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monaj

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  1. Bonjour, Publié le lundi 18 décembre 2017 à 18h35 franceinter.fr/culture À l'occasion de la journée mondiale de la langue arabe, le lexicologue Jean Pruvost, nous raconte comment cette langue s'est inscrite dans l'Histoire et la langue française, et nous explique que chaque jour nous utilisons de nombreux mots arabes. La langue française contient plus de mots arabes que de mots gaulois. © AFP / Leemage L’UNESCO fête la langue arabe ce 18 décembre, l'occasion de nous interroger sur les mots. Ce matin au petit déjeuner, vous avez peut-être commandé une tasse (mot arabe) de café (mot arabe), avec ou sans sucre (mot arabe) et un jus d’orange (mot arabe). Vous avez donc, sans le savoir, parlé arabe (ou plutôt français). Notre langue est parsemée de mots arabes, comme l’explique Jean Pruvost, lexicologue, professeur émérite, auteur de « Nos ancêtres les Arabes, ce que notre langue leur doit » aux éditions JC Lattès. Quelle est la place de la langue arabe dans la langue françaises ? Jean Pruvost : La langue arabe est extrêmement présente dans la langue française. L'arabe est la troisième langue d’emprunt, puisque la première c’est l’anglais, ensuite l’italien. L’arabe n'a cessé d'enrichir notre langue entre le IXe siècle et aujourd'hui. Au départ, c'est principalement Al Andalus, l'Espagne musulmane qui a donné de nombreux mots courants et mots savants au XIIIe siècle en français. Plus tard, la colonisation et la décolonisation ont apporté une nouvelle vague de mots, avec notamment un volet important dans le domaine de la gastronomie. Pouvez-vous donner des exemples des mots courants qui nous viennent de la langue arabe ? J. P. : Si vous faites votre marché et que vous achetez des épinards, de l'estragon, du potiron, des artichauts... Tous ces mots sont arabes. Même le mot "artichaut" qui ne vient pas de Bretagne ! Avec l'arrivée des rapatriés d'Algérie en 1962, après la décolonisation, les mots merguez, méchouis, sont entrés dans le langage courant. On retrouve aussi beaucoup de mots dans l’habillement. Si vous allez dans un magasin (mot arabe), acheter une jupe (mot arabe) de coton (mot arabe), un gilet et un caban (mots arabes), vous utilisez des mots arabes. Et plus récemment, de nouveaux mots arabes sont apparus avec l'immigration récente ? J. P. : Le mot "bled" a été tellement installé dans la langue que beaucoup ignorent que c'est un mot arabe. Les plus jeunes s'en sont à nouveau emparé avec le mot "blédard", qui désignait celui qui débarquait de la campagne algérienne ou marocaine et qui s'installait dans la région parisienne. Avoir le "seum", c'est-à-dire le cafard en arabe, ("cafard", qui est aussi un mot arabe) a été repris en 2012 par une campagne de la sécurité routière. Les mot "chouf" ou "kiffer" sont utilisés depuis longtemps, comme dans l'expression kiff-kiff bouricot. Au début, le kiff c'était la drogue et aujourd'hui, cela désigne le fait de prendre du plaisir. Le mot toubib vient du mot toubab (qui désigne le blanc) et veut dire médecin. Ce mot est passé dans la langue familière et beaucoup de gens ne savent pas qu'il est issu de la langue arabe. En fait les Français parlent arabe ? J. P. : Oui, ils parlent arabe beaucoup plus que gaulois... Le gaulois, c'est à peine un centaine de mots. Pour l'arabe, on est à 500 mots et même davantage si l'on compte les mots savants du côté de la faune et la flore. Un enfant qui part faire de l'algèbre et de la chimie dans son collège est dans le monde arabe.
  2. https://atelier.leparisien.fr/mondial2018/Calendrier_Mondial.pdf
  3. Bonjour, Sur le papier le tirage est favorable pour les bleus ;par contre le Maroc et la Tunisie n’ont pas été gâté . https://atelier.leparisien.fr/mondial2018/Calendrier_Mondial.pdf
  4. Bonjour, Par Ndiasse Sambe Publié le 11-11-2017 Modifié le 12-11-2017 à 01:35 afriquefoot.rfi.f La Tunisie va disputer sa cinquième Coupe du monde en 2018 en Russie. Un match nul lui a suffi face à la Libye samedi à Radès (0-0), mais les Aigles de Carthage ont souffert jusqu’au bout, d’autant que la RD Congo s’est imposée dans le même temps face à la Guinée (3-1). Ce fut dur ! Et la Tunisie ne s’attendait certainement pas à souffrir autant devant la Libye (une seule victoire dans ces éliminatoires) qu’elle avait déjà battue chez elle 1-0. Il lui suffisait d’un point, et les supporters tunisiens pensaient logiquement s’offrir même les trois, et fêter en même temps la qualification dans leur antre de Radès, tout de rouge vêtu pour l’occasion. Mais la Tunisie est tombée sur une coriace équipe libyenne, qui semblait aussi jouer sa place à la Coupe du Monde, alors que cet espoir avait été éteint dès la 4e journée. Les hommes de Nabil Maaloul ont pourtant pris la rencontre par le bon bout, asphyxiant leurs adversaires dès le début et pendant tout le premier quart d’heure. Mohamed Ben Amor (4e) sur un centre en retrait de Wahbi Khazri, Hanis Badri 11e, et encore Khazri (12e) ont tous eu une bonne opportunité d’ouvrir le score, mais le gardien des Chevaliers de la Méditerranée, Mohamed Nashnush a été impérial sur ces actions. Les regrets de la RDC Le portier libyen a passé sa soirée à écœurer les attaquants adverses. Chaalani (38e), Khenissi (39e) ou encore Msakni (43e, 55e), ont tous buté sur le dernier rempart libyen. Et plus le match avançait, plus la fébrilité des Tunisiens se faisaient sentir, d’autant que la RD Congo, qui devait compter sur un exploit des Libyens pour souffler la qualification à la Tunisie, venait d’ouvrir le score devant la Guinée (1-0). Les Aigles de Carthage ont même eu des sueurs froides quand Mohamed Ghanudi s’est offert la plus grosse occasion libyenne (49e) en défiant Aymen Mathlouthi, sauveur des siens sur cette action. Les Libyens, bien que déjà éliminés, ont joué le jeu jusqu’au bout, et la Tunisie pouvait souffler quand l’arbitre a sifflé la fin de la partie après cinq minutes irrespirables d’arrêts de jeu. Les Tunisiens vont ainsi disputer leur cinquième Coupe du Monde en Russie après 1978, 1994, 2002, et 2006. De leur côté, les Congolais regretteront toujours cette rencontre de la 4e journée où ils ont mené 2-0 face à la Tunisie avant de se faire rejoindre dans le dernier quart. La qualification s’est sans aucun doute jouée à ce moment-là…
  5. Bonjour; Nicolas Bacle| 11 novembre 2017, 21h03 leparisien.fr/sports Après le Nigeria, l’Egypte et le Sénégal, le Maroc a décroché son billet pour le mondial russe en venant à bout de la Côte d’Ivoire (2-0). La Tunisie sera aussi de la partie. Après 19 longues années d’attente, les Lions de l’Atlas vont enfin participer à un Mondial. En ballottage favorable avant la rencontre, le Maroc a validé son ticket pour la Coupe du monde en Russie en dominant la Côte d’Ivoire (2-0) à Abidjan. Une qualification loin d’être imméritée tant les hommes d’Hervé Renard se sont montrés solides tout au long des éliminatoires. Invaincu, le Maroc aura marqué 11 buts en 6 matches sans en encaisser un seul. Le Maroc verra la Russie, pas la Côte d’Ivoire Dans sa « finale » du groupe C face à la Côte d’Ivoire, qui pouvait encore rejoindre la Russie en cas de victoire, le Maroc n’a pas eu le temps de trembler. Nabil Dirar a ouvert le score sur un centre tir dès la 25e minute, avant que l’homme fort des Lions de l’Atlas, Mehdi Benatia, ne libère définitivement les siens sur un corner de Boussoufa, seulement cinq minutes plus tard. Hervé Renard prive ses anciens joueurs du Mondial Erigé au rang de héros en Côte d’Ivoire après avoir hissé les Elephants sur le toit de l’Afrique lors de la CAN 2015, le « sorcier blanc » Hervé Renard joue ainsi un bien mauvais tour à ses anciens protégés. Il participera à son premier mondial comme il en rêvait, mais avec les Lions de l’Atlas. Leaders du groupe A avec trois points d’avance sur la RD Congo, les Aigles de Carthage ont terminé le travail en obtenant un point précieux face à la Libye. La Tunisie va participer à son cinquième mondial.
  6. Bonjour, 01net.com La Super Nintendo Mini (ou Super NES Mini) reprend et réduit le design de son illustre inspiratrice, s'accompagne de deux manettes et de 21 jeux, dont un inédit. Au-delà de la nostalgie, c'est bien une petite leçon d'histoire et d'amour du jeu vidéo qui est ici proposée Nintendo Co Ltd Super Nintendo MiniFICHE TECHNIQUE CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES Processeur ARM Cortex A7 Fréquence du processeur (en Ghz) 1.2 GHz Nombre de processeurs 1 Nombre de coeurs 4 Puce graphique ARM Mali 400 MP2 Lecteur HD Non STOCKAGE Mémoire interne accessible Non Capacité de stockage (en Go) 0.5 Stockage des jeux sur mémoire interne Oui DIMENSIONS Largeur 24.13 cm Epaisseur 20.32 cm Profondeur 7.62 cm Poids 198 kg
  7. Bonjour, 01net.com La Super Nintendo Mini (ou Super NES Mini) reprend et réduit le design de son illustre inspiratrice, s'accompagne de deux manettes et de 21 jeux, dont un inédit. Au-delà de la nostalgie, c'est bien une petite leçon d'histoire et d'amour du jeu vidéo qui est ici proposée Nintendo Co Ltd Super Nintendo MiniFICHE TECHNIQUE CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES Processeur ARM Cortex A7 Fréquence du processeur (en Ghz) 1.2 GHz Nombre de processeurs 1 Nombre de coeurs 4 Puce graphique ARM Mali 400 MP2 Lecteur HD Non STOCKAGE Mémoire interne accessible Non Capacité de stockage (en Go) 0.5 Stockage des jeux sur mémoire interne Oui DIMENSIONS Largeur 24.13 cm Epaisseur 20.32 cm Profondeur 7.62 cm Poids 198 kg
  8. monaj

    Les emmerdeurs au travail

    Bonjour; Monsieur Sait Tout je me demande parfois si vraiment il connait quelque chose ou il invente tout sur tout ,capable d'inventer n'importe quoi ?
  9. Bonjour; Cette histoire de boot lui causera de sérieux problèmes de crédibilité d'autant plus que la maison communique peu ces derniers temps et il est un peu compliqué de suivre .
  10. Bonjour; Sur le boot B même le chaines de la TNT commence a disparaître 6TER .NUMERO 23 .FRANCE 0 .ARTE
  11. Bonjour, Par Louis Adam | Mardi 30 Mai 2017 zdnet.fr L’équipe de Google Zero a décelé plusieurs failles au sein de Windows Defender, l’antivirus par défaut proposé par Microsoft aux utilisateurs de son système d’exploitation. Ces vulnérabilités potentiellement exploitables par un attaquant ont depuis été corrigées. Les relations entre l’équipe Google Zero et Microsoft n’ont pas toujours été au beau fixe, l’équipe de Google n’hésitant pas à avoir recours au full disclosure quand les patchs tardaient à venir. Mais cette fois-ci, les vulnérabilités détectées par Tavis Omandy semblent avoir été corrigées sans heurts : Microsoft a en effet discrètement publié des correctifs de mise à jour pour son antivirus Windows Defender la semaine dernière, sans préciser la nature exacte de la vulnérabilité corrigée. On en apprend plus dans la publication de Tavis Omandy, chercheur de l’équipe Google Zero à l’origine de la découverte de ces failles. Pour se protéger des attaques exploitant ce possible vecteur, il suffit donc de vérifier que le logiciel de protection est bien tenu à jour et patché dans sa dernière version. La faille la plus récemment découverte réside dans l’émulateur MsMpEng, un émulateur que l’on retrouve dans plusieurs produits de sécurité Microsoft. Comme l’explique Tavis Omandy, cet émulateur est utilisé pour exécuter de façon sécurisée certains fichiers suspects, mais la sandbox est défaillante ce qui ouvre la voie à plusieurs scénarios d’attaques exploitant cette vulnérabilité. Parmi ceux-ci, Tavis Omandy évoque de possibles fuites de données, déni de service ainsi que d’autres attaques possibles en exploitant cette vulnérabilité en particulier. Un patch sans tambour ni trompette, mais dans les temps Au début du mois de mai, l’équipe de Google Zero avait déjà repéré une première vulnérabilité au sein de l’émulateur MsMpEng. En scannant un fichier modifié par un attaquant, cette faille permettait de prendre le contrôle de la machine. Là aussi, un correctif avait été publié rapidement par Microsoft. Comme à son habitude, l’équipe de Google Zero se penche en particulier sur les antivirus. Tavis Omandy a déjà expliqué par le passé que selon lui, ces logiciels méritent toute l’attention des chercheurs en sécurité, car l’utilisateur leur délègue habituellement des privilèges élevés. Mais cette fois-ci, Microsoft a corrigé à temps ses logiciels et s’évite donc une publication de la faille avant que le correctif ne soit mis en ligne. Le signe que les équipes en sécurité de Google et de Microsoft ont enterré la hache de guerre ? Il faudra voir sur le long terme pour en juger. Les pratiques un peu musclées de l’équipe Google Zero avaient donné lieu à plusieurs accrochages entre les deux entités.
  12. Bonjour ; Pour l’Europe et les pays du Maghreb le problème reste toujours posé ;et il y'a une très forte demande pour que la teamkyng trouve une solution pour eux
  13. 1000 dinars algérien =10 EUROS a peu prés
  14. Bonjour ; Pour notre région 1000 DA (10 EUROS ) a peu prés
  15. Bonjour, Si tu veux continuer a profiter encore des FS de L'atlas il faut impérativement passer par la modification(passage du soft B** au D** )Cette modification ne peut se faire qu'à l'usine malheureusement . En Algérie la collecte des demos a commencé depuis quelques jours.
  16. Bonjour, Le dimanche 28 Mai 2017 à 17:30 par Bruno C..generation-nt.com AV-Test publie son classement des meilleures solutions antivirus sous Windows 10, découvrez quel est le grand gagnant ! Le laboratoire indépendant AV-Test publie régulièrement de nouveaux résultats concernant l'univers des suites de sécurité, des anti-malwares ou encore des antivirus. Et ce mois-ci nous avons droit à un test des meilleurs antivirus sous le système d'exploitation Windows 10 pour lequel 18 solutions de sécurité ont été testées. La note finale est sur 18 points, 6 points attribués à l'indice de Protection, 6 points à l'indice de Performance et enfin 6 points à la Facilité d'utilisation. Au final, seules deux suites de sécurité ont eu la note maximale de 18 points, à savoir Kaspersky Lab Internet Security et Avira Antivirus Pro. Du côté des protections les moins efficaces on notera Comodo Internet Security premium, K7 Computing TotalSecurity mais surtout Microsoft avec Windows Defender qui ne récoltent qu'une note de 15/18 ! Attention, un taux de protection de 100 % ne signifie pas que la solution de sécurité concernée procurera toujours une protection contre toutes les menaces sur le Web mais seulement qu'elle a réussi tous les tests lui étant soumis.
  17. Bonjour,non il ne s'agit pas d'une nouvelle attaque ,ca marche sur les atlas HD 200 avec le boot D par contre sur le boot B ils sont out
  18. Bonjour; Par Gaël Weiss, le 12 mai 2017 à 11h51 journaldugeek Cette semaine Microsoft a tenu sa traditionnelle conférence annuelle Build. Outre des annonces sur la réalité virtuelle ou sur Cortana, Microsoft a surtout annoncé une nouvelle mise à jour majeure pour Windows 10 qui arrivera à l’automne prochain. Cette dernière devrait introduire un nouveau design de son OS et surtout simplifier considérablement la façon de passer d’une activité mobile à une activité desktop. Autrement dit, améliorer la continuité entre les smartphones et les PC. Ceux qui ont un PC sous Windows et un smartphone et le subissent tous les jours : qui dit deux OS différents (l’un sous Windows et l’autre sous Android ou iOS) dit impossibilité de transférer simplement ses activités d’une machine à l’autre. Bien conscient que ce fossé va devenir de plus en plus pénible, Microsoft va améliorer la continuité entre smartphones et PC lors d’une prochaine mise à jour pour Windows 10 prévue pour l’automne prochain. Passer d’un smartphone à un PC et pouvoir retrouver son application dans le même état Cette mise à jour, intitulée Windows 10 Fall Creators Update introduira deux nouvelles fonctionnalités pour les développeurs : Pick Up Where You Left Off et Timeline (ou vue multitâche en français). Le principe de Pick Up Where You Left Off est de permettre aux développeurs d’applications de synchroniser leurs programmes entre un PC sous Windows et un smartphone, qu’il soit sous Android ou sous iOS (ou sous Windows Phone, mais qui développe encore des applications sur Windows Phone ?). Cette fonctionnalité, qui rappelle beaucoup Continuity d’Apple, repose sur Cortana, qui s’occupera de retenir là où l’utilisateur avait laissé sa session ouverte sur son PC sur un logiciel compatible, par exemple, et de relancer l’application sur son smartphone et de se retrouver au même point que sur PC. Prometteur, certes, mais cela nécessite que Cortana soit compatible avec la plupart des smartphones Android et surtout localisé dans la langue de l’utilisateur. Ce n’est actuellement pas le cas en France par exemple. Une nouvelle interface pour le mode multitâche, centrée sur plusieurs appareils Deuxième fonctionnalité pour améliorer cette continuité entre smartphone et PC, Microsoft va revoir l’interface du mode multitâche de Windows (le bouton rectangulaire qui se trouve juste à côté de Cortana dans la barre des tâches). Avec cette future mise à jour, Windows 10 affichera alors les applications lancées sur d’autres appareils afin de reprendre plus facilement une tâche en cours sur son PC. Les exemples de Microsoft en montraient pour l’instant que des applications de Microsoft (Office, un lecteur de vidéo), mais le but est bien de permettre à tous les développeurs d’application de bénéficier de ces fonctionnalités qui manquent cruellement à Windows pour l’instant. Dernier point de cette amélioration de la continuité entre Windows et les appareils mobiles, Microsoft va intégrer nativement la fonctionnalité OneClip à la Creators Update de l’automne prochain. Il s’agit ni plus ni moins qu’une application de synchronisation des copier-coller universelle entre Windows et Android/iOS, en chantier depuis plusieurs années. Il sera ainsi possible de copier un lien, une image, un gif ou une photo depuis un PC puis de la coller dans un appareil Android ou iOS. Une évolution du design de Windows 10 Au-delà de l’ajout de ces fonctionnalités, Microsoft introduira dans cette mise à jour automnale une nouvelle charte graphique pour Windows intitulée Fluent Design. Il s’agit d’un nouveau design (ou plutôt d’une évolution) pour son interface de Windows 10. L’accent est ici mis sur le mouvement, la profondeur, mais aussi les jeux d’ombres. La vidéo de présentation de ce nouveau design est en tout cas très plaisante. Microsoft n’a pas donné de date de sortie précise pour cette mise à jour majeure. Elle sera déployée quelque part entre fin septembre et le début du mois de décembre.
  19. Bonjour, Par Vincent Hermann nextinpact.com le mercredi 03 mai 2017 à 12:46 Microsoft a présenté hier soir Windows 10 S, un nouveau venu dans la famille de ses systèmes d’exploitation. Son positionnement est relativement complexe, car en dépit des apparences, il ne s’agit pas vraiment d’une version allégée et repensée de Windows 10. Sur les ordinateurs classiques, l’offre de Windows 10 se décompose actuellement en deux versions principales : Famille et Professionnelle. La première se destine au grand public, la seconde aux entreprises. Elle propose en effet un nombre beaucoup plus élevé de fonctionnalités, notamment pour tout ce qui touche à la gestion des parcs informatiques, des outils de sécurité, le chiffrement avec BitLocker ou encore la personnalisation du Store. Voilà qu’arrive Windows 10 S, après des mois de rumeurs autour d’une version « Cloud ». À vrai dire, cette mouture n’a rien de particulièrement spécifique à un usage en lien avec des serveurs puisque sa principale différence tient à l’impossibilité d’installer des applications Win32. Du moins celles récupérées de manière classique. Explications. Applications : que peut-on installer ? C’est la grande question autour de cette version. La réponse est simple : uniquement ce qui provient du Store. Toute application Win32 récupérée depuis le web, un CD, un DVD ou n’importe quoi d’autre sera bloquée. Vous venez d’acheter un jeu et vous souhaitez l’installer sur votre Windows 10 S ? Impossible. Microsoft semble avoir fait un choix radical. Les applications installables doivent toutes provenir de la boutique maison. Il s’agit donc bien d’un système « bridé » dans le sens où l’un des aspects phares de la plateforme est supprimé. Pour justifier son choix, l’éditeur met en avant les avantages d'une telle solution : mises à jour centralisées, sécurité, fonctionnalités spécifiques à Windows 10 comme les vignettes dynamiques et ainsi de suite. Dans la pratique, il faut toutefois nuancer, puisque cela ne nous limite pas aux applications spécifiques à Windows 10. Microsoft invite les éditeurs à publier leurs applications Win32 dans le Store, en utilisant le DAC (Desktop App Converter, ou Centennial). Adobe le fait déjà pour certains de ses produits, et on en trouve d'autres, comme Slack et Telegram. Tous ces logiciels peuvent être installés sur Windows 10 S. L'arrivée d'Office dans le Store est également une étape importante. De fait, selon l’engouement des développeurs, cette limitation sera plus ou moins sensible avec le temps. Ni Chrome OS, ni Windows RT : un Windows 10 Pro bridé Si certains imaginaient que l'on aurait droit à une refonte de Windows pour apporter la légèreté d'un Chrome OS, ou que l'on ferait face à un mauvais retour de l'édition RT, il n'est finalement question ni de l’un, ni de l’autre. Et c’est bien là tout le souci avec ce Windows 10 S. En dépit des apparences, il s'agit en fait… d'une version Pro, comme indiqué par Microsoft dans sa FAQ. Il n’y a que très peu de différences entre les deux éditions, si on met de côté évidemment le blocage des applications Win32 classiques. Jonction à un domaine Azure AD, Windows Store et Update for Business, BitLocker et autres sont donc disponibles. En fait, la seule fonctionnalité qui disparait est la jonction à un domaine local. Le positionnement de Windows 10 S est donc très particulier, puisque blocage du Win32 externe mis à part, il est nettement plus complet qu’une version Famille, pour le moment distribuée sur une large majorité de machines. Edge, le navigateur par défaut indéboulonnable Il existe aussi d'autres différences plus subtiles, notamment du côté des navigateurs. Comme Microsoft l’a indiqué pendant la conférence (voir notre analyse), rien n’empêche Google et Mozilla de proposer Chrome et Firefox dans le Windows Store. Ils se retrouveraient gérés par la boutique, notamment pour la distribution des mises à jour. Mais ce que la firme n’a pas évoqué durant sa présentation, c’est la question du navigateur par défaut. Ici, aucun miracle : Edge règne en maître. Impossible d'en déclarer un autre, même si on en trouve un dans le Store. Un choix qui s’accompagne d’un autre : Bing est le moteur de recherche par défaut, n’en déplaise à l’utilisateur. La FAQ confirme ainsi que « Vous pouvez télécharger un autre navigateur éventuellement disponible dans le Windows Store, mais Microsoft Edge restera celui utilisé par défaut si vous ouvrez un fichier .htm, par exemple. De plus, le moteur de recherche par défaut de Microsoft Edge et d’Internet Explorer ne peut pas être modifié ». Une option payante pour passer de Windows 10 S à Pro Les deux versions sont d’ailleurs si proches que Windows 10 S pourra être mis à niveau vers une édition Pro pour un tarif maximal de 49 dollars. On ne sait pas encore ce qu’entend Microsoft par « maximal », et on imagine que la somme demandée pourra dépendre de la machine. Aux États-Unis, c'est la moitié du tarif pour migrer d’une version Famille à une Pro (99 dollars), alors que cette opération coûte chez nous pas moins de 159 euros. À voir donc ce qu’il en sera dans l’Hexagone, et plus globalement en Europe. Notez toutefois que jusqu'au 31 décembre, Windows 10 S pourra être mis à niveau gratuitement vers l'édition Pro. Contrairement aux informations qui avaient circulé dans un premier temps, cette promotion n'est pas spécifique au nouveau Surface Laptop. Elle est valable pour tout ordinateur équipé de ce système, et uniquement si l'utilisateur dispose d'un compte Education fourni par son établissement. Windows 10 S est-il plus performant et sécurisé ? Oui et non, tout dépend de quoi on parle. L’aspect performances a été abordé par Microsoft durant sa conférence, en indiquant que la machine démarrait très vite, et qu’elle ne s’encrassait pas avec le temps. Certes. Mais ce n’est pas un fonctionnement inhérent à Windows 10 S : il s’agit d’une conséquence du blocage d'une partie des applications Win32. Puisque tout passe par le Store, les applications sont soumises à des règles plus strictes, notamment pour tout ce qui touche à la base de registre. Elles n’ont pas le droit non plus de configurer de multiples services actifs. En d’autres termes, puisque le système ne peut plus crouler sous des programmes au comportement tout-puissant, il se préserve d’autant mieux. Par exemple, plus d’ouverture de session ralentie par de nombreux agents lancés par les logiciels en place. Côté sécurité, il n’y a rien de spécifique non plus dans Windows 10 S. Les fonctionnalités sont celles d’un Windows 10 Pro, qui contient en effet bien plus de possibilités qu’une version Famille. Cependant, elles s’expriment surtout au sein de domaines et réseaux prévus à cet effet, avec un administrateur ayant activé les options idoines. Quels que soient les avantages de Windows 10 S vantés par Microsoft, ce sont tout simplement ceux d’un Windows 10 Pro. Un utilisateur de ce dernier n’a qu’à puiser dans le Store pour ses applications pour obtenir le même résultat. À trop forcer la main, on la casse © Google+ Quoi que soit en train de faire Microsoft avec son édition S, il est bien délicat de lui prédire un avenir radieux. Le grand public ne devrait clairement pas le rencontrer à tous les coins de rue, l’éditeur indiquant bien que cette mouture se destine avant tout au monde de l’éducation. Dans la pratique, rien ne semble empêcher les constructeurs de proposer des machines « S » à ceux qui en voudraient. Il est clair dans tous les cas que l’objectif de Microsoft est de mettre l’accent sur son Store. La sortie du DAC en septembre dernier a donné le coup d’envoi pour la migration des applications Win32 tierces, les développeurs pouvant ensuite adopter au fur et à mesure les fonctions spécifiques de Windows 10. Ce qu’il manquait, c’était une vraie raison de le faire. En proposant un Windows centré sur le Store mais limité dans un premier temps au monde de l’éducation, l’éditeur envoie un signal. Il n’est pas impossible que ce soit l’avenir rêvé par Microsoft pour son système : un Windows où tout transiterait par la boutique, et où l’installation « libre » des logiciels serait considérée comme une option payante. Un souci de cohérence Malheureusement – et Microsoft devrait le savoir depuis le temps – les clients potentiels sont vite perdus devant une offre trop segmentée. La séparation Famile/Pro est claire, autant dans son appellation que dans les différences fonctionnelles. Windows 10 S déboule dans cette gamme, alors même qu’une édition Education existe déjà, même s’il s’agit d’une mouture Entreprise (pour les grands comptes), donc de la mouture la plus complète. On va ainsi se retrouver avec des machines aux alentours de 200 euros qui utilisent un système similaire au Surface Laptop, limité à certaines applications mais proposant des outils comme le chiffrement Bitlocker ce qui n'est pas le cas de très nombreuses machines vendues à des tarifs bien plus élevés et qui n'ont droit à qu'à Windows 10 Famille. Et ce, alors que chez Apple, une marque à laquelle Microsoft aime se comparer, tout le monde a droit à la même version de macOS et aux même fonctionnalités. Bloquer l'accès aux applications hors de l'App Store prend ainsi la forme d'une simple option... gratuite, proposée dans les paramètres. Un avenir incertain L’avenir de cette nouvelle déclinaison de Windows 10 nous paraît donc pour l’instant assez incertain. Sur le fond, Microsoft aura de sérieux efforts à faire pour augmenter l’attrait de son Store, les boutiques étant soumises à deux vérités : les clients apprécient une offre fournie, alors que les développeurs vont là où sont les clients. Reste donc à voir comme l’entreprise arrivera à se sortir d’une situation… où elle s’est elle-même mise.
  20. Salut; Une petite astuce pour récupérer les chaînes favorites :je confirme ce qui a dit cocorico ça marche a tous les coups va dans ta liste favorite appuies sur le bouton vert les chaines vont être reclasses puis appuies une deuxième fois sur le même bouton et enjoy
  21. Bonjour; Le jeudi 27 Avril 2017 à 11:30 par Jérôme G. | generation-nt.com Ce n'est pas le premier botnet mobile qui prend à défaut le Google Play Store. Se faisant passer pour des guides de jeux, FalseGuide aurait concerné de l'ordre de 2 millions de terminaux Android. Baptisé FalseGuide par Check Point, ce malware - une nouvelle souche - s'est caché dans plus d'une quarantaine d'applications. De faux guides pour des jeux mobiles populaires comme Pokémon Go, FIFA Mobile, Ninjago Tournament, Hungry Shark World, Slither.io ou encore Shadow Fight 2 et 3. Avec pour certaines plus de 50 000 installations, ces applications ont trouvé refuge dans le Google Play Store. Selon les chercheurs en sécurité de Check Point, près de 2 millions d'appareils Android ont été infectés. Le but de FalseGuide serait de créer un botnet d'appareils infectés et de diffuser des publicités frauduleuses permettant aux cybercriminels de générer des revenus, parmi d'autres choses. FalseGuide nécessite d'octroyer des droits administrateur, ce qui est hautement suspect pour un simple guide de jeu. Le nuisible s'enregistre dans Firebase Cloud Messaging, une plate-forme de messagerie qui permet aux développeurs d'envoyer des notifications. Cela permet à l'attaquant d'envoyer des messages avec des liens malveillants pour des modules supplémentaires. Après DressCode par exemple, FalseGuide est un nouvel exemple de botnets mobiles qui parviennent à s'immiscer dans le Google Play Store avec un premier composant anodin qui télécharge le véritable code malveillant. Check Point a fait part de ses trouvailles à Google pour lui permettre de faire le ménage. Encore une fois… une application comme un guide pour des jeux qui demande des droits administrateur, c'est totalement ubuesque. Les applications piégées ont été soumises par de faux développeurs avec des noms à consonance russe.
  22. Bonjour; Le mercredi 26 Avril 2017 à 18:42 par Jérôme G. generation-nt.com Même si cela est tentant, l'installation manuelle de Windows 10 Creators Update n'est pas toujours un choix judicieux. Cela peut contourner des blocages de déploiement qui sont mis en place pour votre bien. Depuis maintenant deux semaines, Microsoft a débuté le déploiement grand public de Windows 10 Creators Update. Un déploiement qui se fait par vagues avec une priorité qui est d'abord donnée aux nouveaux matériels. Ce sont eux qui sont les moins susceptibles de rencontrer divers soucis de compatibilité. D'après Microsoft, qui fait une sorte de point d'étape du déploiement, plusieurs millions d'utilisateurs font tourner la Creators Update sur leurs ordinateurs. En se fiant aux chiffres de AdDuplex, une régie publicitaire spécialisée dans le Windows Store, le taux d'adoption de cette version 1703 serait proche de 10 % parmi les PC équipés de Windows 10. Microsoft explique se servir des retours et avis avec les premières installations pour moduler le déploiement. Pour le coup, le choix le plus complet pour l'envoi de données de diagnostic et d'utilisation aux serveurs de Microsoft a un grand intérêt. La télémétrie… cela peut aussi aider les petits copains. panneau-stopLe cas échéant, Microsoft peut décider de bloquer la mise à jour pour des appareils avec du matériel où des soucis ont été remontés. Cela a été le cas en raison de problèmes avec un composant Broadcom pour la connectivité Bluetooth. La levée du blocage dans Windows Update se fait une fois une solution trouvée. Elle peut être publiée sur les forums de Microsoft. Avec une installation manuelle, la plupart de ces blocages sont court-circuités. C'est la raison pour laquelle Microsoft déconseille en quelque sorte de procéder ainsi, à moins d'être un utilisateur avancé prêt à en découdre avec de potentiels bugs. Dans le meilleur des mondes, le programme Windows Insider aurait été suffisant pour remonter et corriger tous les bugs rencontrés avec les préversions de la Creators Update. Ce n'est pas le cas. À noter que la Creators Update vient de bénéficier d'une mise à jour cumulative avec plusieurs corrections dans les bagages qui ne sont pas en rapport avec la sécurité.Les détails ici.Une nouvelle version majeure de Windows 10 sera proposée tous les six mois, soit les mois de mars et septembre de chaque année.
  23. Bonjour; le chauffeur est à pied.
  24. monaj

    MAJ démo FOREVER

    Bonjour, Toutes les mises a jour de tout les FOREVER sont mises dans cette rubrique PRODUITS 2017 : http://www.foreverhd.com/update/
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