salam,
Lucas est gérant dans la restauration à Paris. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire
Quand on lui demande comment il va, il répond toujours: " Si j'allais mieux que ça, nous serions deux: mon jumeau et moi! "
Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils admirent son attitude. Quand un employé file du mauvais coton, Lucas est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
Curieux, je suis allé voir Lucas un jour pour lui demander: " Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu? "
Et Lucas de répondre: " Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d'être de bonne humeur.
Quand il arrive quelque incident déplorable, ou bien je choisis d'en être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon coté de la chose. "
"Mais ce n'est pas toujours si facile " , lui dis-je.
Et Lucas d'enchaîner: " La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient. "
Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Lucas a fait incidemment ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés. En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n'arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré.
Heureusement pour Lucas, les choses n'ont pas traîné et il a été vite transporté à l'hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Lucas a reçu son congé de l'hôpital avec les débris de la balle qu'on n'avait pas réussi à lui extraire.
J'ai revu Lucas six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout cela. " Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux: mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices? "
Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui était passé par la tête au moment du vol. Et Lucas de dire: " La première chose qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clef la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait descendre, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j'ai choisi de vivre. "
" Tu n'as pas eu peur? " lui dis-je.
Et lui de répondre: " Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais agir vite. "
" Et alors, qu'as-tu fait? "
" Eh bien, mon ami, il y avait une grosse infirmière qui me bombardait de questions ; elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire.
J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de fusil! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort! "
Lucas a survécu grâce à l'expertise des médecins mais aussi grâce a son attitude étonnante! J'ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix: ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s'y emmerder tant qu'on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes.
(Auteur inconnu)
Lucas est gérant dans la restauration à Paris. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire
Quand on lui demande comment il va, il répond toujours: " Si j'allais mieux que ça, nous serions deux: mon jumeau et moi! "
Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils admirent son attitude. Quand un employé file du mauvais coton, Lucas est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
Curieux, je suis allé voir Lucas un jour pour lui demander: " Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu? "
Et Lucas de répondre: " Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d'être de bonne humeur.
Quand il arrive quelque incident déplorable, ou bien je choisis d'en être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon coté de la chose. "
"Mais ce n'est pas toujours si facile " , lui dis-je.
Et Lucas d'enchaîner: " La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient. "
Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Lucas a fait incidemment ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés. En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n'arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré.
Heureusement pour Lucas, les choses n'ont pas traîné et il a été vite transporté à l'hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Lucas a reçu son congé de l'hôpital avec les débris de la balle qu'on n'avait pas réussi à lui extraire.
J'ai revu Lucas six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout cela. " Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux: mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices? "
Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui était passé par la tête au moment du vol. Et Lucas de dire: " La première chose qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clef la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait descendre, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j'ai choisi de vivre. "
" Tu n'as pas eu peur? " lui dis-je.
Et lui de répondre: " Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais agir vite. "
" Et alors, qu'as-tu fait? "
" Eh bien, mon ami, il y avait une grosse infirmière qui me bombardait de questions ; elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire.
J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de fusil! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort! "
Lucas a survécu grâce à l'expertise des médecins mais aussi grâce a son attitude étonnante! J'ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix: ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s'y emmerder tant qu'on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes.
(Auteur inconnu)