monaj
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[h=1][/h]Le Monde.fr avec AFP | 13.05.2013 à 02h29 • Mis à jour le 13.05.2013 à 02h30
Le PDG de TF1 Nonce Paolini accuse M6 d'être en partie responsable de la"mauvaise performance" de sa chaîne, handicapée par un recul de 12 % des recettes publicitaires au premier trimestre 2013, dans un entretien publié dans Le Figaro lundi 13 mai. "Tous les médias souffrent actuellement de la conjoncture économique", explique le dirigeant, évoquant "la forte pression des annonceurs" et"leur attentisme". Mais "dans ce contexte d'hyper-fragmentation de l'offre, nous devons faire face à une guerre féroce des prix clairement déclenchée par l'un de nos concurrents", souligne-t-il
"En baissant ses prix, le groupe M6 se met au diapason de la baisse d'audience de ses deux antennes M6 et W9. Il pratique des offres promotionnelles comparables aux chaînes de la TNT. Ce qui est normal puisque sa chaîne principale est devenue la première chaîne de la TNT !", grince le patron de TF1."Mais se lancer dans une course folle qui effondre autant les prix est destructeur de valeur. Et cela n'est de l'intérêt de personne : ni des télévisions, ni de celui des annonceurs qui ont besoin de médias en bonne santé ! Ça n'est pas non plus celui des téléspectateurs qui pourraient être confrontés à une dégradation de l'offre de programmes si la raison ne l'emporte pas !", assure M. Paolini.
[h=2]Le groupe TF1 est tombé dans le rouge au premier trimestre 2013, avec une perte nette consolidée de 4,5 millions d'euros, une contre-performance qui l'a conduit à réviser en baisse son objectif de chiffre d'affaires annuel à 2,5 milliards d'euros.[/h]
[h=1][/h]Le Monde.fr avec AFP | 13.05.2013 à 02h29 • Mis à jour le 13.05.2013 à 02h30
"En baissant ses prix, le groupe M6 se met au diapason de la baisse d'audience de ses deux antennes M6 et W9. Il pratique des offres promotionnelles comparables aux chaînes de la TNT. Ce qui est normal puisque sa chaîne principale est devenue la première chaîne de la TNT !", grince le patron de TF1."Mais se lancer dans une course folle qui effondre autant les prix est destructeur de valeur. Et cela n'est de l'intérêt de personne : ni des télévisions, ni de celui des annonceurs qui ont besoin de médias en bonne santé ! Ça n'est pas non plus celui des téléspectateurs qui pourraient être confrontés à une dégradation de l'offre de programmes si la raison ne l'emporte pas !", assure M. Paolini.
[h=2]Le groupe TF1 est tombé dans le rouge au premier trimestre 2013, avec une perte nette consolidée de 4,5 millions d'euros, une contre-performance qui l'a conduit à réviser en baisse son objectif de chiffre d'affaires annuel à 2,5 milliards d'euros.[/h]