Aller au contenu

Que savons-nous sur les savants ?


Invité pidje

Messages recommandés

Que savons-nous sur les savants ?

 

Au fil des siècles et en dépit du nombre de chercheurs sur le coup, on n’a jamais trouvé mieux que des savants pour faire avancer la science. La grande interrogation est que serions nous devenus sans eux ? Comment faire cuire une omelette sans eux ? Imaginez l’ignorance abyssale pour ne pas dire crasse (quand il y a de l’abyssal, la crasse n’est jamais loin) dans laquelle vous seriez plongé aujourd’hui si vous n’aviez jamais appris que la somme des carrés des côtés d’un triangle rectangle était égale au carré de l’hypothèque de la nurse ? Que l’eau passe de l’état liquide à l’état gazeux aux alentours de 100°C et de l’état gazeux à l’état liquide aux alentours de la Normandie, de manière plus prosaïque que l’eau bout à 100°C, alors que le caribou beaucoup moins haut.

 

Imaginez un peu que les hommes en soient encore à régler leurs différents à coups de massues sans même avoir la moindre idée de l’efficacité bienfaisante des missiles sol-sol ? Mieux vaut en rire comme aimait à le répéter le Général Massu qui ne répugnait pas à rire jaune tout en prenant le thé dans le delta du Mékong.

 

Ces quelques exemples suffisent à prendre conscience de l’apport considérable des savants à notre vie quotidienne depuis l’invention du feu par l’homo pyromanus.

 

Il est donc temps de rendre hommage à certains de ceux qui ont marqué de leur empreinte le chemin tortueux de l’humanité.

 

Newton, qui n’était pas ce que l’on appelle communément un comique troupier, ne se démunissait jamais d’une gravité de façade et travaillait d’arrache-pied. C’est en faisant une pause allongé sous un arbre qu’il a soudain pris conscience que si l’homme retourne souvent à ses racines, la pomme ne retourne jamais à sa branche, a fortiori sous un poirier. C’est depuis ce jour que la chute est devenue une attraction universelle et paradoxalement une source d’hilarité générale.

 

Einstein n’était pas le dernier à en rire, lui qui avait très vite compris que tout est relatif, que la relativité est générale et que le général est au particulier ce que le pluralisme est à la presse nord-coréenne.

 

Descartes ne perdait pas son temps en longs discours et avait découvert la méthode pour régulièrement taper de quelques billets Blaise Pascal, toujours perdu dans ses pensées.

 

Pour sa part, Foucault était un savant très ponctuel, la pendule de Foucault étant de notoriété publique, tout en étant en avance sur son temps mais qui malheureusement n’a jamais réussi à gagner des millions avec son invention du gyroscope, situation qui l’a quelque peu désorienté.

 

Farenheit, célèbre physicien allemand, inventeur d’une échelle de température incompréhensible pour le commun des mortels français, a démontré au cours de ses recherches que la probabilité de se cailler les meules au mois de janvier était nettement supérieure à celle du mois de juillet, loi démontrée un peu plus tard par Lagrange.

 

Maxwell, physicien et mathématicien écossais doté d’un magnétisme très marqué, torréfiait lui-même son café par souci d’économie. Dès qu’il fallait sortir son argent, la constante qui prédominait chez lui était la constante de Planck.

 

Ampère se tenait au courant de tout et travaillait lui-aussi avec une intensité sans limite jusqu’au jour où il s’est éteint à la suite d’un excès de tension.

 

Grâce à Coriolis, les indigènes des tribus subéquatoriales savent pourquoi l’eau qui s’évacuerait d’un évier s’ils en avaient un, tourne dans le sens opposé de celle s’évacuant d’un évier lapon si elle ne gelait pas avant de tourner. Ils lui en seront toujours reconnaissants.

 

Archimède a élaboré un principe, la fameuse poussée d’Archimède, que l’ensemble des navires mettent en application en flottant sur l’eau, à quelques rares exceptions près pour lesquelles le principe est supplanté par la loi de Coulomb, très proche de la loi de Poisson.

 

Et pour terminer cette très courte rétrospective, n’oublions jamais que c’est grâce à Bell que l’on entend quand Edison.

 

L’humanité aura toujours besoin de savants pour la faire avancer et il y aura toujours quelqu’un pour ramener sa science…

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...