblige, est compatible avec la 4G.
À lire : Test du LG Spirit
Alors certes, ce LG Spirit n’est pas une bête de course, mais à 139 euros comme on peut le trouver actuellement, il est l’un des rares à proposer un écran HD de bonne qualité, un design soigné, le tout sous Lollipop et avec une autonomie correcte assurée par une batterie de 2100 mAh.
LG Spirit
Archos 50 Diamond
Récemment, Archos a officialisé l’arrivée d’un nouveau smartphone : le 50 Diamond. Bonne surprise, il est pourvu d’une belle fiche technique pour un tarif qui n’est pas très élevé. Côté design, il n’a pas à rougir, et Archos montre qu’il compte se faire une petite place sur l’open market.
A lire : Test du Archos 50 Diamond
Le téléphone est équipé d’un écran Full HD de 5 pouces, avec une densité de pixels de 440 ppp, d’un processeur Snapdragon 615 couplé à 2 Go de mémoire vive, d’un capteur dorsal de 16 mégapixels, d’une caméra frontale de 8 mégapixels, d’une capacité de stockage interne de 16 Go (+ micro-SD allant jusqu’à 64 Go) et d’une batterie de 2700 mAh.
Archos 50 Diamond
Archos Diamond S
En fin d’année, Archos s’est décidé à proposer de nouveaux smartphones aux looks peu habituels pour la marque, mais aux courbes empruntées à d’autres constructeurs. Parmi eux, le Diamond S est certainement le plus intéressant de par son excellent rapport qualité/prix. Doué d’une jolie autonomie, de performances honnêtes ou encore d’une installation logicielle sobre, le terminal ne souffre peut-être que d’une définition d’écran un peu faiblarde (720p) et d’une partie photo qui manque de traitement logiciel.
En savoir plus : Test du Archos Diamond S
Archos, qui a dévoilé des résultats financiers plutôt bons cette année, tient peut-être là un de ses mobiles de référence. On peut le trouver pour moins de 200 euros, ou même opter pour le Diamond Plus, habituellement vendu 249 euros, mais qui bénéficie d’une ODR en ce moment.
Archos Diamond S
Sony Xperia E4g
Le Sony Xperia E4g pourrait en intéresser plus d’un. D’abord, il arbore un design soigné comme sait souvent le faire le constructeur nippon, qu’on aime ou non les form-factor des produits et le peu d’extravagances qu’ils proposent.
A lire : Test du Sony Xperia E4g
Sa fiche technique est pratiquement identique à celle du Sony Xperia E4 puisqu’on trouve chez le E4g un écran de 5 pouces affichant 540 x 960 pixels (un peu faiblard), 1 Go de mémoire RAM, et 8 Go de capacité de stockage interne avec microSD jusqu’à 32 Go. Il embarque également une batterie de 2300 mAh, un appareil photo de 5 mégapixels, et un capteur frontal de 2 mégapixels. Mais surtout, il sortira également en avril 2015 en France, sous Android 5.0 Lollipop, et pour un tarif de 140 euros. Seul changement : le processeur est cette fois signé MediaTek.
Dans la même veine, on peut conseiller le Moto E 4G de Motorola, facturé 10 euros de moins et avec un comportement à peu près semblable.
Sony Xperia E4g
Xiaomi Redmi 2
Pour ceux qui n’ont pas peur de faire importer un smartphone, le Xiaomi Redmi 2 est peut-être la solution idéale pour obtenir un smartphone pratique, fluide, et aux performances correctes pour un tarif qui est loin de faire peur. On est face à un rapport qualité-prix admirable, et on comprend pourquoi il se vend par palettes à chaque vente organisée par la firme chinoise.
En savoir plus : Test du Xiaomi Redmi 2
Le Xiaomi Redmi 2 embarque un écran IPS LCD de 4,7 pouces à l’affichage HD (720 x 1280 pixels), donnant une densité d’environ 312 pixels par pouce. Ce smartphone s’équipe aussi d’un processeur de nouvelle génération, le Snapdragon 410, qui est cadencé à 1,2 GHz et couplé à 1 Go de mémoire vive. On y trouve également une capacité de stockage interne de 8 Go, qu’il est possible d’allonger grâce à un support micro-SD jusqu’à 32 Go, un capteur dorsal de 8 mégapixels, un autre de 2 mégapixels en façade, la compatibilité LTE, deux ports micro SIM, ou encore une batterie de 2200 mAh. Comptez 130 euros environ.
Xiaomi Redmi 2
Wiko Fever
À y regarder de près, le Wiko Fever a bel et bien sa place dans ce guide d’achat. Le smartphone, qui a vraisemblablement bien plus à Gaël, possède un rapport qualité-prix solide. Il fait partie de cette nouvelle vague de téléphones qui disposent des attributs des smartphones situés dans le haut du panier du milieu de gamme de 2014 pour un tarif déjà bien moindre.
A lire : Test du Wiko Fever
Au programme : un bel écran, de bonnes performances, un design correct et une autonomie honnête. Il faudra par contre vivre avec un appareil photo plutôt médiocre et des finitions pas tout à fait à la hauteur de celles d’un Archos Diamond S, par exemple.
Wiko Fever
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WhatsApp, leader des services de messagerie instantanée, prépare son avenir. Son canal bêta permet d’entrevoir les prochaines améliorations de l’application.
L’application star des messageries instantanées qu’est WhatsApp faisait parler d’elle cette semaine non pas pour ses nouvelles fonctionnalités, mais pour un argument financier imparable : à compter de cette année, l’app abandonne son système d’abonnement (0,89 euro par an ou 0,99 dollar) pour un passage à un modèle entièrement gratuit. Dans les faits, cela ne change pas grand-chose, puisque bien rares sont les mobinautes à avoir dû payer leur tribut annuel à WhatsApp, visiblement pas très à cheval sur ce mode de monétisation.
En revanche, le titre dont Facebook est propriétaire ne mollit pas en termes de tests destinés à intégrer ses prochaines mises à jour. Les plus motivés peuvent d’ailleurs essayer ces options en devenir en s’inscrivant au canal de bêta de l’application. Lequel permet d’avoir accès, avec un peu d’avance, à quelques-unes des fonctionnalités appelées à être intégrées à la mouture grand public du service, du moins si ces essais sont concluants. Voici les principales, que l’on peut espérer voir entrer en service dans les prochains mois.
Le chiffrement de bout en bout
C’et une option dénichée au fin fond des paramètres de WhatsApp bêta par un utilisateur de l’application (qui a bien sûr publié ses captures d’écran sur Google+), dans sa mouture 2.12.413, et sur un smartphone rooté uniquement. Le chiffrement de bout en bout sur WhatsApp, c’est-à-dire depuis le téléphone de l’expéditeur et jusqu’à celui du destinataire, faisait l’objet de rumeurs depuis quelques mois, et l’on constate donc qu’il fait au moins l’objet de travaux dans l’équipe de développement de WhatsApp. Elle propose d’ailleurs aux utilisateurs qui la testent d’afficher dans leurs conversations (écrites et vocales) un indicateur montrant si elles sont bien chiffrées de bout en bout.
Notez que si l’option est déployée dans la version finale de WhatsApp, c’est une excellente nouvelle pour la sécurité des données ainsi échangées, puisque théoriquement « WhatsApp et les parties tierces » ne peuvent les voir. En revanche, elle signe justement la fin des clients WhatsApp, dans le collimateur du service depuis de longs mois.
La partage des informations de WhatsApp avec Facebook
Sans grande surprise, puisque Facebook a racheté WhatsApp il y a deux ans, la dernière bêta de WhatsApp propose une option, située dans les paramètres du compte. Baptisée « Share my account info » (partager les informations de mon compte), cette dernière vise à fournir les données liées à WhatsApp au réseau social « pour améliorer vos expériences Facebook ». Si vous avez notamment refusé de fournir votre numéro de téléphone audit réseau, mieux vaudra donc vous assurer que cette option restera désactivée.
Les conversations en vidéo
On en parle depuis la fin de l’année dernière, comme d’une évolution logique de WhatsApp Messenger, qui inclut depuis mars 2015 les appels vocaux. L’app, dans la précédente version de sa bêta (datée de décembre 2015) montrait, d’après un utilisateur allemand de sa bêta pour iOS, un système d’appels vidéo à la FaceTime. La fonctionnalité s’appuierait non seulement sur WiFi, mais, à l’occasion, aussi sur le réseau mobile de l’utilisateur.
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WhatsApp vient officiellement d’abandonner son unique achat in-app de 0,89 euro par an nécessaire au fonctionnement de l’application. Pas question pour autant d’afficher de la publicité dans l’application, Facebook préfère plutôt imaginer d’autres modèles économiques, basés sur l’interaction entre les utilisateurs et les marques.
Ses utilisateurs ont tendance à l’oublier tant WhatsApp est pratique, mais l’application de messagerie instantanée est bel et bien payante. Plus exactement, cette dernière demande (quand elle le demande réellement) 0,89 euro après un an d’usage pour pouvoir être encore utilisée. Ce petit achat in-app a disparu ou va bientôt disparaître dans la prochaine version de l’application. L’information a été confirmée sur le site officiel de WhatsApp.
Bien conscient que ses presque 100 millions d’utilisateurs dans le monde ne disposaient pas tous d’une carte de crédit ou d’un compte de paiement en ligne, WhatsApp a décidé d’abandonner cette dîme de 0,89 euro ou 0,99 dollar. WhatsApp indique qu’il n’est pas question de le remplacer par des pages ou des bandeaux de publicité. La question de la rentabilité est toujours un sujet pris très au sérieux par la société, qui compte, ce n’est pas une surprise, appliquer peu ou prou les mêmes méthodes que Facebook Messenger.
« À partir de cette année, nous testerons des outils nous permettant d’utiliser WhatsApp pour communiquer avec des sociétés ou des organisations dont vous avez besoin », peut-on lire sur le blog de la messagerie. « Il pourrait être possible communiquer avec sa banque à propos d’une transaction frauduleuse ou avec une compagnie aérienne sur un vol en retard ». Si l’on comprend bien WhatsApp, le service de base restera bien gratuit, mais des services supplémentaires payants viendront se greffer à l’application. À la manière d’Uber au sein de Facebook Messenger, WhatsApp pourrait tout aussi bien proposer des services de livraison de nourriture à domicile ou de commandes de VTC.
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À l’occasion des 10 ans de l’appel vidéo sur Skype, l’application intègre désormais une nouvelle fonctionnalité : les conférences vidéo de groupe.
Alors simple messagerie instantanée, le logiciel Skype a gagné il y a dix ans de cela une fonctionnalité dont il serait difficile de se passer aujourd’hui, les appels vidéo gratuits. Depuis, Skype a été racheté par Microsoft et s’est imposé comme l’un des piliers de la communication dans le monde, ce qui ne l’empêche pas de toujours chercher à créer de nouveaux usages – ou de rattraper la concurrence. Dans cette optique, Skype annonce aujourd’hui l’ajout à son application des appels vidéo groupés.
Disponibles sur mobiles depuis six ans déjà, les appels vidéo étaient jusque là limités à deux personnes maximum. Cette limite va désormais être étendue, sans que soit précisé le nombre de participants qui pourront prendre part à une même conversation. À titre d’information, Skype accepte sur ordinateur des groupes allant jusqu’à 25 personnes pour les appels, et jusqu’à 10 personnes pour les vidéoconférences.
Cette nouvelle fonctionnalité sera disponible pour tous « dans les semaines à venir » sur Android, iOS et Windows 10 Mobile. Les plus pressés peuvent quant à eux se préinscrire afin d’avoir un « aperçu » avant l’heure.
Si Skype a toujours instigué un certain vent d’innovation dans le domaine, il n’est pas le premier à proposer les appels vidéo groupés sur mobile. Sur ce créneau, Google a pris les devants et permet déjà aux utilisateurs de Hangouts de communiquer de la sorte.
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Le benchmark AnTuTu est certainement le plus célèbre sous Android, et la firme vient d’ailleurs de publier son top 10 des smartphones de 2015.
Comme chaque année, AnTuTu publie son top 10 des meilleurs smartphones de l’année. Un classement qui s’appuie sur la v6.0 du célèbre benchmark, et donne des scores particulièrement élevés pour certains mobiles. On devrait d’ailleurs voir la barre des 100 000 points être régulièrement franchie par les smartphones haut de gamme en 2016.
D’après ce classement donc, c’est l’iPhone 6S Plus qui obtient la médaille d’or grâce à un score de 132 620 points. Le fer de lance d’Apple est suivi de loin par le tout récent Huawei Mate 8 et ses 92 746 points, et par le Meizu Pro 5 et ses 86 214 points. On retrouve ensuite les Samsung Galaxy Note 5 et Galaxy S6 Edge + avec des scores d’environ 83 000 points, puis l’iPhone 6 Plus (datant pourtant de 2014), le OnePlus 2, le LeTV 1 Pro, le Xiaomi Note Pro, et le Nexus 6P.
Toutefois, le classement effectué par AnTuTu n’est pas à prendre au pied de la lettre. Le benchmark de la firme mélange en effet un peu tout (CPU et GPU) sur une courte durée, même si la partie graphique est désormais privilégiée, et on préfèrera des benchmarks graphiques un peu plus lourds, comme GFX Bench ou 3D Mark, ou simulant des utilisations classiques, comme PC Mark, pour se faire une vraie opinion sur le comportement d’une puce. Le mieux est encore d’utiliser un smartphone pendant plusieurs dizaines de minutes pour voir si les performances brutes ne sont pas annihilées par une surchauffe ou un quelconque bridage.
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Google Maps est aujourd’hui l’une des meilleures applications de GPS disponible sur Android, et possède surtout l’avantage d’être intégré nativement sur tous les smartphones Android certifiés par Google. Ses cartes ne sont néanmoins accessibles qu’en ligne, et il est nécessaire d’effectuer une petite manipulation avant de pouvoir s’en servir hors connexion.
Tutoriel mis à jour le 11 janvier 2016.
Lors de la Google I/O 2015, la firme a présenté l’option » Navigation hors ligne », une option permettant de télécharger des cartes afin de retrouver son chemin même sans connexion. Une pratique qui peut se révéler intéressante pour ceux qui préparent un voyage dans un pays étranger et qui ont peur de ne pas avoir de connexion WiFi à portée de main. Pas la peine d’appeler alors votre opérateur pour souscrire à l’option data internationale, voici comment télécharger les cartes d’une zone donnée.
Télécharger la carte d’une zone
Pour télécharger une zone en particulier, positionnez-vous dessus (approximativement), puis ouvrez le menu à gauche de l’écran. Vous trouverez une option intitulée « Zones hors connexion », également présente dans les paramètres de l’application. Ici, Google vous propose alors d’enregistrer la zone de votre domicile, ou bien de rajouter une autre zone avec le bouton « + » en bas à droite. Cliquez dessus et vous aurez alors un cadre vous permettant de choisir les limites de la zone à enregistrer.
Conseils d’utilisation
Attention, ces cartes sont volumineuses. Prenez garde, donc, si votre téléphone ne dispose pas de beaucoup d’espace de stockage. À titre d’indication, enregistrer la zone de Londres pour une utilisation hors connexion représente environ 400 Mo.
Afin de gérer facilement vos cartes disponibles hors connexion, Google vous demandera un nom définissant la zone en question lors de l’enregistrement. Automatiquement, le nom sera défini par celui de la ville ciblée.
Astuce supplémentaire : plutôt que d’aller dans les options, il est possible d’accéder directement à l’écran Zones hors connexion en rentrant « OK Maps » dans la zone de recherche de Google Maps, ou de télécharger une zone en particulier en pointant une adresse et en appuyant sur le bouton « Télécharger » du menu déroulant qui s’ouvre alors à ce point.
Une carte ainsi enregistrée peut être utilisée pour la navigation hors ligne pour une durée de 29 jours. En vous rendant dans la section Zones hors connexion ou bien dans Vos adresses, vous pourrez à loisir gérer vos cartes téléchargées, les supprimer ou les mettre à jour.
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Les soldes d’hiver 2016 sont lancés. Pour ce début d’année, les différents distributeurs bradent leurs produits pour vider leurs stocks. L’occasion de faire de bonnes affaires, notamment sur des produits Android. Tour d’horizon des meilleurs plans disponibles dans cet article mis à jour tout au long des soldes.
Soldes smartphones
Commençons notre tour d’horizon des bons plans des soldes avec les smartphones, nos petits appareils préférés qu’on n’arrive plus à quitter du matin au soir.
8 Lire le test Acheter à 409€ fiche produit
Bouygues Telecom propose le meilleur prix jamais vu sur le Nexus 5X. Vous pouvez l’acheter seul (et sans bloquage opérateur) pour 293,90 euros. Même si vous n’êtes pas client de l’opérateur vous pouvez donc profiter de cette offre très sympa !
9 Lire le test Acheter à 439€ fiche produit
Le Samsung Galaxy S6 est proposé à 450 euros en insérant le code SOLDES15 lors de la commande sur le site de PriceMinister. Le code est valable toute la journée.
8 Lire le test Acheter à 472€ fiche produit
Le Sony Xperia Z5 Compact est proposé à 460 euros en insérant le code SOLDES15 lors de la commande sur le site de PriceMinister. Le code est valable toute la journée.
Le Sony Xperia Z3+ est proposé avec une belle réduction par Darty et Boulanger. Sortie à 699 euros, ce smartphone qui reprend certains éléments du Z5 et du Z3 est proposé pour seulement 399 euros dans le cadre des soldes.
8 Lire le test Acheter à 300€ fiche produit
Darty propose durant toute la durée des soldes une réduction immédiate sur le Honor 7 qui permet de l’acheter à 319 euros (visible uniquement après avoir validé votre panier). Le téléphone bénéficie en plus d’une ODR (offre de remboursement- de 50 euros qui permet de se faire rembourser 50 euros après l’achat. Au final, l’achet de ce téléphone ne coûtera « que » 270 euros.
7 Lire le test Acheter à 269€ fiche produit
Belle réduction sur le Huawei P7 de la part d’Amazon. Le distributeur le propose à 301 euros au lieu de 399 euros.
8 Lire le test Acheter à 148€ fiche produit
Très belle promotion pour le Moto E 4G qui est proposé sous la barre des 100 euros alors qu’il est disponible d’habitude pour 150 euros.
8 Lire le test Acheter à 329€ fiche produit
Le Moto X Play de Motorola est proposé à 329,90 euros par Amazon avec possibilité de se faire rembourser 50 euros via une offre de remboursement. Au final, le produit vous reviendra à 279,90 euros.
6 Lire le test Acheter à 185€ fiche produit
Voilà un très bon prix pour ce produit. Il est proposé à 129,99 euros au lieu de 289,90 euros (prix de sortie). Ce smartphone design est donc proposé avec une forte réduction qui le rend très intéressant.
8 Lire le test Acheter à 469€ fiche produit
Le Moto X Style est proposé en promotion à 369,90 euros. Une belle occasion d’acheter une phablette plutôt puissante à bon prix.
8 Lire le test Acheter à 539€ fiche produit
Le Galaxy S6 Edge 64 Go est proposé à 579 euros (dont 50 euros d’ODR) dans le cadre des soldes.
7 Lire le test Acheter à 272€ fiche produit
Le LG G Flex 2 – ce smartphone incurvé dans le sens de la hauteur – est proposé en promotion à 249 euros par Cdiscount. Une très belle offre compte tenu de ses caractéristiques : il dispose d’un processeur Qualcomm Snapdragon 810 !
8 Lire le test Acheter à 129€ fiche produit
Il est proposé en solde à 129,99 euros au lieu de 199 euros. Le produit est sorti en 2014 et commence à être un peu âgé (moins de mise à jour prévues) mais il garde ses qualités.
6 Lire le test Acheter à 179€ fiche produit
Petite promotion sur le Wiko Selfy qui est proposé à 149 euros au lieu de 179 euros.
7 Lire le test Acheter à 158€ fiche produit
Le Acer Liquid Jade Z, un smartphone à petit prix est proposé encore moins cher avec les soldes. On peut le trouver pour seulement 99,99 euros au lieu de 150 euros.
Vous recherchez un produit qui n’est pas dans la liste ? N’hésitez pas à regarder son prix en utilisant notre comparateur de prix en vous rendant ici.
Soldes tablettes
Voici quelques bons plans sur les tablettes. Si vous avez envie de vous lancer dans l’achat d’une tablette ou de renouveler l’aventure, voici les meilleurs prix proposés en ce moment.
9 Lire le test Acheter à 321€ fiche produit
La tablette haut de gamme avec un petit écran 8 pouces de Sony est proposé en promotion à 269,90 euros au lieu de 399 euros. Un petit prix pour un très bon produit.
Cette tablette haut de gamme de Lenovo très puissante et avec un pico-projecteur intégrée est proposée en vente flash à 399 euros au lieu de 499 euros par Amazon toute la journée.
Lenovo Tab 2 A7-30
Cette tablette d’entrée de gamme est proposée en vente flash à 79 euros au lieu de 119 euros toute la journée. Une bonne affaire si vous êtes à la recherche d’une tablette d’appoint.
Soldes objets connectés et accessoires
La grande mode de cette année, c’est celle des objets connectés. Voici une sélection de produits à bon prix dans le cadre des soldes.
L’enceinte ULTIMATE Ears Boom 2 de Phantom est proposée à 134 euros au lieu de 149,90 euros sur le site de PriceMinister en insérant le code SODLES15 lors de la commande.
L’enceinte Marshall Action en version noire est quant à elle proposée à 167,90 euros au lieu de 189,95 avec le code SOLDES15 par PriceMinister.
Soldes Forfaits mobiles
Bouygues Telecom
Bouygues propose jusqu’au 10 janvier une réduction sur son forfait B&YOU pour les nouveaux clients. Il est proposé à 9,99 euros pendant 12 mois puis 19,99 euros par mois. Petit bonus, l’opérateur offre la data depuis le téléphone tous les week-end pendant les 6 premiers mois de l’année.
Virgin Mobile
Virgin Mobile propose 3 forfaits en promotion avec des prix très intéressants à vie jusqu’au 19 janvier. On retrouve ainsi un forfait illimité + 1 Go à 5,99 euros par mois (au lieu de 14,99 euros par mois), illimité + 3 Go à 9,99 euros par mois (au lieu de 19,99 euros) et un forfait 20 Go à 15,99 euros par mois.
La Poste Mobile
La Poste Mobile propose une réduction sur son forfait 3 Go. Il est proposé à 6,99 euros pendant 6 mois puis 18,99 euros par mois.
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Sony Xperia Z3+
Ça y est, YouTube permet de charger les vidéos en arrière-plan
dans Android
Posté(e)
Ça y est, la fonctionnalité de chargement des vidéos YouTube en arrière-plan fait son arrivée sur la plateforme de streaming de Google. Une fonction qui va enfin permettre de lancer d’autres applications pour ne pas perdre de temps lors du chargement d’une vidéo.
Au mois de janvier, Google testait sur YouTube une fonctionnalité de chargement des vidéos en arrière-plan. L’idée était simple : lancer le chargement d’une vidéo YouTube puis quitter l’application pour réaliser d’autres actions (lancer une autre application, envoyer un SMS, passer un appel, etc.) pendant que la vidéo continue de se charger. Pratique lorsque l’utilisateur utilise une connexion un peu lente pour charger une vidéo, ou même pour charger l’intégralité d’une vidéo en prévision d’un futur manque de connexion. Bonne nouvelle : la fonctionnalité de chargement des vidéos YouTube en arrière-plan vient de faire son apparition sur la plateforme.
Une fonctionnalité pas encore disponible partout
C’est un utilisateur de Google+ qui vient de découvrir l’apparition de cette nouveauté sur son téléphone, après avoir effacé les données de l’application YouTube. Il semblerait alors qu’il s’agisse d’une mise à jour du côté du serveur. De notre côté, nous n’avons pas encore aperçu l’apparition de cette fonctionnalité. On peut alors se demander si la possibilité de charger les vidéos en arrière-plan est vraiment en déploiement pour l’ensemble des utilisateurs, ou si c’est encore un test. En effet, en janvier dernier, quelques utilisateurs avaient en tout cas pu profiter de la fonctionnalité en avant-première.
Pour de rendre l’utilisation de YouTube plus intéressante aux utilisateurs défavorisés, Google a déjà intégré un système permettant de télécharger des vidéos pour les visionner hors ligne. Cette fonction n’est toutefois pas encore déployée en France, et vous pouvez donc consulter notre tutoriel pour télécharger une vidéo YouTube pour la regarder hors-ligne.