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mk78

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  1. WWDC : on connaît la date de présentation d'iOS 13 et macOS 10.15 Le logo officiel de la WWDC 2019. - Apple La traditionnelle WWDC d'Apple se tiendra du 3 au 7 juin 2019. Le premier jour, la marque devrait présenter les nouvelles versions d'iOS, macOS, watchOS et tvOS. L'info Apple vient de dévoiler les dates de sa prochaine WWDC, sa conférence développeur annuelle. Du 3 au 7 juin 2019, l'entreprise présentera ses nouveautés logicielles pour l'année et organisera de nombreuses sessions pour les créateurs d'applications. Apple tient généralement sa keynote d'ouverture le premier jour de la WWDC, ce qui nous fait supposer que la conférence de Tim Cook se déroulera le 3 juin. Ce que ça implique Si l'on se fie aux habitudes de la marque, on devrait découvrir iOS 13, la nouvelle version du système d'exploitation des iPhone et des Mac ainsi que macOS 10.15, watchOS 6 et tvOS 13 lors de cette WWDC. On sait également qu'UIKit, qui permet aux développeurs d'adapter leurs applications iOS pour les faire fonctionner sur macOS, devrait être présenté en détails le 3 juin. Ce projet que l'on surnomme en interne « Marzipan » devrait donner un nouvel élan aux ordinateurs de la marque tout en les préparant à l'abandon des processeurs Intel pour des puces ARM maison. La marque pourrait également dévoiler quelques nouveautés matérielles comme elle l'a fait par le passé, même s'il est impossible de s'avancer sur quoi que ce soit au moment de l'écriture de ces lignes. Le contexte Comme d'habitude, la conférence d'Apple aura lieu un mois après celle de Google (le 7 mai), qui présentera lui aussi des nouveautés logicielles. La marque de Cupertino se sait particulièrement attendue et préparerait des nouveautés intéressantes pour ses systèmes d'exploitation cette année, comme une nouvelle interface pour iPad. On se donne rendez-vous le 3 juin. Source : Apple
  2. Android : des centaines de milliers d’utilisateurs piégés par de fausses applis Jeux de course, coloriage pour enfants, prêts bancaires… Les pirates font feu de tout bois pour diffuser leurs logiciels malveillants et afficher des pubs que personne n’a envie de voir. En dépit d’une multiplication des contrôles, Google n’arrive pas à juguler la diffusion de fausses applications sur son Play Store. Dernier exemple en date : une trentaine de ces programmes malveillants a été trouvée en l’espace de quelques jours par Lukas Stefanko, un chercheur en sécurité de l’éditeur Eset. Sans surprise, les applis les plus téléchargées dans ce lot sont des jeux vidéo, en occurrence 13 simulations de courses de voitures. Elles ont piégé plus de 560 000 utilisateurs. Un joli score ! Une fois sur le terminal, ces jeux vidéo – qui en réalité ne fonctionnent pas – font disparaître leur icône de l’interface du téléphone et commencent à télécharger et installer d’autres applications en douce. Leur objectif final est d’afficher des publicités sur le téléphone. Ce n’est pas d’une gravité extrême, mais quand même embêtant. Don't install these apps from Google Play - it's malware. Details: -13 apps -all together 560,000+ installs -after launch, hide itself icon -downloads additional APK and makes user install it (unavailable now) -2 apps are #Trending -no legitimate functionality -reported pic.twitter.com/1WDqrCPWFo — Lukas Stefanko (@LukasStefanko) 19 novembre 2018 eu de temps après, Lukas Stefanko a épinglé neuf applications de coloriage pour enfants, totalisant plus de 23 000 installations. Là encore, le principe est similaire. L’application fait semblant de disparaître en affichant cette fois une fausse alerte (« Application non compatible avec ce terminal »). En réalité, le logiciel prend racine dans le téléphone sous un nom aux apparences officielles (« Systeme-phone »). Le but final reste le même : afficher de la pub. Your kids should not download these 9 malicious apps with all together over 23,000 installs. #reported pic.twitter.com/Dzf2loE2Yr — Lukas Stefanko (@LukasStefanko) 21 novembre 2018 Enfin, le chercheur a également révélé neuf fausses applications de demande de prêts bancaires. Elles ont été téléchargées plus de 40 000 fois. Le principe reste le même que précédemment, mais il y a quand même un petit détail qui tue. Le développeur précise que la demande de prêt sera traitée plus vite si l’utilisateur partage l’appli sur WhatsApp et s’il lui donne une évaluation de 5 étoiles ! Les pirates n’ont vraiment peur de rien. Found 9 fake "Loan" apps on Google Play with over 40,000 installs. In apps you always gets loan however, if you want to speed up approval process you need to: - share on WhatsApp - give 5 star rating The worst thing is when developer realizes he got 40K+ installs in 3 weeks. pic.twitter.com/yGgY9mg429 — Lukas Stefanko (@LukasStefanko) 20 novembre 2018 Toutes ces fausses applis ont depuis été éjectées du Play Store. Néanmoins, elles montrent que les techniques déployées par Google pour trouver les logiciels malveillants ne sont pas encore suffisantes et que les pirates arrivent toujours à leurs fins sans trop de difficultés. Pourtant, Google investit une énergie considérable pour lutter contre ce fléau. Pour trouver ces malwares, le service de securité Play Protect scanne tous les jours plus d’un milliard de terminaux dans le monde. Dans une note de blog récente, le géant du Web explique qu’il tente également d’analyser toutes les applications APK qu’il peut trouver en dehors du Play Store, dans le but d’alimenter ses algorithmes d’intelligence artificielle et de séparer le bon grain de l’ivraie. Cet effort devrait bien finir par payer un jour. En attendant, il est toujours bien de vérifier une application avant et pendant l'installation. Qui est le développeur ? Est-il connu ? Quels droits d'accès demande cette application ? Est-ce justifié ? Et, enfin, mais ce pourrait être le début : ai-je vraiment besoin de cette appli ?
  3. mk78

    nvidia shield tv 2017

    Google Assistant débarque sur la box multimédia Shield TV de Nvidia Après sa récente migration vers Android Oreo, la Shield TV profite d’une nouvelle mise à jour qui permet à ses utilisateurs de solliciter l’intelligence artificielle de Google via leur téléviseur. Une première. Fin mai Nvidia annonçait la mise à jour de sa Shield TV vers la version 8 d’Android TV, alias Oreo. Une nouvelle interface franchement bienvenue dans la mesure où elle rafraîchit sérieusement l’ergonomie du système d’exploitation TV de Google, histoire de rattraper son retard sur webOS de LG ou encore Tizen de Samsung. Un retard rattrapé également en matière de fonction puisque, du côté des constructeurs coréens, les intelligences artificielles sont déjà aux commandes des téléviseurs. Désormais, grâce à la Shield de Nvidia, il est possible de s’adresser à l’Assistant de Google quelle que soit la marque de votre téléviseur. Parler librement grâce à la manette L’intelligence artificielle de Google est disponible avec la première version de la Shield TV, mais c’est avec la version Shield TV 4K HDR qu’elle est le plus agréable à utiliser. Explications. Avec la première version de la box, il faut activer le micro de la petite télécommande en maintenant le bouton appuyé. Avec la version 4K HDR, Nividia a fait en sorte que le micro de la manette de jeu reste actif en permanence. Ainsi, à la manière d’une enceinte Google Home (et autres), il suffit de dire à voix haute « OK Google » pour que l’assistant vous réponde sur le téléviseur. Google Assistant permet également de discuter avec des intelligences tierces tels que « le sommelier d’Auchan » qui vous recommande une sélection de vins pour accompagner votre plat. Et quitte à utiliser l’IA en cuisine, vous pourrez également solliciter Google Assistant pour qu'il vous donner la liste des ingrédients de la recette du bœuf bourguignon, par exemple. Enfin, en plus de l’arrivée de l’Assistant, cette mise à jour de la Shield TV, Nvidia étend l’expérience GeForce Now à son boîtier de salon. Il devient ainsi possible de profiter des jeux des plate-formes Steam ou Uplay sur votre grand téléviseur. Google Assistant sur les télés Android Avec cette mise à jour, Nvidia tient une petite avance sur les traditionnels constructeurs de TV qui peinent encore à déployer la version 8 d’Android TV sur leurs appareils. Néanmoins, Oreo devrait arriver dans le courant de l’été. En outre, chez Sony par exemple, Google Assistant serait accessible d’ici une dizaine de jours sur les modèles de téléviseurs sortis en 2017 et 2018. Gageons que le déploiement des mises à jour ne tardera pas chez les autres constructeurs commercialisant des téléviseurs sous Android TV.
  4. Android : de plus en plus de mouchards pullulent dans les applis Des chercheurs ont analysé plus de 300 applications mobiles et détecté au total 44 trackers différents. Certaines, comme AlloCiné ou Télé Star en comptent plus d’une dizaine. On le savait déjà pour les sites web, on le sait maintenant pour les applis : les mouchards – également appelés trackers – nous envahissent. Des chercheurs en sécurité de Yale Privacy Lab et Exodus, une association française, viennent de passer au crible plus de 300 applications Android en utilisant des techniques de détection proches de celles des antivirus, à savoir des bases de signatures. Ils ont ainsi pu identifier 44 trackers, ce qui est assez énorme. Pour chaque application, Exodus a créé un rapport d’analyse qui indique les mouchards qu’elle héberge et les privilèges d’accès dont ils jouissent. Tous ces rapports sont disponibles en ligne. Parmi les 44 trackers identifiés, Yale Privacy Lab en a analysé 25 de manière approfondie. Les rapports peuvent être consultés en ligne sur GitHub. Les rapports d'Exodus - Ces mouchards s’appellent Xiti, Doubleclick, Flurry, Demdex, Ligatus, MoPub, Teemo, Weborama, etc. La plupart des applications en contiennent au moins un, ne serait-ce que pour collecter des données techniques relatives aux bugs ou à l’audience. Les applications orientées sécurité – comme Signal, DuckDuckGo ou SpiderOakONE – forment l’exception à cette règle et n’en comptent aucun. Mais souvent, les applis en embarquent plusieurs. L’application « Espace Client Bouygues Telecom », par exemple, en contient six : trois pour des données techniques et d’audience (Crashlytics, HockeyApp, Xiti) et trois pour la publicité, le marketing et le ciblage comportemental (DoubleClick, Flurry, ExactTarget). Aucun moyen de se protéger L’application mobile « Mon AXA » de l’assureur éponyme en compte autant. Elle est battue par l’application de torche électrique « Super-Bright LED Flashlight » qui en compte sept. Mais c’est toujours moins que l’appli du BonCoin (8 trackers), d’AlloCine (11 trackers) ou de Télé Star (14 trackers). Cette quantité de mouchards peut surprendre. Toutefois, ces chiffres sont comparables à ce que l’on trouve sur les sites web. Le but de ces différents logiciels de surveillance est toujours le même : en savoir le plus possible sur l’utilisateur. Mais la manière diffère. Certains sont davantage portés sur le ciblage comportemental, d’autres s’intéressent plus à la localisation. De ce point de vue, le smartphone – qui est doté de multiples capteurs – est évidemment plus intéressant qu’un simple site web. Mais le risque pour la protection des données personnelles est également plus grand, d’autant plus qu’il n’existe pas à ce jour de moyen de se prémunir contre ces trackers. Sur un navigateur, l’utilisateur a la possibilité d’installer des extensions de blocage telles que Disconnect, Privacy Badger ou Adblock Plus. Pour des raisons techniques, Yale Privacy Lab et Exodus se sont limités aux applications Android. Mais il est fort probable que les applications iOS soient tout aussi infestées.
  5. Android : Google collecte en douce et en permanence votre localisation Le géant informatique enregistre les adresses de cellules GSM des utilisateurs, même si les services de géolocalisation sont désactivés. Cette collecte devrait cesser d’ici à la fin du mois. Il n’y a pas que OnePlus ou Wiko qui procèdent à d’étranges collectes des données utilisateurs. Le géant Google lui-même vient d’être pris la main dans le sac. Les journalistes de Quartz viennent de révéler que les serveurs de la firme de Mountain View enregistrent en permanence les numéros de cellule GSM de tous les smartphones Android. Cet identifiant, qui est propre à chaque opérateur, est diffusé automatiquement auprès des terminaux dès qu’ils entrent dans le rayon d’une station de base. Le problème, c’est qu’il permet de localiser l’utilisateur de manière plus ou moins fine, surtout si l’on utilise des techniques de triangulation. Google a confirmé auprès de Quartz la collecte de cette donnée en précisant que celle-ci n’a jamais été stockée. Les adresses de cellules de GSM sont effectivement transmises depuis janvier 2017 pour, apparemment, « améliorer la vitesse et la performance de l’acheminement des messages ». Mais en réalité, cette donnée n’aurait jamais été utilisée. Google a promis qu’il allait arrêter de la collecter d’ici à la fin du mois. Des CGU bien floues Selon une source de Quartz, cette collecte aurait démarré avec la mise à jour de Firebase Cloud Messaging, un service de messagerie et de notification qui appartient à Google depuis 2014 et qui est intégré par défaut dans tous les smartphones Android. Il n’est pas clair en quoi le numéro de cellule GSM peut aider Google dans l’acheminement de ces messages et de ces notifications. Quartz a constaté que cette collecte se faisait en permanence sur tous les terminaux, même si l’utilisateur désactive la géolocalisation, et même en l’absence d’une carte SIM. Dans les conditions d’utilisation de Google, cette collecte n’est pas précisément indiquée. Google explique seulement utiliser « différentes technologies pour vous localiser, y compris l'adresse IP, les signaux GPS et d'autres capteurs nous permettant notamment d'identifier les appareils, les points d'accès WiFi et les antennes-relais se trouvant à proximité ». Il serait bien que Google abandonne cette formulation trop vague pour enfin donner davantage de détails sur ce qu’il collecte réellement.
  6. 80% des smartphones Android victimes d'un bug qui permet de vous enregistrer en douce Il est facile de créer une application malveillante qui accède au microphone et à l’affichage de l’écran sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Seul Android 8.0 dispose d’un patch à l'heure actuelle. Des chercheurs en sécurité de MRW Labs ont découvert que des pirates peuvent créer des applications malveillantes capables d’accéder sans grande difficulté au microphone et capturer l’écran sur les smartphones Android. Il suffit pour cela d’utiliser le service MediaProjection qui existe depuis Android 5.0. Auparavant, une application mobile qui voulaient accéder à ces ressources devait avoir les privilèges administrateurs (root). Avec l’arrivée de MediaProjection, ce n’est plus le cas. L’utilisateur est simplement averti de cet accès par une fenêtre d’alerte. Le problème, c’est que le pirate peut recouvrir tout ou partie de cette autre fenêtre sans que le système ne s’en rende compte. Trompé, l’utilisateur pense valider un message banal alors qu’en réalité il autorise un accès à des ressources sensibles. Voici, ci-dessous, un exemple. Alerté par MWR Labs en juillet dernier, Google a publié un patch en août, mais seulement pour Android 8.0 (Oreo). Les versions 5, 6 et 7 du système sont toujours vulnérables à cette attaque. D’après les statistiques de novembre dernier, 78,7 % des appareils Android sont donc impactés par ce risque de sécurité. Google - Les utilisateurs sont invités à mettre rapidement à niveau leur système d’exploitation. Malheureusement, ce n’est pas toujours possible car les mises à jour – qui sont gérées par les constructeurs et les opérateurs – ne sont pas toujours disponibles. Dans ce cas, il faut redoubler de prudence et, surtout, ne pas télécharger d’applications douteuses.
  7. Android, principale victime de l’attaque sur le chiffrement du Wi-Fi Des centaines de millions de smartphones sont vulnérables à l’attaque Krack que vient de révéler un chercheur en sécurité et qui permet de déchiffrer les flux Wi-Fi à la volée. Les détails de l’attaque Krack sur le chiffrement WPA2 des réseaux Wi-Fi viennent d’être publiés sur le site krackattacks.com. La bonne nouvelle, c’est que les failles découvertes par le chercheur Mathy Vanhoef ne sont pas impossibles à patcher, contrairement à ce que l’on pouvait croire ce matin. D’ailleurs, les patchs pour les terminaux Linux sont déjà disponibles et devraient être intégrés très prochainement dans les différentes distributions. La mauvaise nouvelle, c’est que ce n’est pas encore le cas pour les terminaux Android qui, avec les ordinateurs Linux, sont les principales victimes de cette terrible attaque. Une vidéo de démonstration réalisée par Mathy Vanhoef montre d’ailleurs comment piéger un smartph déchiffrer les flux Wi-Fi.
  8. Windows 10 S : on l'a testé (et on est très frustré) Windows 10 S veut conquérir le monde de l'éducation, se servant du Surface Laptop comme d'un écrin de luxe. Après plusieurs jours en leur compagnie, il apparaît clairement que la machine est bien meilleure que cet OS trop bridé. En mai dernier, Microsoft lançait Windows 10 S et son premier PC ultraportable. C'est d'ailleurs à l’occasion du test de ce Surface Laptop que nous avons pu nous frotter à ce nouveau Windows. Un OS qui vient s'ajouter aux versions Familiale et Professionnelle. Lionel Morillon/01net.com - Microsoft Surface Laptop Pourquoi Windows 10 S ? Un « S » pour « simple » ? Non, Windows 10 S est en tout point identique à Windows 10, sur le plan de l'interface, des menus, etc. Pas question de version allégée ici. AS/01net.com - Le panneau de configuration de Windows 10 S ressemble en tout point à celui d'un Windows 10 normal, avec la Creators Update. Un S pour « School » ou « Student » ? Oui, c'est déjà plus probable puisque l'événement au cours duquel il a été présenté était placé sous le signe de l'éducation. C'est pour répondre aux besoins des étudiants et des enseignants que Microsoft affirme avoir créé cette mouture de son système d'exploitation. AS/01net.com - Et, peut-être aussi, pour faire de l’ombre à Chrome OS et aux Chromebooks, plébiscités par beaucoup d’écoles et lycées à travers le monde, à en croire les constructeurs comme Acer, HP ou encore Dell. Des constructeurs qui ne devraient pas tarder d’ailleurs à proposer leurs solutions très abordables sous W10S en France, si l'on en croit Jean-Christophe Dupuy (Directeur de la division Windows et devices chez MS France), interviewé avant l'été par 01netTV. Bien que nous ne soyons plus sur les bancs de la fac depuis un moment, nous nous sommes frottés à Windows 10 S. Et après de longues heures passées en sa compagnie, nous avons trouvé une toute autre signification au « S » : « sealed » (scellé). Windows 10 S sur les bancs de l'école Car la grande force de Windows 10 S, c’est la clôture géante qui délimite le champ d'action de l'utilisateur. C'est simple, ce dernier est libre d'utiliser la machine et l'OS comme il l'entend… tant qu'il ne cherche pas à installer des applications en provenance de sites Internet. Car W10S a le kernel délicat : il ne tolère que les programmes en provenance du Windows Store. AS/01net.com - Selon Microsoft, il s'agit avant tout d'une mesure (drastique) de sécurité : les programmes du Windows Store sont passés au crible par la firme pour s'assurer qu'ils ne contiennent aucun malware. Une aubaine pour tous les lieux d'enseignements ou les bibliothèques : fini les heures passées à nettoyer les machines infectées par des virus propagés par une clé USB insérée dans une machine de l'école. Et en cas de gros problème, Windows 10 S se réinstalle vite et bien, en moins d’une heure. Une machine plantée ne le reste donc pas bien longtemps et peut rapidement reprendre du service. AS/01net.com - Reste qu'en proposant Windows 10S sur un puissant laptop à plus de 1100 euros , Microsoft semble vouloir nous faire passer un message : non, cet OS n'est pas réservé au marché de l'éducation. Il peut également séduire pros et power users à la recherche d'une belle machine. Même pas peur : on a du coup osé essayer de l'utiliser au quotidien, comme un Windows traditionnel. Et cela n'a pas été sans mal. Un seul navigateur : Edge Au premier abord, rien ne distingue pourtant 10 S d'un Windows traditionnel. L'interface, les menus, les programmes préinstallés… Tout est strictement identique. Mais les problèmes commencent dès que l'on souhaite surfer avec un autre navigateur qu'Edge, celui de Microsoft. Vous avez besoin (ou préférez) Firefox ou Chrome ? Impossible. Sur Windows 10 S, il faudra obligatoirement faire avec Edge et ses 64 (maigres) extensions, puisqu'il n'existe aucun autre navigateur digne de ce nom sur le Windows Store. AS/01net.com - Pas de FireFox, ni de Chrome... Difficile de trouver une alternative à Edge. Et même si Mozilla ou Google daignaient publier leurs butineurs respectifs sur le Store, ils seraient obligés -comme sur iOS d'Apple- d'utiliser de toute façon le moteur de rendu HTML d'Edge. Et pour cause : Edge est, selon MS, "le moteur le plus sûr qui soit pour Windows 10 S" et offre "une protection maximale aux utilisateurs". Certes. Mais la "protection" offerte par Microsoft va quand même très loin : il est impossible de changer le moteur de recherche par défaut dans le navigateur. C'est Bing... ou Bing. Google ? Jamais entendu parler. Et si par miracle un nouveau navigateur débarquait, 10 S interdit de toute façon de changer le navigateur par défaut. Edge n'en reste pas moins un bon navigateur, moderne et rapide. Mais il est toujours difficile de changer de crémerie, surtout quand on a une tonne de favoris et que l'on utilise des services de synchronisation de Firefox ou de Chrome. L'incroyable faiblesse du Windows Store Après avoir vainement tenté d'aller récupérer vos applications sur le Web, vous serez bien obligés de vous rendre dans le Windows Store pour tenter de trouver les logiciels dont vous avez besoin. Mais gare aux déconvenues. Parce que ce kiosque est non seulement mal fichu… Il est également extrêmement pauvre en contenu. Mal fichu d'abord parce que le Windows Store mélange à peu près tout ! Faites le test sur votre PC à la maison. Saisissez le nom d’une appli dans le champ de recherche. Vous verrez apparaître une liste interminable de morceaux de musique, films et autres contenus portant le même nom -ou des lettres communes avec votre recherche. Avec un peu de chance, votre appli s'y trouvera. AS/01net.com - Une recherche aussi triviale que "WinRAR" réserve quelques surprises. Outre le fait que l'appli ne soit pas disponible, les résultats mélangent tout. Même si vous limitez les recherches aux seules "Applications" Si toutefois, elle existe ! Car ergonomie déplorable mise à part, le Windows Store est d’une pauvreté affligeante. Nous y avons bien trouvé quelques applications indispensables. Facebook, Twitter, Instagram, VLC, Deezer ou encore Spotify ainsi qu'Office 365 (d’ailleurs offert pendant un an à l’achat du Laptop) sont bel et bien de la partie. Tout comme Netflix ou MyCanal. Mais le minimum vital pour utiliser correctement Windows n'y est pas encore. Quelques exemples ? Nous avons eu besoin de décompresser un fichier RAR. Las ! Pas de Winrar à l'horizon. Nous avons bien débusqué des logiciels pour décompresser notre archive… Mais l'un n'avait pas bougé depuis l'époque maudite de Windows 8 et l'autre était truffé de publicités. ELB/01net.com - Vous cherchez un antivirus plus pointu que Windows Defender ? Bonne chance, mis à part Avast, il n'y a rien à se mettre sous la dent. Vous avez besoin d'iTunes pour synchroniser votre iPhone avec le calendrier ou les contacts ? Le célèbre logiciel d'Apple n'est toujours pas là… malgré les promesses de Microsoft. Envie de retoucher une photo avec des outils un peu pointus ? Il faudra vous contenter du minimaliste Photoshop Express, seul logiciel gratuit à peu près potable de la plate-forme. Vous ne trouverez pas non plus d'application Google dans le Store : oubliez Google Earth par exemple. Il y a quelques imitations payantes mais pas aussi bonnes que l'originale. Un logiciel à oublier pour les utilisateurs avancés Soyons francs, pour les utilisateurs avancés, W10S est une hérésie. C'est presque un crime d’avoir un onéreux et puissant Surface Laptop -la seule machine W10S en vente en France pour l'heure- et de ne pas pouvoir l’exploiter pleinement. Et tout cela à cause du boulet qu’il se traîne au pied, à savoir le Windows Store de Microsoft. AS/01net.com - Après tant de déboires, pour nous remonter le moral, nous avons tenté de trouver l’appli HearthStone de Blizzard… Ce fut le coup de grâce. Dépités, nous avons donc décidé de passer le Surface Laptop sous Windows 10 Pro. L’opération se fait rapidement et gratuitement jusqu’au 31 mars prochain pour tous les possesseurs du premier PC ultraportable de Microsoft (50 euros environ pour les autres futurs appareils). Et là, on a enfin de quoi profiter pleinement du Laptop. Ouf !
  9. Google et HTC, le couple fondateur d’Android Le rachat par Google d’une partie des actifs de HTC achève une succession de projets en commun. Ensemble, ils ont conçu plusieurs appareils emblématiques de l’univers Android. C’est désormais officiel, Google met la main sur la moitié des ingénieurs de HTC. Des forces vives qui viendront travailler sur les prochains smartphones du Californien, à commencer par les futurs appareils de la gamme Pixel. Un accord à 1,1 milliard de dollars (l’équivalent de 840 millions d’euros) qui ne doit rien au hasard. Si le calendrier est probablement lié aux récentes difficultés du taïwanais et à la volonté de Google de rivaliser avec Apple, les deux acteurs se sont alliés dans la conception de nombreux produits depuis dix ans. 2008, la fondation Nous sommes plus d’un an après le lancement de l’iPhone. De son côté, Google a racheté Android afin de mettre la main sur ce qui doit devenir le système d’exploitation mobile concurrent d’iOS. Sans équipe dédiée à la partie matérielle, Google approche HTC, une entreprise fondée en 1997. A l’époque, elle est surtout connue pour ses nombreux téléphones fonctionnant sous Windows Mobile, à l’image du S100 lancé en 2005 sous la marque Qtek. HTC - Le HTC Dream En septembre 2008, HTC annonce le Dream, tout premier smartphone à tourner sous Android. Distribué par Orange en France, il permet d’accéder à Gmail ou Google Maps grâce à un « puissant » processeur Qualcomm cadencé à 528 MHz. Il marque également l’arrivée d’Android Market - futur Play Store - et sa bagatelle de 1000 applications gratuites. Le HTC Dream fait office de premier concurrent sérieux au smartphone d’Apple. 2010, la confirmation Deux ans plus tard, Google s’implique dans la conception d’un smartphone Android avec le lancement de sa gamme Nexus. Mis au point par HTC, le Nexus One est le premier appareil estampillé Google. Avec Android 2.1 arrive le multitouch, qui permet notamment de zoomer d’un pincement de doigts, comme sur l’iPhone. En plus de révéler les ambitions de Google pour les années suivantes, le Nexus One confirme qu’Android est bien parti pour être le meilleur rival d’iOS. 01net.com - Le Nexus One 2014, le grand format Google poursuit le développement de sa gamme Nexus, faisant quelques infidélités à HTC. Lancé en 2014, le Nexus 6 est conçu par Motorola, marque rachetée par Google en 2011 et revendue à Lenovo. C’est en revanche HTC qui est mandaté pour répondre aux iPad d’Apple avec la Nexus 9, une puissante tablette de 8,9 pouces. Elle est l’un des premiers appareils à tourner sous Android Lollipop, la version 5.0 de l’OS de Google. Lollipop marquera l’apparition du Material Design, la plus grosse refonte graphique du système d’exploitation à ce jour. 01net.com - La Nexus 9 2016, les fiançailles Toujours dans l’optique de mieux rivaliser avec Apple, Google lâche sa gamme Nexus au profit de sa gamme Pixel. Estampillés « Made by Google », les Pixel et Pixel XL sont deux appareils haut de gamme, censés être intégralement conçus par l’Américain. Pour cette première, les smartphones sont réservés à certains marchés et ne sortiront jamais en France. Sans usine, Google a une nouvelle fois pu compter sur les capacités de production de HTC. 01net.com - Le Google Pixel 2017, le mariage En embauchant 2000 ingénieurs de chez HTC, Google s’octroie une grande partie de la recherche et développement de l’entreprise. Et ce à quelques jours de l'annonce du Pixel 2. Des salariés qui étaient pour certains déjà dédiés aux projets de Google. Avec cet accord, ils sont désormais liés à l’Americain. Une union dont les fruits pourraient être une nouvelle génération de smartphones... profitant d’une intégration logicielle aussi aboutie que celle de l’iPhone.
  10. Microsoft l'admet : Windows 10 Creators Update pose des problèmes dans les jeux vidéo Plusieurs joueurs ont constaté de soudaines baisses de vitesse d’affichage après la mise à jour. Microsoft vient de reconnaître l’existence d'un problème... mais propose peu de solutions. Les joueurs sur PC Windows 10 ne sont pas contents. Sur le forum consacré aux cartes graphiques GeForce de Nvidia, ils sont nombreux à se plaindre de problèmes de saccades dans l’affichage des jeux, avec des baisses soudaines de cadence (par exemple de 60 images/s à 40 images/s) dans des titres tels que Overwatch, Battlefield 1 ou encore Rocket League. Les joueurs concernés précisent surtout que ces problèmes sont apparus lors de la mise à jour Creators Update de Windows 10 et n’étaient pas présents auparavant. Des solutions ont été proposées sur le forum pour résoudre le problème, comme désactiver la fonction Xbox DVR, mais elles ne fonctionnent pas forcément dans tous les cas. Microsoft réagit à demi-mot Ce souci est d’autant plus gênant pour Microsoft que la Creators Update a été présentée comme une mise à jour dotée de fonctions pour les joueurs avec un Mode Jeu qui est censé rendre l’affichage plus fluide en octroyant le maximum de ressources du processeur et de la carte graphique aux jeux. Après plusieurs mois de silence (les premières plaintes datent du mois de mai), Microsoft a reconnu l’existence du problème dans le Hub de commentaires de Windows 10. Un de ses ingénieurs indique « Nous avons identifié plusieurs sources différentes de problèmes qui engendrent des saccades dans l’affichage des jeux. Nous avons un correctif pour l'une d'entre elles dans les Build 16273 et supérieure pour les Windows Insider. Nous enquêtons activement sur les autres causes de saccades et apprécions votre patience sur ce problème. » Le problème serait donc assez complexe et rien ne dit que Microsoft aura tout résolu au moment de la sortie de la Fall Creators Update en Octobre. Il ne propose par ailleurs pas de solution évidente, se contentant d'inciter les joueurs à passer à une version Insider de Windows... Mais au moins, l’éditeur est enfin à l’écoute des joueurs et cela est plutôt un bon signe. Source : MSPowerUser
  11. Google certifie désormais les smartphones Android sécurisés Plusieurs centaines de constructeurs ont déjà accepté de se plier à des tests poussés à la demande de Google pour que leurs appareils reçoivent une certification officielle Play Protect. Il y aurait aujourd’hui 2 milliards de terminaux actifs tournant sous Android dans le monde. Pour assurer la sécurité de leurs utilisateurs, Google a déployé le service logiciel Play Protect au mois de juillet dernier. Et lance maintenant une certification qui sera délivrée aux constructeurs se pliant à une centaine de tests de compatibilité pour assurer que leurs appareils respectent bien les règles de base du système d’exploitation. Il s’agit de vérifier que les applications pré-installées sont authentiques, qu'elles n'embarquent pas de malwares et que les applis du Play Store fonctionnent comme prévu. Un logo Play Protect repérable par le public Ces appareils certifiés seront livrés nativement avec Play Protect qui permet de scanner les applications de votre smartphone en tâche de fond. Plusieurs centaines de constructeurs et d’opérateurs auraient déjà accepté de jouer le jeu. On peut en consulter la liste. Rassurez-vous, toutes les grandes marques y sont, de Samsung à OnePlus en passant par Huawei. Les opérateurs comme Orange, qui commercialisent des smartphones en marque blanche, y figurent également. Ils vont tous désormais bénéficier du logo Play Protect : une garantie utile et facile à repérer pour le public.
  12. Plus de 100 000 smartphones Android esclaves d'un botnet DDoS Les victimes étaient infectées par des centaines d’applications en apparence inoffensives, diffusées par le Google Play Store. On ne cesse de le répéter : attention aux applications que vous téléchargez, y compris sur le Google Play Store. Des chercheurs en sécurité viennent de démanteler WireX, un botnet spécialisé en attaques par déni de service distribuées (DDoS) et qui regroupait jusqu’à 120.000 smartphones zombies répartis dans plus de 100 pays. Ce n’est pas la première fois qu’un tel botnet est détecté. En septembre 2016, les chercheurs d’Imperva avait déjà mis le doigt sur un réseau de smartphones Android zombies destiné au DDoS et composé de plus de 26.000 nœuds. Mais WireX est remarquable à plusieurs titres. Non seulement ce botnet était beaucoup plus large, mais en plus il s’est appuyé sur le Play Store pour se créer. En effet, les victimes ont été infectées au travers de plus de 300 applications diffusées par la boutique de Google. Elles avaient l’air totalement inoffensives en apparence. On y trouvait des lecteurs multimédias, des sonneries, des gestionnaires de stockage, etc. Google nettoie les terminaux infectés Une fois installées, ces applications se connectaient à un serveur de commande et contrôle qui leur transmettaient les ordres d’attaques. Ces malwares pouvaient également fonctionner en tâche de fond. Du coup, les terminaux infectés pouvaient lancer leurs attaques même si les applications n’étaient pas activement utilisées. Ces attaques prenaient concrètement la forme de requêtes HTTP GET ou HTTP POST, que l’on ne pouvait pas aisément distinguer du reste du trafic. Toutes ces applications malveillantes ont depuis été éjectées du Play Store. Google a également commencé à les supprimer sur les smartphones infectés. Ces malwares, qui peuvent encore être diffusés sur des boutiques alternatives, sont détectés par les antivirus sous le nom « Android Clicker ».
  13. Cette appli Android permet de créer des ransomwares en quelques clics Symantec La création de ransomware n’a jamais été aussi aisée. Découvert par un chercheur en sécurité, ce programme permet de créer son malware sans avoir à taper une seule ligne de code. Les cybermalfrats du ransomware n’arrêtent pas de se perfectionner. Il y a quelques années sont apparus les premiers services clés en main, permettant de facilement créer en ligne son ransomware, moyennant rétribution aux auteurs. La même chose existe désormais sur forme d’une application mobile. Un chercheur en sécurité de Symantec vient de découvrir un tel logiciel pour Android dans les forums underground chinois. Quelques clics suffisent pour créer son malware, sans aucune ligne de code. N’importe qui peut y arriver. Tout se fait au travers d’une interface graphique qui permet à l’utilisateur de paramétrer son logiciel : message de rançon, clé de chiffrement, image et animation d’illustration, opérations mathématiques à activer, etc. Ensuite, il suffit d’appuyer sur « créer » pour générer le fichier APK virulent sur la carte de stockage de l’appareil. Auparavant, il faudra évidemment passer à la caisse et souscrire au « service » de l’auteur de cette application. Ensuite, l’utilisateur n’a plus qu’à distribuer son malware comme bon lui semble. Symantec - Pour l’instant, ces applications de création de ransomware clés en main n’existent, semble-t-il, que sur le marché chinois. « Mais il serait simple de changer la langue de l’interface. Il est probable que des versions dans d’autres langues seront prochainement disponibles, si ce n’est pas déjà le cas », explique Symantec. Pour se protéger des ransomwares, il est rappelé qu’il faut régulièrement mettre à jour ses systèmes, ne pas télécharger des logiciels de sources inconnues et de faire des sauvegardes régulières de ses données importantes.
  14. Toutes les nouvelles fonctions d'Android Oreo PiP, saisie automatique, reconnaissance de texte, pastilles de notification, emojis... la version 8 d'Android regorge de nouvelles fonctions. Tour d'horizon. Le nouvel Android 8 vient d'arriver et il s'appelle Oreo, en référence au petit biscuit noir et blanc. Google a revu l'interface de son système d'exploitation et a ajouté de nouvelles fonctions que nous allons passer en revue. Précisons que toutes ces fonctions ne seront pas forcément disponibles sur tous les smartphones et qu'il faudra peut-être patienter quelques mois pour que les constructeurs publient la mise à jour pour votre appareil. Project Treble : Le nouvel Android a été conçu comme un système modulaire avec une séparation entre la partie conçue par Google (OS Framework) et celle crée par le fabricant de smartphone/tablette, comportant éventuellement une surcouche. Ainsi, il sera possible de mettre à jour l'OS Framework sans avoir besoin de changer l'autre partie. On peut donc espérer des mises à jour plus rapides d'Android une fois que votre smartphone sera passé sous Oreo. Un boot plus rapide : Oreo promet un démarrage jusqu'à deux fois plus rapide de votre smartphone, selon Google. Nous avons testé la différence entre Nougat et Oreo sur un Nexus 6P. Il démarre en 29 secondes, contre 37 sous Nougat. Rescue Party : Google s'est penché sur le problème des smartphones qui se mettent à redémarrer indéfiniment (bootloop), par exemple après une mise à jour qui s'est mal passée. La fonction Rescue Party s'active si le système redémarre plus de 5 fois en 5 minutes ou si une application plante 5 fois de suite en 30 secondes. Elle tente alors de remettre l'appareil dans un état stable et, si cela échoue, elle le met en mode de récupération pour que l'utilisateur effectue une remise à zéro complète (factory reset). Picture in Picture (image dans l'image) : Lors de l'affichage d'une vidéo, par exemple dans Chrome, l'appui sur la touche d'accueil réduit la fenêtre en une miniature qui peut être placée n'importe où sur l'écran. Pratique pour suivre une vidéo en faisant autre chose. Report des notifications : Cette fonction permet d'empêcher l'affichage d'une notification pendant une durée que l'on peut spécifier (15 minutes à 2 heures). Il suffit de se placer sur une notification et d'effectuer un léger balayage pour faire apparaître une icône en forme de réveil. Google a également prévu de pouvoir regrouper les notifications en catégories, ce qui permet par exemple de bloquer l'affichage de certaines catégories si on ne les souhaite pas. Pastilles de notification : Le système de notifications des applis change dans Android Oreo. Un petit point (notification dot) apparaît sur le bord de l'icône de l'appli pour indiquer une nouvelle notification. Un appui prolongé sur l'icône permet d'afficher un aperçu de la notification. Installation d'APK : Lors de l'installation d'une appli sous la forme d'un fichier APK (Android Package), il fallait au préalable aller dans les paramètres du système pour décocher une case afin de permettre l'installation à partir d'une source inconnue (en dehors du magasin d'applis de Google). Ce n'est plus le cas avec Oreo car le système demande la permission de l'utilisateur à chaque installation d'une nouvelle APK. Saisie automatique : En activant le service de saisie automatique dans les paramètres d'Android, il est possible de laisser l'OS gérer vos mots de passe et se charger d'entrer les informations de connexion à votre place, par exemple pour se connecter à Twitter ou Facebook. Cela peut aussi fonctionner pour remplir des formulaires et le service est compatible avec les principaux gestionnaires de mots de passe (1Password, Enpass, LastPass et Dashlane). Sélection intelligente : Oreo est également capable de reconnaître la sélection d'un numéro de téléphone ou d'une adresse, pour activer directement l'appli de téléphone ou Google Maps. Pour une adresse de site Web, l'OS proposera de l'ouvrir dans Chrome. Bluetooth : Sony a travaillé avec Google pour améliorer la transmission du son en Bluetooth. Android Oreo intègre le codec LDAC de Sony qui offre un débit de transmission du son atteignant 990 kbit/s, contre seulement 328 kbit/s pour le codec SBC utilisé normalement. Il faudra toutefois que les enceintes et les casques embarquent de leur côté le codec LDAC pour tirer parti de cette haute qualité. Wi-Fi : Si vous avez coupé le Wi-Fi pour économiser de la batterie, Android Oreo peut le rétablir automatiquement quand l'appareil détecte un réseau précédemment enregistré, par exemple celui de la maison. Cette fonction s'active dans les préférences Wi-Fi. L'OS dispose aussi de la fonction de connexion Wi-Fi Aware, également appelée NAN (Neighborhood Aware Networking). Elle permet par exemple à deux smartphones de communiquer entre eux en Wi-Fi, afin de partager des photos ou d'autres données, sans avoir besoin de passer par un point d'accès Wi-Fi ou le réseau d'un opérateur mobile. Stockage : La section Stockage des paramètres d'Android offre une vision plus précise de la place occupée par les différents fichiers et applications. Elle dispose de nouvelles catégories telles que Jeux et Applications de films et séries. Instant Apps : Grâce à la fonction Instant Apps d'Oreo, il est possible d'exécuter certaines applications sans avoir besoin de les télécharger au préalable. Pratique si on manque d'espace de stockage ou si on désire juste tester une appli avant de l'installer sur son appareil mobile. Batterie : Android Oreo permet d'économiser la batterie des appareils mobiles en réduisant l'activité des applications et des services qui fonctionnent en tâche de fond. Par exemple, une appli qui n'est plus affichée à l'écran verra ses ressources réduites au strict minimum. Google a également amélioré la section consacrée à la batterie dans les paramètres avec un accès plus facile à des fonctions telles que l'économiseur de batterie ou le réglage automatique de la luminosité. Emojis : Google a redessiné les emojis d'Android et ajoute 60 nouveaux émoticônes pour rendre les messages encore plus attrayants ! Seuls les amateurs de l’émoji « blob » (ces petites têtes qui semblent fondre, d'un goût douteux) regretteront leur disparition au profit de formes plus rondes. Google Play Protect : Ce service d'Android tourne en arrière-plan et analyse le fonctionnement des applications pour détecter un éventuel comportement suspect grâce au machine learning. Cela devrait permettre d'éradiquer les éventuels malware du smartphone, ainsi que du Play Store.
  15. hello pour moi aussi kyngdvb il est HS Forbidden You don't have permission to access /forum.php on this server. Additionally, a 403 Forbidden error was encountered while trying to use an ErrorDocument to handle the request.
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