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“Epouse-moi mon pote” : franchement, on s'attendait à pire


serdam

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La bande-annonce nous avait fait un peu peur. Mais le premier long métrage de Tarek Boudali, autour d’un mariage blanc entre deux hommes, n’est pas aussi lourd qu’on aurait pu l’imaginer.

 

Pour son premier long métrage, Tarek Boudali se donne le rôle d’un étudiant en architecture marocain qui, pour éviter l’expulsion du territoire français, contracte un mariage blanc avec son meilleur pote (Philippe Lacheau ). La bande-annonce, pleine de clichés sur les gays, laissait craindre le pire. D’autant que certaines comédies populaires françaises ont une fâcheuse tendance à rire de l’homosexualité en la présentant comme « déviante » ou « anormale » – voir la scène finale du Grand Méchant Loup (2013) ou, plus, récemment, Les Nouvelles Aventures de Cendrillon.

 

Heureusement, Epouse-moi mon pote ne se révèle ni cynique, ni malveillant. Ce n’est pas de la communauté homo dont le film se moque, mais plutôt de la méconnaissance des deux potes hétéros, avec leurs idées préconçues sur celle-ci (code vestimentaire, boîtes de nuit, pratiques sexuelles).

 

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