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mk78

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  1. hello quelqu'un aurait une liste à jour, pour les deux sat Astra et Hotbird sd et hd atlas-hd-200
  2. Kemoge, le logiciel malveillant qui roote les smartphones Android DR Le malware dispose d’un arsenal de huit exploits permettant d’obtenir les privilèges administrateur de presque n’importe quel terminal Android et, ainsi, de pouvoir installer ou désinstaller des applications. Les chercheurs en sécurité de FireEye ont mis la main sur un nouveau publiciel malicieux sous Android, probablement d'origine chinoise. Baptisé Kemoge, il est diffusé par des boutiques applicatives alternatives où il se fait passer pour une véritable application (« Calculator », « Wifi Enhancer », « Sex Cademy »,…). Le malware se propage également directement au travers de bannières publicitaires et de sites web. Dès que l’utilisateur a installé le fichier .APK, Kemoge collecte des informations sur le terminal et met en route la machine à réclames. Des pubs s’affichent régulièrement, quel que soit l’activité de l’utilisateur, même quand il se trouve simplement sur l’écran d'accueil. © DRMais Kemoge ne s’arrête pas au matraquage publicitaire. Il dispose également d’un volet malveillant. Il dépose sur le terminal un fichier MP4 dans lequel sont stockés, de manière chiffrée, pas moins de huit exploits permettant de « rooter » presque n’importe quel appareil Android, c’est-à-dire d’en obtenir les privilèges administrateur. Par la suite, le malware va télécharger et installer des applications ou, à l’inverse, en désinstaller. Tout dépendra des ordres qu’il recevra des serveurs de commande et de contrôle. Les échantillons analysés par FireEye ont, par exemple, désinstallé les logiciels antivirus, « probablement pour préparer d’autres attaques ». Les chercheurs ont également trouvé une version allégée de Kemoge sur le PlayStore de Google. Déguisée en logiciel utilitaire (« ShareIt »), elle ne dispose pas d’exploit et ne réalise pas de communication C&C. Mais elle préserve sa fonction de matraquage publicitaire. Source : FireEye
  3. Des hackers chinois pourraient avoir dérobé la technologie de Samsung Pay DR Le système de transmissions magnétiques chiffrées derrière Samsung Pay, développé par une start-up américaine, aurait été espionné et volé par un groupe de hackers travaillant pour le gouvernement chinois avant son déploiement. En février dernier, alors qu’Apple Pay essayait de prendre suffisamment de hauteur pour être incontournable et que Google tentait de doper son Wallet, Samsung achetait la société LoopPay pour se construire rapidement un équivalent. Si rapidement, d’ailleurs que la nouvelle solution, baptisée Samsung Pay, était annoncée pendant le Mobile World Congress, deux semaines après le rachat... Une attaque venue de la Chine Aujourd’hui, le New York Times révèle que la start-up LoopPay a été la victime d’une attaque organisée par un groupe de hackers affilié au gouvernement chinois, en mars dernier, soit quelques semaines seulement après son rachat. Appelés Codoso Group ou Sushick Group, selon les experts en sécurité qui les traquent, ces hackers aurait donc pénétré le réseau de la jeune société. Aucune donnée touchant à la clientèle n’aurait été dérobée. Les assaillants en avaient apparemment après la technologie de la société. Cette dernière fonctionne grâce à des ondes magnétiques chiffrées directement émises par un module intégré aux smartphones. L’attaque menée grâce à un malware diffusé par le site Thought of the Day a permis de compromettre le réseau de LoopPay et d’accéder ensuite de manière non autorisée au réseau interne. La start-up aurait eu connaissance de cette attaque seulement 38 jours avant le lancement de Samsung Pay. Si les informations diffusées par le New York Times se confirment cela pourrait représenter une sérieuse crise sécuritaire pour le système de paiement de Samsung. Cette attaque viendrait également s’ajouter à la longue liste des espionnages industriels numériques menées depuis la Chine par des groupes de hackers apparemment aux ordres de l’Etat. Source : The New York Times
  4. YiSpecter, le pourriciel qui infecte les iPhone et les iPad même non jailbreakés DR Des chercheurs ont analysé un malware chinois qui déploie un arsenal assez impression pour infecter les terminaux d’Apple. Seules les versions iOS 8.3 et inférieur sont concernées. Attention aux téléchargements d’applis par inadvertance ! Des chercheurs en sécurité de Palo Alto Networks ont mis la main sur un malware iOS assez vicieux baptisé YiSpecter qui – heureusement - sévit principalement en Chine. Créé, semble-t-il, par une société publicitaire chinoise, ce malware prend les allures d’une appli porno, mais son véritable objectif est de polluer le terminal infecté par des publicités, d’installer des applis tierces et de siphonner des données. Son modus operandi est particulièrement intéressant. Evidemment, l’installation ne se fait pas par l’App Store, mais s’appuie sur la distribution dite « In-House ». En théorie, celle-ci est réservée aux entreprises qui veulent fournir aux salariés des applications à usage interne. Elle permet de distribuer des applications iOS par un simple lien web, tout en contournant les contrôles de l’Apple. Pas besoin, non plus, que le terminal soit jailbreaké. L’installation d’une telle appli provoque néanmoins une alerte qui nécessite l’accord de l’utilisateur. Malheureusement, beaucoup d’utilisateurs ne prêtent pas suffisamment attention à ce type de message. Palo Alto - Il ne faut dire oui dans ces cas là. Une diffusion multicanale La diffusion de YiSpecter se fait de différentes manières, parfois étonnantes. La méthode la plus classique, c’est la promotion de l’application au travers de réseaux sociaux. Dans certains cas, l’attaquant s’appuie sur le ver Lingdum pour pirater les identifiants QQ (un réseau social très connu en Chine) et poster aux amis de la victime des liens vers YiSpecter. On clique plus facilement sur un lien quand il vient d’une personne que l’on connait. Mais ce n’est tout. Le créateur de l’application a également de bons contacts avec des FAI locaux chinois, car certains d’entre injectent du code Javascript dans leur trafic pour afficher des fenêtres incitant l’utilisateur à télécharger YiSpecter. Ce qui est assez scandaleux. Enfin, l’attaquant s’appuie sur des « communautés d’installateurs ». Il existe, en effet, des sites web underground où les vendeurs et les réparateurs de téléphones mobiles sont payés au nombre d’installations applicatives effectuées sur les terminaux qui passent entre leur main. Les donneurs d’ordre sont des créateurs de malware ou d’adware, tel que YiSpecter. Chaque installation rapporte entre 0,30 et 0,40 dollar. Des applications camouflées Une fois installé, YiSpecter installe trois autres applications, camouflées en applications systèmes. La première, Noicon, est la plus complète. Elle détecte les caractéristiques du terminal et les envoie aux serveurs de commande et de contrôle. Elle permet aussi d’exécuter des commandes à distance, d’installer des applis tierces ou – à l’inverse – de désinstaller des applis du terminal. La deuxième, AdPage, permet d’injecter dans n’importe quel appli des pages de publicités. La troisième, NoIconUpdate, fait en sorte d’installer toujours les dernières versions de YiSpecter et consorts. Au final, YiSpecter bénéficie d’une plateforme plutôt sophistiquée, qui s’appuie sur une multitude de techniques pour polluer le terminal. Pour se protéger, c’est simple : il ne faut pas télécharger d’applications en dehors de l’App Store. Apple, de son côté, tient à préciser que le malware YiSpecter n’affecte que les terminaux sous iOS 8.3 et inférieur. Raison de plus pour se mettre à jour (si l’on peut). Source : Palo Alto Networks
  5. Cette faille peut compromettre n'importe quel smartphone Android avec un simple fichier MP3 DR Une faille dans le système d’exploitation mobile permet de prendre le contrôle de n’importe quel terminal Android, depuis la version 1.0. Aucun patch n’est disponible pour l’instant. Vous vous rappelez certainement de la faille Stagefright, qui permettait de prendre le contrôle d’un smartphone Android par le simple envoi d’un MMS. Les chercheurs de Zimperium, qui avaient présenté cette trouvaille en juillet dernier, viennent de présenter une nouvelle attaque du même genre, presque aussi terrifiante. Baptisée Stagefright 2, elle permet de pirater à distance un terminal Android par le biais d’un fichier MP3 ou MP4. Il suffit que l’utilisateur démarre la lecture d’un tel fichier multimédia infecté. Le vecteur d’attaque peut être multiple. Le pirate peut essayer d’orienter l’utilisateur vers un site infecté par une méthode de phishing. S’il se trouve sur le même réseau que la cible, il peut également envoyer son fichier piégé par une injection de type « Man in the middle ». Enfin, on peut également imaginer la diffusion d’applis piégées sur des boutiques applicatives. Deux approches techniques Sur le plan technique, le pirate pourra façonner son exploit de deux façons différentes : soit en utilisant une faille dans la librairie « libstagefright », soit en s’appuyant sur une faille dans la librairie « libutils ». La première méthode est possible sur tous les smartphones sous Android 5.0 ou supérieur. La seconde n’est possible que si le terminal utilise la partie vulnérable de la librairie « libutils », par exemple par le biais « d’applis tierces ou de fonctionnalités préchargées sur le téléphone par le constructeur ou l’opérateur », précise Zimperium. Par contre, cette méthode a l’avantage d’atteindre toutes les autres versions d’Android. Potentiellement, Stagefright 2 représente donc un risque pour l'ensemble des terminaux Android ! Les chercheurs ne vont pas mettre en ligne de preuve de concept pour grand public, mais compte en diffuser une à leurs partenaires d’ici à la fin octobre. Par ailleurs, ils vont mettre à jour l’application « Stagefright Detector » dès que Google aura publié un patch. D’ici là, attention aux fichiers MP3/MP4. Source : Zimperium
  6. Des pirates utilisent les smartphones pour créer des attaques par déni de service DR Plus de 650.000 internautes mobiles ont été enrôlés, sans le savoir, dans une attaque par déni de service distribué. Elle a été provoquée par une Javascript malveillant diffusé, probablement, au travers d’une pub en ligne. Noyer un site web par des attaques par déni de service distribué, ce n’est pas nouveau. Le faire par l’intermédiaire des navigateurs de smartphones, c’est déjà nettement plus original. Spécialisée dans la sécurité des réseaux, la société CloudFlare vient de détecter une attaque de ce type sur les serveurs de l’un de ces clients. En l’espace de quelques heures, ils ont reçu plus de 4,5 milliards requêtes HTTP de la part de plus de 650.000 adresses IP uniques, détenus à 80 % par des smartphones et des tablettes. Comment les pirates ont-ils procédé ? Selon CloudFlare, la grande difficulté dans les attaques DDoS basées sur des requêtes HTTP, c’est la diffusion du code Javascript malveillant. Dans le cas présent, l’entreprise estime que les pirates sont passés par un réseau publicitaire. Ils auraient gagné par enchères l’espace publicitaire d’un site à forte affluence, permettant de rediriger l’utilisateur vers un site infecté par un Javascript de DDoS, qui a généré les multiples requêtes. Une méthode finalement simple et efficace. Dans ce cas précis, l’attaque a été générée très majoritairement au travers d’utilisateurs chinois. © DRSource :CloudFlare
  7. Une appli mobile permet de visualiser les ondes radio DR Un développeur a créé une application iOS et Android qui localise les sources d’ondes électromagnétiques pour les représenter de manière graphique dans l’espace. Heureusement pour nous, les ondes électromagnétiques sont invisibles. Car dans le cas contraire, il est probable que l’on ne verrait plus grand-chose d’autre autour de nous, tant les réseaux sans fil sont devenus omniprésents. Pour le développeur néerlandais Richard Vijgen, cet état de fait n’était pas satisfaisant : il voulait voir les ondes autour de lui. Il a donc créé une application mobile qui permet de le faire. Baptisée « Architecture of Radio », l’appli mobile permet de localiser en temps réel les émetteurs, qu’ils soient Wifi, cellulaires ou satellitaires, puis de générer à partir de ça une visualisation spatiale des ondes environnantes. L’application sera disponible sur iOS en décembre prochain, puis sur Android début 2016. Mais l’auteur a d’ores et déjà mis en ligne une vidéo de démonstration. Le résultat graphique est assez surprenant : on voit des vagues radioélectriques bleues qui déferlent sans cesse sur l’écran. De quoi devenir électro-sensible ! Source : Architetureofradio.com
  8. BB-8, le droïde de Star Wars 7, débarque dans nos salons Sphero En chacun de nous sommeille un fan de la Guerre des étoiles. Et si vous ne l'êtes pas, ce petit droïde Sphero pourrait vous convertir... Le prochain épisode de Star Wars, la série créée par George Lucas, sera dans les salles le 18 décembre 2015. Mais une déferlante de produits dérivés va envahir le monde entier dès ce début septembre. Tee-shirts, figurines et jouets en tout genre vont apparaître au fil des semaines. Le premier d’entre eux, proposé par Sphero, est une version miniature du nouveau droïde BB-8, en passe de devenir aussi célèbre que le fameux R2-D2. BB-8 fonctionne à la manière d’un autre produit de la marque, la balle Sphero. Il se charge par induction sur sa base et se déplace grâce à la combinaison d’un gyroscope, d’un accéléromètre et d’un moteur placé à l’intérieur de l’engin. Connecté en Bluetooth, il se pilote, à la main ou à la voix, depuis l’appli téléchargée sur un smartphone iOS ou Android. Le robot peut effectuer des figures, transmettre des « émotions » en bougeant la tête ou en émettant des sons (c’est en fait le smartphone qui les diffusera) ou se déplacer librement en mode « patrouille ». Autrement dit, il va rouler jusqu’à rencontrer un obstacle et changer de direction. D’après le fabricant, BB-8 aurait une autonomie de 60 minutes et peut se déplacer jusqu’à 30 mètres du smartphone. Sphero évoque aussi la présence d’un mode de communication holographique. Il s’agit en fait de la possibilité de diffuser via un picoprojecteur une petite vidéo Star Wars ou une vidéo que l’utilisateur aura enregistrée à l’aide du capteur photo d’un smartphone. Ce droïde sera vendu dès ce vendredi 4 septembre sur le site de Sphero au prix de 149,99 dollars. On a hâte de pouvoir le piloter !
  9. Free Mobile : que vaut le nouveau forfait 50 Go face à la concurrence ? Marjan Lazarevski- Creative Commons Nous avons passé au crible les offres les plus fournies en data des opérateurs français. Dates, prix, conditions d'engagement, voici tous les détails. Free a lancé ce 1er septembre un nouveau forfait mobile de 50 Go en 4G. Nous avons décidé de le comparer aux offres les plus proches proposées par ses concurrents. Face à lui, on trouve donc l'offre Série Limitée Power 40 Go de SFR, les forfaits B&You 24/24 40 Go et Sensation 24/24 40 Go de Bouygues Telecom, ainsi que l'offre Origami Jet 20 Go d'Orange. Qui sortira vainqueur du match ? Internet mobile : avantage à Bouygues Telecom Free Mobile : 50 Go en 4G, 20 Go en 3G pour les terminaux 4G, 3Go pour les autres terminaux en zones 3G. SFR : 40 Go sur les réseaux 4G et Dual Carrier pour les abonnés Fibre, 20 Go pour les clients ADSL Bouygues Telecom : 40 Go en 3G/4G/4G + Orange : 20 Go sur le réseau 4G et 4G + Si Free propose un montant record de fair use, les 50 Go sont conditionnés au fait de se trouver dans une zone 4G, alors que son réseau ne couvre actuellement que 50% de la population. Bouygues Telecom est le seul opérateur permettant d'utiliser la totalité de ses 40 Go aussi en 3G. Et son réseau est bien plus dense avec 72 % de la population couverte... Tarif : avantage à Free Free Mobile : 19,99 euros par mois pour les nouveaux clients, 15,99 pour les abonnés Freebox. Imbattable. SFR : 25,99 euros par mois durant un an, ensuite le prix passe à 35,99 euros par mois, puis 45,99 si vous voulez un nouveau téléphone. Attention, l’offre est valable jusqu’au 5 octobre. Bouygues Telecom : 69,99 euros par mois pour le forfait B&You, 89,99 euros par mois pour le forfait Sensation avec un mobile. Orange : 69,99 euros par mois, 89,99 euros par mois avec un mobile. L'offre peut être couplée à un abonnement Internet-TV-Téléphone, ce qui permet de faire baisser le tarif du mobile à 52 euros par mois et 72 avec un mobile, sans compter la location de la livebox à 3 euros par mois. Engagement : Free et Bouygues au coude à coude Free Mobile : sans engagement. SFR : obligation d’être client Fibre et de s’engager minimum 12 mois concernant le mobile. Bouygues Telecom : sans engagement pour B&You, 24 mois d’engagement pour le forfait Sensation. Orange : engagement minimum de 12 mois et offre réservée aux clients Livebox Jet. Appels/SMS/MMS depuis la France : Bouygues vainqueur Free Mobile : appels illimités en France métropolitaine, vers mobiles Etats-Unis, Canada, Alaska, Hawaï, Chine, DOM et fixes vers 100 destinations. SMS illimités depuis la France métropolitaine et vers France métropolitaine et les DOM. MMS illimités en France métropolitaine. SFR : appels illimités en France et vers les DOM + SMS et MMS illimités en France. Bouygues Telecom : appels illimités vers les fixes et les mobiles. SMS/MMS illimités en France métropolitaine, et SMS illimités vers les DOM. Appels illimités vers les mobiles USA, Canada et Chine. 10 heures vers les fixes d'Algérie et illimité vers les fixes de 120 destinations. Orange : appels illimités en France métropolitaine et vers les DOM, ainsi que vers les mobiles d’Europe, des USA/Canada et Chine, vers les fixes de plus de 100 destinations et vers les mobiles des USA/Canada. SMS et MMS illimités en France métropolitaine et vers les DOM. Utilisation depuis l’étranger : Bouygues en tête Free : SMS illimités depuis la zone Europe et les Dom vers les opérateurs mobiles français. "Pass Destination" (roaming gratuit) : utilisation du forfait sans frais supplémentaires 35 jours par an depuis les 28 pays de l'Union Européenne. SFR : forfait utilisable 15 jours par an depuis l’Europe et les DOM. Bouygues Telecom : internet utilisable toute l'année depuis l’Europe et les DOM, appels et SMS illimités. Orange : Internet mobile (7 Go/an), appels illimités et SMS/MMS illimités vers la France métropolitaine, l’Europe et les DOM. Free propose, certes, le roaming gratuit partout en Europe 35 jours par an. Mais Bouygues Telecom fait mieux en proposant la même chose toute l'année. Contenus et Services compris avec le forfait : avantage à SFR Free : blocage de la consommation et de la publicité. SFR : SFR Cloud 100 Go, SFR TV (130 chaînes), multisurf, 1 extra au choix parmi Canalplay, iCoyote, l’Equipe, Napster, LeKiosk ou SFR jeux. Bouygues Telecom : partage sur une deuxième carte SIM offerte, appli B.Cloud 20 Go, conférence à 3, un bonus au choix parmi Spotify, Canalplay, Gameloft ou B.tv (70 chaînes). Orange : TV d'Orange sur mobile (70 chaînes), une carte muti-SIM (offerte sur demande), une assurance casse, vol et oxydation, le Cloud d'Orange 100 Go. Premier opérateur à avoir proposé des extras en bonus, SFR continue de faire la différence en terme de contenus et de services avec une capacité de stockage conséquente dans le cloud et 130 chaînes de TV accessibles. Free, en revanche, se distingue par la quasi-absence de contenus et de services additionnels. En conclusion, on peut dire que Free est imbattable sur le prix et l'engagement... mais que l'offre de Bouygues Telecom est plus intéressante en terme de réseaux et de services, à condition d'avoir vraiment besoin de consommer autant de données. SFR continue de se battre sur le terrain des contenus, tandis qu'Orange a choisi de ne pas faire de surenchère en terme d'internet mobile, considérant que la consommation data moyenne mensuelle de ses abonnés ne s'élève qu'à 1,9 Go et qu'un tel niveau d'internet mobile ne correspondrait pas à une réalité d'usage.
  10. OS mobiles : Android perd du terrain en Europe Uncalno Tekno - Flickr Si l'OS de Google domine toujours largement le marché européen des smartphones, ceux d'Apple et de Microsoft commencent à grignoter des parts. Détails. Si iOS et Android se partagent l’essentiel du marché des systèmes d’exploitation mobiles, leurs parts respectives ont varié au début de l’été 2015 révèlent les derniers chiffres du cabinet Kantar Worldpanel. On remarque ainsi un recul du système de Google sur les cinq principaux pays du marché européen (France, Grande-Bretagne, Allemagne, Italie et Espagne) par rapport à la même période de l’an dernier. Il passe ainsi de 75,1% de parts de marché à 71%. Sur la période allant du début du mois de mai à la fin du mois de juillet 2015, Android a reculé de 4,1% par rapport à la même période un an auparavant. Qui dit recul d’Android, dit souvent envol d’iOS. Mais cette fois, la baisse de forme de l’OS de Google profite à parts quasiment égales à iOS et à Windows (+2,5% et +2,4%). L’OS d’Apple détient désormais 17% du marché. Celui de Microsoft, qui a gagné des parts de marché dans quatre des cinq pays du panel européen et plus particulièrement en France et en Allemagne (+3,9% et +4%), est installé sur 11,1% des smartphones. Les analystes de Kantar pointent également du doigt la maturité du marché européen comme facteur ayant influé sur la part de marché d’Android. « La maturité du marché, précise Dominic Sunnebo, business unit director chez Kantar, augmente l’impact des transferts d’un OS à l’autre. Ainsi 27% des acheteurs de smartphones européens ont abandonné Android pour iOS. » Les chiffres français reflètent quant à eux plutôt bien l'évolution européenne. Android, en baisse, domine toujours le marché avec 69,6% de parts de marché devant iOS et Windows (respectivement installés sur 17% et 12,6% des smartphones français). Quant à Blackberry, Firefox OS et consorts, ils se partagent les miettes avec seulement 0,8% du marché.
  11. Free mobile détaille les conditions de son forfait à 50 Go AFP L'opérateur vient de mettre à jour les conditions générales de son offre mobile de 50 Go. En zone 3G, les possesseurs d'un terminal 4G auront bien accès à 20 Go de data. Mise à jour du 2 septembre à 12h00 : Après la confusion suscitée hier par les conditions générales de son nouveau forfait avec 50 Go d'internet mobile, Free Mobile a modifié discrètement les conditions générales de l'offre. Plus de doute possible désormais, l'opérateur écrit bien noir sur blanc qu'avec un terminal 4 G et en 3G, les abonnés auront accès à 20 Go de data comme on peut le voir dans la capture d'écran ci-dessous : Free Mobile -Une fois n’est pas coutume, Free vient peut-être de connaître son premier couac à l’occasion d’un lancement. L’annonce ce 1er septembre d’un forfait 4G avec 50 Go d’internet mobile a fait son petit effet. Il représente en effet un gain de 30 Go sans augmentation de prix pour ceux qui disposaient déjà d’un forfait Free Mobile à 20 Go. Sauf que les abonnés ont vite déchanté à la lecture des conditions générales. Comme on peut le voir dans la capture d’écran ci-dessous, il est indiqué que les 50 Go ne sont accessibles qu’en zone de couverture 4G et avec un terminal 4G. Beaucoup plus embêtant, le fair use est réduit à 3Go dans les zones 3G, même pour ceux qui disposent d'un terminal 4G. Une perte considérable pour les freenautes. Free Mobile - Extrait des conditions générales du nouveau forfait mobile de Free.Malgré cette description sans ambigüité, les dirigeants de Free ont démenti ces conditions sur les réseaux sociaux. Les abonnés disposant d'un terminal 4G continueront bien à bénéficier d'un quota de 20 Go de data en zone de couverture 3G. Seuls ceux sont équipés d'un smartphone 2G/3G n'auront accès qu'à 3Go. C'est ce que confirme Xavier Niel : @vachegti oui — Xavier Niel (@Xavier75) September 1, 2015 Mais aussi Angélique Berge, la directrice de la relation abonnés chez Free : @Nicozelyk @oliv91ess c'est la même offre qu'avant à l'exception d'un bonus important de 30 GO en 4G — Angélique (@angelique75008) September 1, 2015 Et le fil Twitter officiel de Free Mobile : @legyremy06 Bonjour, dans ce cas rien ne change, vous restez à 20 Go ! — Free Mobile (@freemobile) 1 Septembre 2015 On attend toujours que Free Mobile modifie en conséquence ces conditions générales ...
  12. Apple se préparerait à produire des séries et films exclusifs DR Comme Netflix ou Amazon, le géant de Cupertino pourrait se lancer dans l’aventure de la production de contenus vidéos. Les détails ne sont pas encore connus mais l’arrivée d’Apple, dont les poches sont profondes, pourrait ne pas passer inaperçue. Depuis qu’Amazon s’est lancé dans la production de séries exclusives, les regards s’étaient logiquement tournés vers Apple, autre géant de la high tech et autre géant de la distribution de contenus numériques. A en croire Variety, la firme de Cupertino serait en train de préparer son entrée dans le monde de la production de séries et même de films. A la manière de Netflix, les équipes de Tim Cook chercheraient à embaucher des dirigeants de studios pour créer une « division » interne de production – même si les intentions d’Apple ne sont pas claires. Variety insiste en effet sur le flou qui entoure encore ce projet. On ne sait ainsi pas si le géant californien entend faire appel à des sociétés de productions externes chapeautées par une unité en interne ou s’il intégrera un vrai studio, comme l’a tenté Microsoft avec son Xbox Entertainment Studios. Même les formats produits ne sont pas encore clairs : s’agira-t-il de films ou de séries, ou des deux ?... Ces questions ne semblent pas encore tranchées. Ces productions pourraient être en tout cas accessibles, soit au travers d’un abonnement mensuel, soit à la carte. Un hobby ou un axe stratégique ? Il est également difficile de savoir qu’elle est l’ampleur des ambitions d’Apple dans ce domaine. Pour certaines sources de Variety, il s’agirait d’une sorte d’exploration prudente. Pour une autre, qui serait membre de l’exécutif au sein d’Apple, l’objectif serait de concurrencer Netflix et son offre de contenus exclusifs de plus en plus mis en avant. Apple aurait d’ailleurs tenté de mettre la main sur le trio britannique qui animait Top Gear, qui a finalement été signé par Amazon. La société de Tim Cook chercherait donc à étoffer ses équipes internes et son catalogue de stars avec pour but d’avoir une structure opérationnelle dans le courant de l’année prochaine. Variety ne donne pas davantage de détails, les démarches des équipes d’Eddie Cue, qui est chargé de toutes les négociations avec les majors et les studios, n’en seraient en effet qu’à leurs débuts. L’arrivée d’Apple dans le monde de la production de contenus vidéos pourrait accélérer l’affaiblissement du modèle des télévisions payantes américaines et même chambouler le marché, si elle s'inscrit dans le cadre de son futur service de streaming télé, que la firme pourrait annoncer très vite... Source : Variety
  13. Un virus attaque les iPhone et iPad débloqués Javier Borquez 18 pays dont la France auraient déjà été touchés par un virus baptisé "KeyRaider" qui cible les smartphones et tablettes d'Apple débloqués par leur propriétaire. Des chercheurs en sécurité informatique affirment avoir identifié une nouvelle famille de virus baptisée "KeyRaider" qui s'attaque à des iPhone et iPad débloqués pour pouvoir y installer des applications non approuvées par Apple. "Nous pensons que c'est le plus grand vol connu de comptes Apple causé par un virus", indique la société de sécurité informatique américaine Palo Alto Networks sur son site internet, où elle résume les résultats d'une enquête réalisée avec WeipTech, un groupe technique amateur réunissant des fans d'Apple en Chine. 225 000 comptes Apple volés "KeyRaider a ainsi déjà réussi à voler plus de 225.000 comptes Apple valides" avec leurs mots de passe, qui ont été retrouvés stockés sur un serveur, ainsi que "des milliers de certificats, clés privées et tickets d'achats", précise Palo Alto Networks. Le virus fonctionne en interceptant les communications de l'appareil avec iTunes, la boutique de musique en ligne d'Apple. Il vole et partage des informations d'achats à l'intérieur d'applications et désactive la fonction de déblocage locale ou à distance de l'iPhone ou de l'iPad. Certaines des victimes ont constaté des achats anormaux, d'autres ont vu leur appareil bloqué par des pirates qui leur ont demandé une rançon, indique encore la société de sécurité informatique. Les victimes ont téléchargé elles-mêmes le virus KeyRaider s'attaque aux appareils utilisant iOS, le système d'exploitation mobile d'Apple, qui ont été débloqués et est distribué en Chine par l'intermédiaire de Cydia, une application non officielle pour iOS donnant accès à des applications non validées par Apple. Palo Alto Research estime au total que des consommateurs de 18 pays ont été touchés dont la Chine mais aussi la France, la Russie, le Japon, le Royaume-Uni, les Etats-Unis, le Canada, l'Allemagne, l'Australie, Israël, l'Italie, l'Espagne, Singapour et la Corée du Sud. Un porte-parole d'Apple a souligné dans un courriel à l'AFP que "le problème ne touche que ceux qui non seulement ont débloqué leurs appareils (pour permettre des utilisations non utilisées par le fabricant NDLR), mais ont aussi téléchargé le virus depuis des sources non fiables". L'"iOS est conçu pour être fiable et sûr à partir du moment où on allume l'appareil. Pour protéger nos utilisateurs des virus, nous surveillons le contenu de l'App Store et nous assurons que toutes les applications dans l'App Store adhèrent aux lignes directrices fixées pour nos développeurs", a-t-il rappelé. Il a toutefois assuré qu'Apple avait "pris des mesures pour protéger ceux affectés par le problème, en aidant les propriétaires à réinitialiser leurs comptes (en ligne) iCloud avec un nouveau mot de passe".
  14. 1. Dubaï n'a pas besoin d'îles, elle les crée elle-même 2. Et les îles sont fabuleuses 3. Les voitures peuvent être plaqué or 4. Les voitures peuvent être décorées aux motifs de votre équipe de football préférée 1 5 5. Votre copilote peut �tre un animal sauvage 6. Et votre passager peut jeter un �il � travers la fen�tre de la voiture 7. Les mosqu�es sont belles et impressionnantes 8. La vue depuis les gratteciels donne le vertige 9.Et les nuits � Duba� offrent de belles vues sereines 10. L'entr�e du m�tro 11. Et le caf� Starbucks
  15. hello news Atlas HD-200s MainSoftware B116 Ajout:(Atlas HD-200) 5 nouveaux serveurs pour partager et équilibrer la charge et éviter les surcharges sur les serveurs. Et aussi pour rendre les attaques DDoS les moins efficaces possible. Correction:(Atlas HD-200) Tous les serveurs utilisent maintenant les système utilisé par l'ancien "Free Srever 5" B116 Download (serveur KYNG) Atlas HD-200s MainSoftware B116.rar (send space) B116(send space) HD-200s B116.kuf (zipshare) HD-200 B116 (multiup) HD-200 B116 (dropbox) --------------------------------------------------------------------------- Atlas_HD-100_A126 http://jheberg.net/captcha/atlas-hd-100-a126/
  16. hello la même chose (Tapez "services" dans la recherche Windows), et double cliquez sur le service baptisé Diagnostics Tracking Service. Et passez son statut de démarrage à «désactivé» (DISABLED).
  17. Comment débrancher le nouveau mouchard de Windows Si vous êtes sous Windows 10, vous l'aviez déjà. Mais si vous êtes sous Windows 8.1, Windows Server 2012 R2, Windows 7 Service Pack 1 (SP1), ou Windows Server 2008 R2 SP1, sachez que lors d'une mise à jour récente, Microsoft vous a collé un petit mouchard. Alors, mouchard c'est un bien grand mot... Disons plutôt un outil de diagnostic qui renvoie de la donnée à Microsoft pour améliorer leur système d'exploitation :-D. Baptisé "Diagnostics Tracking Service", ce service n'est malheureusement pas détaillé par Microsoft et on ne sait pas quelles sont les données qu'il collecte et qu'il transmet. Et comme bien sûr, il a été installé et activé par défaut lors de la dernière mise à jour Windows Update, méfiance. Pour le bloquer, voici comment faire. Je vous rassure, tous ceux qui l'ont fait n'ont pas remarqué de bug ou d'instabilité de leur système. C'est donc à tenter. Il suffit de vous rendre dans l'outil de gestion des Services (Tapez " services" dans la recherche Windows), et double cliquez sur le service baptisé Diagnostics Tracking Service. Et passez son statut de démarrage à «désactivé» (DISABLED). Pouvez ensuite le stopper ou tout simplement redémarrer votre machine. Et voilà, plus de mouchard ! :tuto pas de moi merci a l auteur
  18. hello Connaissez-vous vraiment les logos de clubs de foot ? (niveau intermédiaire) Faites le test ci-dessous ! LE QUIZ DES LOGOS NIVEAU FACILE EST [/url] TOUS NOS QUIZ SONT ICI Vous avez fini le quiz logos niveau moyen ? Les réponses sont en bas de la page :nono: On descend encore un peu… au cas ou vous auriez envie de tricher :dntknw: :dntknw: :dntknw: ici Et voilà les réponses au quiz logo niveau moyen !.txt Et voilà les réponses au quiz logo niveau moyen !.txt
  19. hello https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=5U4pK594S1c
  20. hello [TUTO] procedure d'installation de Kodi sur Android Kodi pour Android est sans doute l'avenir de Kodi en raison de la très large éventail d'appareils fonctionnant sous la plateforme Android tels que les décodeurs, tablettes et téléphones mobiles. Il faudra moins de cinq minutes pour installer Kodi sur votre appareil Android et avec elle étant maintenant totalement stable vous êtes sûr d'apprécier. Étape 1: Accédez à la "Paramètres" icône du menu sur votre appareil Android. Étape 2: Sélectionnez le sous-menu «Sécurité». Étape 3: Activer l'option "Sources inconnues". Etape 4: Ouvrez intégré de l'appareil "Navigateur Web" application. Étape 5: Accédez à la page des téléchargements Kodi officiel au lien suivant: http://kodi.tv/download/ Étape 6: Téléchargez la dernière version stable de Kodi pour Android en cliquant sur ​​le lien sous l'icône Android. Vous aurez envie d'utiliser la version «ARM» sauf si vous êtes sur un appareil très vieux. Étape 7: Ne fermez pas le navigateur Web de votre appareil pendant quelques minutes jusqu'à ce que l'application est terminée téléchargement. Étape 8: Accédez à la "Télécharger" dossier sur votre appareil Android grâce à l'application "Gestionnaire de fichiers", ou ouvrir le menu contextuel Téléchargements dans l'application de navigateur Web. Étape 9: Cliquez sur le fichier APK Kodi téléchargé et choisir de l'ouvrir à l'invite. Si vous êtes invité, choisir de compléter l'action en utilisant l'outil "d'installation du package". Étape 10: Confirmez que vous souhaitez installer Kodi à votre appareil Android. Etape 11: Attendez une minute tandis que le processus d'installation se déroule. Étape 12: Une fois que l'installation est terminée, choisissez "Ouvrir" la demande Kodi pour la première fois. Etape 13: Laissez-le reposer et exécuter quelques mises à jour pour le premier couple de minutes dans la première manche avant de l'utiliser. Étape 14: Sortie Kodi en cliquant sur ​​la petite icône à la recherche du bouton d'alimentation dans le coin inférieur gauche de votre écran. Etape 15: Si vous êtes invité, cliquez sur le bouton "Quitter" à ce stade. Etape 16: Vous aurez probablement envie d'aller de l'avant et configurer votre configuration Kodi avec tous les étonnantes add-ons et des goodies disponibles en utilisant l' Assistant de configuration ou l' Addon Installer outil à ce point. Félicitations! Vous avez maintenant réussi à installer Kodi sur votre appareil Android, du moins nous l'espérons lol. Maintenant sortir et d'acheter les décodeurs pour tous vos amis, répandre l'amour.
  21. TUTO XBMC / KODI - Comment ajouter 0 cache (Vidéo) ENG hello Dans ce tutoriel on vous montre comment ajouter le cache 0 à vos paramètres Advanced XML dans le lecteur XBMC https://www.youtube.com/watch?v=87h0MmYcSJw
  22. hello pour moi Ragga Jam-Mc Solaar ft Kery James & Raggasonic une turie !!!!!
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  24. Zidane : Best of Les meilleurs moments de la carrière sportive de Zinedine Zidane : ses plus belles actions, ses plus beaux buts :bigsmile: https://www.youtube.com/watch?v=Bc5Vp6LePEM
  25. Free Mobile : et si Xavier Niel annonçait un forfait mobile illimité à 10€/mois ? Xavier Niel peut-il encore se vanter de pouvoir révolutionner le secteur des télécoms ? La question se pose, après qu'ait été confirmée la tenue ce mardi, à 9 heures tapantes, d'une conférence de presse organisée par Free, et qui pourrait déboucher sur l'annonce d'un nouveau forfait mobile imbattable ! La rumeur a été lancée par La Tribune : Xavier Niel serait prêt à lancer un nouveau forfait mobile qui signerait, d’après la direction de Free Mobile, l’arrêt de mort de Bouygues Telecom. Et rien de moins. Dans les faits, ce forfait serait déjà connu : il s’agirait du forfait mobile à 19,99€/mois, offrant les appels et SMS/MMS illimités, 3 Go de DATA en 3G et 20 Go en 3G/4G, dont le prix serait divisé par deux. Dans les faits, on tournerait autour des 10€ par mois : un tarif osé, qui compliquerait la tâche aux concurrents, Orange, SFR, et Bouygues Telecom évidemment. Niel aurait même déjà pris les devant, avertissant au moins l’un de ses concurrents qu’il allait « tout péter, tout mettre à 10 euros ». Cependant, La Tribune nuance son propos en soulignant que la division mobile de Free, rapportant 37% du chiffre d’affaires de la maison-mère Iliad, tire la majorité de ses revenus grâce aux forfaits à 2€/mois. Revendiquant 9,6 millions d’abonnés à ses offres mobiles à fin septembre 2014, Free Mobile pourrait paradoxalement souffrir de la baisse de son forfait, impactant grandement son revenu moyen par abonné (ARPU). Et ce même si cette oprération pourrait lui permettre de grapiller de nouvelles parts de marché. Alors, Xavier Niel fera t-il « tout péter » ? Réponse demain, 9 heures ! En savoir plus sur http://www.gizmodo.fr/2015/03/09/free-mobile-forfait-10-euros.html#6AJ7pGAgeCkBklz4.99
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